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23/03/2009

LES SORTIES A VENIR EN CDS…

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Les Depeche Mode sortent leur prochain album le 06 avril 2009, et les Simple Minds prévoient un Single, et un Maxi, un Titre, pour très prochainement…

Alors, il faut guetter impatiemment ces nouveaux CDs dans tous les bacs de France et de Navarre !

Jean DORVAL pour LTC LIveles sorties à venir en cds,simple minds,depeche mode,jean dorval,jd,ltc,la tour camoufle,sorti musicale

 

INFOS+ :

http://www.depechemode.com/

http://www.simpleminds.com/

10/03/2009

DE DEPECHE MODE EN PASSANT PAR LES SIMPLE MINDS, LA LORRAINE RECOIT LA FINE FLEUR DE LA NEW-WAVE EN 2009 !

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© Photo ci-dessus : simplemindsfans.com

 

DE DEPECHE MODE (...). - Depuis leur conférence de presse du 9 mars dernier, on sait que le 360° Tour Dates des U2 (en l’honneur de la sortie de leur nouvel album No Line On The Horizon) ne passera pas par la Lorraine. On peut le regretter, car comme d'hab, seules les grandes villes françaises profiteront de ces Pointures MuZiKAles (Paris, Stade de France le 11 juillet 2009, et Nice, Parc Charles EHRMANN le 15 juillet 2009). Par contre, on sait déjà que le succulent groupe DEPECHE MODE sera en Lotharingie, au Zénith de Nancy (54), le 26 juin prochain.

 

(...) A SIMPLE MINDS. - Une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule, le RL du 06 mars 2009 annonce que le 07 juillet 2009, les SIMPLE MINDS, alors en pleine tournée européenne, en l’honneur de leurs 30 ans, viendront jouer au 112 de Terville (57) ; entre leurs grands concerts d’Edinbourg, de Munich et de Berlin, et quelques festivals d’été où ils seront présents. C’est incroyable, mais la billetterie est déjà ouverte pour seulement… 800 tickets à 40€ dans un premier temps ! Il est déjà prévu 300 places supplémentaires ! Jim KERR et son Band Ecossais vont littéralement allumer le feu au plancher, en entamant pour le plus grand plaisir de leurs fans des succès, tels Alive And Kicking, Love Song, New Gold Dream, etc. Cette année, l’été en Lorraine sera vraiment très SHOW ! D’autant que Terville est la seule date française annoncée par les SIMPLE MINDS. Gilles KAUFFMANN, directeur de la salle Rock, le 5 mars, en annonçant cette nouvelle à la presse avait la voix tremblante d'émotion. Il a cependant lancé sans complexe SA Bombe-Musicale médiatique ! On se rappelle qu’il avait déjà fait fort en recevant des Géants comme Joe JACKSON, Willy DEVILLE, THE STRANGLERS et BERTIGNAC. Les SIMPLE en version (Breakfast…) Club 112, c’est très rare ! Alors, que tous les fans se tiennent prêts pour assister à cette grande Messe prévue dans un bocal de poche. Jim KERR pour une fois sera à portée de main, et ce, à l’inverse de son passage au Festival en plein air Rock Um Knuedler (RUK) à Luxembourg Ville, Place Guillaume II, deux jours auparavant… 

 

© Jean Dorval, le 10 mars 2009, pour LTC LIve.

 

 

 

 

 

INFOS + : www.Le-112.fr

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© Photo ci-dessus : beehivecandy.blogspot.com
 

DE GRAN TORINO A BRENDAN, IL Y A DE QUOI S’OCCUPER, ACTUELLEMENT, SUR LE GRAND ECRAN !

