11/12/2009
RTT = Réalisation Totalement (prévue pour la...) TV
"RTT", le dernier film de Frédéric Berthe est à n'en par douter prévu (et déjà programmer) pour passer à la télévision un dimanche soir. Rien de bien transcendant : un scénar pas très original, une action déjà vue, des effets spéciaux "normaux" (voir minimalistes), des vues de Miami très convenues (alors qu'on est censé être dans un décor de rêve), un Kad Mérad (que pourtant j'adore dans un tas de film, comme "Les Choristes", "Le Petit Nicolas", etc.) plus que raplapla... Seule la jolie brune, Mélanie Doutey, sauve la mise, avec sa plastique de rêve et ses sourires très "WOUAF-WOUAF"... (couché le chien !!!) Ce film, là, ne vaut pas le déplacement au cinéma, il faut juste attendre de le voir "gratos" à la TV, sur son canapé en sirotant une bonne bière... pour essayer d'oublier que rien de bien palpitant nous attend en le regardant.
JD pour LTC Kinéma.
13:06 Publié dans LTC KINEMA | Lien permanent | Tags : rtt le film, kad mérad, mélanie doutey, frédéric berthe, kinéma, jean dorval pour ltc kinéma | Facebook |
"LE MONDE" A PUBLIE DERNIEREMENT UN SPECIAL HORS SERIE SUR TINTIN...
09:35 Publié dans LTC LECTURE | Lien permanent | Tags : tintin, le monde le journal, spécial tintin, hors série, tintin le film de steven spielberg, hergé, tintin le retour, milou, choisissez votre couverture, bonne année, jean dorval pour ltc kinéma | Facebook |
09/12/2009
UN FILM A NE PAS « LOUP »ER !!!
Le film d’aventure "LOUP" de Nicolas Vanier, avec Nicolas Brioudes et Pom Klementieff sort aujourd’hui sur nos écrans. Il était une fois… Sergueï, un jeune gardien Evène (de 16 ans) vivant dans les montagnes de Sibérie orientale. Ce dernier se voit confier, seul, pour la durée de l'été la responsabilité d’une harde de 3.000 rennes ("La Grande Harde"). Mais... les loups rodent et menacent constamment ce gigantesque et paisible troupeau qui est la seule richesse de son clan. C'est pourquoi, dès son plus jeune âge on lui a appris à tuer ces prédateurs, sans états d’âme. Mais, un jour notre gardien fait la rencontre d’une louve et de ses quatre adorables louveteaux. Cela va bouleverser toutes les certitudes de cet ado, finalement très écolo. Que voilà un magnifique film (les prises de vues captent en continu un paysage à couper le souffle !) dans lequel Mère Nature se mêle aux traditions… Que du bonheur ! A voir absolument, afin d’ouvrir son cœur vers l’infiniment beau !
© Jean Dorval pour LTC Kinéma.
INFOS PLUS :
© Photo ci-dessus : leparisien.fr
Quand Nicolas Vanier joue à "Danse avec les louveteaux"...
L'Homme ne peut se réaliser que sur la Terre de ses Ancêtres, là où ses racines sont profondes, là où sa plus longue mémoire résonne pour toujours...
09:25 Publié dans LTC KINEMA | Lien permanent | Tags : un film a ne pas « loup »er, loup le film, un film de nicolas vanier, nicolas brioudes, pom klementieff, sergueï, sibérie orientale, mère nature, kinéma, sauvagarde du loup, cinéma, lorraine, jean dorval pour ltc kinéma | Facebook |
08/12/2009
ARTHUR ET LES MINIMOYS : ET 1, ET 2, ET 3 « ZéROS… POINTéS » !
Moi qui « adoooore » les productions de Luc Besson (« Subway », « Le Grand Bleu », « Nikita », « Le 5ème Elément », etc. »), qui d’habitude crie « cocorico » quand je vais voir un bon film français, je dois vous avouer ma déception après avoir découvert la « super » grande production française « Arthur et la vengeance de Maltazard ». Il est vrai que le premier volet de la série « Arthur et les Minimoys » ne m’avait, déjà, pas vraiment branché. Les maîtres de la féerie cinématographique restant vraiment les amerloques de choc, un peuple qui baigne dans un Imaginaire taillé tout spécialement pour Lui dans le roc, avec des effets spéciaux de qualité à couper le souffle (d’ailleurs souvent faits par des Français du côté de Poitiers…) !
