18/05/2012
ALERTE AU VIRUS « TORBA » SUR L’OCCIDENT !!!
Depuis quelques mois, les masses média nous bassinent les oreilles avec l’arrivée probable en Occident, en septembre prochain, d’une pandémie de grippe A-H1N1. Par contre, personne ne parle du virus « TORBA », une contagion qui sévit depuis un moment et qui fait beaucoup de ravages chez nous. Mais, avant de parler de cette nouvelle épidémie, parlons un peu d'Histoire…
LA CHUTE DU RIDEAU DE FER OU LA FIN DU REMPART SANITO-AFFECTIF DE L’OCCIDENT…
Depuis la chute du « Rideau de fer » en 1989 et la disparition du Bloc soviétique en 1991, les « ex-Démocraties Populaires » n’ont apparemment su prendre que les tares de l’ultralibéralisme, en s’ouvrant sur l’Occident capitalistique… Ainsi, après des décennies de chape de plomb mortelle communiste, d’absence de libertés chronique et de respect de l’environnement, les voici placées désormais sous la férule nocive yankee ou pro-yankee (matérialisme, esthétisme californien, négation de leurs racines, toute puissance des valeurs boursières et de l’argent roi). Des kilomètres de films américains bon marché (que l’on peut voir aussi sur nos écrans de cinéma ou de télévision…) inculquent à ces populations candides, généralement pauvres, des images trompeuses du « Paradis retrouvé » et supposé que serait l’Occident, présenté comme un véritable mas de cocagne, une corne d’abondance. Ces navets à la sauce amerloque de choc faussent la donne, provoquent « l’exportation » de bon nombre de candidat(e)s à un exil économique qui se veut « prometteur » dans une Europe de l’Ouest pourtant gravement touchée par le chômage, la crise sociale, économique et identitaire, les délocalisations et l’absence de frontières.
La Mitteleuropa est dans une situation d’extrêmes contradictions. « La modernisation » dans cette région d’Europe a tellement été subite et outrancière, au détriment de l’Etre Humain, que la vie quotidienne s’en est trouvée fortement déséquilibrée. En Roumanie, par exemple, on est passé du jour au lendemain de l’absence d’Internet à l’Internet par satellite. Et au cœur des campagnes les plus reculées, dans les étables rustiques comme dans les pâturages escarpés des Carpates, pour élever les vaches dorénavant les paysans sont passés d’un coup de baguette magique aux tags les plus sophistiqués. Ces puces électroniques dernier cri permettent de suivre leur croissance, de contrôler journalièrement la quantité de nourriture dont elles ont besoin et aussi de pouvoir les situer toujours par satellite... Par ailleurs, l’outil industriel dans ces pays, ancienne propriété d’Etat, a donné lieu à de fortes restructurations et spéculations qui ont créé un tsunami de chômage sans précédent. Ces nombreux licenciements dus à des économies d’échelle ont permis à tous les profiteurs du « Village mondial », toujours à l’affut de dividendes et d’intérêts juteux, de continuer d’exploser l’ancien système social et d’exploiter une main d’œuvre à bas prix qui ne demande pas mieux que de travailler, afin de pouvoir se payer tout ce qui est à la mode à l’Ouest (quitte pour cela à prendre des crédits à taux usuriers à vitam aeternam…). De plus, avec un coup de la vie qui a bondi à la hausse dans cette partie du Monde, la misère s’impose de façon durable et dramatique pour une majorité de gens qui n’a pas de pouvoir d’achat, et à laquelle, pourtant, le matraquage publicitaire met l’eau à la bouche constamment. Seule, une élite jouit des bienfaits de ce nouveau contexte politico-économique sauvage. On pensera notamment aux milliardaires russes qui descendent sur la Côte d’Azur et qui flambent. Mais aussi, aux bourgeois (les nouveaux parvenus) qui vivent dans les grandes villes à l’abri de luxueuses résidences ultra-sélectes et sécurisées. Une arrogante croissance économique ne profite qu’à cette nouvelle classe émergente (souvent l‘ancienne nomenklatura reconvertie et la mafia). Et tandis que la Pologne affiche au 3ème trimestre 2007 une croissance de son PIB atteignant 6,5% - dépassant en cela royalement la moyenne de l’UE qui n’est que de 2,9 %(1) – on constate que, depuis l’adhésion à l’Union européenne en 2004, près de 2°millions de Polonais seraient partis à l’Ouest en quête d’un meilleur salaire. Plombiers, chauffeurs, médecins, chefs de chantier, ingénieurs, musiciens, etc. ou jeunes diplômés n’hésitent