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06/06/2014

LES BEST OF JD : "HISTOIRE MESSINE DE L’ASSAINISSEMENT ET DU TRAITEMENT DES DECHETS."

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Maquette de la ville romaine de Divodurum (Metz).

© Photo ci-dessus : http://fr.wikipedia.org/wiki/Divodurum_Mediomatricorum

"(…) Divodurum, ancien "village sacré", auquel rien ne manqua pour devenir une cité riche et populeuse, lorsque les Gaulois abandonnèrent leurs citadelles des plus hauts lieux(…)"(1)

En 51 av. J-C., Labienus, lieutenant de César, bat les peuples de la Gaule Belgique, près de Trèves, et soumet les Médiomatriques aux lois de l’Empire romain. Divodurum, la ville entre deux rivières, devient alors une fidèle alliée de Rome, où les Romains élèvent une citadelle, du fait de sa proximité avec la Germanie. Dès cette période, l’hygiène, notamment l’évacuation des déchets et des eaux usées, va prendre de l’importance dans une ville dont la surface enclose, limitée initialement à 58°ha, va évoluer au fil des siècles afin de permettre l’édification d’une grande métropole : Metz. En parallèle, la population messine, de l’Antiquité à nos jours, passe d’environ 20.000 habitants à 127.498, en 1999 (chiffre du dernier recensement général).

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© Photos ci-dessus faites par Jean Dorval pour LTC/RLP avec l’aimable autorisation de la Direction des Musées de la Cour d’Or de Metz Métropole en 2006.

UNE PERIODE GALLO-ROMAINE FLEURISSANTE

"Le mythe des travaux d’Hercule rapporte, pour cinquième épreuve, le nettoyage des Ecuries d’Augias, qui sont dans un état de saleté répugnante, puisque jamais encore curées. En moins d’une journée Hercule releva le défi en déviant le cours d’eau de deux fleuves du voisinage pour inonder les étables et entraîner les immondices grâce à l’eau. D’où très certainement l’idée d’utiliser la force de l’eau pour évacuer les déchets…"

Le Musée de la Cour d’Or, rue Chèvremont, se situe sur une partie des anciennes thermes (datées du IIème siècle) qui s’étendent jusqu’au Carmel. On retrouve ce type d’établissement (même époque) aux emplacements du centre commercial Saint-Jacques et de la cafétéria Flunch, place Armand Knecht. Les vestiges du musée comprennent un collecteur d’égout, un égout et un égout principal, avec cunette centrale. La notion d’égout, à l’époque, étant différente de la nôtre, ils auraient servi à évacuer les eaux de bains ; exit donc les excréments humains et autres eaux usées ménagères.

Concernant la période romaine, si aucun égout privé souterrain n’est découvert à ce jour à Metz dans les insulae (immeubles), il existe cependant un embryon de réseau d’égouts collectifs. L’historien Bernard Vigneron(2) décrit ainsi ces ouvrages : "ils suivent (…) les decumani. (…) Leur taille varie selon leur importance, depuis les grands collecteurs jusqu’aux égouts de quartier. (…) [Les égouts des thermes du Carmel comprennent, ndlr] quatre émissaires parallèles en direction de la Moselle, deux le long des façades des rues du Haut-Poirier et des boucheries-Saint-Georges, les deux autres à l’intérieur, bordant le bassin de natation. (…) Le decumanus suivant correspond à la rue du Four-du-Cloître. Balthus relate(3) qu’à l’occasion des grands travaux d’urbanisme on découvrit là, ainsi que dans la rue actuelle du chanoine Collin, plusieurs "égouts formés par de très grosses et grandes pierres blanches, creusées en chenaux (…)". [Il s’agissait d’un fort caniveau prenant vite de l’ampleur en aval, ndlr] place de Chambre, au pied du transept de la cathédrale (…). De la grande décumane, En Fournirue, on n’a pas trouvé le collecteur, qui existait sûrement car on connaît son affluent, desservant les thermes Saint-Jacques et passant sous l’ancienne rue des Bons-Enfants (…). Il se dirigeait vers la Seille et on le retrouve au bas de la rue, plus ample (…). Les affluents, correspondant en principe aux cardines(4), sont (…) mal connus. Chacun des collecteurs des façades des thermes du Carmel recevait un égout secondaire (…). De dimensions comparables au collecteur principal, par contre, est l’égout de la rue de la Chèvre (…). Un regard avait été disposé au carrefour des rues, à l’embranchement. On sait que la place de Chambre du côté de la rue du Faisan possédait plusieurs égouts. A proximité de l’actuelle halle aux poissons, la salle à abside dite "cloaque" de Saint-Victor avait un émissaire en direction de la Moselle proche. Pour les faubourgs, on a trouvé au Pontiffroy un caniveau de pierres creusées en rigole, assez semblable à celui de la rue du Four-du-Cloître(5)."

