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25/02/2009

A VOIR AU CINE : « AU DIABLE STALINE, VIVE LES MARIES ! »

 

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Le film « Au diable Staline, vive les mariés » a été réalisé par les Roumains Horatiu Malaele et Vlad Paunescu. Cette comédie dure 1h27. L’histoire est simple : en Roumanie de nos jours, une équipe de tournage spécialisée dans les reportages sur les phénomènes paranormaux arrive dans les ruines d’un étrange village… Et le vieil homme qui les a amené là raconte… Deux jeunes amants (les rôles principaux tenus par A. Potocean et M. Andrea Victor), en 1953, sont contraints de se marier, à cause de la pression qu’exercent sur eux leurs familles et les habitants de leur village. En clair, ils doivent régulariser leur « situation », et ce, pour leur plus grand bonheur, car ils s’aiment ! Mais voilà, le « Petit Père des Peuples », le criminel de guerre et contre l'Humanité, Staline (qui a plusieurs millions de morts sur la conscience), vient de mourir, et plusieurs jours de deuil national sont décrétés en ex-URSS et dans les pays satellites. En clair, leur mariage est interdit… Ils iront, cependant, contre ce diktat communiste et cela va tourner au cauchemar ! Le village sera rasé et les hommes déportés au goulag ne reviendront jamais. Ce sujet très brûlant, qui mériterait un Nuremberg du Communisme à lui tout seul, est traité, envers et contre tous, avec humour, avec un humour très Roumain à se bidonner (malgré les circonstances dramatiques). "La chute finale..." n’en est que plus dure pour les spectateurs ! Un film, au titre très évocateur, que je vous conseille de voir, ne serait-ce que pour réveiller en chacun de nous "le devoir de mémoire", tous "les devoirs de mémoires" bien sûr !

 

© Jean Dorval, pour LTC, le 25.02.09. 

METZ, UN RETOUR A LA FRANCE A VIVRE GRACE AU RL...

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20/02/2009

POUR OU CONTRE L'OUVERTURE DES MAGASINS LE DIMANCHE ? LISEZ CE LIVRE !

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19/02/2009

AUJOURD'HUI DIMANCHE, LE MENSUEL DE LA PRIERE QUOTIDIENNE

Comme vous le savez, chaque jour de la semaine est une préparation au Jour du Seigneur, point culminant de la semaine. Le mensuel Aujourd’hui Dimanche est un outil de référence au service de la prière quotidienne, personnelle ou communautaire, simple, accessible à tous, mais puisant ses textes dans la grande tradition spirituelle de l’Église : l’Écriture Sainte et les trésors de la liturgie, mais aussi chez les pères de l’Église, les grands auteurs spirituels ou les papes.

Chaque mois, à travers 300 pages au format poche (10.5 x 16), un saint ou un évènement ecclésial guide vos pas dans la prière. En plus des textes officiels de la messe, Aujourd’hui Dimanche propose un véritable chemin de prière. Dès maintenant, nous vous invitons à découvrir Aujourd’hui Dimanche. Vous recevrez alors tous les mois un guide spirituel précieux qui vous accompagnera chaque jour et deviendra vite le compagnon indispensable de votre vie de prière, de celle de votre famille et de votre communauté chrétienne.

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UN LIVRE, UNE SELECTION... PAR VINCENT

 

Editions Gunten

 

Un livre "référence"


"L'arbre dehors"

 



"L'arbre dehors" un roman pas comme les autres... 
les tisserands des lumieres

Jeanne, amenée par son fils Paul, arrive aux Espérels, centre de soins palliatifs. Mais elle n’est pas encore au bout du chemin ! Jeanne est vivante et le fait savoir : tour à tour caustique, sarcastique, tendre… et terriblement lucide. Riche de ce qu’elle porte en elle, elle apprend à mourir, jour après jour, comme auparavant elle avait appris à vivre.
Et autour d’elle, les autres apprennent à « être ».

Pas d’hommage, pas de compassion ; Patricia Gavoille laisse libre cours à ses personnages, fils, mari, soignants, qui n’en finissent pas de se rejoindre sur une route inconnue. Forts et faibles, tous avancent maladroits, presque méfiants comme des enfants le premier jour de l’école. Pas de bravoure non plus… encore que… Chacun d’entre eux appelle, réclame si fort qu’il apprivoise le sourire aux larmes, grâce au talent unique de leur auteur qui nous livre là un ouvrage d’une rare beauté. Un roman d’émotion d’une intensité rare…


« Ecrivain talentueux, Patricia nous a conquis depuis longtemps, mais elle fait partie de ceux qui cherchent à toujours faire mieux. » A.P.