pas à plier bagages et à émigrer en Occident, avides de réussite à tout prix. Ainsi, 26°% des Polonais envisageraient prochainement un départ à l'étranger(2). Aussi, les populations de l’Europe de l’Ouest (principalement la France, le Luxembourg, l’Allemagne et la Belgique) n’ont qu’à bien se tenir… Elles se retrouvent de plus en plus sur le marché du travail confrontées à une main d’œuvre jeune venue d’Europe Centrale, très travailleuse, vite adaptable, à forte valeur ajoutée, parlant plusieurs langues et détentrice de diplômes supérieurs obtenus courageusement dans leur pays d’origine ou à l’étranger. Cette force de travail unique, attractive pour les employeurs puisqu’elle reste très bon marché, exerce une véritable concurrence déloyale. En effet, elle est le plus souvent embauchée dans son pays d’origine à des tarifs (hors charges sociales) très compétitifs, mais pour travailler… en France, par exemple, dans le transport international routier. En cas de crise, on licenciera en premier les travailleurs français plutôt que ces travailleurs payés au lance-pierre…
De la migration politique à la migration économico-affective
Au balbutiement, dans les années 90, il y avait les migrations politiques en provenance des Pays de l’Est. Mais, cela va commencer à se compliquer, quand des femmes seront concernées… Ces situations d’urgence ont fait à l’époque les choux gras de réseaux clandestins, d’agences matrimoniales, de revues et de catalogues spécialisés. Elles sont d’ailleurs très bien décrites dans le film français « La fiancée qui venait du froid » sorti en 2003(3). De nos jours, ces migrations deviennent économico-affectives. Les moyens restent les mêmes. Il y avait d’ailleurs une émission à ce sujet sur M6 récemment, dans laquelle un type plein aux as faisait passer avec l’aide d’une agence de véritables « entretiens d’embauche » à des femmes objets prêtes à tout pour l’épouser, afin de sortir de leur misère… et le quitter nanties de la nationalité française (et de tous les droits qui y sont associés) dès qu’elles auront trouvé mieux ailleurs (ou pour retourner chez elle après quelques années)… Dans la même veine, des pervers qui veulent dominer des « filles déjà dressées » ont poussé le bouchon trop loin en arrachant de jeunes proies de 18 ans (voire moins en trafiquant l’âge…) directement à leur famille (contre de l’argent), dans leur pays d’origine contrôlée… La prostitution et la pornographie ont utilisé (et utilisent encore) les services de ces filles qui n’excitent pas uniquement l’imaginaire… Comment peut-on vendre ses enfants dans de telles conditions, même pour manger ? Avant la chute du Rideau de fer, ces « exilées politiques » de tout poil (mais déjà économiques), peu nombreuses, passaient discrètement à l’Ouest. Désormais, toujours depuis 2004(2), des contingents de jolies filles de l’Est, venus par bus entiers, débarquent avec charmes et bagages en Occident, se transformant vite en hordes de prédatrices, en lame de fond d’une migration affective et… économique. Elles ont en effet trouvé le filon : la recherche de l’âme sœur ayant une bonne situation… Même, si pour cela, il faut vivre comme une prostitué (sans faire le trottoir)… Tels sont les symptômes d’un virus nommé « Torba »…
LA PROPAGATION DU VIRUS « TORBA » EN OCCIDENT A L’ORIGINE D’UNE PANDEMIE ANTISOCIALE !
Le mot « Torba » en polonais veut dire « sac ». Mais, au second degré, cela se traduit plus largement par « femme de petite vertu, sans sentiment, fonctionnant comme une prostitué ». Ce qualificatif s’applique le plus souvent à des jeunes femmes venant des Pays de l’Est (mais aussi d’Asie ou d’Afrique, deux continents touchés très gravement par la sinistrose économique) en âge de procréer dans une fourchette de 20 à 38 ans. Il est nécessaire de dire que, quelque soit sa situation personnelle, la « Torba » n’a aucune excuse pour son comportement déviant. Il faut aussi préciser que majoritairement la Femme de l’Est (comme celle d’Asie ou d’Afrique) n’est pas une « Torba », qu’elle passe pour une très bonne amie, une épouse et une mère formidable ayant des valeurs saines à défendre, issues du Catholicisme. Mais voilà, les choses étant ce qu’elles sont… la déferlante « Torba », asservissant de nombreux esprits fragiles, se répand sur l’Occident sans prévenir, avec de nombreux effets collatéraux.
