04/07/2011
LMFAO : UN DUO DE MUSICOOLS !
Originaires de Los Angeles, Redfoo et Sky Blu se rencontrent en 2006. Alors, qu’ils cherchent un nom pour leur futur groupe, Sky Blu décide d’envoyer un message à sa grand-mère pour lui demander son avis : « Notre nom doit être… sexy, tu vois ? » Mamie répond aussitôt : « LMFAO », l'abréviation utilisée sur Internet pour dire « Laughing My Ass Fucking Off » (no comment et sans traduction !). Sky Blu et Redfoo précisent : « Quand nous avons dit à nos amis que notre nom est… LMFAO, ils ont adoré. » C’est le début de leur aventure à succès ! Dans leur quartier de Hollywood, Blu & Foo font alors de multiples DJ-set expérimentaux sur la scène du Club Mainstream, avec ce petit plus qui caractérise désormais leur show : un savant mélange de musique électro old school, de hip-hop iconoclaste et de beat rock.
En 2007, le duo fait une apparition remarquée à la Winter Music Conference de Miami. Ce trip géant, véritable Institution de festivités sans fin, à South Beach, assure la promo mondiale de leur style musical et vestimentaire (couleurs flashy, lunettes fashion (sans verres) et tee-shirts vintage), et devient l’emblème de leur mode de vie : le Mouvement LMFAO. Afin de continuer à créer leur propre son, ils n’hésitent pas à le produire dans leur studio, son qu’il joue ensuite dans des clubs. Dans la pure tradition du DIY (Do-It-Yourself), Red et Sky ont pondu leur titre « I’m in Miami bitch » sur Myspace, un morceau qui va se hisser très rapidement en 51ème position des charts aux States.
Forts de ce succès, les deux compères reprennent, alors, le chemin des studios pour enregistrer un album complet. Aussi, LMFAO sort en juin 2009 « Party Rock ». Les quinze titres qui composent cet opus sont remplis de folie douce à l'image du look des deux lascars en question. Un vrai moment, donc, de fiesta dancefloor ! Enfin, en juin 2011, le duo est de retour avec un autre CD intitulé « Sorry for Party Rocking »… Si sans alcool et sans drogue, la fête est plus folle, sans leur musique par contre elle serait vraiment triste ! Comme quoi, on peut s’amuser, tout en étant soi-même. Un band que j’aime pour son côté stylé, charmeur, drôle et entraînant !
© MAF, jeune journaliste d’LCT LIve, le 04 juillet 2011.
INFOS PLUS :
Pour écouter LMFAO :
« Party Rock Anthem »
http://www.youtube.com/watch?v=y1cZkjyoqKQ
Sources documentaires et photos :
23:34 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : maf pour ltc live, ltc live : la voix du graoully, la scène ltc live, la communauté ltc live, los angeles, centre pompidou-metz, metz, lorraine, redfoo et sky blu, lmfao le groupe, le mouvement lmfao, laughing my ass fucking off, club mainstream, électro old school, de hip-hop iconoclaste, beat rock, music conference de miami, miami, hollywood, califormie, welcome to california, south beach, style vestimentaire, charts, party rock, diy, do-it-yourself, i’m in miami bitch, sur myspace, sorry for party rocking | Facebook |
29/12/2009
« PANDORA » : LE NOUVEAU VIETNAM (extraterrestre) AMERICAIN !
© Photo ci-dessus : ripostelaique.com
Peu de gens le savent, mais les Américains ne sont pas que nos « Sauveurs », suite à la Deuxième Guerre Mondiale (conflit après lequel, ils ont "recyclé", toute honte bue, beaucoup d'anciens nazis)... Leur intérêt à venir à l'aide du « Monde entier » n'est pas philanthropique et l'impérialisme qui les caractérise, depuis lors, est avant tout militaire, policier, religieux, économique, culturel et politique. Ainsi, ils s'acharnent particulièrement à contrôler toutes les ressources naturelles planétaires nécessaires à leur boulimie d'énergie. A Eux seuls doit revenir la majeur partie des réserves mondiales de pétrole, d'uranium, de charbon, etc. quitte à faire la guerre pour cela !