D’autre part, dans les années 80, des fouilles de sauvetage ont eu lieu, suite à la réhabilitation de l’ancien arsenal et à l’extension du parking souterrain de l’Esplanade-Belvédère(6). En raison d’importants travaux de nivellement, au XIXème siècle, les résultats les plus significatifs concernent seulement les Ier et IIIème siècles ; mais, l’occupation a été continue du Ier au IVème°siècle. On observe la présence d’un « réseau » de caniveaux de part et d’autre des rues mises au jour, avec coffrage en bois et planches de recouvrement. Une conduite en bois relie deux fossés séparés par une route ; alors, que dans la généralité des plaques de pierre recouvrent les fossés de liaison. Une étude des traces organiques présentes dans ces caniveaux a permis de déterminer leur utilisation probable comme égouts, hormis les excréments humains. En revanche, on ne sait pas si les gens procèdent au vidage de leurs eaux usées par tuyauterie ou par récipient, car suite aux nombreux travaux réalisés au cours des siècles, beaucoup d’installations sont détruites ou incomplètes. Régulièrement, on procède au curage manuel de ces fossés et l’évacuation des boues "récoltées" se fait par charrette.

En ce qui concerne les fosses-dépotoirs, les archéologues s’accordent pour leurs trouver quatre origines distinctes. Ce sont d’anciens points de récupération de matériaux de construction ou de stockage de marchandises ; des trous creusés spécialement ; ou des fosses, avec structures rituelles. Michel Provost relate que rue Taison "quelques structures du Haut-Empire ont été étudiées"(7) Pour cette époque, on n’a pas retrouvé dans les fosses-dépotoirs de traces d’excréments ; peut-être parce qu’elles sont vidangées régulièrement… Il n’y a pas non plus de latrines (elles concernent de rares privilégiés) et de vespasiennes. 

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© Photo ci-dessus : http://www.cosmovisions.com/monuPuits.htm

LA STAGNATION DU MOYEN AGE

"Au Moyen Age, l’eau est tirée au puits, les eaux usées et les déchets rejetés à proximité des habitations. Cela entraîne la contamination des ressources et l’apparition d’épidémies. Au fil du temps, l’eau potable est prélevée en amont des cités et les eaux usées rejetées en aval…"

