22/09/2016
LES BEST OF JD - "ENVIRONNEMENT : LE MOUVEMENT PERPETUEL UNE ECO-ENERGIE INFINIE BAILLONNEE PAR LES LOBBIES ?"
© Photo ci-dessus : maribia.wordpress.com/2009/03/14/la-pollition-et-le-cancer
Notre époque malheureusement voit triompher l’apogée d’une société de consommation, sans gloire, irrespectueuse, par ses excès, de Mère Nature, et par effet boomerang des êtres humains qui y vivent, et qui sont responsables et coupables de cette situation catastrophique, jamais vue dans l’Histoire de l’Humanité. De ce fait, nous allons tout droit vers de grands déséquilibres planétaires, irréversibles, si nous ne changeons pas radicalement de cap. Cette hécatombe pourrait cependant être limitée si l’Homme se décidait à faire enfin des choix technologiques équilibrés ! Ainsi au lieu de cancériser, volontairement, la population à grands coups de marées noires, de catastrophes nucléaires, de déchets non contrôlés, de pollutions incessantes aériennes, terrestres et maritimes, etc. on devrait, plutôt, orienter notre quotidien, et l’avenir de nos enfants, vers des solutions rationnelles et solidaires, respectueuses de notre écosystème immédiat et général. Or, face à l’ignorance volontairement inculquée à nos contemporains par les Grands Prêtres du Système - aux ordres des lobbies économico-financiers et médiatiques internationalistes, à l’origine de la décadence matérialiste de masse dans laquelle nous nous trouvons - tout le monde a finalement oublié l’essentiel : comment produire, entre autres problèmes à résoudre, des énergies propres (et non plus fossiles ou radioactives) respectant la Nature, et surtout, la nature de l’Homme ? Comment, par exemple, faire fonctionner notre bonne vieille voiture à essence et notre perceuse électrique "nucléaire" autrement ? Et plus important encore : comment retrouver notre précieuse et nécessaire indépendance énergétique, par rapport au Moyen-Orient, notamment, grâce à l’émergence de technologies novatrices "bien de chez nous » ? Le célèbre et vieux slogan censé nous faire réaliser des économies d’énergie, suite à la grande crise économico-pétrolière de 1973, ne prétendait-il pas : "En France on n’a pas de pétrole, mais on a des idées " ? Un vœu pieux jamais réalisé ! Au point que B. Fuller a trouvé les mots justes, relatifs à l’apnée intellectuelle chronique dans laquelle se trouve notre pays, mais aussi le monde : "Il n'y a pas de crise de l’Énergie, mais simplement une crise d'Ignorance". On est dans une telle "crise de l’Ignorance" que personne ne semble plus savoir que les machines à mouvement perpétuel existent et qu’elles permettent la mise en place d’alternatives crédibles ! Un sujet dont curieusement aucun des mouvements dits "écologistes" n’a fait son cheval de bataille… Cela relève presque de l’érudition, voire de la quadrature du cercle ! Pourtant Webster les définit comme étant le "mouvement d'un mécanisme idéal qui pourrait continuer à fonctionner indéfiniment sans puiser dans une source d'énergie extérieure." Cela vous en bouche un coin ? Vous vous dites, comme de nombreux "scientifiques officiels", depuis des siècles, que c’est impossible ; car cela revient à créer de l'énergie, inverser l'entropie et éliminer les frictions ? Et bien, détrompez-vous, c’est réalisable ! "Ne passons pas à côté des choses simples" disait la pub… Aussi, pour bien comprendre ce qui nous a fait aboutir à cette situation ubuesque, remontons dans le temps…
"Je fais les courses, donc je suis."
LE MOUVEMENT PERPÉTUEL : UNE IDÉE SÉCULAIRE !
