18/04/2020
LTC LECTURE : 2430
A propos de confinement (durable)… (1) (2)
"(…) 2430. Entre Minuit et l’aube, quand le sommeil ne veut pas venir et que toutes les vieilles blessures commencent à faire mal, j’ai souvent la vision cauchemardesque d’un monde futur dans lequel il y a des milliards de gens, tous numérotés et enregistrés, sans un éclair de génie nulle part, sans un esprit original, sans une personnalité éclatante, sur l’ensemble de ce globe surpeuplé. J. B. PRIESTLEY (…)"
"(…) Nous avons finalement exploité la Terre et nous l’avons peuplée de l’espèce humaine. (…) Vous êtes vous plongé dans l’histoire du XXe siècle ? (…) »
"(…) J’espère que vous ne l’avez pas hyper-romantisé. J’ai étudié sa folie, aussi. Le monde était alors vide, quelques milliards, à peine, et ils trouvaient qu’il était surpeuplé… et avec de bonnes raisons. Ils dépensaient plus de la moitié de leurs biens en guerres et en préparatifs de guerre, ils dirigeaient leur économie sans réflexion, ils gaspillaient et s’empoisonnaient à plaisir, ils laissaient au pur hasard le soin de régir le fonds commun génétique et toléraient les normes venant des excentriques de toutes sortes. Bien entendu, ils craignaient ce qu’ils appelaient l’explosion démographique, rêvaient d’atteindre d’autres mondes comme une sorte d’évasion. Nous aurions fait la même chose dans ces conditions.
"Je n’ai pas besoin de vous parler du concours de circonstances et de progrès scientifiques qui a tout changé, mais laissez-moi vous le rappeler brièvement au cas où vous essaieriez d’oublier. Il y eut l’établissement d’un gouvernement mondial, le développement de l’énergie nucléaire, et l’extension de l’art de la technique génétique. Avec la paix planétaire, l’abondance d’énergie, et une humanité sereine, les hommes purent se multiplier paisiblement, et la science se développa parallèlement à cet accroissement.
"On savait d’avance exactement combien d’hommes la Terre pouvait nourrir. Tant de calories d’énergie solaire arrivaient sur la Terre et, d’après cela, tant de tonnes seulement de gaz carbonique pouvaient être fixées par les plantes vertes chaque année, et tant de tonnes seulement de vie animale pouvaient subvenir aux besoins de deux billions de tonnes animale…"
Cranwitz, finalement, l’interrompit :
- Et pourquoi ces deux billions de tonnes ne seraient-elles pas toutes humaines ?
- Même si cela signifiait la destruction de toute vie animale ?
- C’est la loi de l’évolution, dit Bunting, en colère. Celui qui s’adapte survit.
De nouveau, Alvarez toucha le genou de l’autre.
- Bunting a raison, Cranwitz, dit-il doucement. Les téléostéens ont remplacé les placodermes, lesquels ont remplacé les trilobites. Les reptiles ont remplacé les amphibiens, et ont été à leur tour remplacés par les mammifères. Maintenant, enfin, l’évolution a atteint son apogée. La Terre porte sa puissante population de quinze billions d’êtres humains…
- Mais comment ? demanda Cranwitz. Ils vivent dans un unique et immense bâtiment qui occupe toute la surface d’une terre aride, sans plantes ni animaux autour d’eux, en dehors de ce que j’ai ici. Et Tout l’océan inhabité est devenu une soupe de plancton ; pas de vie, mais du plancton. Nous le récoltons indéfiniment pour nourrir les gens, et, tout aussi indéfiniment, nous restituons de la matière organique pour nourrir le plancton.
- Nous vivons très bien, dit Alvarez. Il n’y a pas de guerre. Il n’y a pas de crimes. Nos naissances sont réglementées. Nos morts son paisibles. Nos enfants sont adaptés génétiquement et, sur la Terre, il y a maintenant vingt milliards de tonnes de cerveau normal ; la plus grande quantité concevable de la matière la plus complexe qu’on puisse concevoir dans l’univers.
- Et tout ce poids de cerveau fait quoi ?
Bunting poussa un soupir d’exaspération, assez fort pour être audible, mais Alvarez, toujours aussi calme, dit :
- Mon cher ami, vous confondez le moyen avec la fin. Cela vient peut-être de ce que vous vivez avec vos animaux. Quand la Terre était en cours de développement, il était nécessaire à la vie de faire des expériences et de prendre des risques. Ça valait même la peine d’être gaspilleur. La Terre était vide en ce temps-là. Il y avait une place infinie, et l’évolution devait faire des expériences avec dix millions d‘espèces ou plus – jusqu’à ce qu’on trouve la bonne espèce.
"Même après la venue des hommes, elle a dû apprendre à se conduire. Pendant cette période d’apprentissage, elle a dû prendre des risques, tenter l’impossible, être insensée ou folle… Mais l’humanité est rentrée chez elle maintenant. Les hommes ont occupé la planète et n’ont besoin que d’une seule chose : profiter de la perfection."
Alvarez s’arrêta pour laisser ses paroles faire impression sur Cranwitz, puis il dit :
- Nous la voulons, Cranwitz. Le monde entier veut la perfection. C’est par notre génération que la perfection a été atteinte, et nous voulons l’honneur de l’avoir atteinte. Vos animaux sont sur notre route.
Cranwitz hocha la tête, d’un air entêté.
