30/12/2009
LES RENDEZ-VOUS DE TERVILLE AU "112"...
13:33 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : les concerts du 112, le 112, terville, lorraine, moselle, pony pony run run, killtronik, 16 janvier 2010, jean dorval pour ltc live, le républicain lorrain | Facebook |
04/12/2009
MONDORF AU CLAIRE DENAMUR...
© Photo ci-dessus : musicspot.cnetfrance.fr
"Waouuuh !" La succulente Claire de Namur est en concert aujourd'hui au Casino 2000 de Mondorf, à 21h30. Cette jeune femme (très bien sous tous rapports...) baigne dans un univers musical inspiré de Nina Simone, du Fado Portugais et de Nat King Cole. Elle a surtout le "LOOK OF LOVE"...
JD pour LTC LIve.
15:38 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : concert à mondorf, claire de namur, le 4 décembre 2009, au casino 2000, lorraine, moselle | Facebook |
30/11/2009
ATTENTION, REPORT DU CONCERT DES "JOYEUX GALICIENS" DE DECEMBRE !!!
02/11/2009
COLLOQUE INTERNATIONAL AU CHATEAU DE MALBROUCK : "MEDIEVALISME, MODERNITE DU MOYEN AGE. LE MOYEN AGE AUJOURD'HUI"
28/10/2009
"MUSE" SE POSE EN LORRAINE LE TEMPS D'UN CONCERT EXCEPTIONNEL !
09:38 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : muse se pose en lorraine le temps d'un concert exceptionnel, muse, the resistance, pop-rock, le galaxie d'amnéville, moselle, amnéville, lorraine, jean dorval pour ltc live, ltc live : la voix du graoully, bonne zizic avec jd sur ltc live, la communauté ltc live | Facebook |
21/10/2009
RESERVEZ DEJA VOS BILLETS POUR LA TOURNEE 2010 DES CRANBERRIES !
Les Cranberries préparent déjà leur tournée 2010 en France. Ils seront le 19 mars au Galaxie d'Amnéville.
JD pour LTC Live.
INFOS PLUS :
http://www.concertandco.com/artiste/the-cranberries/billet-concert-19208.htm
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11/10/2009
LIVRES ET COMPTINES INVITENT LES TOUTS-PETITS ET LEURS PARENTS
NOS ENFANTS SONT TOUT !
"LA LECTURE EST LA TRANSMISSION DES SAVOIRS.
OFFRONS A NOS ENFANTS CE GAGE PRESENT DE REUSSITE FUTURE.
L'EDUCATION PAR LE LIVRE EST DONC NECESSAIREMENT INCONTOURNABLE.
NOUS DEVONS CELA A NOTRE DESCENDANCE PAR AMOUR POUR ELLE."
JD POUR LTC LIVE.
01/10/2009
CARINE KLEIN OU L’AMOUR DE LA PEINTURE…
Carine Klein est née à Farschviller (57) où elle a toujours vécu. D'ici quelques jours, elle s'installera dans la région messine, afin de se rapprocher de sa famille et d’y exercer pleinement son art : la peinture. Cet artiste-peintre, depuis quelques années, a vu naître sa carrière en septembre 1999, quand elle franchit pour la première fois la porte d'un atelier de peinture de Moselle-est, afin de s'initier à cette discipline qui est devenue… sa « Passion » ! Ayant découvert l'effet thérapeutique de son nouveau mode d’expression, elle quitte « un enseignement trop académique » à son goût, pour donner libre cours à son imagination, travailler seule. Elle fait alors un vrai travail autobiographique, ce qui lui permet de « chasser les démons de son passé », de « soigner les MAUX, par les MOTS » au sens de Jacques Salomé. Carine privilégie ainsi les mots d'enfants, spontanés, simples, ludiques et aisés. Elle laisse vagabonder son esprit naturellement sans se poser de questions.