 

Extrait 
On m’a amenée ici, dans cette chambre, en me disant que c’était la mienne avec un sourire à encolérer Dieu.
— Votre chambre, madame Jasca !
Alors, j’y suis allée de mon couplet, à l’aune de leur amabilité si bien jouée :
— Mais ce n’est pas ma chambre ça, ce n’est pas à moi. Et puis ce lit, il est trop étroit, vous ne pensez tout de même pas que je vais dormir là-dedans ? Si ? Eh bien, c’est ce qu’on va voir !
— Maman, regarde, a dit Paul sans trop me regarder, il est parfait ce lit !
Avec une télécommande, il a relevé le matelas en position assise, et les ambulanciers m’y ont déposée, paquet fragile. Puis il a rangé mes affaires grosso modo en disant :
— Là, tu vois, tu as une belle armoire !
Il m’a semblé qu’on dit le même genre de sottise aux petits enfants qu’on amène pour la première fois à l’école maternelle, leur paire de chaussons sous le bras ; la maîtresse se colle un sourire en travers de la figure et dit :
— Tu peux les poser là, en dessous de ton portemanteau. Et le petit, le cœur étreint, hésite à se défaire de ses précieux chaussons, pour les poser « là ». Parce que là ce n’est pas un lieu, c’est nulle part. Nulle part !
— Eh bien, dit Paul, avec ton lit électrique et tes affaires dans l’armoire, te voilà installée, n’est-ce pas ?
Comment dit-il ? Installée ? Installée ?
Je regarde ailleurs, ostensiblement le mur d’en face.
— Ce n’est pas ma chambre, pas mon lit, pas mon armoire ! Ce n’est pas ça que je veux, pas ça !
Puis, je me tais. Ma voix se mouille. Dans un sursaut de colère et de chagrin mêlés, je murmure avec un trémolo :
— Pas ça !
Je vois mon Paul qui perd contenance. Il se garde bien de me demander ce que je voudrais d’autre. Comme quand il était petit, il danse d’un pied sur l’autre, pour un peu il m’avouerait tout de go une mauvaise note ou un bête chapardage de pommes. Moi pour la forme, je gronderais de cette voix sévère que je prenais alors, une gronderie si chargée d’amour qu’elle n’a jamais fait mal : je veux croire qu’elle a construit l’homme.
Mais c’est pourtant cet homme-là aujourd’hui qui m’amène au mouroir. Sur ordre de son père, mon vieux mari. Il est tout embarrassé, l’homme, mais il obéit.
— Pas ça !
Il marmonne :
— Je t’en prie maman ! S’il te plaît ! On en a déjà parlé, non ?

 

A visiter...

 

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Distribution :
MLFC 25, Chemin des Planches BP 58865
25005 BESANCON Cedex 4
tél : 03.81.88.14.54 - fax : 03.81.53.74.95 maisondulivredefranchecomte@wanadoo.fr


Editions GUNTEN, 10 place BOYVIN BP 332, 39100 Dole

 

21/11/2008

A VOIR LE DERNIER FILM DE CLINT EASTWOOD : « L’ECHANGE »

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L'affiche du film...

 