- Ils prennent si peu de place ; ils consomment si peu d’énergie. Si on les supprimait tous, vous auriez de la place pour quoi ? Pour vingt-cinq êtres humains de plus ? Vingt-cinq sur quinze billions ?
- Vingt-cinq êtres humains, dit Bunting, représentent trente-cinq kilos de cerveau humain. Avec quelle mesure pouvez-vous évaluer trente-cinq kilos de cerveau humain ?
- Mais vous en avez déjà des milliards de tonnes.
- Je sais, dit Alvarez, mais la différence entre la perfection et la pas-tout-à-fait perfection est celle qui existe entre la vie et la pas-tout-à-fait vie. Nous sommes si proches du but maintenant. Toute la Terre se prépare à célébrer cet an 2430. C’est l’année où l’ordinateur nous dit que la planète est enfin pleine ; le but est atteint ; tous les efforts de l’évolution sont couronnés de succès. Devrions-nous échouer faute de vingt-cinq êtres – même sur quinze billions. C’est une imperfection minuscule, minuscule, mais c’est une imperfection.
"Réfléchissez, Cranwitz ! La Terre a attendu cinq milliards d’années pour être parachevée. Devons-nous attendre plus longtemps ? Nous ne pouvons pas et ne voulons pas vous forcer, mais si vous vous soumettez volontairement, vous serez un héros pour tous.
- Oui, dit Bunting. Dans l’avenir, les hommes diront que Cranwitz a fait un geste, et que, par ce seul geste, nous avons atteint la perfection.
Et Cranwitz dit, imitant l’intonation de l’autre :
- Et les hommes diront qu’Alvarez et Bunting l’ont persuadé d’agir ainsi.
- Si nous réussissons ! dit Alvarez, avec un chagrin visible. Mais, dites-moi, Cranwitz, pouvez-vous espérer tenir éternellement contre la volonté éclairée de quinze billions de gens ? Quels que soient vos mobiles – et je reconnais qu’à votre façon, vous êtes un idéaliste -, pouvez-vous priver tant de gens de cette dernière bribe de perfection ?
Cranwitz baissa les yeux en silence, et Alvarez fit doucement un geste de la main en direction de Bunting, et Bunting se tut. Le silence continua à planer tandis que s’écoulaient lentement les minutes.
Puis Cranwitz murmura :
- Puis-je passer encore une journée avec mes animaux ?
- Et après ?
- Et après… je ne veux pas me dresser entre l’humanité et la perfection.
Et Alvarez dit :
- Je le ferai savoir au monde. On vous honorera.
Bunting et lui partirent.
Dans les vastes bâtiments continentaux, quelque cinq billions d’êtres humains dormaient tranquillement ; quelque deux billions d’êtres humains mangeaient tranquillement ; un demi-billion faisait soigneusement l’amour. D’autres billions parlaient sans chaleur, ou surveillaient paisiblement les ordinateurs, ou conduisaient les véhicules, ou étudiaient les machines, ou organisaient des bibliothèques de microfilms, ou amusaient leurs compagnons. Des billions allaient dormir ; des billions s’éveillaient ; et le train-train quotidien ne changeait jamais.
Les machines fonctionnaient, se vérifiaient elles-mêmes, se réparaient elles-mêmes. La soupe de plancton de l’océan planétaire cuisait au soleil, et les ellules se divisaient, se divisaient, se divisaient, tandis que des dragues les ramassaient indéfiniment et les séchaient et, par millions de tonnes, les transféraient dans les convoyeurs et les conduits qui les amèneraient aux quatre coins des bâtiments sans fin.
Et dans les quatre coins des bâtiments, les déchets humains étaient rassemblés, irradiés et séchés, et les cadavres humains étaient broyés, traités et séchés, et, éternellement, les résidus étaient ramenés à l’océan. Et pendant des heures, alors que tout cela continuait, comme cela avait continué pendant des décennies, et pouvait être condamné à continuer pendant des millénaires, Cranwitz nourrissait, une dernière fois, ses petites créatures, caressait son cochon d’Inde, soulevait une tortue pour plonger son regard dans ses yeux indéchiffrables, promenait un brin d’herbe vivante entre ses doigts.
Il les compta tous, un par un - dernières choses vivantes sur la Terre qui n’étaient ni des hommes ni de la nourriture pour hommes -, puis il empoisonna le sol dans lequel poussaient les plantes et les tua. Il inonda les cages et les pièces dans lesquelles se déplaçaient les animaux avec le gaz approprié, et ils cessèrent de bouger, et bientôt ils cessèrent de vivre.
Ces survivants avaient disparu, et maintenant, entre l’humanité et la perfection, il n’y avait plus que Cranwitz, dont les pensées encore rebelles sortaient de la norme. Mais, pour Cranwitz, il y avait aussi les gaz, et il ne voulait pas vivre.