Une déferlante « Torba » incontrôlable…
La « Torba » est un pur produit de la société de consommation. Ce fléau en talons aiguilles, en libre circulation, vient chasser « l’âme sœur économiquement viable » en UE et vise des stéréotypes masculins, ayant une très bonne situation professionnelle et financière, afin d’assurer des lendemains qui chantent : un ingénieur, un PDG, un docteur, etc. A ce sujet, en Chine, un récent sondage démontrait que les femmes dans leur grande majorité (tous âges confondus) « prennent leur pied » qu’avec des hommes riches et de pouvoir. Elles en tombent, d’ailleurs, plus facilement amoureuses et enceintes. Le besoin de « sécurisation matérielle » d’une catégorie de femmes au détriment de l’Amour dans une période d’incertitudes internationales reste plus fort que tout… Une « Torba » polonaise de 30°ans, qui a trouvé un pigeon, interrogée pour cet article, précisait : « Il n’est pas beau. Je ne l’aime pas. Mais, il a de l’argent et il est fou de moi. J’en fais ce que je veux. C’était si dur avant… » (sous-entendu : « je ne redescendrai jamais plus dans la hiérarchie sociale »). A contrario, il y a quelques années dans un autre sondage les femmes californiennes stipulaient préférer (comme certainement une majeure partie de la gente féminine mondiale de l’époque) les hommes symétriques et sculpturaux. Physique de rêve contre porte-monnaie nourricier… les temps changent. Décidément, aujourd’hui, on ne vit plus d’Amour et d’eau fraîche !
Un monstre d’égoïsme…
Si la « Torba » est prête à tout pour atteindre son but, elle se casse souvent les dents sur la dure réalité… Son expérience négative de la vie ne lui sert jamais de leçon, puisqu’elle refait toujours les mêmes erreurs. C’est une rêveuse qui vire au cauchemar permanent ! Le complexe de Cendrillon l’anime et pourtant il n’a été résolu que par très peu d’élues... Cela n’empêche pas la « Torba » d’entretenir volontiers le mythe du Prince Charmant en Porsche blanche et d’imaginer un luxueux Palais Grognard pour accueillir son idylle boursière. Si elle est d’origine polonaise, elle souhaite se marier à l’Eglise (même si elle a conscience qu’elle divorcera dans moins de trois ans) juste par convention et pour avoir une belle cérémonie (comme au cinéma) en robe blanche (qu’elle devrait plutôt porter rose ou rouge, car elle n’est plus vierge depuis longtemps). Curieusement, la « Torba » qui est de petite condition n’a pas conscience que les riches ne se marient généralement qu’entre eux... Par contre, ces derniers ne refusent pas « d’améliorer leur ordinaire affectif » en prenant régulièrement des maîtresses… Dans ce cas, la « Torba » se fait entretenir, toute honte bue, sans réellement se donner physiquement (ou si peu). Elle se contente de faire « marcher » le gars ou plutôt la pompe à fric… devenant un « Alfonso » (au féminin), nom que l’on donne en Ukraine aux gigolos. Cette situation grotesque ne durant qu’un temps, si notre « Torba » ne veut pas se retrouver régulièrement célibataire désabusée (voire vieille fille aigrie quand elle sera défraichie), elle doit absolument revoir sa copie et écouter l’avertissement de l’humoriste Patrick Timsit qui précise dans un de ses sketchs : « Il y a quatre femmes pour un homme sur terre… » Ce chiffre alarmant devrait pousser la « Torba » à avoir un peu plus de modestie, car il n’y a pas de mâle, riche comme pauvre, pour tout le monde… A bon entendeuse salut ! D’autre part, comme la crise économique paupérise en continu la population occidentale, travailleurs pauvres et SDFs sont légion, cela réduit encore d’avantage les chances de ce type de femme de trouver un homme aisé. Une denrée statistiquement rare quelque soit l’époque… Cette terrible évidence ne fait qu’augmenter la frustration de la « Torba ». Alors, dans l’attente de pouvoir réaliser son ambitieux dessein et certainement pour ne pas être un jour taxé de racisme social, la « Torba » se rabaisse (sans états d’âme), en période hormonale, à prendre un bouche-trou de service, ce qu’elle appelle avec ses amies un « mec bien »…
Et un « mec bien », un !
