23/07/2016
Dessine-moi Ton Sourire (1)
A Kristin Scott Thomas, actrice britannique
Mon Bel Ange aux Yeux Cendrés
Aux Paupières Dévoilées
En tant que ton Patient Impatient
Je suis perdu dans tes Nuits Étoilées
Mon Tendre Amour
Partageant la Fleur et le Parfum
Aimons-Nous Encore et Encore
Aimons-Nous pour Toujours
Ton Hymne à l’Espérance
Ton Doux Sourire
Offerts à Moi Seul
Achèvent ma Reddition
Mon Bel Ange
Deux Mots de Toi
Et je suis le Roi des Ondes Magnétiques
La Main sur Ton Cœur
L’Amour au bord des Lèvres
Un Désir Profond m’anime
Un Désir Profond Te ranime
Amant Chaviré
Mourant dans tes Bras
A chaque Occasion
Tes Yeux Gris me font goûter l’Ivresse Céleste
En m’inclinant sur ta Lyre
Je vis dans Ton Ombre
Faisons-nous des Amours
Qui n'aient pas de Vieillesse
Que l'on dise de Nous
Ce sont des Immortels
La Vie ne les a jamais séparés
La Mort d’autant moins
Tout ce que mon Coeur renferme de Tendresse
Dans la Nuit Profonde
A trouvé Refuge dans tes Bras Nus
Cet Amour si Charmant qui crée la Vie
Glisse comme un Baiser sur nos deux Coeurs Confondus
Toi qui m’as tout appris
Tu t'en souviens d’autant plus
© Jean Dorval, le 23 juillet 2016, pour LTC Poésie
(1) D’après le film Le Patient anglais (The English Patient), un film d'Anthony Minghella inspiré du roman L'Homme flambé de Michael Ondaatje, sorti en 1996, et des poèmes A George Sand (I), (II), (III) et (V) d’Alfred de Musset (1810-1857)
© Crédit photos : Le film Le Patient anglais (1996)
21:53 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : dessine-moi ton sourire, kristin scott thomas, le doux murmure du vent, catherine frot, véronique jannot, la femme au chapeau, anne parillaud, julie delpy, ange blonde, l'anneau sacré, ltc poésie : le serment du silence, jean dorval pour ltc poésie, ltc poésie, jean dorval, poète lorrain, ltc poésie : hommage à l'amitié et à la fraternité, le passage, jean bereski-laurent, jd en dédicace, le re-retour !, ltc poésie : carte blanche à jean dorval, metz : un carnet de voyage marocain signé jean dorval, l'extase d'un baiser, françois tristan l'hermite, les bienfaits du baiser, songer, vivre et croire, au carrefour des sens, la colombe et le faune, définition marron, l’envoleuse | Facebook |
24/08/2009
QUAND UNE FEMME A DECIDé DE PARTIR, RIEN NE PEUT PLUS LA RETENIR !
Le film français « Partir » de Catherine Corsini, sorti le 12 août dernier, avec Sergi Lopez, Kristin Scott Thomas et Yvan Attal dans les rôles principaux, est un véritable plaidoyer pour l’Amour redécouvert…
La très belle Suzanne (incarnée par la phantasmatique Kristin Scott Thomas) vit une existence bourgeoise plutôt pépère et bien rangée. Elle a deux enfants (des ados) qu’elle aime, une splendide demeure et un mari chirurgien avec qui elle s’ennuie énormément… Il faut dire que ce bonhomme là ne sort pas beaucoup de l’ordinaire, en dehors d’avoir un porte-monnaie bien rempli. Pour briser sa monotonie, elle décide de reprendre son activité de kinésithérapie qu’elle exerçait avant de se consacrer entièrement à sa famille. Elle ne le sait pas, mais, cette décision va bouleverser radicalement et définitivement sa vie. En effet, en souhaitant faire aménager dans le sous-sol de sa maison un cabinet, elle fait appel à une société du bâtiment qui va lui adresser un ouvrier espagnol... L’arrivée de cet homme, José (Sergi Lopez), une sorte d’adorable « nounours », va la faire basculer dans un Amour fou. Ils vont se dévorer au point de ne plus pouvoir se séparer. Elle en quittera même le domicile conjugal, prête à tout pour cet homme simple qui l’a fait tant vibrer et qui l’adore. Mais, voilà tout va se compliquer, elle descend petit à petit aux enfers, passant d’une vie stable et cossue à une prolétarisation extrême avec toutes les incertitudes financières que cela comprend. Mais, l’Amour fusionnel qui les unit peut tout, même contre la furie de son mari (Yvan Attal) qui jalouse ce bonheur pur. Apparemment, ce pauvre type n’a pas compris que sa femme ne lui appartient pas. Ce film est un sincère hymne à l’Amour retrouvé. Il redonne du baume au cœur dans un contexte actuel de crise économique et de l’affectif, et apporte la preuve que tout devient possible quand on s’aime vraiment.
© Jean Dorval, le 24 août 2009, pour LTC.