Et, après cela, il y eut vraiment la perfection, sur toute la surface de la Terre, pour l’ensemble de ses quinze billions d’habitants, et, sur ses vingt milliards de tonnes de cerveau humain, il n’y eut (après la disparition de Cranwitz) pas une pensée inquiétante, pas une idée extraordinaire, pour troubler la sérénité universelle, ce qui signifiait qu’on avait enfin atteint le vide exquis de l’uniformité. (…)"
ISAAC ASIMOV - 2430
INFOS+ : Wiki/Cher_Jupiter & LesLibraires.fr
(1) Extraits de la nouvelle 2430, in Cher Jupiter, recueil de nouvelles de SF, d’Isaac Asimov, publié en 1975, page 286, des pages 292 à 299, aux éditions Doubleday (Knopf Doubleday Publishing Group, une division de Penguin Random House LLC, et en 1977 par les Editions Denoël pour la traduction française
(2) Cela fait penser au film d’anticipation américain Soleil Vert, réalisé par Richard Fleischer, sorti en 1973, et inspiré du roman de science-fiction Soleil Vert d’Harry Harrison (1966)
11:47 Publié dans LTC LECTURE | Lien permanent | Tags : 2430, cher jupiter, isaac asimov, éditions denoêl, sf, science-fiction, folio science-fiction, anne villemin-sicherman transforme le metz du xviiie siècle, en scène de crimes, anne villemin-sicherman, auteure, messine, passionnée d'histoire messine, histoire, tc lecture annonce, médiathèque du sablon, metz-sablon, une langue bien pendue avec darina sainciuc, metz-sablon. Édith caroline : une gueule d’amour, michaël jackson, carole romane, la vie morte, éditions amalthée, viol, social, amour du prochain, il était une fois jd au 6ème salon du livre "boulay bouq’in", ltc lecture annonce..., jean dorval pour ltc lecture, boulay bouq'in 2015, porte des allemands, manifestation estivales du livre, pascal serra, « sur la piste des primitifs – groogh nous voilà ! », yil editions, jean dorval, poète lorrain, dédicacera, son ouvrage de poésie, « le semeur de sentiments », paru chez edilivre, loÏs mÈne l’enquÊte, de l’ocÉan indien au mont saint-michel, sandra reinflet, journaliste, voyageuse, écrivain, photographe, animatrice | Facebook |
14/06/2016
LTC LECTURE ANNONCE...
Bientôt, très bientôt... Un interview de Catherine Debusne, historienne du costume traditionnel, écrivaine et illustratrice, signé JD.
00:38 Publié dans LTC LECTURE | Lien permanent | Tags : bientôt, très bientôt... un interview de catherine debusne, historienne, Écrivaine et illustratrice, signé jd, la pivoine rouge, anne-catherine leucart, anne villemin-sicherman transforme le metz du xviiie siècle, en scène de crimes, anne villemin-sicherman, auteure, messine, passionnée d'histoire messine, histoire, metz, tc lecture annonce, médiathèque du sablon, metz-sablon, une langue bien pendue avec darina sainciuc, metz-sablon. Édith caroline : une gueule d’amour, michaël jackson, carole romane, la vie morte, éditions amalthée, viol, social, amour du prochain, il était une fois jd au 6ème salon du livre "boulay bouq’in", ltc lecture annonce..., jean dorval pour ltc lecture, boulay bouq'in 2015, porte des allemands, manifestation estivales du livre, pascal serra, « sur la piste des primitifs – groogh nous voilà ! », yil editions, jean dorval, poète lorrain, dédicacera, son ouvrage de poésie, « le semeur de sentiments », paru chez edilivre, loÏs mÈne l’enquÊte, de l’ocÉan indien au mont saint-michel, sandra reinflet, journaliste, voyageuse, écrivain, photographe, animatrice | Facebook |
31/12/2015
LTC Lecture : La Pivoine Rouge ou le désir ardent.
Anne-Catherine Leucart réveille la Pivoine Rouge qui est en chacun de nous.
La messine Anne-Catherine Leucart est mariée et mère de trois enfants. Cette infirmière libérale, depuis 2010, humaine jusqu’au bout des ongles, est proche des réalités sociales de terrain. Elle est présidente de l’association humanitaire Bon Cœur Bonheur Sans Frontière qui collecte des affaires et du matériel pour les plus démunis. Engagée dans la dernière campagne municipale, elle a créé un compte Facebook. Sa photo de profil a plu à de nombreuses personnes qui l’ont contactée.
C’est à partir des dialogues échangés avec ces prétendants virtuels, et de ce qu'elle observe, que va naître une passionnante histoire d'Amour, son premier roman La Pivoine Rouge, publié aux éditions Fensch Vallée. Dans le langage des fleurs, la pivoine rouge symbolise le désir charnel ardent. Et ses deux héros, Cathy et Raphaël, qui ne se sont jamais rencontrés, vont vivre une idylle qui débute par une relation épistolaire sur un réseau social. Au fil des courriels leurs échanges deviennent de plus en plus intimes. Au fur et à mesure, malgré de nombreuses péripéties, cette aventure numérique les amène à se découvrir l’un et l’autre, l’un par l’autre et l'un pour l'autre. Au travers du point de vue de Cathy, puis de celui de Raphaël, chaque personnage cueille les instants de sa propre vie, sa propre Pivoine Rouge. Cet ouvrage plein de poésie à fleur de peau, résolument moderne, mariant savamment le sentiment et l’érotisme, aborde le thème de la magie d’une rencontre amoureuse entre deux âmes sœurs, tout d’abord numériques, puis charnelles. Ce qui semblait impossible se réalisera-t-il ? L’Amour peut-il tout ? Permet-il de vaincre toutes les vicissitudes de la vie ? C’est ce que la romantique Anne-Catherine propose de découvrir au lecteur. Un livre à dévorer sans modération en vente dans toutes les librairies courant 2016, et que l'on peut trouver actuellement dans plusieurs magasins : Little Ginger, Le Carré, Le Goubidi's et Saona fleuriste à Metz, Actu'Coiffure à Yutz, et Grain de Charme à Longeville-lès-Metz.