DES SALLES D’EXPO AUX COURS DE PEINTURE…
En 2003, Carine expose deux de ses œuvres au Salon de Peinture et de Sculpture Sodal de Nancy. Puis, ses créations paraissent dans « Univers des Arts ». En feuilletant cette revue Alexandre Gama, un galeriste de Fréjus dans le Var, « craque » pour ses œuvres, notamment son tableau intitulé « Plaisirs d'Hiver ». Il croit aussitôt dans le potentiel créatif de Carine et l’a contacte. Alors, démarre pour cette mosellane pas comme les autres une série d’expositions et de salons d'Art, à Paris, à Versailles, dans le Sud de la France, au Luxembourg, etc. A ces occasions, plusieurs distinctions lui sont décernées, dont la toute dernière en mars 2008 : Le Mérite Culturel Français. Après avoir exposé ses créations lors du Salon de l'habitat à Metz, en mars 2009, Carine décide de faire une petite pause bien méritée. Mais, c’est pour mieux prendre le recul nécessaire à la préparation de son nouveau projet : des "Cours d'Eveil à la créativité". Ces derniers auront lieu à Chailly-lès-Ennery en Moselle, un village qui lui tient à cœur. En effet, ici-bas repose son arrière-grand-père Frédéric, qui y tenait l'Auberge de Chailly, tout en étant agriculteur. Carine invite tous ceux qui désirent entrer dans son univers coloré, le mardi 6 octobre 2009, à 16h30, dans la salle de la mairie de Chailly-lès-Ennery. Quant aux enfants, accompagnés de leurs proches, ils pourront découvrir les gouaches et aquarelles mises à leur disposition, le mercredi 7 octobre 2009, de 10h00 à 16h00. Il faudra juste prévoir un tablier à manches longues ou des vêtements ne craignant pas d'être maculés de taches… Carine prépare actuellement ses prochaines expositions, qui démarreront fin octobre prochain au Carrousel du Louvre, à Art'Shopping, à la Médiathèque d'Amnéville, au Grand-Palais, à Art en Capital, etc. Décidément, cette femme dynamique et rêveuse, à la fois, ne cessera point de nous étonner. Mais, c’est à cela que l’on reconnaît une bonne artiste !
TROIS QUESTIONS A CARINE KLEIN :
- JD : Votre univers pictural représente des scènes et des symboles d’Amour… Quel message voulez-vous faire passer ?
- CK : Je veux faire passer un message d’Amour et de liberté, d’espoir, de justice et de paix en corrélation avec le Divin.
- JD : Vous parlez de « chasser les démons » de votre « passé », quels sont-ils ?
- CK : Je pense notamment aux différentes séparations que j’ai vécues, et aux êtres chers que j’ai perdus.
- JD : Un vieux professeur de peinture me disait un jour « peindre, c’est laisser une trace… » Que pensez-vous de cette affirmation ?
- CK : Oui, c’est vrai. En ce qui me concerne, je laisse une trace d’Amour à l’image du Christ.
© Jean Dorval, le 1er octobre 2009, pour LTC Art.
INFOS PLUS :
Les inscriptions aux cours de Carine se font en Mairie de Chailly-lès-Ennery (parking gratuit en face du bâtiment), 11 rue Principale, 57365 Chailly-les- Ennery. Tél. : 03.87.77.78.19, adresse courriels : marie.chailly@wanadoo.fr (tarifs pour les 4 séances : enfants, demandeurs d’emploi, étudiants, personnes handicapées 50€, adultes 70€)
Pour joindre Carine : 06.42.24.97.31
Pour découvrir ses créations en ligne : http://artactif.com/klein
23:36 Publié dans LTC ARTS | Lien permanent | Tags : carine klein ou l’amour de la peinture, cours de peinture, chailly-lès-ennery, carine klein artiste-peintre, peinture, moselle, lorraine, christ, jacques salomé | Facebook |
07/08/2009
AVEC LTC LIVE : TOUJOURS à L'AFFûT !
12:30 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : avec ltc live : toujours à l'affût, avec jd sur ltc live sois toujours à l’affût de la bonne zizic, la communauté ltc live, bonne zizic avec jd sur ltc live, jean dorval pour ltc live, musique, lorraine, metz, nancy, bar-le-duc, épinal, vosges, moselle | Facebook |
31/07/2009
LOUIS XV SURNOMME ROI "BIEN-AIME" DES FRANCAIS EN L'EGLISE NOTRE-DAME DE METZ...