Au Vème siècle, avant J-C., on voit déjà mentionner un mouvement perpétuel, sur l’ancien manuscrit, en sanskrit, "Siddhanta Ciromani". Puis, tout au long de l’histoire, on constate que de nombreux chercheurs, étudient le mouvement perpétuel, comme : Léonard de Vinci, Christian Huygens, John Bernoulli, Robert Boyle, Georges B. Airy et Nikola Tesla.
En 1712, à Gera, Johann Bessler, dit "Orffyreus", fait une démonstration de roue à mouvement autonome. Il s’inspire d’une roue décrite dans le livre de l'inventeur anglais Edward Somerset, "Un siècle d'inventions", paru en 1663. D’un diamètre de 91,44°cm, une fois lancée à la main, elle tourne sans arrêt à 26°tours/mn. Il est possible de l'adapter et lui faire soulever des charges, grâce à une courroie passant sur son axe. En 1713, Orffyreus présente à Drashwitz, près de Leipzig, une autre version de sa roue. D’un diamètre de 182,88°cm, elle est recouverte de toile huilée, tendue comme une peau de tambour. La roue tourne, comme la précédente, à 26 tours/mn. Mais, les gens pensent qu’il s’agit là d’une supercherie… Aussi, Bessler se soumet à un groupe de onze experts, à Merseburg, le 31°octobre 1715. Cette troisième roue a 180 cm de diamètre et tourne à la vitesse de 42 tours/mn. Selon un rapport du 4 décembre 1715 : « la machine (…) est un réel mouvement perpétuel (…) elle a la capacité de soulever perpendiculairement 30°kilos de pierres à huit aunes (neuf mètres) de hauteur. » A une époque, où l'énergie est fournie par la force musculaire, humaine ou animale, une telle machine aurait dû, normalement, être la bienvenue. Curieusement, nombreux sont ses détracteurs ! Et Bessler et les experts indépendants se retrouvent ridiculisés. Alors, sans doute pour des raisons de sécurité, Bessler prend le surnom d’"Orffyreus". Il attire, à la même période, l'attention du Comte Karl, Landgrave du petit état de Hesse-Kassel. Bientôt, arrêté comme perturbateur, il est emprisonné dans le fort Weissenstein, du château de Wilhelmshoche. En fait, il s’agit d’un habile stratagème du Comte pour entrer, discrètement, en relation avec lui et devenir son mécène… Ce personnage, très influent, informe de nombreux scientifiques et institutions d'Europe de la découverte de son protégé. Le Tsar de Russie, après 1716, souhaite même acheter le secret pour 100.000 roubles. Puis, Orffyreus réalise la plus grosse machine qu’il n’ait jamais construite. Mais, ses détracteurs restent encore nombreux. Le Comte l’exhorte à leur répondre, par une autre démonstration. Aussi, en octobre 1717, il installe sa machine au centre d’une vaste salle du château, aux murs de 1,20°m d'épaisseur et à une seule entrée… pour qu’on ne puisse pas dire qu’il y a tricherie. Le 12 novembre 1717, un collège d'enquêteurs examine la roue. Son diamètre est de 3,65 m et elle atteint la vitesse de 26 tours/minute. Pendant deux jours, on lui fait accomplir des travaux spécifiques. La salle est passée au crible, puis vidée de tous ses occupants. Les scellés sont apposés. Quatorze jours plus tard, la roue tourne toujours… Idem, lors de la vérification du 4 janvier 1718 ! Le comité conclut, donc, à l'absence de fraude et atteste de l’authenticité de cet appareil à mouvement perpétuel. Mais, Orffyreus redoutant de se voir dérober son secret propose de le révéler, contre 20.000°livres à une société formée à Londres. Il est furieux car personne ne répond à son offre. Le 18 mai 1727, il entreprend la construction de sa dernière roue, qu’il brûle, suite à une dispute avec le Comte. Leurs routes se séparent ; et Orffyreus devenu un vagabond aigri, meurt en novembre 1745.