Source documentaire et photos : © Le Républicain Lorrain 2015/DR. Avec l’aimable autorisation du journal.
09:55 Publié dans LTC LECTURE | Lien permanent | Tags : la pivoine rouge, anne-catherine leucart, anne villemin-sicherman transforme le metz du xviiie siècle, en scène de crimes, anne villemin-sicherman, auteure, messine, passionnée d'histoire messine, histoire, metz, tc lecture annonce, médiathèque du sablon, metz-sablon, une langue bien pendue avec darina sainciuc, metz-sablon. Édith caroline : une gueule d’amour, michaël jackson, carole romane, la vie morte, éditions amalthée, viol, social, amour du prochain, il était une fois jd au 6ème salon du livre "boulay bouq’in", ltc lecture annonce..., jean dorval pour ltc lecture, boulay bouq'in 2015, porte des allemands, manifestation estivales du livre, pascal serra, « sur la piste des primitifs – groogh nous voilà ! », yil editions, jean dorval, poète lorrain, dédicacera, son ouvrage de poésie, « le semeur de sentiments », paru chez edilivre, loÏs mÈne l’enquÊte, de l’ocÉan indien au mont saint-michel, sandra reinflet, journaliste, voyageuse, écrivain, photographe, animatrice, je t'aime maintenant, qui a tué jacques prévert, hommage à colette en lecture, 60ème anniversaire de sa disparition, médiathèque de metz-sablon | Facebook |
30/10/2015
LTC Lecture annonce : Le second recueil de poésie de Jean Dorval vient de sortir.
Résumé : « Dans ce second recueil de poésie, Jean Dorval emmène le lecteur dans son Carnet de voyage marocain, un rendez-vous galant plein de surprises. Il y rend hommage au Maroc, une terre de tradition et de spiritualité, aux paysages désertiques fertilisant son esprit créateur, théâtre d’un voyage exotique entre réalité et fantasme. Deux muses, conduites par Éros, l’entraînent dans leurs paysages charnels, sur lesquels il s’égare volontiers, perdu entre lunes et dunes, mirages et oasis. Cet ouvrage rituel perpétue le mythe romantique avec délectation. Où commence la réalité, où s’arrête le rêve ? C’est ce que Jean Dorval propose de faire découvrir au lecteur. Le Semeur de sentiments (son premier recueil) devient alors le Voyageur du sentiment, au pays des mille et un mots. » Anna des Naudins.
Jean Dorval dédicacera ses deux ouvrages de poésie, Le Semeur de sentiments et Le carnet de voyage marocain, au « Salon du livre d’Histoire à Woippy » (57), qui se déroulera salle Saint-Exupéry, place André Debs, les samedi 14 et dimanche 15 novembre 2015, de 10h à 19h. Il sera aussi au Salon « Des livres et vous » à Mancieulles (54), salle Saint-Pierremont, samedi 28 novembre 2015, de 10h à 18h. Ces deux manifestations sont organisées par la librairie Hisler-Even de Metz, et les municipalités de Woippy et de Mancieulles.
AdN pour LTC Lecture.
Info+ : edilivre.com/le-carnet-de-voyage-marocain
Lire des extraits : edilivre.com/extraits/le carnet de voyage marocain
21:51 Publié dans LTC LECTURE | Lien permanent | Tags : ltc lecture annonce, le second recueil de poésie, de jean dorval vient de sortir, le carnet de voyage marocain, édilivre, le semeur de sentiments, ltc lecture annonce..., jean dorval pour ltc lecture, boulay bouq'in 2015, metz, porte des allemands, manifestation estivales du livre, pascal serra, « sur la piste des primitifs – groogh nous voilà ! », yil editions, jean dorval, poète lorrain, dédicacera, son ouvrage de poésie, « le semeur de sentiments », paru chez edilivre, loÏs mÈne l’enquÊte, de l’ocÉan indien au mont saint-michel, sandra reinflet, journaliste, voyageuse, écrivain, photographe, animatrice, je t'aime maintenant, qui a tué jacques prévert, hommage à colette en lecture, 60ème anniversaire de sa disparition, médiathèque de metz-sablon, une ville face &u climat, metz à la fin du moyen âge, pun, éditions universitaires de lorrraine, laurent litzenburger, 1400-1530, la magie oubliée, chapitre ii" : un roman genial signé matbak, un roman d'aventure, matbak, un ado surdoué, pur l'écriture, amateur de, lectures fantastiques, d'heroic-fantasy, mangas | Facebook |
03/09/2015
Metz : Les Récollets entre Jackson et Ryden.