(né le 15 février 1710, mort le 10 mai 1774)
Deux petits-fils de Fouquet, ambitieux, avec un esprit romanesque, réchauffaient l'esprit militaire par des intrigues, des déclamations et des promesses fastueuses. Ils n'avaient déjà que trop pris d'ascendant sur l'esprit du monarque, lorsqu'à la fin de l'année 1740 la mort de l'empereur Charles VI vint exciter l'ambition de plusieurs cabinets, pour le partage de la succession d'Autriche. L'empereur ne laissait qu'une fille, Marie-Thérèse, mariée depuis quelque temps au duc de Lorraine. Chartes VI, en prévoyant sa fin, n'avait occupé ses dernières années qu'à obtenir des principales puissances une garantie solennelle qu'elles laisseraient sa fille recueillir tout son héritage.
Cette considération avait dicté la paix de Vienne, si avantageuse pour la France. Le cardinal de Fleury voulait rester fidèle à la foi des traités, et plaidait pour l'auguste orpheline, au nom de l'honneur, de la justice et même de la prudence. Louis fut, pour la première fois, indocile aux vœux de son sage instituteur ; il écouta le comte de Belle-Isle, oublia les conseils que son bisaïeul lui avait donnés au lit de la mort, et bientôt entreprit une guerre beaucoup plus injuste que toutes celles qui avaient troublés la conscience de Louis XIV.
Le roi de Prusse, Frédéric II, s'était déclaré le premier par la conquête de la Silésie. La France favorisa son ambition et celle de l'électeur de Bavière, qui, pour son malheur, fut élevé à l'empire. Nos armées s'avancèrent jusque dans la Bohême. Le comte de Saxe et son lieutenant Chevert emportèrent la ville de Prague par un des plus brillants assauts dont nos fastes militaires fassent mention. Fleury secondait à regret ces mouvements guerriers.
On vit s'établir entre les généraux français de fatales mésintelligences ; genre de malheur et de honte qu'on avait ignoré sous les règnes absolus du cardinal de Richelieu et de Louis XIV. Le comte de Belle-Isle, provocateur de cette guerre, se vit bientôt enfermé dans la ville de Prague. Mal secouru par le maréchal de Maillebois, il prit le parti de sortir de cette ville pendant l'extrême rigueur de l'hiver. Sa petite armée éprouva d'horribles souffrances. Sur 13 000 hommes qu'il avait ramenés, 4 000 périrent ; et cependant la flatterie contemporaine compara cette retraite à celle des Dix-mille.
Bientôt il fallut évacuer la Bavière, et abandonner le malheureux électeur au juste et rigoureux châtiment de son ambition. Frédéric II ne se fit pas scrupule de trahir la cause des Français, dès qu'il put par ses négociations s'assurer la possession de la Silésie, dont la conquête lui avait coûté quatre sanglantes victoires. L'Angleterre et la Hollande s'était déclarées contre la France. On vit encore une fois des armées française et anglaise se mesurer dans l'Allemagne. Le maréchal de Noailles conduisait la première, et le roi d'Angleterre, George II, la seconde : l'indocilité du duc de Grammont, neveu du maréchal de Noailles, précipita une attaque qui rompait tous les plans du général.
L'armée française était perdue, si la maison du roi n'avait rétabli le combat en perçant quatre fois la cavalerie des vainqueurs. Cette journée de Dettingen (27 juin 1743), quoique signalée par des exploits éclatants, eut les résultats d'une défaite. Le cardinal de Fleury venait d'expirer dans le pouvoir, à l'âge de 90 ans. Louis essaya un moment de régner par lui-même, mais le cardinal ne l'avait point habitué à l'activité, au travail, et il laissa bientôt retomber un fardeau qui était trop au-dessus de ses forces. La perspective de quelques exploits guerriers paraissait le séduire, et il avait résolu de se montrer à la tête de ses armées.
