08/11/2013
LES "BEST OF" JD : "ET AU MILIEU DE LA VALLéE S'éTEND LE CALICE NOURRICIER DES DEUX SOURCES..."
"Voici un texte de JD, sur la Lorraine, paru en 2004, dans la Revue Lorraine Populaire, de Jean-Marie Cuny... Souvenirs, souvenirs... N'oubliez pas les 08, 09 et 10 novembre 2013, la pêche annuelle traditionnelle en étang de Aube vous accueille... Allez-y de la part de votre site préféré." Vincent Maniglia pour LTC.
Photo ci-dessus : © Jean Dorval 2004 (L'étang des Deux Sources à sec...)
En ce jour de commémoration de l'armistice de la première Grande Guerre mondiale, où la Lorraine honore la mémoire des morts, et Dieu sait combien cette région a été touchée par cette terrible catastrophe, on se remémore "Eve", la dernière "tapisserie poétique", écrite en 1913, par Charles Péguy. Cette poésie, tant invocatoire qu'épique, vaste symphonie de quelque 3000 quatrains, célèbre les sacrifiés "pour la terre charnelle". Ce texte majeur devait préfigurer le destin tragique du poète qui tomba à Villeroy, le 05 septembre 1914 à la veille de la célèbre contre-offensive française : "la Bataille de la Marne". A l'évocation de ce retour à la terre, il était quasiment impossible d'éviter de parler de nos racines et de ne pas évoquer une des traditions lorraines. Aussi, au petit matin, direction la pêche annuelle de « l'étang des deux sources »(1) à Aube en Moselle !
Photo ci-dessus : © Jean Dorval 2004 (Idem...)
Cette année, exceptionnellement, l'événement a eu lieu sur quatre jours au lieu de trois. La vente du poisson se déroule depuis 1977, et comme d'habitude la bonne humeur et la convivialité sont au rendez-vous ! Près de 400 personnes pérégrinent pour assister à cette vente au détail, où cinq vendeurs munis de seaux et d'épuisettes se tiennent à disposition du client afin de l'aider dans son choix, autour d'une vingtaine de bassins répertoriés par variété ou taille de poisson. La famille René Marx-Roussy joue la carte de l'authenticité grâce à l'élevage en milieu naturel. Deux sources au débit important alimentent en continu, en eau de qualité, ce vivier unique en son genre au creux d'une vallée. Aucune nourriture, autre que celle offerte par mère nature, n'est donnée aux poissons. La pisciculture et la nature restent pour les Marx-Roussy une véritable passion familiale. Ils pratiquent encore ce métier, à l'ancienne, sur digue (ce que plus personne de nos jours ne veut faire). En effet, les conditions de travail laborieuses nécessitent une présence permanente sur le terrain. « Il ne faut pas avoir peur de se salir les mains » précise René Marx-Roussy, président régional du Syndicat des propriétaires et exploitants d'étangs de l'Est ; et au niveau national de l'Union nationale des syndicats et associations en étangs et bassins.
Photo ci-dessus : © Jean Dorval 2004 (Les bassins de stockage du poisson pour la vente)
C'est sur six hectares et demi, que s'étendent les trois bassins, numérotés de A1 à A3, et cinq étangs servant à l'élevage du poisson. Le mois de novembre est une excellente période pour la pêche car les premiers froids arrivant le poisson se manipule mieux. On vide chaque année trois des étangs à fond ce qui permet d'avoir une maîtrise totale de la production. Ici, on ne recherche pas la productivité à outrance, mais uniquement la qualité. Aussi, il est vendu en moyenne seulement l'équivalent d'une tonne de poisson. Cette activité repose sur l'alevinage à partir de vésicules résorbées, réservées à la vente aux sociétés de pêche et aux autres étangs de la région, et sur l'élevage du poisson pour la consommation courante. Les œufs de poisson, d'origine lorraine, sont éclos, donnent des larves de poisson ou alevins. Ils sont ensuite répartis en fonction de leur stade de maturité dans différents étangs, respectivement de la première à la troisième année. Dans ces eaux, on trouve tanche, carpe, perche, sandre, brochet, « petit blanc » (gardon ou retonde), vif (pour la pêche) et friture. Les brochets pèsent généralement entre 1,5 et 3 kg, les carpes de 1 à 2,5 kg. A noter, le jour de la vente la présence d'une carpe estimée à près de 10 kg !