Les salles obscures ne manquent pas de nouveautés ces derniers temps. J’ai été voir, entre autres, deux films : « Gran Torino » et « Brendan et le Secret de Kells ». Si le premier concerne plutôt les adultes, le second est, quant à lui, réservé assurément à nos charmantes petites têtes blondes…

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QUAND CLINT EASTWOOD NOUS SERT DU « GRAN TORINO »…

Avec « Gran Torino », Clint Eastwood nous offre un film dont lui, seul, a le secret. Depuis « Million Dollar Baby » (2005) et « L'Echange » (2008), l’excellence du « made in Eastwood » n’est plus à prouver ! « Gran Torino » (du nom d’une superbe voiture Ford de collection, modèle sport) est sorti le 25 février 2009. Le casting comprend, bien sûr, l’inimitable Clint Eastwood, mais aussi Bee Vang et Ahney Her. Ce drame/thriller américain, distribué par la Warner Bros. France, dure 1h55. Ce vieux Clint y incarne un ancien combattant de la Guerre de Corée, décoré de la Silver Star, Walt Kowalski. Cet homme de la « vieille école », au caractère bien trempé, à la retraite de l’industrie automobile, vit, depuis la mort récente de son épouse, replié sur lui-même avec sa chienne Daisy, en froid avec ses enfants. Il occupe ses journées entre le bricolage, l’ennui et la bière, quand un jeune prêtre naïf, à peine sorti du séminaire, lui apprend que sa femme, dans ses dernières volontés, a souhaité qu'il aille se confesser. Mais, Walt, que rien ne peut perturber, n’a semble-t-il rien à se reprocher… Pour lui, c’est clair, il ne peut compter que sur son fidèle M-1 (un fusil qu’il avait en Corée…). Une arme entretenue, prête à servir, qu’il a toujours à portée de main…

 

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Une intrigue sur fond de tension raciale…

Dans son quartier, Walt se considère comme le dernier habitant « d’origine », car depuis longtemps, tous ses anciens voisins ont déménagé ou sont morts. Dorénavant, il se trouve « cerné » (selon lui) par de nombreux immigrants Hmong (des asiatiques ayant pourtant combattus aux côtés des USA), auxquels il voue une rancune injustifiée, héritée de la Guerre de Corée. Il va bientôt se trouver confronté aux agissements d’ados-voyous Hmong, Latinos et Afro-Américains "qui croient (pouvoir, ndlr) faire la loi". Son jeune voisin Hmong, Thao, un paumé, qui subit un rite initiatique pour entrer dans un gang, en tentant de lui voler sa précieuse « Gran Torino », va ouvrir les hostilités… On assiste, dès lors, à une escalade de violence, car Walt va devoir affronter cette bande. Très vite aux yeux de ses voisins, il devient, malgré lui, un héros, se transformant progressivement en Gi’s justicier des banlieues. Mais, rassurez-vous le scénario nous réserve quelques trêves, grâce à la gentillesse naturelle des Hmong. Au point que la Mère et la sœur aînée de Thao insistent pour que ce dernier se rachète en faisant des « travaux d’intérêt généraux » pour Walt. Surmontant ses réticences, Walt occupe intelligemment le garçon au profit du voisinage. Et contre toute attente, l’armure du guerrier tombe, laissant place à une amitié inattendue, qui va changer le cours de l’histoire, le cours de leur histoire à tous les deux. Walt finalement découvre le vrai visage de ses nouveaux voisins et comprend qu’il a de nombreux points communs avec eux, comme la souffrance. Lui qui croyait avoir définitivement fermé la porte de son cœur va se surprendre, et surtout surprendre les autres...

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BRENDAN : UNE LEGENDE EUROPEENNE COMME ON N’EN FAIT PLUS !

Sans transition, on passe à la très belle animation cinématographique Française « Brendan et le Secret de Kells ». Ce dessin animé vise à juste titre notre jeunesse. D’une durée d’1h15, il est réalisé sous la direction de Tom Moore, qui précise à propos de son film et de la situation économique actuelle, que « L’art et la culture nous protègent dans les temps difficiles »(1). Le producteur Didier Brunner, quant à lui, y voit « un film éminemment européen »(1). Ainsi, donc, il s’agit d’une légende bien de chez nous, dont nous avons seuls le secret, qui redonne de l’ambition au cinéma Français et Européen. On se remémorera que ce secteur subit de plein fouet la très forte concurrence du cinéma Hollywoodien… Dans cette réalisation, il n’y a pas d’effets spéciaux, juste de très belles images, dignes de vraies enluminures !