C'était sa maîtresse, la duchesse de Châteauroux, qui lui avait inspiré cet amour de la gloire. Louis XV n'avait pas tout à fait attendu la mort du cardinal pour s'affranchir des devoirs du lien conjugal. Déjà, pendant la décrépitude de son instituteur, il avait aimé, mais avec quelque ombre de mystère, madame de Mailly, aînée de la maison de Nesle. Cette favorite, qui était fort loin d'offrir tous les charmes de madame de la Vallière, la rappelait au moins par la sincérité de sa tendresse.
Bientôt le roi, emporté dans ses nouveaux goûts, lui préféra une de ses sœurs, madame de Vintimille. Celle-ci ne jouit que peu de temps de son indigne triomphe : elle mourut en couche ; et Louis tourna ses regards sur la jeune sœur de ses deux maîtresses, la marquise de la Tournelle (depuis duchesse de Châteauroux). Sa beauté était éblouissante ; son esprit était aimable et vif, son caractère ambitieux ; elle croyait pouvoir se faire pardonner sa faiblesse en conduisant son amant au combat : l'un et l'autre partirent pour la Flandre ; les soldats reçurent le roi avec transport, et la favorite avec les plus durs témoignages de mépris.
Il emporta successivement les villes de Menin, Ypres, Furne, et fit célébrer ses faibles succès par autant de Te Deum. L'Alsace fut menacée ; il s'y rendit : la duchesse de Châteauroux continua de le suivre. A peine était-il arrivé à Metz, le 4 août 1744, qu'il fut atteint d'une maladie dangereuse ; toute la France reçut cette nouvelle avec saisissement : dix-sept ans de bonheur se retraçaient vivement à l'imagination du peuple ; le péril que courait Louis le rendait plus cher aux Français ; on y voyait le résultat de ses fatigues militaires.
Mais, pendant que le peuple gémissait et remplissait les églises des vœux les plus sincères, une piété justement sévère, écartant le scandale, veillait auprès du lit du roi. Avant qu'on lui administrât les derniers sacrements, on lui prescrivit de renvoyer la duchesse ; il fit ce sacrifice. La reine, le dauphin et ses sœurs, s'étaient rendus à Metz. La vue de ce jeune prince produisit sur le cœur du monarque une impression aussi fâcheuse qu'inattendue : dans les sollicitudes de la piété filiale, il crut voir l'empressement d'un successeur.
On sait quelle fut l'ivresse des Français quand ils apprirent la guérison du roi : à aucune époque la monarchie ne se produisit sous des couleurs plus aimables. On crut sentir alors que l'amour en était le principal ressort. Louis, en apprenant les transports qu'avait fait naître et que prolongeait la nouvelle de sa guérison, s'écria : « Qu'ai-je donc fait pour être aimé ainsi ? » Ce mot naïf toucha les Français. On y répondit en lui donnant (pendant le siège de Metz en 1744, ndlr) le délicieux surnom de Bien-aimé.
Il voulut illustrer son retour en prenant part à quelques travaux guerriers, et il vit la prise de Fribourg. Cependant il conservait contre les courtisans qui, durant sa maladie, lui avaient fait entendre des exhortations sévères et bannir sa maîtresse, plus de ressentiment que l'on n'en devait craindre de cette âme faible et douce. Son premier aumônier, l'évêque de Soissons, et le duc de Châtillon, gouverneur du dauphin, furent exilés : ces vengeances assuraient le triomphe de la favorite ; à peine Louis le Bien-aimé fut-il rendu aux vœux des Parisiens, qu'il céda au désir de la revoir : la duchesse de Châteauroux était malade quand elle reçut l'ordre tant désiré de reparaître devant le roi.
Soit qu'elle cédât à la vivacité de sa passion, soit quelle eût des pensées d'orgueil et de vengeance, elle ne voulut pas différer un moment si précieux : la mort suivit de près son imprudent triomphe. Louis parut plongé dans un désespoir profond, mais bientôt il ne sut plus combattre sa douleur que par l'ivresse des plaisirs. Madame Le Normant d'Étioles s'offrit à ses regards : dans les fêtes de la cour déjà depuis deux ans, elle avait essayé sur le roi le pouvoir de sa beauté, de sa coquetterie, en suivant la chasse royale dans la forêt de Senart. L'obscurité de sa naissance était un peu couverte par la brillante fortune de son mari, Le Normant d'Étioles. Des intrigues subalternes lui avaient appris l'art de subjuguer un caractère faible : elle domina le roi, sans lui inspirer une vive passion ; et son crédit surpassa bientôt celui des ministres, des courtisans les plus habiles, des généraux les plus renommés.