Photo ci-dessus : © Jean Dorval 2004 (Un des bassins d'élevage en activité)
La récupération du poisson se fait à l'ancienne dans un collecteur ou pêcherie automatique répartissant avec amour les poissons par taille selon un système ingénieux de grilles, allant des plus gros poissons au plus petits. Cela évite le stockage de vase au niveau des ouies et fait gagner en goût pour les amateurs de bonne chair. Après, les ouvriers de la pêcherie refont un tri manuel sur table et mettent en bassins les poissons à vendre. Ces précieux réceptacles sont constitués d'un trou dans la terre argileuse recouvert d'un filet ou pantène.
Photo ci-dessus : © Jean Dorval 2004
(La boutique où l'on vend le poisson
et où sont mises à disposition de nombreuses et succulentes recettes...)
Le brochet porte le nom scientifique d'Esox Lucius. Poisson mince et long, dont la couleur de la robe varie de brun doré à noir en fonction de la profondeur des lacs dans lesquels il vit. Le brochet préfère les eaux claires à fond graveleux et aux berges riches en végétation. Ce poisson d'eau douce particulièrement vorace, carnivore voire cannibale (ses mâchoires sont garnies de dents très nombreuses, 700 environs... ), peut peser jusque 30 kg et dépasser un mètre de long. Sa chair blanche est délicate, maigre, ferme et feuilletée, surtout lorsqu'on le pêche en eaux courantes au filet dans les lacs. En outre, on le préférera jeune, les vieux spécimens présentant l'inconvénient de nombreuses arêtes. Au vidage, il convient de jeter les œufs et les laitances. Leur toxicité occasionne des vomissements et de violentes purges. La reproduction se déroule de février à mai, les ovules (30000 à 60000 par femelle) sont pondus en eau peu profonde parmi la végétation ou dans l'herbe des prairies inondées. L'incubation dure de 2 à 4 semaines. Les alevins possèdent, pendant 2 à 3 semaines, un organe adhésif sur la tête qui leurs permet de se fixer à la végétation. La maturité est atteinte généralement à l'âge de 3 à 4 ans. On prépare le brochet de plusieurs manières « au beurre blanc », « aux petits oignons confits », « rôti au vin blanc », « à la champenoise », « à la crème », « au bleu », « meunière » ou « en darnes aux champignons ».
Photo ci-dessus : © Jean Dorval 2004 (La Carpe avant de passer en cuisine...)