Bizarrement, le « mec bien » n’est pas riche. Il est charmant, plus âgé qu’elle, équilibré, propre (à l’intérieur comme à l’extérieur), sans maladie grave, sympa, drôle, culturé, naïf, de préférence en cours de divorce avec enfants (pour avoir un prétexte de ne pas s’y attacher)… La situation personnelle et passée de ce bouche-trou (qu’elle exècre particulièrement parce qu’elle n’a jamais rien fait de constructif durant son existence et qu’elle se croit parfaite), les défauts supposés de ce dernier (un scandaleux harcèlement), la relation qu’elle entretient avec lui (volontairement mal vécue à cause d’une interprétation erronée de la religion que la « Torba » soit croyante ou non), sont des sujets permanents de rabaissement, de critique et de culpabilisation. Comme ce « mec bien » lui fait honte (il n’est même pas un ami pour elle), la « Torba » le jette et le reprend à volonté, elle ne peut se résoudre à lui donner la main dans la rue, elle ne le présente pas à ses relations et encore moins à sa famille. Il sera donc jetable après utilisation, comme ses nombreux prédécesseurs. La fin de la période d’essai de ces liaisons toxiques est souvent liée à des projets de vacances trop onéreux (destinations lointaines et prestigieuses) que le « brave type » en question ne peut offrir à la « Torba ». Elle finira pas partir en congés avec une amie ou un nouveau gogo, car comme le précise une autre « Torba » : « Chez nous, on nous apprend à conserver notre famille et nos ami(e)s, car si on ne choisit pas sa famille, par contre on choisit ses ami(e)s. Quant à nos petits copains : un de perdu, dix de retrouvés ! » Quelle belle mentalité ! En préambule à toute rupture avec un bouche-trou, la « Torba » aura pris soin de faire tomber sa victime « fou d’Amour », pour mieux la faire souffrir, lui faire payer l’addition salée de sa vie ratée passée, présente et future. Insatisfaite de naissance, obsessionnelle, la « Torba » cherchera « toujours mieux » et bien sûr ne trouvera jamais le bonheur pur et simple. Ainsi, il est impossible pour elle de se fidéliser, car elle n’a pris que les mauvais côtés des femmes « libérées ». Elle se conduit en véritable Serial-Killeuse du sentiment.
Un contexte psychologique « Torbatien » très instable…
Il faut savoir que généralement la mère d’une « Torba » est divorcée ou mère célibataire, et plus rarement, qu’elle vit en cohabitation avec un époux tyrannique. La « Torba », éternelle adolescente, ne peut pas couper le cordon ombilical avec elle, vu que les difficultés de la vie les ont rapprochées. En retournant régulièrement voir sa mère au pays ou en passant de nombreuses heures avec elle au téléphone quotidiennement (grâce à un forfait illimité), la « Torba » (qui doit tout à « sa maman ») poursuit son éducation névrosée, obéissant aveuglément à une génitrice castratrice qui influe sur tout. Au point, qu’on peut se demander, vu que sa mère n’est pas éternelle, ce qu’elle fera pour survivre après sa disparition ? Va-t-elle se ranger et trouver enfin « l’âme sœur » ou restera-t-elle une vieille Demoiselle à la recherche d’un vieux Monsieur plein de pognon ? Rien n’est moins sûr ! En attendant, on s’interroge de savoir si la mère et la fille n’entretiennent pas une relation quasi-incestueuse (et donc lesbienne), tellement les liens sont forts. Dans de nombreux cas, elles dorment ensemble depuis la petite enfance de la « Torba », ainsi qu’à l’âge adulte dès qu’elles se revoient… Dans ce contexte particulier, on peut affirmer que la « Torba » bien souvent possède une part d’homosexualité latente inavouée et de bisexualité affirmée par nécessité. Elle déteste les hommes, mais en a besoin pour réussir… Il convient de rajouter que la « Torba » depuis sa prime jeunesse a un conflit récurrent avec le père qu’elle ne voit plus du tout (ou irrégulièrement). Le complexe d’Oedipe est donc non résolu à la suite du départ de la figure paternelle pour une autre femme. Tous ces refoulés