05/01/2010
BONNE FETE NATIONALE A TOUS LES LORRAINS ET BON AN NEUF !
© Photo ci-dessus : fr.wikipedia.org
Tous les 05 janvier, c’est la Fête Nationale des Lorrains. Aussi, aujourd’hui est organisée, comme d’hab, une commémoration de la Bataille de Nancy. Rendez-vous est donné à tous les Amoureux de la Lorraine, à 18h30, à Nancy, au pied du monument de Place de la Croix de Bourgogne. La traditionnelle harangue de Jean-Marie Cuny sera suivie d'un verre de l'amitié proposé par l'association Mémoire des Lorrains.
Amitié Lorraine !
JD pour LTC.
INFOS PLUS :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Place_de_la_Croix_de_Bourgogne
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07/11/2009
OLIVIA RUIZ PART A LA CONQUETE DE LA LORRAINE TRES PROCHAINEMENT
19/09/2009
LUNEVILLE : LE CHATEAU DES LUMIERES SORT PETIT A PETIT DE L’OMBRE…
© Photo ci-dessus : les ruines encore fumantes du Château des Lumières chateaudeslumieres.com
Un véritable deuil national s’est abattu sur la Lorraine dans la nuit du 02 au 03 janvier 2003. "Le petit Versailles Lorrain" (le Château de Lunéville construit en 1703 par l’architecte français Germain Boffrand), comme l’appelait Voltaire (qui y a longtemps séjourné), partait en fumée avec toutes ses collections (faïences, tapisseries, etc.), suite à un gigantesque incendie. Et comble du désespoir, les vents forts du moment s’acharnaient à rendre plus virulentes les flammes, réduisant ainsi les pompiers à l’impuissance face à la catastrophe.
Ce grand incendie a démarré dans la partie du château appartenant au Conseil Général. Il ravagea deux tiers des parties appartenant au Ministère de la Défense, deux tiers des appartements princiers, un tiers des bâtiments du Conseil Général, toute la toiture de l'aile sud-est et la chapelle royale. Les toits en s'effondrant ont provoqué l'éboulement d'importants éléments de maçonnerie.
Des mesures de première urgence prises dès 2003 ont visé à assurer la sécurité des visiteurs, pour un coût de 3 millions d'euros. En 2004, débuta une étude pour la restauration du château, sous le patronage de l'Architecte en Chef des Monuments Historiques (qui assure la maîtrise d'œuvre) Pierre-Yves Caillault. Les travaux ont été financés par le Ministère de la Défense et le Conseil Général de Meurthe-et-Moselle (grâce au versement de subventions, d’assurances, de crédits européens… et de dons de particuliers). Précédemment, six incendies majeurs ont déjà causés de graves dégâts au Château (1719, 1744, 1755, 1814, 1849 et 1961).
ACTUELLEMENT, LE PLUS GRAND CHANTIER DE RESTAURATION PATRIMONIALE D’EUROPE !
Les Autorités ont de suite très bien réagi en injectant 100 millions d’Euros pour restaurer ce patrimoine unique réduit en cendres. Cette campagne va durer près de 15 ans… La chapelle ducale reste un chantier prioritaire qui a mobilisé, il y a 5 ans déjà, près d’une vingtaine d’artisans spécialisés. Sa façade en vitraux, datant du 18ème siècle, un véritable chef-d’œuvre, comprenait à l’intérieur une vingtaine de vitraux et en tout 150 panneaux. Ces verres d’exception à la facture particulière, fabriqués traditionnellement, ont été restitués à l’identique. Selon Pierre-Yves Caillault "Tout est dans les petits détails, on procède comme un archéologue à un travail de reconstitution sur plans d’archives, photos, etc." (in l’émission "Des Racines et des Ailes", sur France 3 le 16/09/09). Le verre doit être translucide, avoir un miroitement, une planéité, comprendre des bulles et des cordes, ce qui prouve qu’il n’est pas fabriqué industriellement, mais manuellement. Il y aussi une recherche d’harmonie dans la réutilisation de ce verre blanc. Une « couleur » utilisée entre le 16ème siècle et le 17ème siècle qui permettait de mettre en valeur la lecture de la liturgie, notamment celle du Missel. Ce savoir-faire ancestral, qui se transmet de génération en génération, Pierre-Yves Caillault est allé le chercher chez les Maîtres Verriers de l’ancienne Abbaye Saint-Just-sur-Loire.