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© Photos ci-dessus : Gebeka Films

 

Promenons-nous dans les bois, pendant que les Vikings n’y sont pas !

Brendan, un apprenti moine de 12 ans, est élevé au sein de l’Abbaye de Kells. Son rêve le plus cher : devenir enlumineur de manuscrits et particulièrement d’un livre religieux très rare, sous l’égide d’un maître de passage. Mais, l’abbaye est depuis toujours menacée par les Vikings… C’est pourquoi, Brendan se voit interdire le droit d’en franchir les murs (qui sont en construction). Il devra pourtant se rendre dans la forêt pour aller chercher les baies nécessaires à la fabrication d’une encre. Au cours de ce parcours initiatique, Brendan devra surmonter toutes ses peurs, affronter les esprits sylvestres. Il fait à cette occasion la rencontre d’une charmante petite fée qui le fait tourner en bourrique. Mais, attention, dans la noirceur de ces âges, les loups guettent ! On trouve réuni dans ce magnifique dessin animé toute la magie de l’art médiéval et des légendes irlandaises. Ce premier long métrage reste empreint du merveilleux et du symbolisme de la singularité européenne. Un peu à contre-courant tout cela, non ?

© Jean Dorval, le 8 mars 2009, pour LTC.

Les sites officiels de ses deux films :

http://wwws.warnerbros.fr/grantorino/

http://thesecretofkells.com/

Notes :

(1) Source : http://cineuropa.org/ffocus.aspx?lang=fr&documentID=8...

09/03/2009

LA VAGUE BRUNE POURRAIT-ELLE DEFERLER A NOUVEAU EN ALLEMAGNE ?

 

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C’est la question à laquelle a tenté de répondre le réalisateur Dennis Gansel dans son film « La Vague » (titre original en allemand : « Die Welle »). Sorti en France le 04 mars dernier, avec dans les rôles principaux Jürgen Vogel, Frederick Lau et Max Riemelt, ce drame, d’une durée d’1h48, distribué par Bac Films, se passe en Allemagne de nos jours… Dans le cadre d'une semaine politique organisée par son Lycée, avec des thèmes comme l’autocratie, l’anarchie, etc. un professeur, aux méthodes très controversées, organise un atelier pour ses élèves : comment émerge et séduit l’idée d’un régime autoritaire ? Cela tourne vite à l’expérience qui dérape, avec des effets collatéraux irréparables, car il tente de leurs expliquer de manière trop réaliste le fonctionnement d’un totalitarisme. Et c’est l’engrenage ! En fait, débute un jeu de rôle machiavélique, grandeur nature, auquel se prêtent les élèves, même en dehors des cours, et dont les conséquences funestes vont virer au cauchemar, car la situation échappe totalement à ce pédagogue un peu trop mégalo... Personne ne sortira indemne de cette aventure qui fait froid dans le dos. Attention la chute est brutale ! A voir et à revoir pour les amateurs du genre !

© Jean Dorval, le 09 mars 2009, pour LTC.

05/03/2009

QUE FERIEZ-VOUS SI LA VIE VOUS DONNAIT UNE DERNIERE CHANCE ?

 

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C’est à cette question très mystérieuse que répond le film réalisé par Joel Hopkins, « Last Chance for Love » (Titre original : « Last Chance Harvey »). Cette comédie romantique anglaise (sortie nationale le 04 Mars 2009, durée : 1h33, distributeur : La Fabrique de films) voit évoluer, comme des tourtereaux, les deux acteurs de renom Dustin Hoffman et Emma Thompson, qui forment à l’écran un adorable couple. L’Amour leur va comme un gant !

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TOUT LE MONDE A DROIT AU BONHEUR !