LA VENGEANCE (de Maltazard) EST UN PLAT QUI PARFOIS SE MANGE… CHAUD
Le scénario qui aboutit à la vengeance de Maltazard est sans surprise, un peu compliqué parfois, en plus, il laisse le public sur sa faim, car… un troisième opus est en gestation (« Arthur et la Guerre des deux mondes », sortie prévue sur 2010), ainsi qu’un 4ème… Dans cette seconde toile, les Minimoys font toujours autant la fiesta. Ils restent définitivement naïfs (pour ne pas dire niais). Leurs dialogues sont minimalistes au possible (certainement pour ne pas réveiller une Jeunesse dorée trop endormie par le matérialisme). Pourtant, le danger rode dans les parages… Et le soi-disant « puissant » Maltazard va de nouveau sévir… Un scénar sans surprise, avec de belles images vides de sens…
Luc Besson, trop heureux du succès hexagonal de son premier film (soit 6 millions d'entrées…), n’a pas pu s’empêcher de se relancer dans l’aventure nombrilesque de « l’infiniment Mini… MOI ». Quitte pour cela à faire pire ! Il en deviendrait presque autosuffisant. Cette fois-ci, il n’enrichira pas le patrimoine du Centre National de la Cinématographie… Il va juste arrondir la somme qui est sur son compte en banque… puisque sa « petite entreprise » ne connaît pas la crise. Argent contre qualité, il faut savoir parfois choisir !
© Jean Dorval, le 08.12.09, pour LTC Kinéma.
INFOS PLUS :
http://www.arthuretlesminimoys.com/
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LES HISTOIRES D’AMOUR (capitalistiques) FINISSENT MAL EN GéNéRAL…
« Capitalisme : Une Histoire d’Amour » (titre original : "Capitalism : A Love Story"), un documentaire politico-économique et social, américain, d’une durée de 2h07, a été réalisé, scénarisé et écrit par Michael Moore. Ce grand bonhomme a produit cette excellente toile revendicative en collaboration avec Kathleen Glynn. Michael Moore dans ce long métrage examine à la loupe, avec un œil à la fois humain pour les humbles et sévère envers les profiteurs - comme il l'a fait il y a vingt ans avec « Roger and Me » - les méfaits de l’ultralibéralisme, le démantèlement organisé de l’outil de production américain pour faire « place » à de « nouvelles valeurs » fondées sur le « tout crédit », le matérialisme outrancier et le non-respect de l’Environnement. Il compare à juste titre ces décisions égoïstes des nantis au mal le plus extrême, au diable. L'impact des politiques économiques sauvages menées principalement sous Reagan et Bush Junior (mais aussi sous Bush père et Clinton, mais il ne dit pas…), sous l’influence des lobbies des grosses entreprises américaines (qui étendent au travers le Monde leurs méfaits socio-économiques, broyeurs d’écosystèmes), est indéniablement pervers et nocif. Ces exploiteurs sans scrupules pourrissent la vie des simples travailleurs (considérés comme du matériel) en organisant méthodiquement, inhumainement et légalement (avec l’aval du Système et grâce à des Lois abusives…) leur faillite personnelle, en leurs faisant prendre des crédits à taux usuriers et non fixes. Tous ces gens se sont retrouvés à la rue, ruinés, sans que cela ne provoque d'états d’âme dans une classe dirigeante aux ordres des vendeurs de misère. Michael Moore dénonce aussi dans ce brûlot anticapitaliste (mais, qu’on se rassure le communisme mortifère n’est pas plus à glorifier…) les liens unissant de nombreux banquiers au pouvoir en place, en abordant le plan de relance de l'économie qui a coûté plusieurs milliards aux contribuables de son pays. Au nom du Peuple Américain souverain, il va même jusqu’à simuler l’arrestation de ces coupables-profiteurs (protégés par la nomenklatura systèmisante) et tenter de leur demander le remboursement du produit de leur racket… Michael se sert de son bagou jusqu’au bout, en entourant les sièges sociaux luxueux et flambants neufs de ces grands trusts planétaires de bandes plastiques jaunes avec marquage noir, utilisées par la Police américaine, délimitant les scènes de crimes Outre-Atlantique : « crime scene do not cross ». Enfin, à travers l'exemple d'entreprises coopératives, de familles expropriées ou de celui de travailleurs de Chicago ayant occupé leur usine afin d'être payés de leur dû, Moore révèle à la face du Monde que l'amour que les Américains ont toujours porté à leur système économique est mort. Des millions de nouveaux pauvres qui viennent s’ajouter aux millions de pauvres déjà existants deviennent de fait des contestataires, prêts à tout pour être respectés par les élites. Cela sent l’insurrection permanente ! Michael balance à froid ce qui ne va pas aux States (et ça fait mal !) et contribue, ainsi, par des notes d’humour (noire…) à faire passer son message dénonciateur d’inégalités, jusqu’à payer de sa personne tout au long du film. Cette honteuse situation américaine organisée grandeur « pas Nature » a contaminé la France, l’Occident, toute l’Humanité. C’est ce qu’on appelle « La Crise ». A chaque fois que les Grands de ce Monde toussent et se réunissent, ou qu’explose une bulle financière, les Altermondialistes tirent la sonnette d’alarme. A bon entendeur salut !