UN PAYS FONDE SUR UN GENOCIDE RESTE IMPUNI !
Si l'on remonte aux balbutiements des Etats-Unis d'Amérique, on constate avec horreur que ce « pays-continent » a été fondé, essentiellement, sur le génocide de la Civilisation Amérindienne et sur l'asservissement du Peuple Noir, dans l'unique but de satisfaire une soif insatiable de pouvoir et d'enrichissement personnel, en mettant la main sur toutes les matières premières pour le seul profit. Ce pillage organisé « à la Custer » s'est fait, bien sûr, au bénéfice exclusif des blancs colonisateurs et vainqueurs, car plus nombreux, souvent plus riches, et surtout, mieux armés. Ces crimes de guerre et contre l'Humanité des Ricains restent impunis à ce jour. A quand un Nuremberg Américain ?
© Photo ci-dessus (le Peuple Noir Américain se rendant aux champs) :
bluesland.zikforum.com
© Photo ci-dessus : mecanopolis.wordpress.com
AU SECOURS ! LES HERITIERS DE LA HAINE SONT AUX MANETTES DU MONDE !
Dans la même veine, on constate, pour ceux qui ne se laissent pas aveugler par le Système et les mass media aux ordres, que l'invasion de l'Irak et de l'Afghanistan par les troupes de l'Oncle Sam n'a pas eu pour autre fonction que de rentabiliser (une fois de plus...) « au nom de la Démocratie » (ou plutôt de la Démocrature...) le complexe militaro-américain. Sous prétexte de « combattre le terrorisme... » (alors que Ben Laden est un ancien membre de la CIA qui luttait contre les Russes en Afghanistan avec des armes US...), on vise in fine à avoir le monopole des juteux gisements pétroliers de la région, avec pour résultat immédiat la déstabilisation politique et durable des pays en question... et à court terme, l'accession au pouvoir des dangereux Islamistes ! Cette « Gendarmisation » mondiale Américaine, anarchique et agressive, ressemble pourtant, souvent, si on analyse l'Histoire, à une débâcle prévisible. Car que peuvent faire des GI's, certes très bien entraînés et matériellement supérieurs, face à des guerriers vietnamiens qui n'ont besoin pour se nourrir que d'une poignée de riz et pour combattre que d'une Kalachnikov ? Ou face à des kamikazes d'Al-Qaïda n'ayant pas peur de mourir pour leur cause, leur Foi ? Repensons notamment à l'échec de la Somalie et comparons tout simplement l'Irak à un nouveau Vietnam des Amerloques de choc, tant la situation s'envenime, s'enlise. Mais, qu'à cela ne tienne, les Ricains n'ont de leçon à recevoir de personne, à un point qu'ils pensent sincèrement détenir « LA » Vérité, et finissent par se prendre pour les Justiciers des temps modernes ! Et apparemment, ils ne s'assagissent pas, même, dans le futur... Aussi, restons sur le même ton accusateur, et projetons-nous dans l'avenir, grâce au dernier film de SF de James Cameron : « Avatar »...
LES AMERICAINS ELIMINENT TOUS CEUX QUI SE METTENT SUR LE CHEMIN DE LEUR REUSSITE CAPITALISTIQUE !