L’intrigue est menée de main de maître. Ainsi, le New-Yorkais Harvey Shine (Dustin Hoffman), divorcé (cela ne va plaire à certaines…), malchanceux au travail comme en amour, se rend à Londres pour le mariage de sa fille. Juste à son arrivée à l’aéroport, il fait la connaissance de Kate (Emma Thompson) qui réalise des sondages de satisfaction pour la compagnie aérienne qui l’a transporté. Alors, qu'il rate le vol qui devait le ramener aux Etats-Unis pour conclure une importante affaire, il retombe par hasard sur Kate dans un bar. Elle est célibataire et blessée par la vie, comme lui. Le courant passe de suite entre eux et notre héros décide de faire la conquête de cette timide et séduisante femme. Une conquête certes, mais pour le long terme… car ce Monsieur là, Mesdames, n’est pas un aventurier… Cette rencontre imprévue les mènera-t-elle, tous les deux, à changer une dernière fois leurs vies pour le meilleur et pour le pire ? Vous le saurez qu’en vous posant dans votre salle de ciné préférée !

© Jean Dorval, le 05 mars 2009, pour LTC.

 

ET TU AIMES "LE PRINTEMPS DU CINEMA" ???

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« VOUS AVEZ DIT GUEULE D’AMOUR ? COMME C’EST BIZARRE ! »

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Curieusement, alors que la crise économique sévit partout en France, la richesse des sorties cinématographiques du moment prouve à contrario que pour le Grand Ecran tout va pour le mieux. Les gens auraient-ils besoin de s’évader afin d’oublier leurs soucis ? On n’en doute pas une seconde ! Et dans ce contexte de récession, on notera le retour très attendu de Mickey Rourke dans « The Wrestler » (drame, sortie nationale le 18 février 2009, Mars Distribution, USA, 1h45). Ce film réalisé et produit (pour la première fois) par Darren Aronofsky, avec l’aide de son fidèle producteur Scott Franklin, passionné de catch, nous offre un casting des plus prometteurs : Mickey Rourke (bien sûr), mais aussi la très sexy (et brune…) Marisa Tomei, Evan Rachel Wood, Mark Margolis, Todd Barry, Wass Stevens, Judah Friedlander, Ernest Miller, Dylan Keith, Summers, Tommy Farra… Et j’en passe !

 

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Ce véritable plaidoyer pour les victimes de la vie relate l’histoire d’une émouvante gueule cassée : Randy Robinson, dit « The Ram » (traduisez « Le Bélier »), qui était une star du catch à la fin des années 80. Vingt ans plus tard, ce dernier ne se produit plus que dans des salles de gym de lycées ou des maisons de quartier… Il est certes un « has been », mais un « has been » respecté, autant dans son milieu professionnel, que par son public qui l’adule encore et encore. Ce gars là n’a pas eu de chance dans l’existence, il est seul, fauché, brouillé avec sa fille unique dont il ne s’est jamais occupé, et donc incapable d'entretenir une relation durable en général ! En fait, il vit que pour le plaisir de voir continuer le spectacle du catch et sous les applaudissements de ses fans ! Mais, soudainement, il est foudroyé par une crise cardiaque après un match. Sa vie va soudainement basculer ! Son médecin lui explique qu'il doit abandonner le catch, sa passion, et surtout toute la batterie de « produits d’entretien » qui lui permettent d’avoir une superbe musculature (Mesdames, fermez les yeux, car ce gars là en jette un max !). Un combat de plus pourrait, même, lui être fatal ! Ainsi, contre son gré, Randy se range, travaille au rayon traiteur du supermarché où il est déjà employé, afin d’améliorer ses fins de mois difficiles. Il tente de renouer avec sa fille, mais sans résultat au début…

 

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Dans la foulée, il débute une liaison avec « une strip-teaseuse vieillissante », mais toujours aussi « canon » (et un sifflement de plus, un, pour Marisa Tomei ! Car elle est vraiment trop « Waouh » !). Randy acceptera-t-il de passer de la lumière de la célébrité à l’ombre de l’oubli ? Vous l’avez déjà compris, la vie rangée ce n’est pas pour lui, car seul compte le catch et le Show… « The Wrestler » est tourné sans les habituels effets de style caractérisant jusqu'ici Darren Aronofsky. Le réalisateur nous surprend en tenant sa caméra à l'épaule, le plus simplement du monde, collant à son sujet et utilisant la technique du documentaire. Il exprime ainsi une œuvre réaliste, une volonté de filmer le vrai, loin des stéréotypes hollywoodiens, souvent surfaits. Il ne manquerait plus que le film soit tourné en noir et blanc pour que la perfection soit de ce monde, mais c’est déjà une autre histoire !