Avez-vous déjà imaginé, une seule fois, le matin en partant au travail, que vous ne reverrez plus, définitivement, votre ou vos enfant(s), à votre retour le soir à la maison ? Certainement pas ! Comment réagiriez-vous, alors, si un tel scenario catastrophe devait se produire dans votre vie ? Vous seriez probablement effondrés, en état de souffrance extrême, à cause de la disparition brutale de la chair de votre chair, et ce, comme les nombreux parents à qui cela est déjà arrivé. Que cela fasse suite à une séparation douloureuse, due à un divorce qui se passe mal ; à un décès pour cause de maladie grave, d’accident domestique quelconque, voire d’un meurtre ; ou après un enlèvement qui vous coupe définitivement de votre progéniture... le vide affectif ainsi créé ne pourra jamais être comblé. Alors, le sentiment d’impuissance, d’injustice, mêlé à la douleur, l’angoisse et l’incompréhension, vous poursuivra toute votre existence… L’implacable dureté de la vie se paye souvent au prix fort ! Et justement, à ce propos, « L’Echange » (titre original : « The Changeling », distributeur : Universal Pictures International, film américain, drame, en compétition au Festival de Cannes 2008, sortie nationale le 12 Novembre 2008, durée 2h21), le dernier long métrage réalisé par Clint Eastwood, produit par Ron Howard, Brian Grazer et Clint Eastwood, et dont le scénario a été écrit par Joseph Michael Straczynski, parle de la disparition d’un enfant… Dans les rôles principaux, on y trouve Angelina Jolie campant avec brio Christine Collins, standardiste superviseur à la « Pacific Telephone and Telegraph » ; John Malkovich interprétant le Révérend Gustav Briegleb, évangéliste radio presbytérien ; Jason Butler Harner jouant Gordon Northcott, le serial killer ; Jeffrey Donovan incarnant le capitaine J.J. Jones ; et Michael Kelly se mettant dans la peau du détective Lester Ybarra.

 

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Christine appelle la police, suite à la disparition de son fils.

« L’ECHANGE » DEVIENT, A N’EN PAS DOUTER, LE MEILLEUR FILM D’EASTWOOD !

En voyant « L’Echange », on se rend compte, de suite, que « Million Dollar Baby » n’est plus le meilleur film de Clint Eastwood. En effet, cette histoire invraisemblable est un bouleversant plaidoyer, pour toutes les mamans qui perdent leur enfant. Il s’agit d’un pur moment d’émotion. La réalisation est d’ailleurs brute de pomme... Cette toile relate un fait divers, ayant eu lieu à Los Angeles, en 1928… Un samedi matin, dans une banlieue ouvrière, une jeune femme, célibataire, Christine Collins, après avoir dit au revoir à son fils Walter, quitte ce dernier pour aller travailler. Le soir, quand elle rentre chez elle, elle retrouve la maison vide… Elle s'engage, alors, dans une longue recherche effrénée. Après cinq mois d’enquête, la police lui ramène un garçon de 9 ans, qu'on lui dit être Walter. Désorientée par l’empressement, tant des policiers que des reporters, à donner une fin heureuse et rapide à cette tragédie, et par ses propres émotions, Christine ramène le garçon chez elle. Mais, elle sait, au plus profond de son être, qu'il n'est pas son fils... Aussitôt, elle commence, avec un courage et une force exemplaire, une lutte désespérée pour retrouver ce dernier, avec l'aide du très engagé Pasteur Briegleb.

 

 

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Christine se rend compte que la police de Los Angeles n'a pas retrouvé le bon enfant...

 

Mais, en essayant de convaincre les Autorités de continuer à mener l’enquête, elle réalise vite que dans le contexte d’un Los Angeles en pleine Prohibition, il n’est pas pensable qu’une femme remette en cause le Système et se fasse entendre. D’ailleurs, la police locale, qui agit comme « une véritable mafia » (qui a le droit de vie et de mort sur les citoyens…), fera tout pour faire taire cette « rebelle », et l’obliger à admettre que le petit garçon retrouvé est bien le sien ; quitte à l’enfermer dans un asile psychiatrique... en l’accusant d'être « délirante », « irresponsable », et « dangereuse pour sa vie et pour celle des autres ». Ces différentes atteintes à ses droits fondamentaux d’Etre Humain vont pousser Christine à s’attaquer aux Autorités de la Ville et à la corruption gangrénant les services de police. Cela entraînera, même, au final, la non-réélection du Maire et le renvoi des principaux responsables des « forces de l’ordre ».

UNE AFFAIRE QUI A FAIT PLIER LE SYSTEME !

Christine continuera en vain à rechercher son fils, tout au long de sa vie. Elle ne retrouvera, donc, jamais la paix intérieure. « L'Echange » est une œuvre magistrale qui révolte les bonnes consciences, un combat militant pour la liberté de retrouver ceux qu’on aime, sans être pour autant être enfermé contre son gré ! L’Etat Californien et la Ville de Los Angeles contraints par le système judiciaire sont sortis ébranlés de cette histoire sordide, en devant respectivement faire abroger des lois liberticides et en remettant en cause la toute puissance de la police locale. Exemple à suivre… dans de nombreux pays à mon avis !

 

© Jean Dorval, le 21 novembre 2008, pour LTC.