© Jean Dorval pour LTC Kinéma.
00:22 Publié dans LTC KINEMA | Lien permanent | Tags : « capitalisme : une histoire d’amour », « capitalism : a love story », documentaire politico-économique et social, anticapitalisme, anticommuniste, ultralibéralisme, michael moore, réalisateur, film, cinéma, kinéma, jean dorval pour ltc kinéma | Facebook |
07/12/2009
PENIS OU PHALLUS ? TELLE EST LA QUESTION !
Au moment où sort sur tous nos écrans le film documentaire de Patric Jean « La domination masculine », un récent sondage annonce que plus de 90% des hommes ne font rien à la maison. Ce qui n’est pas normal. Mais, on oublie souvent qu’ils sont le fruit d’une éducation donnée par la maman… En parallèle, on constate que les violences conjugales ne font qu’augmenter. En 2009, une femme meurt environ tous les deux jours sous les coups de son conjoint, contre une femme tous les quatre jours en 2005. Cette évolution anormale devient une urgence pour l’Humanité, au point, que chaque année, le 25 novembre est devenu une journée internationale contre la violence faite aux femmes… Mais, passé ce dramatique bilan force est de constater que les hommes n’ont pas tous les défauts qui puissent exister (tandis que les femmes seraient parfaites…) et qu’un surcroît de « féminisme » au détriment d’une « féminité » naturelle pose un réel problème de société en remettant tout en cause où il le faut, mais aussi au-delà de ce qu’il faudrait. A vouloir trop « castrer » l’homme, on finit par en oublier la Nature des sexes, l’égalité des droits et la complémentarité qui en découlent.
UN PLAT DE ROUBIGNOLLES SINON RIEN !
Dans ce film (fait par un homme) on frise la caricature masculine… Il paraîtrait même que, comme Zorro, tous ces Messieurs signent tout de la pointe de leur « épée »… et qu’ils ne voient la vie qu’au travers de leurs parties génitales. Et que depuis que le Monde est monde tout serait axé autour du phallus et que forcément les « pauvres femmes » ne seraient que l’objet d’un désir constant qui les enfermerait derrière les fourneaux depuis la nuit des temps. La planète Terre ne tournerait d’ailleurs qu’autour des cours de la Bourse (euh, pardon des bourses…) de ses mâles opulents et dominateurs qui pénètrent à qui mieux mieux tout ce qu’ils voient, car ils ne pensent qu’à cela ! Au point que certains, non contents d’avoir l’objet du délit entre leurs cuisses pousseraient le vice jusqu’à se le faire agrandir pour être encore « mieux dans leur peau » et se sentir plus puissant que jamais… Une sorte de port d'arme illégale en quelque sorte !!! In fine, « La souillure » de l’acte sexuel deviendrait selon ce mode de pensée (un peu restrictif...) une sorte de viol rituel. Heureusement, qu’il existe une autre version de la Vie, dans laquelle l’Amour est roi et les bébés le fruit d'une union désirée, car… j’en étais presque complexé en sortant du ciné d’être né couillu… J’ai même baissé les yeux quand une charmante petite brune m’a souri en me tenant la porte… Les hommes sont-ils encore des chasseurs et des cueilleurs ? Les femmes sont-elles encore les gardiennes du feu ? C’est que vous propose de savoir ce film très instructif et particulièrement « orienté » contre le port de la « queue… de pie » pour les mecs…
© JD pour LTC Kinéma.