© Jean Dorval, le 04 mars 2009, pour LTC.

INFOS PLUS :

Les deux sites officiels du film :

http://www.thewrestlermovie.com/index.html

http://www.foxsearchlight.com/thewrestler/

 

 

LE FILM « MARLEY & MOI » : UNE VIE DE CHIEN QUI A DU MORDANT !

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Je me suis souvent demandé, comme de nombreuses personnes, quel sens donner à ma vie. Le travail, l’amitié, la famille, voire l’Amour… tout cela semble si compliqué et simple à la fois. Et si parfois, les évènements nous laissent un goût amer, il n’en reste pas moins qu’en positivant nos expériences tout devient possible. Ainsi, j’ai remarqué que souvent le cinéma nous aide à franchir les caps difficiles, car nous vivons par procuration des situations que nous aimerions vivre. A ce propos, je me suis tout à fait identifier au film « Marley & moi » (sortie nationale le 04 mars 2009). Cette toile d’1h40 de David Frankel (Etats-Unis), avec Owen Wilson, Jennifer Aniston, Eric Dane et Haley Bennett, nous prouve que si l’existence est dure - car nous ne nous sommes pas assez préparés à affronter certaines épreuves, même les plus anodines – elle peut aussi être douce, quand on sait la prendre du bon côté. 

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© Photo ci-dessus : Twentieth Century Fox France

COUPLE IDEAL FONDE FAMILLE AVEC ENFANTS… ET CHIEN REMUANT !

L’histoire de cette magnifique toile est simple. Jenny et John s’aiment, aussi ils décident de se marier sous les neiges du Michigan, pour finalement s’installer sous le soleil de Floride. Suite à ce réchauffement climatique subit, Jenny veut un enfant, mais John cherche, sur les conseils d’un ami, à retarder « l’horloge biologique » de son épouse, en lui offrant un adorable chiot : un labrador. En écoutant une musique de Bob Marley, John décide de le baptiser Marley. Mais cet attachant « quatre pattes » va vite devenir incontrôlable et dévaster tout sur son passage dans la nouvelle maison du couple. Entre temps, et contre toute attente, après un voyage en Irlande, Jenny attend un premier enfant. Elle en aura en tout trois ! La cohabitation avec Marley va vite devenir le fil conducteur de cette famille pas ordinaire. On assiste, sur une période de quinze ans, à la construction de ce foyer, avec l’omniprésence d’un gros toutou maladroit à la personnalité incontournable... Cependant, la force du couple Owen Wilson/Jennifer Aniston l’emportera sur tout ! Nous sommes en pleine tradition hollywoodien, où l’optimisme fait loi. Ils sont beaux, en bonne santé, sans problèmes financiers, ni professionnels… De quoi faire rêver certaines filles de l’Est venues en France uniquement aux fins de trouver le confort matérialiste, auprès d’un pigeon de PDG « première main » !

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© Photo ci-dessus : Twentieth Century Fox France

AVOIR DU CHIEN, CELA PEUT SERVIR !

 

Le rôle de Marley est joué, en fonction de son âge, par différents labradors. Ce personnage émouvant contribue à la réussite de cette très belle histoire d’Amour familiale. Ce véritable « casse-tout » est même la pièce maîtresse de ce long métrage ! Tout tourne autour de lui, jusqu’à sa douloureuse disparition. On constate, alors, que les animaux sont des êtres plus qu’humains, que des idiots ont tort de considérer comme des objets, sans âme. Eux (les animaux) ne font pas souffrir les autres pour le plaisir. Quand ils aiment, ils ne vous trahissent pas. C’est pourquoi, ils méritent autant d’affection qu’ils nous en donnent ! David Frankel réussit, là, un coup de maître, en renouvelant un des grands mythes américains : le chien, membre à part entière de la famille. « Marley & moi », c’est un peu Rintintin ou Lassy revisités, un nouveau « Turner et Hooch », version familiale ; voire la continuité, dans la poésie, des aventures de « Beethoven ».