JD, pour LTC Histoire.
Source documentaire : Biographie de Louis XV le Bien-Aimé - Partie 1/7 - Partie 2/7 - Partie 4/7 - Partie 5/7 - Partie 6/7 - Partie 7/7 - Site : http://www.france-pittoresque.com/rois-france/louis-XV-3.htm
© Photo ci-dessus : archives.cg54.fr
PS : Écarté du trône de Pologne, Stanislas Leszczyński, roi de Pologne et beau-père de Louis XV car marié à Marie Leszczyńska, reçoit le duché de Lorraine, à viager, en 1737 et le gouverne en monarque éclairé, le menant à son apogée, en plein siècle des lumières. Il crée en l'honneur du roi de France une place de belles proportions (la Place-Royale) qui recevra plus tard son nom [l'actuelle Place "Stan" (comme Stanislas)]. À sa mort en 1766, le duché revient à la couronne de France.
14:06 Publié dans LTC GRANDS REPORTAGES | Lien permanent | Tags : louis xv surnommé roi bien-aime des francais à metz, louis xv, vive le roi, vive le roy, bien-aimé, metz, moselle, lorraine, nancy, meurthe-et-moselle, place stan, place stanislas, place royale | Facebook |
24/07/2009
CONCERT DE CHAMBRE AU 112 DE TERVILLE POUR LES SIMPLE MINDS…
© Photo ci-dessus : Yannick2 pour LTC
Cela faisait quelques temps que je n’avais pas repris ma plume… Les vacances sont ce qu’elles sont ! C'est-à-dire : sacrées ! Aussi, j’ai apprécié de flemmarder quelques jours sans prévenir personne. Puis me revoici, tel un diable sorti de sa boîte ! Juste "un peu" en retard d’une vingtaine de jours... pour vous parler des concerts des Simple Minds qui ont eu lieu au 112 de Terville (57) les 6 et 7 juillet derniers.
UNE GUEST STAR TRES GUITARE ET TOUTE EN VOIX
© Photo ci-dessus : Yannick2 pour LTC
En première partie, Arno Carstens, une Superstar Rock Sud-Africaine ayant déjà joué avec les Rolling Stones et The Police, qui fait pleurer les foules dans son pays tellement ses chansons sont magnifiques, avait pour seul accompagnement sa guitare sèche et celle d’un comparse. Il m’a touché quelques mots de leur tournée mondiale avec les Simple Minds dans le Backstage, juste avant le concert. Un type très équilibré, dont la charmante compagne assure la promo, et au sourire traduisant sa très belle vision de la vie : chanter des balades rythmées ou douces sur les relations humaines, le tout sur des mélodies inspirées de sonorités qu’il entend un peu partout où il passe…
CONCERTS D’ANNIVERSAIRE SUR SCENE DE POCHE OU DE PROCHES… POUR LES SIMPLE MINDS ?
© Photo ci-dessus : Yannick2 pour LTC
Après un concert estival devant 15.000 fans qui a couronné, la veille, le Festival Rock um Knuedler de Luxemburg, les Simple Minds assuraient deux soirées au 112 de seulement 700 à 800 personnes... Plus proche que cela du public tu meurs ! Au point que Jim Kerr confiait à l’assemblée très motivée réunie pour l’occasion : « Thank you and welcome in a wet box ». C’était du vrai concert VIP, de la réunion familiale, un mini-club de fans concentré dans un mouchoir de poche très show, bouillant et suant ! Jim Kerr (au chant) et Charlie Burchill (à la guitare électrique), les co-fondateurs de ce groupe mythique New Wave/Rock fondé en 1975, aux qualités musicales toujours aussi exceptionnelles, étaient palpables du bout des doigts et si irréels à la fois ! Il a juste manqué aux fans confirmés (dont je suis) de ne pas pouvoir souffler en direct avec « Leur Groupe » préféré les bougies de ses 30 ans de scène ! Une simple banderole dans le public rappelait l’évènement… Un peu court non ?