Par la suite, en 1775, sous l’influence de Laplace, l’Académie des sciences de Paris condamne irrémédiablement le mouvement perpétuel, coupable, de faire perdre du temps et de l’argent à bon nombre d’ingénieux mécaniciens. Cette décision arbitraire impose, à tort, que le mouvement de certains systèmes ne peut se conserver toujours, même en supprimant les frottements et les résistances. Un effet étant toujours égal à sa cause, il est impossible de retrouver dans ce mouvement, en provoquant son arrêt, la force qu’on a dépensé pour le lancer. Ce jugement erroné de Leibniz a trouvé un large écho, pendant près de deux siècles ! Seul, le modèle de mouvement perpétuel, de la vibration du pendule, remet en cause cette imposture officielle ; envahissant la physique, et révélant avec les progrès de l’électronique, des propriétés étonnantes sur le plan de la transformation et du transport de l’énergie. Ce qui prouve bien qu’il y a une réelle adéquation entre la cause et l’effet !
© Photo ci-dessus (une roue à mouvement perpétuel de Bessler):
http://www.flickr.com/photos/jonathan_art/page6/
LE REVEIL DES HÉRITIERS DE BESSLER.
Le nombre de brevets déposés pour un mouvement perpétuel, au cours de l’histoire, n’a jamais faibli. Le tout premier brevet date de 1617. Entre cette date et 1903, il y a eu plus de 600 brevets ; dont 25 avant 1855. Sur un total de 31 applications de 1897 à 1900 inclus ; 10 étaient anglaises, 8 américaines, 3 françaises, 5 allemandes, 2°australiennes, 1 russe, 1 belge et 1 autrichienne. Pour l'année 1901, on compte 13 applications de brevets de mouvement perpétuel ; en 1902, 10 et en 1903, 9. Un de ces inventeurs de génie se caractérise particulièrement. Il s’agit de Garabed°T.°K.°Giragossian, un américain de Boston. En 1917, il fabrique une grande roue à volant, qui se charge lentement en énergie et en délivre beaucoup en l'espace d'une seconde. Ses partisans insistent pour faire reconnaître le procédé auprès du Congrès américain. Mais en vain ! Entre 1912 et 1932, le développement du mouvement perpétuel électrique se fait parallèlement au concept de l'éther. De même, on découvre le principe d’une boule de fer suspendue dans le vide grâce au magnétisme, et tournant très vite, en faisant virtuellement une rotation sans friction. Dans la foulée, Hugo E. Fraga (né à La Havane le 29/04/1939) se sert aussi d’une roue à gravité déséquilibrée. Il pense faire voler le vaisseau de Harry W. Bull de Syracuse (New York), avec son moteur à réaction défiant, apparemment, la gravitation. Quant à David Eugène Cowlishaw, s’il n'a pas reconstitué la machine d'Orffyreus, son appareil à poussée inertielle, le GIT - que quinze chercheurs ont expérimenté avec succès dans le monde – utilise la même technologie. Il explique sur Internet, le 23 mars 1998, que la roue, qui peut paraître en déséquilibre, fonctionne sur l’énergie de rotation acquise par le roulement incliné de cylindres (au lieu des goupilles de diamètre inférieur dont se servait Orffyreus pour augmenter le couple angulaire entre les arrêts). Dans la même veine, Bruce Welsh trouve l’inspiration, dès son enfance, grâce à son oncle, bricoleur, qui invente, par hasard, un jeu créant un mouvement perpétuel. Mais, ce dernier ne se doute même pas qu’il a violé les lois de la physique ! Suite à cette aventure mécanique ludique, "d’un autre type", Bruce Welsh devient ingénieur en électronique et se consacre, depuis plus de 20 ans, aux énergies alternatives. Il est convaincu que l’on peut construire des machines à sur-unité. Son invention décrit un moteur magnétique repoussant, un mécanisme en mouvement, pouvant faire fonctionner un alternateur, un véhicule, un navire, un avion…
Escher : "Mouvement Perpétuel."