poursuivent notre « Torba » toute sa vie. Selon le cas, la « Torba » a vu, voit ou verra un psy. L’arrivée d’un demi-frère ou d’une demi-sœur du côté du père renforce un sentiment de trahison et d’abandon déjà très présent. La « Torba » recherche d’ailleurs des hommes plus âgés qu’elle, car l’image du père la hante. Elle veut s’en venger. Est-ce pour cela qu’elle aussi méchante avec eux ? On n’en doute pas une seconde ! Là-dessus, vous rajoutez (comme cela se fait couramment dans les Pays de l’Est) un « dépucelage surprise » sous un arrêt de bus ou dans une cabine téléphonique, une nuit d’hiver, par moins 10 degrés Celsius, avec un type éméché (faute de pouvoir se payer une chambre d'hôtel), voire un viol ou une relation forcée avec un pédophile, la transmission des séquelles psychologiques que les parents ont accumulé sous le joug communiste, etc. et vous avez comme résultat une « Torba » haineuse, très fragile psychologiquement (dépressive chronique) et dont la compagnie frise la sainteté. Attention, personne en laissant aller son « Basic instinct » n’est à l’abri de ce genre de « Liaison fatale » ! Et nombreux sont les gogos à qui ces Amazones des temps modernes font tourner la tête ! Alors, Messieurs (même si la gente masculine n’est pas irréprochable depuis des siècles dans sa conduite avec les femmes), gaffe au danger !
Quand religion et sexe ne font pas bon ménage !
La « Torba » est tout le contraire de ce qu’elle prétend ou paraît être. Elle avance masquée. Souvent « fervente religieuse » en façade (elle peut aussi être athée), elle cherche le bon parti (et le « mec bien ») jusque dans les églises de sa communauté. Quand elle a trouvé le pigeon, elle n’y remet plus les pieds… Le piège s’est refermé ! La religion (ainsi que « le business ») lui sert par la même de réseau pour trouver du travail et se faire inviter régulièrement par la diaspora de son pays. Quotidiennement elle prône pour se faire bien voir (mais sans y croire) la vertu, la chasteté et la « sérieusité » dans ses relations avec les hommes. En clair avec elle : « pas d’aventure ! » Alors, qu’elle ne vit que pour cela… Son comportement sous d’autres cieux moins conventionnels en est la preuve. A ces occasions, elle se relâche intégralement, en abaissant enfin le masque. Par exemple, avec ses copines, elle fait régulièrement des descentes dans des boites de nuit (où elle danse de manière très sensuelle, habillée super sexy, telle l’allumeuse moyenne) et participe à des enterrements de vies de jeunes filles plutôt sulfureuses (strip-teases, attouchements sur des gogos danseurs, attroupements autour de types en érection, etc.). A l’étranger, dans les pays « chauds » (dans tous les sens du terme…), situés dans les Caraïbes notamment, elle n’hésite pas (si elle en a les moyens) à faire du tourisme sexuel et à se payer les services d’un gigolo. Pour finir sur la sexualité particulière de la « Torba », il est nécessaire de savoir que les relations intimes avec ce genre de « fille à maman » peuvent être décrites de la manière suivante : une certaine frigidité et des rapports sexuels de très mauvaise qualité concédés sans amour ni plaisir ; une beauté extérieure (minorée par sa noirceur intérieure) qui la pousse à croire que tout est acquis ; se contente de quelques « caresses hygiéniques » distribuées à la sauvette ; rares pénétrations vaginales (uniquement en position du missionnaire) ; elle jouit quasi-silencieusement de peur finalement d’être considérée comme trop humaine et s’arrête aussi sec faisant fi du plaisir de son partenaire… Après une nuit qu’elle souhaite ne plus voir se renouveler (pour partir vers de nouveaux horizons), elle sort sans gêne à son amant à peine réveillé : « qui de nous deux met fin le premier à cette relation sans lendemain ? »
Ultime portrait au vitriol de la « Torba »…