AU PROGRAMME : UN MIX DE CHANSONS TRES EQUILIBRE !
© Photo ci-dessus : Yannick2 pour LTC
J’ai perdu pendant cette soirée du « Grafitti Soul Tour 2009 » les quelques kilos que j’avais encore en trop, tellement ce concert était festif et dansant. En tout près de deux heures de Zizic non stop ! Je m’excuse encore auprès de mes voisins à qui j’ai collé de bon cœur, dans ma frénésie du moment, coups de coudes et de pieds… Le choix des chansons a été très judicieusement fait par la Prod. Je regrette, cependant, que l’un de mes titres préférés, « Gliterring prize », n’est pas été interprété. Mais, il ne faut pas être plus royaliste que le Roi, car le programme était vraiment au Top, savant mélange entre anciennes et nouvelles chansons : « Book of Brilliant Thing », « Santify Yourself », « New Gold Dream (81, 82, 83, 84) », « Don’t You Forget About Me », « Love Song », « Waterfront », « Children Of The Revolution », « Promised You A Miracle », « Someone, Somewhere (In Sommertime) », « Chealsea Girl », « She’s A River », « Rockets », « Moscow Underground », « Stars will lead the way », etc. Tout était prévu pour s’éclater comme un petit fou. Et c’est ce que j’ai fait avec mon vieux pote Yannick, qui s’est transformé pour l’occasion en photographe pour LTC. Ce fut l’un des meilleurs concerts des Simple Minds auquel j’ai assisté. Il y a eu deux rappels et les Simples, pas si « simples d’esprits » que cela, ce sont donnés à leurs fans du début jusqu’à la fin, sans compter, comme aux grandes occasions.
© Jean Dorval, le 24 juillet 2009, pour LTC Live.
Pour écouter des extraits des concerts de Terville et de Luxemburg, il faut aller sur les liens suivants (attention, le son est parfois mauvais…) :
Terville, LE 112 :
“Children Of The Révolution” et “Waterfront” :
http://www.youtube.com/watch?v=Byt4JSs6imw
« Moscow Underground » :
http://www.youtube.com/watch?v=8nR9bopGkUA
« Waterfront » :
http://www.youtube.com/watch?v=5dHld7Zo2ws
« Don't You Forget About Me » :
http://www.youtube.com/watch?v=9ajlC9p4ur4
« Stars will lead the way »
http://www.youtube.com/watch?v=5TVu-l_Pewo
“Rockets” :
http://www.youtube.com/watch?v=cOS1Kujnodo
Rock am Knuedler de Luxemburg :
http://www.youtube.com/watch?v=eDt7ok2v81k&feature=related
INFOS PLUS :
Pour entendre le dernier album des SM aller sur…
http://www.musicme.com/#/Simple-Minds/albums/Graffiti-Soul-0602527064703.html?play=01_01
Vous y apprécierez notamment « This is it » :
http://www.youtube.com/watch?v=6AXCohT0jQM
Découvrez, écoutez Arnaud Carstens en LTC Live :
- “Boy”
http://www.youtube.com/watch?v=mnpqZl_Ktmc&feature=fvst
- “Another Universe”
http://www.youtube.com/watch?v=TFasvq-kO1o&feature=related
- “Hole Heart” (Music Video)
http://www.youtube.com/watch?v=XIv_E91hElU
- “Feel It” (Music Video)
http://www.youtube.com/watch?v=jYGOjRjwr20&feature=related
- Recording in Spain
http://www.youtube.com/watch?v=8hBaQiX5AMM&feature=related
- ”Bad City”
24/06/2009
KINE PLACE SAINT-LOUIS A METZ : PROJECTION NOCTURNE...
13:16 Publié dans LTC KINEMA | Lien permanent | Tags : projection nocturne, en plein air, metz, moselle, lorraine, place saint-louis, le cave se rebiffe, association quartier saint-louis, jean gabin, une néo de vincent maniglia pour ltc live | Facebook |