© Photo ci-dessus : chateaudeslumieres.com
Sur la couverture d'ardoise, des épis de faîtages dorés à la feuille d'or rehaussent avec fierté un ouvrage exceptionnel.
La menuiserie, quant à elle, a aussi été refaite selon les règles de l’art et la tradition séculaire. De véritables artistes du bois ont sculpté ici bas poutres maîtresses et autres éléments de charpente. Les tailleurs de pierre, qui viennent de Remiremont dans les Vosges, ne sont pas restés sur la touche. Ils ont extrait, une à une, les pierres malades (souvent rougies suite au léchage des flammes ou fragilisées suite à leur arrosage continu pour éteindre l’incendie) pour les remplacer avec une patience à toute épreuve. Un des Maître Tailleur indique "celui qui commence le remplacement d’une pierre termine son travail jusqu’au bout. C’est une question d’honneur, un repère, une preuve que nous avons été à l’ouvrage." Par la même, les Maîtres Doreurs qui ont œuvré sur les gardes-corps, les balcons, etc. ont fait un travail qui n’a pas changé depuis des siècles. La feuille d’or est préparée sur coussin à dorer, posée au peigne fin et fignolée au pinceau. Les Établissements Gohard, des Maîtres Doreurs qui travaillent dans le monde entier (sur la Statue de la Liberté à New-York, en Iran, au Château de Versailles, etc.), savent épouser amoureusement la matière, recouvrir délicatement les objets. Un métier où il faut savoir garder "le fripé" des formes et penser à ne pas oublier de "feuiller" jusqu’aux creux, afin d’éviter les ombres qui se voient souvent de loin. La chapelle petit à petit a retrouvé son allure ducale … euh royale, dès février 2009. A ce jour, la moitié de l’aile incendiée est restaurée et l’aile sud a perdu ses échafaudages. Il reste encore 4 ans de travail minimum, 10 ans en tout ! Le jardin à la française n’a pas été oublié. Il voit ses allées redessinées et les plantations à la bonne saison s’épanouir à foison.
Dix pots à feu, finement sculptés, ornent la balustrade.
TEL UN PHOENIX, LE CHÂTEAU DES LUMIÈRES DE LUNÉVILLE, EST RENÉ DE SES CENDRES
De nombreux corps de métiers, de haut niveau, ont donc participé à la Renaissance du Château des Lumières. Elle fait la fierté de Pierre-Yves Caillault et de son équipe d’artisans chevronnés. Les premiers travaux achevés sont conformes à qu’était le Château. Lunéville respire à nouveau. Tous ces hommes d’honneur, qui ont toute la Lorraine derrière eux, s’y étaient engagés. Ils ont tenu parole ! L’ouvrage est de nouveau lumineux à souhait et surtout majestueux. Cela a de nouveau de la gueule ! Du haut du Ciel, ce vieux Stanislas et son fameux Nain ne doivent pas en croire leurs yeux. Tous les travaux côté jardins sont terminés, il ne reste plus qu’à achever ceux situés côté cour. Alors à vos bons cœurs Mesdames et Messieurs ! J’invite, tous ceux qui le peuvent, à faire des dons sans compter !
© Jean Dorval, le 16 septembre 2009, pour LTC Patrimoine.
In<FOS+ :
Le site du Château des Lumières : chateaudeslumieres.com
Devenir co-reconstructeur (appel aux dons) : chateaudeslumieres.com
Sources infos : wiki/Château de Lunéville
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03/09/2009
MANU CHAO RADIO BEMBA AU ZENITH DE NANCY
Manu Chao Radio Bemba, au Zénith de Nancy, mardi 15 septembre 2009 à 20h00...