Concernant le Moyen Age, on n’a pas beaucoup d’informations sur l’assainissement messin, contrairement au reste de la France et de l’Europe. Les Archives Municipales de Metz conservent quelques précieux documents du XIIème siècle. Par contre, les fouilles archéologiques, relatives aux latrines et aux fosses-dépotoirs, apportent un éclairage de terrain. Philippe Brunella, Dominique Heckenbenner et Pierre Thion précisent que "Livrant un mobilier archéologique varié, abondant et souvent très bien conservé, les latrines-dépotoirs constituent une source privilégiée de documentation sur la culture matérielle. Elles conjuguent en général deux fonctions, tout à la fois fosses d’aisances au sens strict, accueillant les rejets excrémentiels, et poubelles-dépotoirs, permettant de se débarrasser d’immondices divers, domestiques, voire artisanaux ou encore agricoles. En effet, les égouts sont encore rares durant le Moyen Age (…) et les services de ramassage et d’évacuation des ordures (…) inexistants [ils apparaissent seulement au XIXème siècle, ndlr]. Intégrées aux sous-sols des habitations, ou creusées dans les arrières-cours ou jardins en cœur d’îlot, ces structures présentent une relative variété de morphologie et de mode de construction (…)."(8) Dans la pratique, il est possible que les immeubles soient dotés, à chaque étage, de tuyaux d’évacuation reliés à ces pièces voûtées. Pour ce faire, on utilise un pot à eau en guise de chasse d’eau ! L’étanchéité de ce système étant peu fiable - il faut aussi attendre le XIXème siècle pour que les enduits hydrauliques soient efficaces – les gens polluent leur propre environnement ; particulièrement la nappe phréatique, où est puisée l’eau de consommation courante. "Le "remplissage d’occupation" [de ces fosses, ndlr], correspondant à leur utilisation, est constitué de couches très organiques, marron à brun-noir, riches en débris divers, alternant souvent avec des épandages de gravats, visant peut-être à réduire les émanations. Si certaines latrines sont vidangées régulièrement, d’autres paraissent correspondre à un stockage définitif, la structure étant abandonnée une fois pleine."(8) Dans le cas, d’une vidange régulière, l’opération est réalisée à la pelle, grâce à une trappe d’accès. L’évacuation des boues se fait toujours par charrette, à l’extérieur de la ville, vers les zones de maraîchages, les champs ou en décharge.

Michel Provost relate, concernant la période du Haut Moyen Age, que l’on trouve rue Taison "(…) une fosse interprétée comme des latrines (…), de forme semi-circulaire (…). [On constate la présence d’un disque en os, ndlr] épais percé en son centre, dont la face plate est décorée de cercles concentriques, d’une rosace et de cercles pointés."(7) Philippe Brunella, Dominique Heckenbenner et Pierre Thion précisent que "[les plus anciennes latrines-dépotoir mises au jour, sur ce site, sont datables des Vème-VIème°siècles. D’autres structures sont de la fin du Moyen Age et du début des Temps Modernes, ndlr]. Sur le site de l’Arsenal [on a trouvé, ndlr] douze latrines-dépotoirs (…) [La plus ancienne remonte au XIVème siècle. Sur les Hauts de Sainte-Croix, ndlr] les structures médiévales (…) [du XVème siècle, ndlr] avaient vocation de puits ou de latrines-dépotoirs. "(8)

D’autre part, la présence d’une batterie de "toilettes" est attestée dans l’ancien cloître des Cordeliers, fondé au XIIIème siècle. L’évacuation des excréments se fait directement dans la Seille, par la pente située rue des Murs. En règle générale, du Moyen Age aux XVIème et XVIIème siècles, on trouve à Metz uniquement des fosses d’aisances et des puits filtrant à matières. Dans les rues, l’évacuation des eaux usagées et pluviales, ainsi que les déchets, se fait par des goulottes et caniveaux centraux, à l’air libre.

Enfin, contrairement aux idées reçues, les gens d’alors sont très propres, puisque, dès la fin de la moitié du XVIème siècle, on sait que l’on ne contracte pas de microbes par les pores dilatés, par l’eau, pendant un bain. Pour preuve, on trouve des étuves publiques, d’initiative privée. Mais, elles se transforment vite en lieu de débauche qui favorisent le développement de la vérole… Pour la petite histoire, on notera que la peine de "Xuppe" (en allemand "Chuppen") se trouve appliquée jusqu’au XVIème siècle. Elle consiste à mettre le (ou les) condamné(s) dans une cage que l’on trempe dans l’égout (romain ?) à excréments, situé place Coislin.

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Fosse dépotoir dans un couvent de carmélites du 17e siècle dans la cour d'une école à Metz.

© Photo ci-dessus : http://www.inrap.fr

DES TEMPS MODERNES POUSSIFS

"A cette époque, le métier très particulier de cureur de puits et d’égoutier se développe…"

Rares sont les tronçons d’égouts de cette période, cependant on peut faire remonter les structures en pierre de Jaumont existantes au XVIIème siècle. Les Archives Municipales de Metz possèdent des documents sur les égouts du XVIIIème°siècle. Relativement, à l’évacuation des boues des fosses, aux XVIème et XVIIIème siècles, une très importante littérature rapporte qu’on y « découvre »… les cadavres de bébés non désirés, le magot caché du grand-père, etc. De même, au cours des fouilles de l’Arsenal, on a trouvé des latrines post-médiévales : l’une d’entre elles date du début du XVIème°siècle et deux autres de la fin du XVIème siècle et du début du XVIIème siècle.