PRINCIPES D’UNE ÉNERGIE NATURELLE BOYCOTTÉE PAR L’INDUSTRIE.
Les sources d’énergies conventionnelles utilisent des ressources fossiles comme le pétrole et le charbon ; mais, aussi le nucléaire (d’où l’électricité est majoritairement dérivée en France notamment). Il s’agit donc de sources d’énergies en mouvement, onéreuses, polluantes ; et nécessitant un transport ou une transmission sur de longues distances, jusqu'au point d’utilisation. Aussi, le besoin d’une source d’énergie, substantiellement non polluante, n’ayant aucun besoin d’apport énergétique extérieur, simple à maintenir, se fait-il ressentir depuis longtemps ! Quand la machine à mouvement perpétuel sera, enfin, "acceptée" et mise en service ; les scientifiques comprendront que dans la Nature, il y a d’autres exemples "prêts à l’emploi", permettant différentes applications, qu’une vanité excessive, les préjugés sociétaux, ne leur permettent pas actuellement de concevoir. Pourtant, les mouvements perpétuels foisonnent, depuis des milliards d'années, comme les électrons en vibration. En fait, ces derniers sont en rotation perpétuelle autour du noyau de l’atome. D’où provient l’énergie nécessaire à leurs mouvements ? En observant l’électron et en appliquant les lois standards de conservation de l’énergie, l’atome devrait se consumer comme une bûche. Hors, ce n’est pas le cas ! Il ne reste plus qu’une seule solution crédible : l’énergie provient du vide environnant, lui-même, ou encore de l’interaction entre la matière et le vide.
Imaginons, pour nous rassurer sur la non-complexité du problème, un petit enfant qui, au départ, jouerait à créer une roue à eau ou à vent ; et qui dans son innocence originelle, découvrirait, en s’amusant, un système faisant tourner les palles de sa roue, à l’infini, par le simple ajustement de cailloux, dont la fixation en poids et contrepoids créerait, sans le vouloir, un mouvement perpétuel, par effet d’entraînement manuel primitif. Ne serait-il pas, alors, dans la même position qu’un Newton découvrant la loi de la gravitation, en observant, tout simplement, tomber une pomme ? Ne découvrirait-il pas, ainsi, une énergie invisible à porter de main ? Cette innocente inventivité, quasi-innée chez l’Homme, remise à l’honneur, ne serait-elle pas, tout aussi primordiale pour l’Humanité, que le panthéon des dogmes normalisés de l’actuelle toute puissante Science, aux ordres du Système, que personne n’ose braver, sous peine d’être taxé de « révisionnisme scientifique » ? De nombreux projets, utilisent la force de gravité et la perte de l'équilibre ; comme les poids immergés dans de l'eau ou d'autres liquides ; l'ascension de récipients gonflés avec de l'air ou du gaz sous l'eau ; la compression suivie d'expansion de gaz et la tension de surface des liquides. La plupart de ces ingénieux inventeurs ont même prévu - non sans humour - des freins pour arrêter leurs machines et parer à toute augmentation dangereuse de vitesse.
© Photo ci-dessus : http://www.gilblog.org/article-avenir-radieux-104888143.h...
NE SOYONS PLUS ESCLAVES DES DOGMES CONVENUS, CHOISISSONS UN AVENIR ÉQUILIBRÉ A NOS ENFANTS !