Isabelle Petitjean, musicologue messine, donnera une conférence, mercredi 1er octobre, à 20h, dans la salle Capitulaire du cloître des Récollets, à Metz. Entrée libre. Dans le cadre de l’Institut Européen d’Écologie, elle évoquera la problématique environnementale et artistique ayant servi de ligne directrice à l’album "Dangerous" de Michael Jackson (1991) et au tableau du peintre surréaliste-pop Mark Ryden qui en a fait la pochette. Cette double-création artistique, musicale et visuelle, a fait l’objet d’une étude d’Isabelle Petitjean, publiée aux éditions L’Harmattan, en mai dernier, intitulée "La culture pop au panthéon des Beaux-Arts. Dangerous, de Mark Ryden à Michael Jackson." Une exposition de tableaux intitulée "Michael Jackson, un autre regard" de l’artiste-peintre québécoise, Dominic Renée Paul, illustrera le propos. Isabelle Petitjean sera en séances de dédicace le 26 septembre à la librairie Hisler-Even de Metz, le 10 octobre à Cultura de Terville et le 12 décembre à Cultura Waves de Moulins-Lès-Metz.
Source documentaire et photos : © Le Républicain Lorrain 2015/DR. Avec l’aimable autorisation du journal
22:26 Publié dans LTC LECTURE | Lien permanent | Tags : metz : les récollets entre jackson et ryden, isabelle petitjean en conférence, aux récollets, metz, le 1er octobre, 20h00, anne villemin-sicherman transforme le metz du xviiie siècle, en scène de crimes, anne villemin-sicherman, auteure, messine, passionnée d'histoire messine, histoire, tc lecture annonce, médiathèque du sablon, metz-sablon, une langue bien pendue avec darina sainciuc, metz-sablon. Édith caroline : une gueule d’amour, michaël jackson, carole romane, la vie morte, éditions amalthée, viol, social, amour du prochain, il était une fois jd au 6ème salon du livre "boulay bouq’in", ltc lecture annonce..., jean dorval pour ltc lecture, boulay bouq'in 2015, porte des allemands, manifestation estivales du livre, pascal serra, « sur la piste des primitifs – groogh nous voilà ! », yil editions, jean dorval, poète lorrain, dédicacera, son ouvrage de poésie, « le semeur de sentiments », paru chez edilivre, loÏs mÈne l’enquÊte, de l’ocÉan indien au mont saint-michel, sandra reinflet, journaliste, voyageuse, écrivain, photographe, animatrice | Facebook |
30/08/2015
Anne Villemin-Sicherman transforme le Metz du XVIIIe siècle en scène de crimes.
Anne Villemin-Sicherman plonge ses lecteurs
au coeur de palpitantes enquêtes dans le Metz du XVIIIe siècle.
Anne Villemin-Sicherman réside à Metz. Ce docteur en médecine, gynécologue de renom, officiant à Hagondange, a pris sa retraite, il y a deux ans. Chroniqueuse à Radio Jerico depuis 15 ans, passionnée d’Histoire messine, elle plonge ses lecteurs dans ses romans, publiés aux Éditions du Quotidien, au cœur du Metz du XVIIIe siècle, celui des Lumières.
. L’acte de naissance d’un enquêteur. - Dans son premier roman historique, Guet-apens rue des Juifs, paru en 2014, Anne Villemin-Sicherman, débutait à Metz, en 1770, les aventures d’Augustin Duroch. Cette intrigue policière transformait ce jeune artiste-vétérinaire en enquêteur improvisé, pris dans le tourbillon d’une mystérieuse épidémie frappant les écuries de l'intendant des Trois-Évêchés à Metz, Charles, Alexandre de Calonne ; nommé par le roi Louis XV en 1766. Le scénario atteignait son paroxysme avec l'assassinat d'un marchand juif de chevaux dans le ghetto. Metz devenait le décor d’un passionnant imbroglio, plein de suspense et de rebondissements. L’ouvrage a reçu un très bon accueil des lecteurs, séduits par l’originalité d’un récit hors du commun et la précision historique de l’auteure.
. De nouvelles investigations. - La suite des tribulations d’Augustin est tout aussi rythmée. L'argent des farines, paru le 3 août dernier, commence en août 1770. A Metz, comme partout ailleurs dans le royaume de France, le peuple souffre de disette ; conséquence fâcheuse de deux années de maigres récoltes, dues au mauvais temps. La famine menace. Le prix du pain – l’aliment de base à l’époque - flambe, suite à l’envolée subite des cours du blé. Les greniers de la ville se vident. Le peuple affamé s’impatiente. Des troubles surgissent : révoltes de quartiers, femmes volant du pain dans les boulangeries, etc. Soudain, deux boulangers sont sauvagement assassinés et des paysans se retrouvent menacés. Des rumeurs circulent : des spéculateurs stockeraient du blé, afin de créer une pénurie artificielle et faire monter les prix à leur profit. Pour éviter la crise, la communauté juive est sollicitée par l'intendant Calonne pour mettre en place un ravitaillement d'urgence, en provenance d'Allemagne ; car elle parle plusieurs langues (dont l’allemand), réunit les capitaux pour mettre en place ce plan de sauvetage et a les contacts commerciaux nécessaires. Le temps presse et la paix civile est incertaine. La sécurité des juifs commence même à se fragiliser. Augustin, qui travaille avec les paysans, est chargé par Calonne d’élucider rapidement cette affaire. L’histoire se pimente dès que la sublime Julie décide de le séduire. Cette fermière manipulatrice du château de Grimont n’est pas désintéressée. Augustin arrivera-t-il à sortir de ses griffes ? Il ne sait pas qu’il s'est déjà engagé dans une voie qui pourrait le conduire à sa perte...