Dans ses grands traits de caractère, force est de constater que la "Torba" perd facilement son self-control. Elle devient vite violente verbalement et physiquement à la moindre contradiction. Vaniteuse et orgueilleuse de surcroît, elle peut faire l’objet d’une fiche signalétique à la Prévert : capricieuse, parano, susceptible, effrontée, menteuse, calculatrice, fausse, traitresse, accusatrice, perverse, mythomane, ambitieuse, matérialiste, aimant le luxe (maison, High-Tech, etc.) et surtout arriviste. Par ailleurs, la « Torba » se laissera totalement aller avec des gens qu’elle ne connaît pas ou qu’elle ne reverra plus. Elle fait ainsi une consommation très prononcée de boissons alcoolisées (accompagnée ou seule, chez elle ou dans des pubs). Elle sirote principalement de la bière et du Champagne, mais ne crache pas sur les vins fins blancs et rouges (français et italiens), et encore moins sur les Vendanges Tardives. Elle refuse de manger aux heures habituelles de repas. Elle compense sa frustration existentielle en préférant dévorer toute la journée au boulot avec des collègues au féminin : des bonbons, du chocolat, des gâteaux, des brioches ou quelques recettes locales sucrées. Sa préférence en restauration penche pour l’exotisme (spécialités japonaises) ou carrément la grande gastronomie française. Elle fume ou ne fume pas, mais dans les deux cas de figure, ne tolère pas que son bouche-trou fasse des volutes de fumée.
Comme déjà précisé, la « Torba » a énormément besoin de paraître. Elle est donc accro au shopping (avec ou sans ses copines), et ce, même si elle s’en défend. A cette occasion, elle dépense sans compter ! Elle n’hésite pas à redécorer un an à l’avance son appartement (profitant de soldes) en stockant des objets dans sa cave. Elle consomme des parfums de luxe sans discontinuité. Elle soigne particulièrement son look vestimentaire (harmonie des couleurs, marques de préférence, etc.). Elle porte des chaussures, des bijoux variés en concordance avec la couleur de ses fringues (voire de ses yeux et/ou de ses sous-vêtements). Cependant, elle peut rester des mois entiers (soi-disant) « mal coiffée » pour ne pas plaire à son compagnon de passage… et soudainement changer de coiffure et de couleur de cheveux dès qu’elle a un nouveau pigeon en vue. Elle est tellement mal dans sa peau, handicapée du sentiment, que cette métamorphose régulière reste momentanément réconfortante.
La « Torba » parle le franglais et en profite pour se la jouer très « Communikécheune » (traduisez « Communication ») dans toutes ses discussions. Elle déteste la langue allemande et les allemands (sauf l’ukrainienne qui est germanophile), alors que la Seconde Guerre Mondiale, qu’elle n’a pas connue, est terminée depuis plus de 60 ans… Elle qui ne distingue pas régulièrement le féminin du masculin quand elle parle et fait de nombreuses fautes de conjugaison se permet bizarrement de vous reprendre à tort et à travers sur l’utilisation de la langue française et s’oppose à l’expression du langage courant. Versatile, la « Torba » change d’avis comme de chemise. Ce qui était vrai hier ne l’est plus aujourd’hui, car elle a su « évoluer ». Par contre, si le bouche-trou tient ce genre de propos incohérents cela sera considéré par elle comme un manque de maturité. En véritable cœur de pierre qu’elle est, la « Torba » refuse le moindre romantisme. Si vous lui offrez des fleurs, c’est pour l’« embobiner » ; si vous voulez la voir, c’est que vous ne pensez « qu’à baiser » (selon ses propres termes) ; enfin, si vous lui écrivez de la poésie, « Elle préfère vivre ce que vous écrivez, mais… avec quelqu’un d’autre que vous ! »
© Photo ci-dessus : samuelcoisne.com
EPILOGUE « TORBIQUE »…