 

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INFOS PLUS : http://www.universalpictures-film.fr/lechange.html

18/11/2008

VENEZ CHINER, POUR TROUVER UN BON LIVRE D’OCCAZ, « AU SEUIL DU JARDIN » A METZ !

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Moi, qui suis toujours à la recherche de la perle rare, du livre d’occaz en bon état, du vieil ouvrage de collection sentant bon le vieux papier, etc. je suis tombé amoureux d’une boutique spécialisée dans l’achat et la vente de livres anciens et modernes, pas comme les autres. Le nom de ce bouquiniste ? « Le Seuil Du Jardin » ! Ici, Michel Kessler (une personne très accueillante) dégote toujours, à des prix très abordables, le bouquin, la revue, etc. faisant craquer l’amateur ! Parfois, l’ouverture de la boutique est assurée par le papa de Michel. Comme quoi, souvent, la compétence est une affaire de famille ! Et originalité supplémentaire, les rayonnages de ce professionnel du livre s’étirent dans deux boutiques contiguës… Mais, là, il faut que je vous laisse, car je vais feuilleter ma dernière acquisition…

JD, pour LTC.

INFOS PLUS :

Une adresse postale : « Le Seuil Du Jardin » 1 en Jurue 57000 METZ

Un numéro de téléphone : 03.87.36.88.89

Une adresse courriels : michel.kessler@aliceadsl.fr

14/11/2008

A CONNAITRE « LE CARREAU » A FORBACH…

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© Photo ci-dessus :

http://www.evene.fr/culture/lieux/le-carreau-scene-nation...

Connaissez-vous « LE CARREAU » à Forbach (57) ? Si ce n’est pas le cas, sachez qu’il s’agit d’une scène nationale et de l’est mosellan…

Une néo d’Anna des Naudin, pour LTC.

Pour en savoir plus, allez sur : http://www.carreau-forbach.com

"CINESAINTA" A SAINT-AVOLD DU 20 AU 23 NOVEMBRE 2008 !

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 © Photo ci-dessus :

http://www.anost-cinema.fr/historique.php

Du 20 au 23 novembre prochains, au Centre Culturel de SAINTA, l'association Vymmédia et la commune de Saint-Avold (57) organisent "CINESAINTA", le festival de courts et de longs métrages. Tarif unique par séance : 3€. Ticket Pass' : 9€ (pour l'ensemble des séances).

Une néo de Vincent Maniglia, pour LTC.

12/11/2008

SORTIE NATIONALE DU FILM « LA BANDE A BAADER »

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C’est parti ! Le film « La bande à Baader » est sorti en France ce 12 novembre 2008, dans toutes les bonnes salles de kinéma. Alors, prêts à revivre la lutte armée contre le capitalisme… sur la toile, bien sûr ! (Humour, je précise... pour les RG).

 

Anna des Naudin, pour LTC.

INFOS PLUS : http://www.labandeabaader.fr/

02/11/2008

MESRINE : ROBIN DES BOIS MODERNE OU ENNEMI PUBLIC N° 1 ?

 

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Vincent Cassel, dans le rôle de Mesrine...

 

Actuellement, on trouve dans les salles obscures, le film « Mesrine : L’instinct de mort », Partie Une. Le deuxième volet de cette biographie, « Mesrine : L’ennemi public n° 1 », sortira le 19 novembre prochain… Produit par le jeune Thomas Langmann et réalisé par Jean-François Richet, sur un scénario d'Abdel Raouf Dafri, ce dyptique a été doté d'un budget de 45 millions d'euros. Cette toile, c’est du talent à l’état brut ! Du réalisme dans le cynique et de la soudaineté dans la violence ! Cette pellicule consacrée au célèbre gangster, nommé Mesrine, c’est de la dynamite ! Le fameux bandit y est interprété, par l’excellent Vincent Cassel, qui est aux côtés d’acteurs qui n’en sont pas à « leurs premières armes », comme Gérard Depardieu, Gilles Lellouche, Gérard Lanvin, Michel Duchaussoy, Samuel Le Bihan et Mathieu Almaric. Ludivine Saigner, Cécile de France et Florence Thomassin apportent, quant à elles, leur touche très féminine dans un monde de « Couillus ».

wallpaper a_10168_affiche_52_9 de Mesrine : L 

 