La carpe(2) ou cyprinus carpio (carpe royale, carpeau - feuille, amande, panot... selon l'âge), quant à elle, « serait originaire d'Asie Mineure d'où elle aurait été ramenée par les anciens grecs puis par les romains ». Ce poisson « aujourd'hui très répandu, à la fois dans les rivières, les étangs et les lacs » d'Europe et d'Asie « affectionne les eaux calmes et chaudes, à végétation abondante. » Sa croissance est optimale dans des valeurs comprises entre 20 à 25° C. Elle peut mesurer au maximum 80 cm. « La durée de vie est de l'ordre de 40 à 50 ans pour les souches sauvages, de 12 à 15 ans pour les souches sélectionnées pour l'élevage. La maturité sexuelle est atteinte vers 2 à 3 ans. La reproduction a lieu en mai et juillet selon la température. Les œufs sont déposés sur la végétation. Les alevins apparaissent au bout de quelques jours. La carpe est un poisson omnivore, faisant une grosse consommation de zooplancton, d'invertébrés aquatiques et de végétaux. C'est un poisson de pêche sportive très apprécié car la carpe est méfiante, très résistante et sa capture difficile ». Un véritable challenge ! « Ce sont les moines qui, les premiers en France, « cultivèrent » la carpe de façon « raisonnée ». A partir de la carpe commune sauvage au corps long et recouvert d'écailles, on a abouti à la création d'un certain nombre de variétés au corps plus ou moins trapu et avec peu ou pas d'écailles. » On trouve la carpe miroir, la carpe cuir, la carpe koi ou chinoise. « La carpe miroir est la plus utilisée en pisciculture. Son élevage, appelé aussi carpiculture, est pratiqué en plans d'eau (bassins, étangs... ) où les conditions de production sont soigneusement contrôlées. Depuis l'alevin, le plus souvent issu d'une production maîtrisée par des éleveurs spécialisés, 2 à 3 années sont nécessaires pour que la carpe atteigne 1,5 kg, taille à laquelle ses qualités de chair sont alors des plus parfaites. » On peut cuisiner la carpe « farcie », « au four », « en matelote marinière », « en matelote brûlée », « au safran en gelée », « à la juive », « en matelote blanche », « en filet au sabayon de raifort », « en tartare au saumon mariné », « en sauce de soja », « en matelote brune », « au raifort » ou « au vin rouge d'Arbois ».
Photo ci-dessus : © Jean Dorval 2004
(Très loin de la malbouffe...
La même carpe cuite au court-bouillon, un vrai délice bien de chez nous !)
La Lorraine est la troisième région piscicole de France après la Brenne (Berry) et la Dombes (dans l'Ain). Ses étangs du Saulnois et du Pays de Sarrebourg ont grandement contribué à sa renommée touristique. Selon le guide « Moselle (Metz et le Pays Messin, Pays de Bitche, Nied, Sarrebourg, Saulnois, Trois Frontières et Bassin Houiller » (publié chez Casterman/Serpenoise) : « D'origine artificielle, ils (les étangs) furent mis en eau grâce aux communautés religieuses du Moyen Age, qui profitèrent des sols imperméables (argiles et marnes du Keuper) et construisirent des digues de retenue des eaux courantes. Aux XVIIe et XVIIIesiècles, ils appartenaient soit aux communautés villageoises, soit à des abbayes (bénédictines de Vergaville, prémontrés de Salival). La coutume voulait qu'ils soient régulièrement vidés de leurs eaux et que leur fond soit mis en culture pendant un an. Ces étangs fournissaient la région en poissons, notamment en carpes et en brochets, espèces les plus fréquemment élevées. La consommation de poisson connaissait une forte augmentation en période de Carême. Ils permettaient également de faire tourner des moulins et flotter du bois, destiné en particulier à l'alimentation des salines proches. A la Révolution, les paysans réclamèrent leur assèchement définitif et aujourd'hui ne subsistent que les 4/5e des étangs. L'alternance mise en eau-culture fut abandonnée au XXe siècle. » Actuellement, on trouve principalement de grands ensembles comme les étangs du Stock (750 ha), de Gondrexange (660 ha), de Mittersheim (250 ha) et de Lindre (620 ha).
Photo ci-dessus : © Jean Dorval 2004 (L'Adieu au Calice Nourricier...)
A « l'étang des deux sources » si l'on ne trouve pas de prédateurs naturels carnassiers, tels la brème, le poisson chat ou le silure ; cependant un phénomène nouveau touche de plein fouet l'exploitation, et ce, au grand dam de René Marx-Roussy. Un invité surprise - le cormoran -s'est installé en Lorraine. Répandu normalement sur les côtes, ce très grand consommateur de poisson pénètre, depuis peu, profondément les terres continentales, suite aux changements climatiques (vent du Nord et températures plus froides), à la recherche de nourriture causant une véritable catastrophe économique chez les pisciculteurs. A Aube, à titre d'exemple, une soixantaine de spécimens, boulottant individuellement près de 500 g de poisson par jour, a ainsi dégusté à bon compte, l'an passé, près de 85% de la population d'un des étangs de stockage !