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© Photo ci-dessus : http://www.miroirdutemps.fr

UNE PÉRIODE CONTEMPORAINE OFFENSIVE

"Les allemands transforment la ville, dès leur arrivée, fin du XIXème siècle ; démantelant les murailles, afin d’en faciliter le développement. Ils axent leur action sur l’hygiène et l’assainissement de la ville, à cause des épidémies de choléra de 1832, 1849, 1853-54 et 1866, et de typhus de 1813-1814 ; et suite à la promulgation d’une loi allemande de 1902/1903, rendant le tout-à-l’égout obligatoire."

Le bras de la Seille traversant la ville est comblé, devenant les rues des Tanneurs et Haute-Seille. Les historiens Jean-Claude et Renaud Berrar indiquent que "Dès 1872, la municipalité faisait remarquer que la Seille, intra-muros, était insalubre à cause de sa faible déclivité (…). Comme les habitants des maisons de part et d’autre de la rive jetaient des ordures ménagères de toutes sortes renfermant des substances organiques, végétales et animales, le canal intérieur traversant la ville depuis la porte Mazelle jusqu’à la porte Sainte-Barbe était un égout à ciel ouvert. (…) En avril 1904, on réalisa les travaux de curage de la partie de la Seille traversant la ville. En juin, le lit complètement mis à sec à l’intérieur, on débuta, près de la porte Mazelle, les travaux de canalisation en relevant les pierres du parapet et en démolissant les murs du quai en plusieurs endroits. Par les brèches pratiquées, on introduisit les matériaux nécessaires à la construction de la canalisation. En juillet 1904, dans la nouvelle rue de la Seille, on coula du béton dans le canal, pour couvrir les conduites dans lesquelles s’écoulent les eaux ménagères."(9)

André Jeanmaire rappelle, dans son ouvrage "Le Champ-à-Seille", l’état d’insalubrité de la Seille : "le compost que charriait la rivière contribuait (…) à la qualité des cuirs corroyés par les tanneurs installés un peu plus loin, mais les effluves surtout par les basses eaux, incommodaient fort le quartier"(10) ; et que, "Dès 1806, la municipalité voulut couvrir la partie de la rivière qui traversait le quartier. Mais les tanneurs n’étaient pas d’accord. En 1850, le conseil se prononça pour l’édification d’une voûte sur la Seille, depuis la rue du Pont-à-Seille jusqu’à la rue de la Grande-Armée. En 1862, l’architecte de la ville présenta un projet qui resta sans suite. Et c’est pendant la première annexion allemande, en 1905-1906, que l’administration combla ce canal de la Seille."(10)

Il est à signaler l’existence au commencement de la rue des Tanneurs d’un collecteur d’une centaine de mètres, réalisé par les allemands (ou les français…), recouvert sur la moitié de sa section, datant de la dernière moitié du XIXème siècle ; période 1862-1870 ou 1870-1900. D’autre part, les allemands constituent de magnifiques plans techniques, très précis, représentant chaque nouvel égout, avec croquis en couleurs. Ils dressent notamment le schéma général des égouts de Metz, à l’échelle 1°/2.000 ; dont les services techniques français de la Ville de Metz font une copie « francisée » et actualisée, datant sûrement des années 50.

UN RÉSEAU D’ASSAINISSEMENT ET DE VALORISATION DES DÉCHETS ULTRA-MODERNE DEPUIS LE XXème SIÈCLE

"Les eaux usées sont désormais traitées avant d’être rejetées et les déchets valorisés, afin de protéger le milieu naturel…"