. Anne Villemin-Sicherman confirme sa maîtrise du captivant. – Ce deuxième ouvrage étudie de manière approfondie la psychologique des personnages et débouche au final sur de surprenantes révélations. Il tient en haleine le lecteur du début jusqu’à la fin, au cœur de Metz, le faisant passer des palais aux bouges mal famés, des venelles sombres et sales aux campagnes du Pays messin. L’humanité d’Augustin, vétérinaire vaillant au grand cœur, s’inspire du père d’Anne. Issue d’une lignée de trois générations de vétérinaires, elle réhabilite ainsi son père déçu que sur cinq de ses enfants aucun n’y soit. Augustin sera peut-être lui-même père dans un autre ouvrage... Dans tous les cas, le troisième livre est en cours. Il commence par le célèbre souper de Metz du 8 aout 1775, durant lequel La Fayette, jeune officier, s’enthousiasme pour l’indépendance des États-Unis d’Amérique. Charles de Broglie, chef du Cabinet secret de Louis XV (le secret du Roy) s’y opposera. Affaire à suivre...
. Anne Villemin Sicherman dédicace ses romans à la FNAC de Metz le 5 septembre, de 14h à 19h ; à la librairie Hisler-Even de Metz, le 24 octobre, de 14h à 19h ; au salon littéraire Le livre sur la place, place de la Carrière, à Nancy, les 11, 12 et 13 septembre, de 10h à 19h ; au Salon du Livre d'Histoire de Woippy, salle Saint-Exupéry, les 14 et 15 novembre, de 10h à 19h ; et au Salon Des livres et vous, salle Saint-Pierremont, à Mancieulles (54), le 28 novembre, de 10h à 18h.
Renseignements : lelivrechezvous.fr/anne_villemin_sicherman
Source documentaire et photos : © Le Républicain Lorrain 2015/DR. Avec l’aimable autorisation du journal.
13:26 Publié dans LTC LECTURE | Lien permanent | Tags : anne villemin-sicherman transforme le metz du xviiie siècle, en scène de crimes, anne villemin-sicherman, auteure, messine, passionnée d'histoire messine, histoire, metz, tc lecture annonce, médiathèque du sablon, metz-sablon, une langue bien pendue avec darina sainciuc, metz-sablon. Édith caroline : une gueule d’amour, michaël jackson, carole romane, la vie morte, éditions amalthée, viol, social, amour du prochain, il était une fois jd au 6ème salon du livre "boulay bouq’in", ltc lecture annonce..., jean dorval pour ltc lecture, boulay bouq'in 2015, porte des allemands, manifestation estivales du livre, pascal serra, « sur la piste des primitifs – groogh nous voilà ! », yil editions, jean dorval, poète lorrain, dédicacera, son ouvrage de poésie, « le semeur de sentiments », paru chez edilivre, loÏs mÈne l’enquÊte, de l’ocÉan indien au mont saint-michel, sandra reinflet, journaliste, voyageuse, écrivain, photographe, animatrice, je t'aime maintenant, qui a tué jacques prévert, hommage à colette en lecture, 60ème anniversaire de sa disparition, médiathèque de metz-sablon, une ville face au climat | Facebook |
20/08/2015
LTC LECTURE ANNONCE : Metz-Sablon - Une langue bien pendue avec Darina Sainciuc.
Après ses deux lectures exceptionnelles de contes ukrainiens et russes, samedis 7 février et 18 avril derniers, à la médiathèque de Metz-Sablon, Darina Sainsiuc revient pour les enfants, de 7 à 10 ans, les samedis 17 octobre et 19 décembre, à 10h30, pour leur faire découvrir, cette fois-ci, des contes roumains et hongrois. Les enfants de 7 à 10 ans sont de nouveau invités à ces fabuleuses heures d’évasion et de voyage, brassage merveilleux d’histoires, de cultures, de musicalités et de mots - parfois étranges – à savourer comme autant de sucreries délicates, mettant en éveil les oreilles. Ces contes pas comme les autres laisseront aux enfants le souvenir d’aventures de pays parfois méconnus. Gratuit, sur réservation, au plus tôt un mois à l’avance.
Renseignements : Médiathèque du Sablon, 4/6 Rue des Roberts, à Metz-Sablon ; tél. : 03.87.55.59.34 ; bm.metz.fr
Source documentaire et photos : © Le Républicain Lorrain 2015/DR. Avec l’aimable autorisation du journal.
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19/07/2015
LTC LECTURE ANNONCE...
"Jean Dorval, poète lorrain, vivant à Metz, aime taquiner la Muse. Il flatte le beau sexe sans retenue, parlant de ses attentes et de ses désirs, mais aussi de ceux de Celles qui ont partagé sa vie ou y sont passées avec la rapidité d’une comète.
On retrouve dans son style d’écriture en vers libres, un romantisme échevelé, une passion et une tendresse infinie pour l’Amour et les sentiments, mais surtout pour les femmes.
Avec lui, c’est tout ou rien. Il s’offre comme on s’offre une première fois, et en attend de même de l’Autre. Ces sentiments là ne souffrent pas la trahison.
Un monde invitant Éros au festin charnel, sans détours, à lire avec un appétit dévorant."
Anna des Naudins
Jean Dorval aime l’écriture. Il compose des poèmes depuis qu’il est ado, et s’adonne au journalisme depuis les années quatre-vingt-dix. Il est parisien d’origine et l’Amour l’a conduit jusqu’à Metz, où il vit désormais en Lorrain de cœur et d’esprit.