Après le succès du fameux groupe français la Mano Negra, son leader Manu Chao a poursuivi la route seul. Auteur-compositeur-interprète, il chante en français, anglais et espagnol, et offre un style rempli de soleil mêlant reggae, rock, ou encore musique latine. Ses chansons ne manquent pas de couleurs et de dépaysement et sur scène, c’est une véritable boule d’énergie. La suite de cet article sur http://www.zenith-de-nancy.com/
JD pour LTC Live.
PS : L'équipe d'LTC Live adore le rythme de Manu, mais regrette qu'il prône les drogues douces dans certaines de ses chansons...
INFOS PLUS : Site officiel : www.manuchao.net
Source :
http://www.zenith-de-nancy.com/Programmation/Agenda-Manu-Chao-Radio-Bemba-18793.htm
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02/09/2009
LE LIVRE PREND... PLACE A NANCY LES 18 ET 20 SEPTEMBRE PROCHAINS !
Stéphane Bern et le « Fou du roi »
donneront le coup d’envoi
du Livre sur la Place 2009...
INFOS PLUS :
http://www.lelivresurlaplace.fr/index.php?option=com_cont...
31/07/2009
LOUIS XV SURNOMME ROI "BIEN-AIME" DES FRANCAIS EN L'EGLISE NOTRE-DAME DE METZ...
(né le 15 février 1710, mort le 10 mai 1774)
Deux petits-fils de Fouquet, ambitieux, avec un esprit romanesque, réchauffaient l'esprit militaire par des intrigues, des déclamations et des promesses fastueuses. Ils n'avaient déjà que trop pris d'ascendant sur l'esprit du monarque, lorsqu'à la fin de l'année 1740 la mort de l'empereur Charles VI vint exciter l'ambition de plusieurs cabinets, pour le partage de la succession d'Autriche. L'empereur ne laissait qu'une fille, Marie-Thérèse, mariée depuis quelque temps au duc de Lorraine. Chartes VI, en prévoyant sa fin, n'avait occupé ses dernières années qu'à obtenir des principales puissances une garantie solennelle qu'elles laisseraient sa fille recueillir tout son héritage.
Cette considération avait dicté la paix de Vienne, si avantageuse pour la France. Le cardinal de Fleury voulait rester fidèle à la foi des traités, et plaidait pour l'auguste orpheline, au nom de l'honneur, de la justice et même de la prudence. Louis fut, pour la première fois, indocile aux vœux de son sage instituteur ; il écouta le comte de Belle-Isle, oublia les conseils que son bisaïeul lui avait donnés au lit de la mort, et bientôt entreprit une guerre beaucoup plus injuste que toutes celles qui avaient troublés la conscience de Louis XIV.
Le roi de Prusse, Frédéric II, s'était déclaré le premier par la conquête de la Silésie. La France favorisa son ambition et celle de l'électeur de Bavière, qui, pour son malheur, fut élevé à l'empire. Nos armées s'avancèrent jusque dans la Bohême. Le comte de Saxe et son lieutenant Chevert emportèrent la ville de Prague par un des plus brillants assauts dont nos fastes militaires fassent mention. Fleury secondait à regret ces mouvements guerriers.
On vit s'établir entre les généraux français de fatales mésintelligences ; genre de malheur et de honte qu'on avait ignoré sous les règnes absolus du cardinal de Richelieu et de Louis XIV. Le comte de Belle-Isle, provocateur de cette guerre, se vit bientôt enfermé dans la ville de Prague. Mal secouru par le maréchal de Maillebois, il prit le parti de sortir de cette ville pendant l'extrême rigueur de l'hiver. Sa petite armée éprouva d'horribles souffrances. Sur 13 000 hommes qu'il avait ramenés, 4 000 périrent ; et cependant la flatterie contemporaine compara cette retraite à celle des Dix-mille.