L'UIOM de Metz (Unité d'Incinération des Ordures Ménagères) a été exploitée de 1969 à 1997. En 2001, le Centre de Valorisation des Déchets (CVD) est inauguré, avec la mise en place d’une Unité de Tri des Matériaux (UTM) à recycler et une Unité de Valorisation Energétique (UVE). En 2005, 92.000 tonnes d’incinérés et environ 12.000 tonnes de matériaux recyclables sont traités. Le réseau d’égouts représente 1.151 km. Les stations d'épuration exploitées sont celles de l’Agglomération messine (dont la mise en service remonte à 1973 et la modernisation afin d’éliminer les pollutions azotées et phosphorées à 1996), La Maxe, Noisseville, Pouilly, Laquenexy et Pournoy-la-Chétive. Le volume épuré représente 21.619.000°m3. Le dimensionnement permet de traiter une pollution d’une capacité de 440.000 équivalent-habitants. Un outil technique de pointe est donc en place sur l’Agglomération messine pour le respect de l’Environnement (11).

ÉPILOGUE

En conclusion, on peut dire que l’évolution globale du réseau messin d’assainissement et de traitement des déchets est le fruit principalement du volontarisme tant des romains que des allemands. Ils ont en commun le souci de l’organisation et du développement de l’hygiène pour le bien-être du plus grand nombre. En complémentarité, notre époque moderne s’est fixée comme objectifs de répondre aux impératifs de respect de l’Environnement et de mise en place du Développement Durable. Ainsi, dans un monde en mutation technologique perpétuelle, il s’agit de relever, au quotidien, le défi de la prévention des problématiques que l’homme s’impose de par ses activités (industrielles ou non), avant qu’il détruise la nature et se détruise par là même. 

© Jean Dorval , le 15/10/06, pour LTC Grands Reportages.

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Notes :

(1) C. Jullian, Histoire de la Gaule, t. VI, page 472 ; (2) "Metz Antique" de Bernard Vigneron publié aux éditions Maisonneuve en 1986, page 195 ;  (3) Annales, page 323 ; (4) les decumani, axes routiers, orientés d’est en ouest, étaient coupés par des cardines (nord-sud) ; (5) G. Schlemaire , Asha 1978, page 73 ; (6) "Gallia, fouilles et monuments archéologiques en France métropolitaine", tome 49, 1992, CNRS Editions, 1993 ; (7) "Carte archéologique de la Gaule, pré-inventaire archéologique publié sous la responsabilité de Michel Provost ; Metz, 57/2, Pascal Flotté", publié par Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Ministère de l’Education Nationale, Ministère de la Recherche, Ministère de la Culture et de la Communication, Maison des Sciences de l’Homme, page 171 ; (8) "Metz médiéval, mises au jour, mise à jour, Metz Musées de Cour d’Or", paru aux éditions Serpenoise en 1996 ; (9) "Metz sous l’Empire Germanique" de Jean-Claude et Renaud Berrar, publié aux éditions Serpenoise en 2003 ; (10) Le Républicain Lorrain du 29/08/06 ; (11) Pour visiter les sites industriels de la Régie Haganis (station d’épuration et centre de valorisation des déchets), contacter M. Settimo Reina au 03.87.34.22.94 (adresse : Nouveau Port, 57050 METZ).

- Remerciements pour leur aide à M. Pierre Thion, Ingénieur d’études, Service Régional de l’archéologie de Lorraine ; Mme Marielle Doridat-Morel, Documentaliste, Service Régional de l’archéologie de Lorraine ; M. Lucas, Chef de service, Musées de Metz (La Cour d'Or) ; M. Françoise Clément, Documentaliste, Musées de Metz (La Cour d'Or) ; M. Robert Schoumacker, chargé de mission aux Archives départementales de la Moselle ; MM. Thierry Deprez et Victor Benz, des archives de Metz ; Mme Florence Heller, Documentaliste de l’Inrap Metz ; le Service Etat civil de la Mairie de Metz ; M. Alain Durban, Service Etudes de la Ville de Metz ; M. Caillot, Responsable du Pôle Urbanisme de la CA2M ; M. Doncque, responsable à la Médiathèque de Metz-Pontiffroy ; M. Wagner, conservateur, à la Médiathèque de Metz-Pontiffroy ; le service des plans à la Médiathèque de Metz-Pontiffroy ; MM.°Gourlot et Schneider, deux historiens locaux, et animateurs de la revue « Renaissance du vieux Metz » ; ainsi qu’au Service Urbanisme de la Ville de Metz