Suite aux problèmes alimentaires que la France a rencontré récemment (vache folle, épandage des boues agricoles... ), les français ont changé leur regard sur ce qu'ils mangent. Plus interrogatifs, parfois même suspicieux, en tout cas beaucoup plus avertis, à la recherche de signes objectifs, voire « ostensibles » de qualité, nos compatriotes ont appris le « bien nourrir ». Ils exigent des producteurs une qualité de vie, à vivre au jour le jour sans restriction de durée de bail, un projet permettant rapidement l'obtention de bienfaits et de bien-être. Ce « développement durable », jusque dans l'assiette, implique des retombées favorables à la dimension d'une vie humaine et pour nos descendants. Alors, le « bien produire », une responsabilité incombant aux producteurs de produits frais ? Oui, à n'en pas douter ! De ce fait, il faut encourager les artistes du terroir, comme René Marx-Roussy, dans leur démarche séculaire salvatrice.
© Jean Dorval, le 28/11/04, pour LTC Grands Reportages.
(1) Pisciculture Marx-Roussy - Etang des deux sources - 57580 - AUBE - Tél : 03.87.64.52.62 - Fax : 03.87.64.55.52 - Portable : 06.74.63.58.03
(2) Selon les fiches descriptives du Ministère de l'Agriculture et de la Pêche, ADAPRA, ITAVI
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19/02/2009
UN LIVRE, UNE SELECTION... PAR VINCENT
Un livre "référence"
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Extrait |
On m’a amenée ici, dans cette chambre, en me disant que c’était la mienne avec un sourire à encolérer Dieu. — Votre chambre, madame Jasca ! Alors, j’y suis allée de mon couplet, à l’aune de leur amabilité si bien jouée : — Mais ce n’est pas ma chambre ça, ce n’est pas à moi. Et puis ce lit, il est trop étroit, vous ne pensez tout de même pas que je vais dormir là-dedans ? Si ? Eh bien, c’est ce qu’on va voir ! — Maman, regarde, a dit Paul sans trop me regarder, il est parfait ce lit ! Avec une télécommande, il a relevé le matelas en position assise, et les ambulanciers m’y ont déposée, paquet fragile. Puis il a rangé mes affaires grosso modo en disant : — Là, tu vois, tu as une belle armoire ! Il m’a semblé qu’on dit le même genre de sottise aux petits enfants qu’on amène pour la première fois à l’école maternelle, leur paire de chaussons sous le bras ; la maîtresse se colle un sourire en travers de la figure et dit : — Tu peux les poser là, en dessous de ton portemanteau. Et le petit, le cœur étreint, hésite à se défaire de ses précieux chaussons, pour les poser « là ». Parce que là ce n’est pas un lieu, c’est nulle part. Nulle part ! — Eh bien, dit Paul, avec ton lit électrique et tes affaires dans l’armoire, te voilà installée, n’est-ce pas ? Comment dit-il ? Installée ? Installée ? Je regarde ailleurs, ostensiblement le mur d’en face. — Ce n’est pas ma chambre, pas mon lit, pas mon armoire ! Ce n’est pas ça que je veux, pas ça ! Puis, je me tais. Ma voix se mouille. Dans un sursaut de colère et de chagrin mêlés, je murmure avec un trémolo : — Pas ça ! Je vois mon Paul qui perd contenance. Il se garde bien de me demander ce que je voudrais d’autre. Comme quand il était petit, il danse d’un pied sur l’autre, pour un peu il m’avouerait tout de go une mauvaise note ou un bête chapardage de pommes. Moi pour la forme, je gronderais de cette voix sévère que je prenais alors, une gronderie si chargée d’amour qu’elle n’a jamais fait mal : je veux croire qu’elle a construit l’homme. Mais c’est pourtant cet homme-là aujourd’hui qui m’amène au mouroir. Sur ordre de son père, mon vieux mari. Il est tout embarrassé, l’homme, mais il obéit. — Pas ça ! Il marmonne : — Je t’en prie maman ! S’il te plaît ! On en a déjà parlé, non ? |
A visiter... |
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Distribution : MLFC 25, Chemin des Planches BP 58865 25005 BESANCON Cedex 4 tél : 03.81.88.14.54 - fax : 03.81.53.74.95 maisondulivredefranchecomte@wanadoo.fr | ||
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14/11/2008
"CINESAINTA" A SAINT-AVOLD DU 20 AU 23 NOVEMBRE 2008 !