In fine, on peut dire que la « Torba » a peur de vivre, qu’elle est mal dans sa peau et manque de confiance en elle. Elle est plus à plaindre qu’à envier. Elle tend des pièges à ses victimes comme une araignée tend sa toile. Son éducation est fondée sur la peur de l’autre, et des autres. Elle est volage par essence, n’hésite pas à vivre plusieurs histoires en même temps (malheureusement de nombreux hommes font pareil avec leurs compagnes). Un témoin français précise, pour finir de comprendre qui sont les « Torbas », que son frère est mort d’un cancer suite au chagrin provoqué par une séparation brutale avec l’une d’entre elles. Cette « Torba », qui attendait un enfant de lui, était retournée définitivement sans prévenir au pays… Quelques temps après, elle lui réclamait une pension alimentaire substantielle. Il n’a jamais vu son gamin… A n’en pas douter l’Amour est un sentiment, un art qui échappe aux « Torbas ». Toutes ces belles femmes exécrables sans scrupules, malheureusement, s’étant une fois essayées au jeu pervers de faire souffrir l’Autre, ne le désapprennent plus. Et c’est bien dommage ! Ne méritent-elles pas un jour d’avoir la juste monnaie de leur pièce ? La vie se charge en général de leur faire payer le prix fort de leurs exploits. Au point que leur propre Communauté d'origine réprouve leurs agissements qui éclaboussent tout le monde... « Dans ce type de relation, la seule victoire, c’est la fuite » aurait dit Bonaparte. Que les hommes qui tombent dans les griffes d’une « Torba » méditent ces quelques citations pour en sortir : « On dit que l’Amour qui ôtait l’esprit à ceux qui en avaient, en donnait à ceux qui n’en avait pas. »(5), « Si l’Amour donne de l’esprit aux sots, il rend quelquefois bien sots les gens d’esprit. »(6) et « Dans la plupart des Amours, il y en a un qui joue et un autre qui est joué ; Cupidon est avant tout un petit régisseur de théâtre. »(7) Mais, la vraie leçon, la moralité de l’histoire, à retenir est que l’« On peut faire de l’Amour l’affaire la plus sage de sa vie ; Dieu qui a fait l’amour ne nous a pas interdit le discernement. ». Donc, tout est dans le choix de la bonne personne (quelque soit son sexe). Pour éviter les déceptions et les blessures profondes, il convient de se rappeler que « l’Amour qui naît subitement est le plus long à guérir »(9). Il ne faut pas hésiter à se donner du temps, ne pas se laisser séduire par le chant des sirènes, et redécouvrir finalement les saveurs de la séduction, de l’Amour durable et surtout partagé. L’écosystème fragile qu’est l’équilibre affectif d’un homme (comme celui d’une femme) réside sûrement dans ce discernement salvateur. Le virus « Torba » ne doit plus passer ! Que cela soit écrit et que cela soit appliqué !
© Jean Dorval, le 22 août 2009, pour LTC.
Notes et sources documentaires :
(1) Selon le site http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89conomie_de_la_Pologne
(2) D’après le site http://www.terra-economica.info/
(3) L'histoire : Début des années 80. Paul, publicitaire de son état, partage son appartement avec Maurice, son ami, fauché, débrouillard, un peu encombrant, trempant dans de nombreuses combines. Son ex-petite amie, Anne, lui parle de Zosia, (prononcez "Zochia"), qui vit en Pologne, militante de l'opposition, et qui désirerait fuir son pays afin d'échapper aux surveillances de la police politique. Un mariage blanc avec un français lui permettrait d'obtenir un visa de sortie et d'acquérir la nationalité française. Paul finit par accepter de jouer le jeu et se rend à l'est pour se marier avec la jeune fille. Mais, les sentiments ne se commandent pas et Paul tombe amoureux de la jeune femme… (vu sur le site : http://www.dvdcritiques.com/critiques/dvd_visu.aspx?dvd=358 )
(4) Source : http://www.aujourdhuilachine.com/actualites-chine-connexions-n--femmes-chinoises-6653.asp?1=1&IdBloc=Tout
(5) Diderot « Paradoxe sur le Comédien »
(6) Ninon de Lenclos
(7) Nietzsche « Œuvres posthumes » (trad. Henri Jean Rolle (Mercure de France))
(8) George Sand « Monsieur Sylvestre »
(9) Jean de la Bruyère « Les Caractères »
19:44 Publié dans LTC GRANDS REPORTAGES | Lien permanent | Tags : alerte au virus « torba » sur l’occident, grippe a-h1n1, la torba, période hormonale, torba, les filles de l'est, trouver un pigeon, les torbas, le fric sans amour, jean dorval pour ltc | Facebook |