Il est l'auteur de deux recueils de poésie parus chez Edilivre :
"Le Semeur de sentiments"
et "Le carnet de voyage marocain" (à paraître prochainement).
Jean Dorval est en séance de dédicace,
à la librairie Hisler-Even,
samedi 25 juillet 2015, de 14h00 à 19h00,
où "Le Semeur de sentiments" est en vente.
21:22 Publié dans LTC LECTURE | Lien permanent | Tags : jean dorval, séance de dédicace, à la librairie hisler-even, de metz, samedi 25 juin 2015, de 14h00 à 19h00, metz-sablon. Édith caroline : une gueule d’amour, michaël jackson, carole romane, la vie morte, éditions amalthée, viol, social, amour du prochain, il était une fois jd au 6ème salon du livre "boulay bouq’in", ltc lecture annonce..., jean dorval pour ltc lecture, boulay bouq'in 2015, metz, porte des allemands, manifestation estivales du livre, pascal serra, « sur la piste des primitifs – groogh nous voilà ! », yil editions, poète lorrain, dédicacera, son ouvrage de poésie, « le semeur de sentiments », paru chez edilivre, loÏs mÈne l’enquÊte, de l’ocÉan indien au mont saint-michel, sandra reinflet, journaliste, voyageuse, écrivain, photographe, animatrice, je t'aime maintenant, qui a tué jacques prévert, hommage à colette en lecture, 60ème anniversaire de sa disparition, médiathèque de metz-sablon, une ville face &u climat, metz à la fin du moyen âge, pun, éditions universitaires de lorrraine, laurent litzenburger, 1400-1530, la magie oubliée | Facebook |
Metz-Sablon. Édith Caroline : Une gueule d’Amour.
Édith Caroline : Un sourire et beaucoup d'Amour.
Édith Caroline Hoermann est une figure haut en couleur du Sablon. Sa vie est un livre à cœur ouvert. Elle a répondu à quelques questions.
Qui êtes-vous ?
. Édith Caroline Hoermann : "J’ai 57 ans. Divorcée à 28 ans, je suis issue d’une famille de sept enfants ; 4 filles et 3 garçons. Originaire de Strasbourg, j’ai étudié au lycée technique. Depuis 19 ans, je vis rue Saint-Pierre au Sablon. L’ambiance est tranquille, agréable. Je m’y suis installée, après six mois passés dans la rue, avec mon fils de 12 ans et ma fille de 15. Ma fille de 17 ans et mon fils de 18 étaient chez leur père. J’ai été une vraie maman-poule pour eux."
. Comment se resociabilise-t-on ?
. E. C. H. : "Je me suis resociabilisée avec l’aide d’une assistante sociale et de la protection de l’enfance. J’ai logé au centre d'accueil et d'hébergement d'urgence pour femmes de l’AIEM, place Sainte-Croix."
Quel est votre parcours professionnel ?
. E. C. H. : "A 17 ans, j’ai obtenu un CAP de Secrétariat. Dans les années 90, j’étais décoratrice de théâtre à Verny. Pendant 8 ans, j’ai joué au théâtre de la Seille. Je crée aussi des bijoux et suis portraitiste. En 2001, suite à un accident, je n’ai pas pu finir un stage de reconversion en comptabilité. J’ai passé 6 ans dans un fauteuil roulant. J’ai dû me sevrer des médicaments et apprendre à dépasser la douleur. Depuis l’âge de 45 ans, je suis magnétiseuse-guérisseuse."
Votre vie n’a pas été de tout repos.
. E. C. H. : "J’ai été violée à l’âge de 8 ans, battue par mon père. J’ai failli être tuée par ma mère. J’ai survécu à une infection biliaire, avec 5 jours de coma. A 12 ans, j’étais condamnée par les médecins à cause d’une craniosténose ; une déformation de naissance du crâne. Les os, trop tôt soudés, empêchent la croissance normale du cerveau. Hospitalisée 12 ans, j’étais dans une bulle psychologique, comme une autiste. J’ai aussi survécu. Je reviens de loin."
Comment se sort-on de ces épreuves ?
. E. C. H. : "Je positive tout. Adepte de la non-violence, je transforme la souffrance en Amour. Devenir écrivaine m’a réconcilié avec moi-même. Mon premier roman est autobiographique. Intitulé La vie morte, il a été publié en 2010, sous le pseudo Carole Romane, aux éditions Amalthée. Il couvre mon histoire mouvementée de ma plus tendre enfance jusqu’à mes 50 ans. Une auto-psychothérapie ! Quand la vie est morte, peut-on revivre ? Mon second ouvrage est en cours de rédaction."
. Vous écrivez aussi de la poésie.
. E. C. H. : "Oui, depuis l’âge de 12 ans."
Vous nous réciter quelques vers ?
. E. C. H. : "Dans mon songe, seule à seule, marchant en rêvant, toi et moi, les cheveux et la pensée au vent (...) Soudain ! Tournant vers moi ton regard émouvant (...). Cet extrait du poème A toi, de 2008, est dédié à un homme."
Vous avez un accent du sud...
. E. C. H. : "Je vis une bonne partie de l’année chez ma fille à Béziers. Mon accent a la couleur de mes voyages."
Il paraît que vous avez une passion pour Michael Jackson...
. E. C. H. : "Dès 7 ans, j’ai admiré Michaël Jackson. Nous avons presque eu la même vie. Il a aussi été maltraité étant enfant, mais lui à percer dans la chanson."