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http://www.ladominationmasculine.net/
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LE RUBAN DE LA DISCORDE !
« Le Ruban blanc » est un film noir, dramatique, français, italien, autrichien et allemand, de Michael Haneke. L’action se passe entre 1913 et 1914, donc à la veille de la Première Guerre Mondiale, dans un village protestant de l'Allemagne du Nord. Là bas, se déroule toute une série d’étranges accidents qui survient soudainement et prend progressivement le caractère d’un rituel punitif très marqué. Religion ? Messe noire ? Magie ? Complot ? Allez savoir ce qui cache derrière tout cela ? Ces faits divers nous sont relatés avec précision par un des protagonistes de l’histoire… Ce film est une très belle étude des mœurs et coutumes de l’Allemagne rurales d’alors, avec ses hiérarchies sociales très cloisonnées : des enfants et des adolescents « trop sages », un instituteur amoureux qui enquête sur ces évènements anormaux, des familles paysannes au cœur d’un dur labeur (et tiraillées par la convoitise), Monsieur le Baron (et Madame la Baronne) qui trône au dessus du petit peuple, un régisseur exploiteur, un pasteur qui cache des choses, un médecin coureur de jupons, une sage-femme aux abois, etc. En bref, un vrai portrait, mais en noir et blanc, d’une tranche d’Histoire allemande sur fond de mystère...
© Jean Dorval pou LTC Kinéma.
16:25 Publié dans LTC KINEMA | Lien permanent | Tags : le ruban blanc le film, michael haneke, première guerre mondiale, allemagne, village, allemagne du nord, 1913, 1914, rituel punitif, film français italien autrichien allemand, jean dorval pour ltc kinéma | Facebook |
UN DROLE DE NOËL QUI PEUT CHANGER LA VIE D'UN HOMME...
Les studios Disney, comme chaque année, vous donnent rendez-vous pour les fêtes de fin d'année, dans les salles accueillantes et chaudes de vos cinémas pour rêver. Et cette fois-ci, encore, vous ne serez pas déçus, petits et grands, par ce magnifique dessin animé de Robert Zemeckis, avec Jim Carrey et Gary Oldman, "Le Drôle de Noël de Scrooge"... Voilà, une nouvelle adaptation de "Un Chant de Noël", un célèbre conte de Charles Dickens, où il est question de rédemption. L'histoire d'Ebenezer Scrooge (surtout en cette période de crise économico-affective...) invite chacun à penser aux autres sous peine d'être seul... Et ce vieil homme, là, bougon et avare (croque-mort de son état), qui n'hésite par à dépouiller les morts des pièces qu'ils ont sur leurs yeux pour payer "le passeur", et qui a consacré sa vie entière à accumuler richesses et mauvaises actions, en a des choses à se faire pardonner. Il va vivre un soir de Noël une expérience qui va bouleverser sa vie. Ouvrira-t-il les yeux à temps pour finir en beauté son parcours ? Et bien, si vous voulez le savoir, payez votre billet de cinéma et allez voir ce très beau film ! Non, mais !!!
© JD pour LTC Kinéma.
© Photo ci-dessus : parismatch.com
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UN RAPT A DOUBLE TRANCHANT...
"Rapt", le dernier film de Lucas Belvaux, avec (un très bon) Yvan Attal dans le rôle principal, et Anne Consigny, raconte le kidnapping de Stanilas Graff (un important homme d'affaires). Une histoire fortement inspirée de l'affaire du Baron Empain où se mêle barbarie et repentance. En effet, la vie de cet homme de réseaux, très riche, va basculer au sortir de cette atroce "aventure" durant laquelle la violence de ses tortionnaires va se déchaîner. Mais, qui était-il avant de connaître ce véritable chemin de croix ? Car... toute son existence va être jetée en pâture au public par la presse. Ses maîtresses, ses dettes de jeu, etc. rien ne lui sera épargné. Il va ainsi passer du pouvoir à l'ombre, et de victime à coupable. Ces « amis » d’hier vont le zapper, sa famille le lâcher… Est-ce justifié ? Vous le saurez en voyant cette excellente toile française.