Quand on parle de Jacques Mesrine, on se rappelle du braqueur de banques, du kidnappeur et du roi de l'évasion. Il s’est notamment échappé des quartiers de haute sécurité nord-américains, et d'une cour de justice en France en prenant en otage le juge. « L'homme aux mille visages » était aussi un séducteur de jolies femmes, un amateur de très belles prostitués, un très bon papa (de trois enfants...), un joueur de poker invétéré, un grand buveur, un ami fidèle, un anarchiste au grand cœur, un Anti-Système, un provocateur, une personne incontrôlable, un revendicatif anti-QHS (car ils « brisent les hommes… »), un héros pour certains, un bandit international très recherché, mais aussi un homme violent avec sa première épouse, un ancien membre de l’OAS, qui a pratiqué la torture en Algérie, en tant que militaire, contre les terroristes du FLN… Il sema la terreur sur le territoire français vingt ans durant. Il a été abattu, le 02 novembre 1979, par la Brigade de Recherche et d'Intervention, des Commissaires Robert Broussard et Lucien Aimé-Blanc - soit le fameux « Anti-Gang » - à Paris, Porte de Clignancourt. Alors, Mesrine, ange ou démon ? A vous de vous faire votre propre jugement, en allant voir les deux opus dédiés à ce voleur/tueur décidément pas comme les autres…

 

© Jean dorval, le 02 novembre 2008, pour LTC.

INFOS PLUS : http://www.mesrine-lefilm.com/

 

A écouter, le groupe Trust avec « Mesrine » sur YouTube :

http://fr.youtube.com/watch?v=5ok4cA4eRu8

01/11/2008

A VOIR « QUANTUM OF SOLACE », LE DERNIER BOND !

 

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Aujourd’hui, je suis allé voir pour vous le dernier Bond, « Quatum of Solace », qui finalement sortait le 31 octobre… (2008, bien sûr !). Et pour ne rien vous cacher, j’ai apprécié ce nouvel opus de la célèbre série. Tout d’abord, car je suis un fou furieux de ce vieux Bond, mais en plus, il le vaut bien ! En effet, il y a de quoi rêver pour le petit bobo matérialiste ordinaire que je suis : des jolies femmes, de belles bagnoles, de l’action, des effets spéciaux, des gadgets à couper le souffle, des paysages magnifiques, une musique à fond dans le rythme, du suspens, etc. Et si je suis loin de ressembler totalement à mon héros, il y a cependant toujours un peu de « Boris 000 » en moi, un côté citadin-rebelle qui rêve d’aventure pour tenter de s'évader de son univers aseptisé ; ce qui me donne l’impression, comme de nombreuses personnes, d’être proche de ce personnage mythique, tout en étant très éloigné… Le film commence par une vue plongeante, à toute vitesse, sur la mer ; puis dans la foulée on tombe, nez à nez, avec une course poursuite, dans laquelle s’enchaîne les cascades délirantes, et où Bond nous donne une sublime leçon de conduite en situation très périlleuse. Dommage que d’aussi belles voitures soient abîmées pour la bonne cause cinématographique… L’histoire de ce dernier « 007 » (à ne pas confondre, donc, comme déjà précisé, avec « Boris 000 »…) relate la vengeance de Bond, qui est prêt à tout pour démasquer ceux qui ont forcé son ex-compagne décédée, Vesper Lynd (une délicieuse brunette), à le trahir… James qui ne rechigne pas sur les heures sups (et qui grâce à cela augmente continuellement son pouvoir d’achat… euh pardon, de séduction !) va croiser sur son chemin deux autres charmantes petites brunes, dont exprès, je ne vous donne ni les noms, ni les mensurations, afin d’éviter les querelles dans les couples… Sachez enfin, que le scénario tourne autour des magouilles d’une organisation secrète qui semble contrôler tous les rouages du Pouvoir dans le monde et notamment en Amérique du Sud ; au point de faire chuter à sa guise les gouvernements et de profiter abusivement des ressources des pays concernés. Il paraît, même, que le prix de l’eau risque de fortement augmenter en Bolivie… De la fiction à la réalité, il y a quelques fois qu’un pas… Ce Bond là, comme toutes les autres, est du pur concentré d’action. Mais, je vous quitte car, là, je dois sauter en parachute sur La Paz, pour une mission avec James… « My name is Jean, Jean Dorval ! »

© Jean Dorval, le 31 octobre 2008, pour LTC.

 

INFOS PLUS : http://www.quantumofsolace-lefilm.fr/