Nous devons stopper immédiatement notre boulimie de matières premières donnant notamment des énergies aux déchets incontrôlables, sous peine de pollutions irrémédiables, de grandes catastrophes pas naturelles et de pandémies. L’Homme court à sa propre perte, à cause de l’intérêt "supérieurement égoïste" de quelques spéculateurs et profiteurs supranationaux. Et à un moment, où nos gouvernants dénoncent à juste titre, bruyamment, la tragédie écologique mondiale ; où l’on nous rabâche l’éco-citoyenneté et l’éco-mobilité ; la notion de pollueur-payeur ; le développement durable ; l’importance de l’Écologie… à contrario, l’Amérique en passant par les néo-cons et les démocrateux refuse de rentrer dans le rang des pays dits "développés", polluants moins ; préférant ainsi créer le chaos islamique organisé dans tout le Moyen-Orient, pour une poignée de Dollars supplémentaire et quelques goûtes de pétrole de plus. En parallèle, malgré le Grenelle de l’Environnement (qui est déjà une belle avancée écologique), et le sommet sur le développement durable de Rio du 20 au 22 juin prochain, la France se contente d’un traitement inadapté à ses maux, véritable "cautère sur une jambe de bois", en restant toujours aux ordres des intérêts particuliers non respectueux de la Nature et en n’allant pas au bout d’une véritable pensée écologique… Ainsi va le monde ! Nous sommes suicidaires au point de suivre aveuglément tout ce que les pubs des grandes majors internationales, contrôlées par certaines officines, nous imposent. Notre santé ne les intéresse pas ! Et plus grave, ne nous inquiète pas nous-mêmes ! Les énergies dont nous ne contrôlons, finalement, pas les retombées, et ce, sur des siècles parfois… détruisent en continu une "ex-planète bleue" devenue grise. Il en va de même des déchets nucléaires jetés en mer dans des sarcophages de plomb à durée de vie limitée à trente ans, des déchets ménagers dont nous ne savons plus quoi faire (enfouissement ou incinération ?), des sols et de la nappe phréatique outrageusement et sciemment pollués par nos industrieux, des gaz à effet de serre, etc. Les bouleversements climatiques qui découlent de toutes ces non-conformités écologiques provoquent l’agrandissement du trou dans la couche d’ozone, les importantes sécheresses, inondations et tempêtes que nous connaissons de plus en plus, etc. entraînant des mouvements de population mondiaux incontrôlés suite aux famines qui en résultent. Il nous faut donc réorienter notre civilisation vers des énergies propres, libres, gratuites et des carburants alternatifs, sous peine de tous crever. Pour ce faire, le moteur de Perendev puisant l’énergie, naturellement, dans le vide inépuisable de l’Univers (et dans lequel nous vivons !) doit être généralisé. Mais, le détenteur du brevet, l’allemand Mike Brady, commercialisant ces machines n'a pas - comme de bien entendu - obtenu d’homologation ; sous le fallacieux prétexte qu'on ne connaît pas la dangerosité des systèmes magnétiques ! Ce raisonnement faux tend à faire oublier qu’on trouve des aimants dans les moteurs électriques classiques ou encore dans les haut-parleurs de nos chaînes Hi-Fi. Comment peut-on considérer qu’un aimant est plus « dangereux » qu'une source nucléaire ? Aurait-on oublié les dramatiques accidents des centrales nucléaires de Tchernobyl et de Fukushima ? Il y a, là, vraiment, un non-sens totalitaire !
© Photo ci-dessus (principe de Perendev : la magnétosynergie) : magnetosynergie.com/PerendevCoaxial/PerendevCo-01
Perendev vend sur son site internet(1) des machines pouvant produire jusqu'à 300 KW ; soit la consommation électrique pour 20 habitations classiques - à hauteur de 15 KW chacune - sachant que l’abonnement EDF standard, oscille entre 10 et 15 KW. Sa découverte convertit la force rectiligne du champ d’un aimant (provenant directement d’une structure cristalline en rupture de symétrie) en un mouvement circulaire. Cela revient, en quelque sorte, à ouvrir un "robinet" à énergie mécanique, provenant du vide… Donc, un mouvement quasi "perpétuel", puisque le vide est inépuisable ! Une "théorie" à ne surtout pas développer devant la communauté scientifique en place, sous peine, d’être enfermé dans un asile ou évacué manu militari ! Pour info : la durée de vie d’un aimant est d’au moins un siècle. Cela laisse rêveur ! Mais, la machine de base de Perendev est un "petit jouet", comparée à d’autres développements possibles, comme les inventions d’Edwin Gray, permettant d’atteindre le mégawatt dans un volume plus petit, avec une technologie et une fiabilité supérieure à un couple alternateur/moteur, et de Bedeni, assurant une force mécanique et un courant de rendement supérieur.