« Avatar » est un long métrage durant 2h41, de James Cameron, avec à la distribution des rôles, des grands noms comme Sam Worthington, Zoe Saldana et Sigourney Weaver. Et curieusement, ce film Américain nous propose une sorte de revanche de l'Histoire, un mea culpa subliminal des Maîtres du Monde, une dénonciation presque directe des exactions infligées un peu partout aux opposants de l'« American way of life ». Cette idéologie souvent perverse, matérialiste, égoïste et individualiste, qui prend sa source (entre autres) dans le fordisme, nivèle tout, ne respecte en rien les diverses cultures de la Communauté Humaine, et encore moins les écosystèmes, l'Environnement. Même, si récemment Barack Hussein Obama II, premier Président Noir Américain, a fait un geste fort en direction de l'Ecologie, au Sommet de l'ONU sur le climat à Copenhague, il n'en reste pas moins que les Ricains penseront éternellement que leur culture aseptisée est « supérieure », car produite dans le sacro-saint Hollywood. Dans « Avatar », les amerloques de choc « jouent » un rôle (malheureusement habituel) de « Space Cowboys ». Et saluons jusqu'au bout le réalisateur de cette toile pour son courage et son honnêteté, et qui met en scène des Ricains tentant tout bonnement d'éradiquer les indigènes « non coopératifs » de la planète Pandora (qui se trouve à des années-lumière de la Terre) ; car ces derniers ne veulent pas céder au Bonhomme du Monopoly l'exploitation d'un minerai rarissime (et à forte valeur ajoutée), permettant de palier à la crise énergétique sévissant sur Terre... Et c'est ainsi que naît une guerre supplémentaire pour le profit immédiat, placée (encore et toujours) sous l'égide des lobbies du Grand Capital. Cette crise interplanétaire se fait, bien sûr, dans l'oubli de la défense des Droits de l'Homme, euh pardon... des Droits des Extra-terrestres... Mais, qu'on se rassure le scénario de ce film, aux effets spéciaux en 3D et numériques très novateurs, est pour une fois moral, et la défense des combattants de la Liberté en est le fil conducteur... L'honneur est enfin sauf ! Ouf !!!
UN HEROS AMERICAIN COMBAT LA POLITIQUE AMERICAINE SUR PANDORA, EN PRENANT LA DEFENSE DES OPPRIMES !
« Avatar », met en scène un héros Américain pas comme les autres. En effet, Jake Sully est un ancien Marine paralysé, cloué dans un fauteuil roulant. Ce vétéran a su cependant garder, contre vents et marées, une âme de combattant et décide de se faire muter sur Pandora, pour intégrer le Programme « Avatar »... Comme l'atmosphère de cette planète est toxique pour l'Homme, ce procédé permet à des « pilotes » humains virtuels de projeter leur esprit dans le corps d'un avatar (une technologie biologique hybride, créée génétiquement en croisant de l'ADN humain avec celui des Na'vi (les autochtones), capable de vivre dans l'atmosphère mortelle de Pandora, et commandée à distance à partir de machines). Grâce à ce mode de « transport sécurisé », Jake peut de nouveau se mouvoir normalement. On lui confie, alors, une mission d'infiltration auprès des Na'vi - un peuple trop écolo au goût des Américains - pour tenter de les faire céder, car ils s'opposent à la commercialisation dudit minerai. On s'en doute ce sera l'échec ! Et les stratèges Américains passeront sans états d'âme à la vitesse supérieure, en remettant en route irrémédiablement leur machine de guerre. Le soldat Sully remplit tout d'abord très bien son rôle d'espion... puis, soudainement, tout va basculer avec la rencontre de Neytiri, une très belle Na'vi qui le fait craquer et qui lui sauve la vie... Désormais, Jack n'aura de cesse de se retourner contre les siens, les bourreaux, par respect du mode de vie séculaire du Grand Peuple Na'vi... mais aussi, par Amour pour cette charmante extraterrestre ! Un message de Paix et de tolérance (respectant les différences) que les Américains devraient méditer au présent... Quitteront-ils Pandora comme ils ont quitté le Vietnam ? On le souhaite pour les Na'vi sous peine de disparaître !
© Jean Dorval, le 28 décembre 2009, pour LTC Kinéma.
INFOS PLUS : http://www.avatar-lefilm.com/
"Apocalypse Now", version SF ?
00:04 Publié dans LTC KINEMA | Lien permanent | Tags : avatar le film, pandora, impérialisme américain, sam worthington, zoe saldana, sigourney weaver, barack obama, hollywood, jack sully, un héros américain pas comme les autres, kinéma, cinéma, science-fiction | Facebook |