Bientôt il fallut évacuer la Bavière, et abandonner le malheureux électeur au juste et rigoureux châtiment de son ambition. Frédéric II ne se fit pas scrupule de trahir la cause des Français, dès qu'il put par ses négociations s'assurer la possession de la Silésie, dont la conquête lui avait coûté quatre sanglantes victoires. L'Angleterre et la Hollande s'était déclarées contre la France. On vit encore une fois des armées française et anglaise se mesurer dans l'Allemagne. Le maréchal de Noailles conduisait la première, et le roi d'Angleterre, George II, la seconde : l'indocilité du duc de Grammont, neveu du maréchal de Noailles, précipita une attaque qui rompait tous les plans du général.
L'armée française était perdue, si la maison du roi n'avait rétabli le combat en perçant quatre fois la cavalerie des vainqueurs. Cette journée de Dettingen (27 juin 1743), quoique signalée par des exploits éclatants, eut les résultats d'une défaite. Le cardinal de Fleury venait d'expirer dans le pouvoir, à l'âge de 90 ans. Louis essaya un moment de régner par lui-même, mais le cardinal ne l'avait point habitué à l'activité, au travail, et il laissa bientôt retomber un fardeau qui était trop au-dessus de ses forces. La perspective de quelques exploits guerriers paraissait le séduire, et il avait résolu de se montrer à la tête de ses armées.
C'était sa maîtresse, la duchesse de Châteauroux, qui lui avait inspiré cet amour de la gloire. Louis XV n'avait pas tout à fait attendu la mort du cardinal pour s'affranchir des devoirs du lien conjugal. Déjà, pendant la décrépitude de son instituteur, il avait aimé, mais avec quelque ombre de mystère, madame de Mailly, aînée de la maison de Nesle. Cette favorite, qui était fort loin d'offrir tous les charmes de madame de la Vallière, la rappelait au moins par la sincérité de sa tendresse.
Bientôt le roi, emporté dans ses nouveaux goûts, lui préféra une de ses sœurs, madame de Vintimille. Celle-ci ne jouit que peu de temps de son indigne triomphe : elle mourut en couche ; et Louis tourna ses regards sur la jeune sœur de ses deux maîtresses, la marquise de la Tournelle (depuis duchesse de Châteauroux). Sa beauté était éblouissante ; son esprit était aimable et vif, son caractère ambitieux ; elle croyait pouvoir se faire pardonner sa faiblesse en conduisant son amant au combat : l'un et l'autre partirent pour la Flandre ; les soldats reçurent le roi avec transport, et la favorite avec les plus durs témoignages de mépris.
Il emporta successivement les villes de Menin, Ypres, Furne, et fit célébrer ses faibles succès par autant de Te Deum. L'Alsace fut menacée ; il s'y rendit : la duchesse de Châteauroux continua de le suivre. A peine était-il arrivé à Metz, le 4 août 1744, qu'il fut atteint d'une maladie dangereuse ; toute la France reçut cette nouvelle avec saisissement : dix-sept ans de bonheur se retraçaient vivement à l'imagination du peuple ; le péril que courait Louis le rendait plus cher aux Français ; on y voyait le résultat de ses fatigues militaires.
Mais, pendant que le peuple gémissait et remplissait les églises des vœux les plus sincères, une piété justement sévère, écartant le scandale, veillait auprès du lit du roi. Avant qu'on lui administrât les derniers sacrements, on lui prescrivit de renvoyer la duchesse ; il fit ce sacrifice. La reine, le dauphin et ses sœurs, s'étaient rendus à Metz. La vue de ce jeune prince produisit sur le cœur du monarque une impression aussi fâcheuse qu'inattendue : dans les sollicitudes de la piété filiale, il crut voir l'empressement d'un successeur.
On sait quelle fut l'ivresse des Français quand ils apprirent la guérison du roi : à aucune époque la monarchie ne se produisit sous des couleurs plus aimables. On crut sentir alors que l'amour en était le principal ressort. Louis, en apprenant les transports qu'avait fait naître et que prolongeait la nouvelle de sa guérison, s'écria : « Qu'ai-je donc fait pour être aimé ainsi ? » Ce mot naïf toucha les Français. On y répondit en lui donnant (pendant le siège de Metz en 1744, ndlr) le délicieux surnom de Bien-aimé.
