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27/04/2011

« BIENVENUE DANS LA ROYALE ! »

lenigme de diane.jpg« L'énigme de la Diane (de l’Iroise aux Caraïbes) » de Nicolas Grondin (Lauréat du Prix Littéraire GEO du Voyage Extraordinaire), roman paru aux Éditions Les Nouveaux Auteurs en 2010 (362 pages d’émotion frissonnante !) est un formidable récit sur la vie en mer, sur les hommes qui la chevauchent et sur les horizons lointains, terres d’aventures palpitantes. L’Amour et l’exotisme sont bien sûr au rendez-vous dans cette grande fresque historique qui nous emmène hors du temps, à l’image des grands écrivains du XVIIIème Siècle. Et que de mystère ! En 1781, en rade de Brest, la Diane, frégate sous commandement du Capitaine Selcy, part pour Fort-Royal de la Martinique, une contrée Française convoitée par les Anglais... A son bord se trouve Basile, un jeune Breton dont le destin prend soudainement un virage à 180 degrés ! Le métier de marin, les batailles, etc. remettront-ils en jeu son existence ? Rien n’est moins sûr ! Nicolas Grondin, 47 ans, a été successivement libraire, représentant en librairie, éditeur et correcteur… Il était évident qu’il écrirait un jour. « L’Enigme de Diane » est son premier roman, un début très prometteur pour cette plume de talents pas cachés !

© Jean Dorval pour LTC Lecture, le 27 avril 2011.

27/12/2009

TRENTE DENIERS QUI FONT TREMBLER LE MONDE...

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Le dernier opus des tribulations de Blake et Mortimer (les célèbres personnages du Maître Edgar P. Jacobs), « La malédiction des trente deniers, Tome I, Le manuscrit de Nicodemus », tiré à 550.000 exemplaires, est sorti en novembre 2009 dans les meilleures librairies de l'Hexagone. Jean Van Hamme en a écrit le scénario, René Sterne et Chantal De Spiegeleer se sont chargés de la partie dessin, tandis que Laurence Croix et Chantal De Spiegeleer ont assuré la colorisation de cet ouvrage de très belle facture. La trame de cette palpitante aventure prend sa source avec l'arrivée sur une île inconnue - où un groupe de Chrétiens sous la conduite d'un certain Nicodemus a trouvé refuge suite aux persécutions de Néron (empereur romain de 54 à 68 après J-C.) - d'un vieillard épuisé, décharné, vêtu de loques, n'ayant pour seul bagage qu'une modeste bourse en peau de chèvre accrochée à la corde qui lui sert de ceinture. En dedans de cette bourse se trouvent trente deniers... Ce pauvre bougre ne serait pas moins que Judas l'Iscariote, le douzième apôtre qui s'est suicidé le jour de la Crucifixion de Jésus, après l'avoir trahi... Est-ce le début d'une malédiction ou n'est-ce finalement que la continuité d'une malédiction plus ancienne ? C'est ce que vous propose de savoir le premier tome de cette intrigue passionnante, mêlant agréablement Histoire, action... et mystère !

© Jean Dorval, le 26 décembre 2009, pour LTC Lectures.

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01/04/2008

LES AVENTURES DE BLAKE ET MORTIMER : « LE SANCTUAIRE DE GONDWANA » (Tome 18)

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Youpi ! Les 550.000 exemplaires du dernier Blake et Mortimer sont dans toutes les bonnes librairies ou grandes surfaces, depuis le 28 mars 2008 ! Cette BD, parue chez Dargaud, dont le tandem d’auteurs, Yves Sente (scénario) et André Juillard (dessin), reprend les personnages d'Edgar P. Jacobs, nous relate les aventures de nos deux immuables héros, que même les nouvelles générations connaissent !

Une aventure qui fait battre le cœur de l’Afrique noire…

Mortimer a rapporté une roche mystérieuse d’une expédition au Pôle Sud. Bientôt, il se retrouve sur la piste d'une civilisation fantastique, dont le berceau semble niché dans les entrailles du cratère du Ngorongoro, non loin du lac Victoria. Alors, commence une aventure, un thriller qui conduira, pour la première fois, Blake et Mortimer dans le Tanganyka (les actuels Kenya et Tanzanie), en Afrique noire.

Dès la première page, on comprend que cet album est la suite du « 6ème sarcophage » (paru en 2004). Tous les ingrédients de l’univers d’Edgar P. Jacobs sont réunis pour notre plus grand plaisir : une découverte mystérieuse, des péripéties haletantes, un soupçon d’espionnage, un rythme effréné, une atmosphère très fifties et un sens inouï du détail. Décidément, rien n’est plus beau que l’école de BD au trait ! Il y a du panache dans tout cela, et cela nous manque un peu dans notre actualité de tous les jours… A bon détracteur du genre salut !


© Jean Dorval, le 01 avril 2008


A voir aussi un hors-série «  Blake et Mortimer : les coulisses d’une œuvre  »

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