© Jean Dorval, le 04 mars 2009, pour LTC.

03/03/2009

DEMANDEZ LE PROGRAMME DU FESTIVAL DE CINEMA FINLANDAIS D'ESCH-SUR-ALZETTE !

 

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Tous les renseignements sur le Festival de Cinéma Finlandais d’Esch-sur-Alzette (Luxembourg) sont sur :

http://www.kulturfabrik.lu/

A voir, notamment, les films du réalisateur Dome Karukoski... Un autre regard sur la Finlande ! 

Une néo d’Anna des Naudin, pour LTC.

02/03/2009

ET EN AVANT POUR UN PETIT TOUR DANS LE MONDE DE LA BD !

Dernièrement, perdu dans mes pensées, je suis allé chez mon libraire préféré et mon regard s’est arrêté au rayon BD… Et j’ai ramené, en prescription matin, midi et soir (comme l’Amour…), une sélection de cinq bandes dessinées de l’Ecole au Trait.

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En tout premier, j’ai pris le dernier Blake et Mortimer : « Le Sanctuaire du Gondwana » (sortie 2008).  Les célèbres personnages d’Edgard P. Jacobs voient leurs aventures jouer les prolongations grâce à Yves Sente et André Juillard. Une civilisation supérieure nous surveille depuis des siècles, sommes-nous dignes de continuer à vivre sur Terre ? Telle est la question !

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Ensuite, je me suis amusé comme un petit fou à lire les aventures de Lucky Luke (le mythique personnage de Morris), d’après des dessins d’Achdé (colorisation d’Anne-Marie Ducasse) et un scénario très marrant de Laurent Gerra et du même Achdé. Presque au sortir des Elections Présidentielles Françaises dernières - qui malheureusement, ont vu la victoire de l’Homme au « Pouvoir d’Achat » mensuel de 37.000€ nets par mois (hors frais divers…) - cette BD, consacrée aux Elections Présidentielles Américaines de 1876, donne un ton léger à la « chose démocratique », en racontant les tribulations du candidat Rutherford Birchard Hayes opposé à un adversaire prêt à tout pour gagner, j'ai cité le sinistre Samuel Tilden (qui a curieusement pris les traits de George W. Bush...). Cette BD vous assure réellement un bon moment de détente !

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Dans la foulée, j’ai bifurqué vers les personnages de Jacques Martin. Je suis toujours aussi fan de Guy Lefranc (produit en collaboration avec A. Taymans et E. Drèze), d'Alix (fait avec l’aide de Ch. Simon et P. Weber) et de Jhen (réalisé avec T. Cayman et H. Payen). Les derniers albums du Grand Maître (tous sortis en 2008) ne m’ont naturellement pas laissé de glace (un peu comme une jolie brune, au sourire accrocheur, croisée par hasard, et que vous invitez à boire un café…).

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Le titre « Londres en péril » voit le journaliste Guy Lefranc partir en croisade contre un réseau mondial de nazis revanchards (encore eux !) dont les attentats visent particulièrement Londres, aux fins de domination du monde. Des instants trépidants bien sûr à vivre seul !

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Continuant ma rêverie, j’ai flashé sur « Les Sorcières », une aventure de Jhen. Cette histoire se base sur des évènements qui se sont déroulés dans le Valais, vers 1430-1440… Ce pays serait-il infesté par le venin d’une hérésie nouvelle ? Vous le saurez en lisant ces très belles pages d’Histoire !

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Enfin, j’ai terminé ma flânerie, en tombant dans les bras de la très belle égyptienne qui accompagne Alix dans un drame épique au titre évocateur : « Le démon du Pharos ». Et si la statue de Zeus Ptolémée disparaissait et ne veillait plus sur le destin d’Alexandrie ? En voilà une nouvelle inquiétante ! Comme d’hab des méchants et des bons vont s’en mettre plein la tête. Alix naviguera au milieu de tout ce chambardement en résolvant une fois de plus l’énigme du moment. Il faut le lire pour le croire ! A plus sur le web et bonne lecture à vous !

© Jean Dorval, le 03 mars 2009, pour LTC.