Il voulut illustrer son retour en prenant part à quelques travaux guerriers, et il vit la prise de Fribourg. Cependant il conservait contre les courtisans qui, durant sa maladie, lui avaient fait entendre des exhortations sévères et bannir sa maîtresse, plus de ressentiment que l'on n'en devait craindre de cette âme faible et douce. Son premier aumônier, l'évêque de Soissons, et le duc de Châtillon, gouverneur du dauphin, furent exilés : ces vengeances assuraient le triomphe de la favorite ; à peine Louis le Bien-aimé fut-il rendu aux vœux des Parisiens, qu'il céda au désir de la revoir : la duchesse de Châteauroux était malade quand elle reçut l'ordre tant désiré de reparaître devant le roi.
Soit qu'elle cédât à la vivacité de sa passion, soit quelle eût des pensées d'orgueil et de vengeance, elle ne voulut pas différer un moment si précieux : la mort suivit de près son imprudent triomphe. Louis parut plongé dans un désespoir profond, mais bientôt il ne sut plus combattre sa douleur que par l'ivresse des plaisirs. Madame Le Normant d'Étioles s'offrit à ses regards : dans les fêtes de la cour déjà depuis deux ans, elle avait essayé sur le roi le pouvoir de sa beauté, de sa coquetterie, en suivant la chasse royale dans la forêt de Senart. L'obscurité de sa naissance était un peu couverte par la brillante fortune de son mari, Le Normant d'Étioles. Des intrigues subalternes lui avaient appris l'art de subjuguer un caractère faible : elle domina le roi, sans lui inspirer une vive passion ; et son crédit surpassa bientôt celui des ministres, des courtisans les plus habiles, des généraux les plus renommés.
JD, pour LTC Histoire.
Source documentaire : Biographie de Louis XV le Bien-Aimé - Partie 1/7 - Partie 2/7 - Partie 4/7 - Partie 5/7 - Partie 6/7 - Partie 7/7 - Site : http://www.france-pittoresque.com/rois-france/louis-XV-3.htm
© Photo ci-dessus : archives.cg54.fr
PS : Écarté du trône de Pologne, Stanislas Leszczyński, roi de Pologne et beau-père de Louis XV car marié à Marie Leszczyńska, reçoit le duché de Lorraine, à viager, en 1737 et le gouverne en monarque éclairé, le menant à son apogée, en plein siècle des lumières. Il crée en l'honneur du roi de France une place de belles proportions (la Place-Royale) qui recevra plus tard son nom [l'actuelle Place "Stan" (comme Stanislas)]. À sa mort en 1766, le duché revient à la couronne de France.
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26/06/2009
ETRE OU NE PAS ETRE DANS LE « TOUR OF THE UNIVERSE 2009 » DES DM, LA N’EST PLUS LA QUESTION !
Toute l’équipe d’LTC Live sera au grand complet présente ce 28 juin, au Zénith de Nancy, pour assister au grandiose concert de Depeche Mode, qui aura lieu dans le cadre du « Tour of the Universe 2009 ». A n’en pas douter un des événements majeurs de l’année musicale du Grand Est ! Ce groupe phare, pop-rock, légendaire, jouera ses récents tubes, comme « Come back », « Peace »... et ses Incontournables des années 90, tels « Enjoy the silence », « Personnal Jesus », ou encore, « Just can’t get enough ». Ce Show, cuvée 2009, aura certainement le même succès que la tournée précédente « Playing The Angel », qui avait vu, alors, exploser les records de ventes pour une tournée européenne avec 1.800.000 billets vendus (une paille !) pour un total de 80 concerts… Cela laisse rêveur ! Un rendez-vous DM à ne pas manquer pour tous les fans du groupe !
Bonne Zizic avec JD sur LTC Live !
INFOS PLUS :
Réservez vos billets sur FNAC SPECTACLES :
http://www.fnacspectacles.com/processreservation/disponibilite.do
Un petit avant-goût de ce concert délicieusement Depeche Mode :
- “Come Back” (Live - HQ 1st May 2009)
16:51 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : depeche mode, tour of the universe 2009, zénith nancy, lorraine, meurthe-et-moselle, jean dorval pour ltc live | Facebook |