LE MOUVEMENT PERPÉTUEL : LE BON SENS ÉNERGÉTIQUE A COTE DE CHEZ VOUS !
Alors, qu’est-ce qu’on attend pour être heureux et faire confiance à notre bon sens ? Qu’attendons-nous pour refuser que l’énergie reste un moyen d'asservissement des masses – une occasion supplémentaire d’asséner des taxes exorbitantes et de faire des profits mirifiques sur le dos des consommateurs "vache à lait" - alors que celle-ci devrait est libre, gratuite et infinie, pour chaque Être Humain ; compte tenu des vraies lois physiques qui régissent l'univers. Un enseignement non proposé d’ailleurs dans nos universités et dans la "vraie fausse" littérature scientifique ! Il faut mettre fin au monopole injustifié des énergies, accordé à quelques nantis avec l’accord de tous nos dirigeants ! Les vrais physiciens doivent pouvoir oser aborder le sujet du mouvement perpétuel sans avoir peur d’être aussitôt conspués, par une soit-disant « communauté scientifique », aux ordres du Système et entièrement sponsorisée par les lobbies en tous genres ! En considérant les saines propriétés de l’Univers, le pétrole, le nucléaire et même l'énergie éolienne… deviennent obsolètes. Une vraie révolution ! Sommes-nous prêts à franchir le pas ? Et surtout, aurons-nous l’intelligence de garantir la paix mondiale, en assurant une transition humaine et progressive, respectant l’équilibre économique bouleversé, de fait, du Moyen-Orient (et d’autres parties du Monde) immuno-dépendant de la vente du pétrole ? Ce défi salvateur se doit d’être réfléchi collectivement, et rapidement, pour enfin respecter l’Oeuvre que Mère Nature a mis des siècles à façonner, c’est-à-dire : le Monde. Alors, existe-il un scientifique couillu et désintéressé, dont l’audace le poussera à répandre cette théorie constructive, relevant pratiquement de l’interdit ; s’érigeant, ainsi, en bienfaiteur de l’Humanité ? Un nouveau Galilée en quelque sorte défiant les nouvelles Inquisitions ! Être ou ne pas être courageux ? Accepter de crever ou réagir pour mieux vivre, en mettant en place un nouveau mode de vie préservant notre écosystème ? Telles sont les vraies questions ! L’avenir proche appartiendra à un Homme garant de sa plus longue mémoire, par le respect de tout ce qui l’entoure et le fait vivre, ou bien sonnera le glas d’une Humanité anéantie par ses propres folies !
© Jean Dorval, en collaboration avec MLE, "Bricoleur de Génie", le 11.06.2012, pour LTC Innovation.
Notes :
Sources documentaires :
Le livre de R.A. Ford, Lost Technlology Series, réimpression en 1987 de "Perpetual Motion Journal" de Irving R. Barrows (1967).
Et pour plus d’infos :
19:00 Publié dans LTC GRANDS REPORTAGES | Lien permanent | Tags : les héritiers de bessler, jean dorval pour ltc grand reportages, jean dorval pour ltc, ltc, latourcamoufle, la tour camoufle, centre pompidou-metz, metz, moselle, lorraine, france, europe, union européenne, ue, le mouvement perpétuel, une éco-énergie, infinie, baillonnée par les lobbies, mère nature, mle bricoleur de génie, environnement, énergie pure, développement durable, fukushima, tchernobyl, système magnétique, mike brady, perendev, léonard de vinci, christian huygens, john bernoulli, robert boyle, georges b. airy, nikola tesla, orffyreus, jeux olympiques de londres, jo de londres, sommet sur le, de rio, juin 2012, rio +20 | Facebook |