© Photo ci-dessus :
http://www.anost-cinema.fr/historique.php
Du 20 au 23 novembre prochains, au Centre Culturel de SAINTA, l'association Vymmédia et la commune de Saint-Avold (57) organisent "CINESAINTA", le festival de courts et de longs métrages. Tarif unique par séance : 3€. Ticket Pass' : 9€ (pour l'ensemble des séances).
Une néo de Vincent Maniglia, pour LTC.
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12/05/2008
LA LORRAINE FETE LE RETOUR D’INDY !
Nous sommes à quelques jours de la sortie nationale du quatrième et malheureusement dernier volet des aventures du plus célèbre archéologue du monde, Indiana Jones, et je vous l’avoue, je suis impatient comme un ado d’aller au cinéma voir ce que nous a réservé ce bon vieux Steven Spielberg ! Quand je repense au nombre incalculable de fois où j’ai visionné la trilogie des films consacrée à mon héros préféré, et aux innombrables heures passées avec lui à résoudre des énigmes de jeux devant mon PC, je ne peux m’empêcher de croire que mon attitude frise la passion pour ce héros pas comme les autres ! Après, nous avoir enthousiasmé dans « Les aventuriers de l’Arche perdue » (1981), « Le temple maudit » (1984) ou « La dernière croisade » (1989), Indiana Jones tiendra-t-il sa promesse de nous surprendre encore en 2008 ? Personnellement, j’ai confiance en lui ! J’en veux pour preuve que Spielberg n’a laissé le soin à personne d’autre, que lui même, de boucler la série. A mes yeux cette pointure cinématographique est un gage de succès populaire, mais surtout de qualité et d’évasion ! Dans ce prochain opus, « Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal », Harrison Ford voit évoluer à ses côtés Karen Allen dans le rôle de Marion Ravenwood, son amour de jeunesse. Mais, notre globe-trotter affronte surtout l'armée soviétique qui convoite, elle aussi, les mystérieux crânes de cristal. Indy tout au long de sa nouvelle course-poursuite est accompagné par un jeune casse-cou, qui pourrait bien être son fils, l’acteur Shia Labeouf. Enfin, il devra se mesurer au redoutable agent russe Spalko, interprété par Cate Blanchett. John Hurt, Ray Winstone et Jim Broadbent sont assurément de la partie ! Et pour la première fois dans l'histoire de la saga, le Mal est incarné par un visage féminin… Comme quoi l’égalité des sexes n’améliore par toujours les relations hommes/femmes (humour, je précise !). Cela nous promet en tout cas une compétition du tonnerre de feu. Je ne vous en dis pas plus, car pour vivre de nouvelles tribulations indianesques… achetez déjà vos billets pour le 21 mai !
Vincent Maniglia, pour La Tour Camoufle
Pour aller sur le site officiel du film, un seul lien !
http://www.indianajones.com/site/index.html
01:38 Publié dans LTC KINEMA | Lien permanent | Tags : indiane jones et le royaume du crâne de cristal, indiana jones, vincent maniglia, cinéma, film, lorraine, steven spielberg | Facebook |