Source documentaire et photos : © Le Républicain Lorrain 2015/DR. Avec l’aimable autorisation du journal.
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26/06/2015
Il était une fois JD au 6ème salon du livre "Boulay Bouq’in".
Jean Dorval dédicacera son recueil de poésie, "Le Semeur de sentiments", paru chez Edilivre, dans le cadre du 6ème salon du livre "Boulay Bouq’in", à Boulay, en Moselle, le samedi 27 et le dimanche 28 juin 2015. Plus de 100 auteurs - dont son ami Pascal Serra, auteur de BD - seront présents à ce salon organisé par la Communauté de Communes du Pays Boulageois et la Librairie Hisler-Even de Metz. Le prochain ouvrage de poésie de JD, "Le Carnet de voyage marocain", est en cours de relecture...
Anna des Naudin pour LTC Lecture.
20:04 Publié dans LTC LECTURE | Lien permanent | Tags : il était une fois jd au 6ème salon du livre "boulay bouq’in", ltc lecture annonce..., jean dorval pour ltc lecture, boulay bouq'in 2015, metz, porte des allemands, manifestation estivales du livre, pascal serra, « sur la piste des primitifs – groogh nous voilà ! », yil editions, jean dorval, poète lorrain, dédicacera, son ouvrage de poésie, « le semeur de sentiments », paru chez edilivre, loÏs mÈne l’enquÊte, de l’ocÉan indien au mont saint-michel, sandra reinflet, journaliste, voyageuse, écrivain, photographe, animatrice, je t'aime maintenant, qui a tué jacques prévert, hommage à colette en lecture, 60ème anniversaire de sa disparition, médiathèque de metz-sablon, une ville face &u climat, metz à la fin du moyen âge, pun, éditions universitaires de lorrraine, laurent litzenburger, 1400-1530, la magie oubliée, chapitre ii" : un roman genial signé matbak, un roman d'aventure, matbak, un ado surdoué, pur l'écriture, amateur de, lectures fantastiques, d'heroic-fantasy, mangas, shōnen, japon, les aventures d'andil, andil, le voleur notambule | Facebook |
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IN>FOS : paysboulageois.fr & facebook.com/BoulayBouqIn
Tout sur les auteurs et les nombreuses animations.
19:47 Publié dans LTC LECTURE | Lien permanent | Tags : ltc lecture annonce..., jean dorval pour ltc lecture, boulay bouq'in 2015, metz, porte des allemands, manifestation estivales du livre, pascal serra, « sur la piste des primitifs – groogh nous voilà ! », yil editions, jean dorval, poète lorrain, dédicacera, son ouvrage de poésie, « le semeur de sentiments », paru chez edilivre, loÏs mÈne l’enquÊte, de l’ocÉan indien au mont saint-michel, sandra reinflet, journaliste, voyageuse, écrivain, photographe, animatrice, je t'aime maintenant, qui a tué jacques prévert, hommage à colette en lecture, 60ème anniversaire de sa disparition, médiathèque de metz-sablon, une ville face &u climat, metz à la fin du moyen âge, pun, éditions universitaires de lorrraine, laurent litzenburger, 1400-1530, la magie oubliée, chapitre ii" : un roman genial signé matbak, un roman d'aventure, matbak, un ado surdoué, pur l'écriture, amateur de, lectures fantastiques, d'heroic-fantasy, mangas, shōnen, japon, les aventures d'andil, andil, le voleur notambule, et acrrobate | Facebook |
20/06/2015
Metz : Séance de dédicace à la librairie Hisler-Even pour JD.
ID KDO.
Cliquez sur l'image à droite pour en savoir sur ce recueil...
JD aux Estivales du livre à la Porte des Allemands de Metz, le 07 juin dernier (à gauche).
Jean Dorval dédicacera son recueil de poésie « Le Semeur de sentiments » à la librairie Hisler-Even, 1 rue Ambroise Thomas, à Metz, le samedi 25 juillet 2015, de 14h à 19h00.
Renseignements : 03.87.75.07.11
PS : La librairie Hisler-Even est devenue le premier point de vente en direct de cet ouvrage.
17:48 Publié dans LTC LECTURE | Lien permanent | Tags : metz, porte des allemands, manifestation estivales du livre, pascal serra, « sur la piste des primitifs – groogh nous voilà ! », yil editions, jean dorval, poète lorrain, dédicacera, son ouvrage de poésie, « le semeur de sentiments », paru chez edilivre, loÏs mÈne l’enquÊte, de l’ocÉan indien au mont saint-michel, sandra reinflet, journaliste, voyageuse, écrivain, photographe, animatrice, je t'aime maintenant, qui a tué jacques prévert, hommage à colette en lecture, 60ème anniversaire de sa disparition, médiathèque de metz-sablon, une ville face &u climat, metz à la fin du moyen âge, pun, éditions universitaires de lorrraine, laurent litzenburger, 1400-1530, la magie oubliée, chapitre ii" : un roman genial signé matbak, un roman d'aventure, matbak, un ado surdoué, pur l'écriture, amateur de, lectures fantastiques, d'heroic-fantasy, mangas, shōnen, japon, les aventures d'andil, andil, le voleur notambule, et acrrobate, jean dorval pour ltc lecture, bd, blake et mortimer | Facebook |