© JD pour LTC Kinéma.
AVANT...
....APRES
15:21 Publié dans LTC KINEMA | Lien permanent | Tags : rapt le film, lucas belvaux, yvan attal, anne consigny, kinéma, cinéma, baron empain, jean dorval pour ltc kinéma | Facebook |
MADEMOISELLE, VOUS PREFEREZ UN LOUP-GAROU OU UN VAMPIRE POUR VOTRE PETIT-DEJ ???
Si vous aimez les histoires durant lesquels une charmante brunette (la très Waouuuh... Kristen Stewart) hésite tout du long, entre l'Amour d'un loup-garou et d'un vampire, alors, ce long métrage vous plaira ! Je n'avais pas vu le premier opus de la série et je ne m'en porte pas plus mal. Un scénario banal pour midinette, à peine quelques bons effets spéciaux... pas de quoi en tous cas en faire tout un plat ! Mais, respectons ceux qui aiment, car il en faut pour tous les goûts, et surtout pour tous les âges !
© JD pour LTC Kinéma.
© Photo ci-dessus (Kristen Stewart) : ninouche.wordpress.com
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14/11/2009
IL FAUT PARFOIS SAVOIR NE PAS SE LAISSER ENVAHIR PAR LES HERBES FOLLES !
Alain de Resnais à plus de 80 ans gambade avec nous dans « Les Herbes Folles » de son dernier film, dont la sortie nationale sur nos grands écrans a eu lieu le 04 novembre dernier. Avec André Dussollier (Georges), Sabine Azéma (Marguerite), Anne Consigny et Emmanuelle Devos, dans les rôles principaux, ce film franco-italien donne dans le genre comédie dramatique, thriller.
QUAND RETROUVER UN SIMPLE PORTEFEUILLE PEUT FAIRE BASCULER DES VIES...
Tout démarre par un banal fait divers... Marguerite se fait voler son sac dans la rue à la sortie d'un magasin. Peu après, Georges trouve son portefeuille dans un parking. Normalement, il devrait se contenter de le ramener au commissariat du coin. Ensuite, les agents de police devraient se charger de contacter la propriétaire dudit objet pour le lui restituer. Puis, chacun devrait retourner à sa vie quotidienne dans l'anonymat le plus total... Mais, voilà, cette version là est trop simple et Alain de Resnais dont l'imaginaire déborde toujours, nous propose plutôt une étrange aventure funeste, dans laquelle il fouille jusque dans la tête du commun des mortels, pour y puiser ses pulsions les plus déraisonnables. Des obsessions qui ressemblent curieusement au titre de son film, c'est-à-dire à des herbes folles, vivaces au point de s'infiltrer dans chacune de nos pensées... Et cela peut rendre fou (d'Amour...) !
DES HERBES FOLLES ET OBSEDANTES !
Marguerite n'avait pas prévu qu'on lui volerait son sac. Georges ne se doutait pas qu'il retrouverait le portefeuille de Marguerite. Et aussi bizarrement que cela puisse paraître, malgré son épouse qu'il aime, Georges veut connaître Marguerite...
© Jean Dorval pour LTC Kinéma.
20:40 Publié dans LTC KINEMA | Lien permanent | Tags : les herbes folles, le film d'alain de resnais, 2009, kinéma, cinéma, film, andré dussollier, sabine azéma, anne consigny, emmanuelle devos, film franco-italien, jean dorval pour ltc kinéma | Facebook |
03/11/2009
LA PROCHAINE EDITION DU FESTIVAL DU FILM FANTASTIQUE DE GERARDMER AURA LIEU DU 27 AU 31 JANVIER 2010
17ème FANTASTIC'ARTS : Le Festival de Gérardmer...
La prochaine édition du festival du film fantastique de Gérardmer aura lieu du 27 au 31 janvier 2010.
Pour frémir de plaisir !!!
JD pour LTC Kinéma.
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