24/05/2020
Le Cri-Silencieux (1)
La Tête entre les Mains
Un Cri-Silencieux à la Bouche
Il Part, Il Court, Vers le Néant, Il Accourt
Il est à Court d’Amour, du Minimum-Vital
Pauvre et Moche à la Fois de Surcroît
A l’Intérieur, comme à l’Extérieur
Sa Tristesse, un Fruit-Pourri, Empoisonné
Le Décourage et L’Enrage
Mode Négatif-progressif enclenché
Rien ne Peut le Guérir
Le Sortir de son Goulag-Mental
Homme-Moderne emporté par la Séparation
Par une Crise d'Angoisse-existentielle sans-Fin
La Galaxie de ses Souvenirs Tourne dans sa Tête
Il Entend encore leurs Cris-de-Joie
Quand Ils couraient dans les tous les Sens
C’était la Vie, c’était l’Opulence !
Une Joyeuse-Nuée de Papillons
Virevoltante, Colorée
Emplie de Légèreté-éléphantesque
En Transports-permanents
Dans un Champ de Porcelaine
Mais que c’était Beau
Ces Gosses qui s’Amusaient !
Tout Passe, Tout Casse !
© Jean DORVAL, le 24 mai 2020, pour LTC POésie
(1) Inspiré de la chanson : Cat People (Putting Out Fire) by David Bowie ; et l'œuvre expressionniste, Le Cri, de l'artiste peintre et graveur Edvard Munch
Source documentaire et photo : Wiki/Le_Cri
© Ci-dessus : Le Cri d’Edvard Munch (1893)
Tempera sur carton (une des cinq versions)
Collection : Nasjonalgalleriet, Oslo
21:35 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : le cri-silencieux, l’oubli du ciel, absinthe-névrotique, les raisins de l’angoisse, l’opéra-tibétain, la blessure, les amnésiques, scène-de-déprime ii, scène-de-déprime i, dompter la peur, l’otage, au nom du perd, haute définition : géniteur-payeur, es ex(-cités), l’offrande, laideur en after, perdu-de-vue, dieu a fait grâce, nous étions jeunes et beaux, milice d’injustice, court, le tiroir de l'oubli, famillicide, l'avenir du père, jean-pierre winter, le combat des pères, raphaël delpard, balbutiements d’ange, naissance-née, prélude-d’automne, délivrance, l’exil, ado-inconnu, friedrich nietzsche, ainsi parlait zarathoustra, une semaine-sur-deux, petit-perd rebelle, cet affreux-silence, poésie, ltc poésie, metz, lorraine, grand est, éditions du rocher, l'amour d'un père, pour ses enfants, cali, le droit de pères, injustice sociale, le droit des enfants | Facebook |
L’Oubli du Ciel (1)
Accoster au Quai des Humeurs
Passer à Gué l’Intolérable
Errer au beau-Milieu de la Nausée
Hurler de Déplaisir et d’Horreur
Voir Son Ventre se Tordre
Comme la Trogne-Déformée
D’un Tronc d’Arbre abattu
Se Courber, se Défigurer Sous la Douleur
Sans Pouvoir se Redresser
Se Régurgiter, se Tendre dans l’Effort
En Séries de Spasmes-saccadés
Torture-tordue qui Prend la Pause
Dans une Immense-Grimace
Survoler le Néant de ses Envies
S’attarder Pour Oublier
Que Rien n’Existe
Courir sans Mot Dire
Cruel-Cri de Déchirement
Sans Maux qui Apaisent
© Jean DORVAL, le 24 mai 2020, pour LTC POésie
(1) D’après les chansons : Oxygene Pt. 2 de Jean Michel Jarre, Fade to Grey de Visage, The Model by Kraftwerk ; La Folie de The Stranglers ; et Wuthering Heights de Kate Bush. Et David Bowie, Live in Berlin 2002
01:05 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : l’oubli du ciel, absinthe-névrotique, les raisins de l’angoisse, l’opéra-tibétain, la blessure, les amnésiques, scène-de-déprime ii, scène-de-déprime i, dompter la peur, l’otage, au nom du perd, haute définition : géniteur-payeur, es ex(-cités), l’offrande, laideur en after, perdu-de-vue, dieu a fait grâce, nous étions jeunes et beaux, milice d’injustice, court, le tiroir de l'oubli, famillicide, l'avenir du père, jean-pierre winter, le combat des pères, raphaël delpard, balbutiements d’ange, naissance-née, prélude-d’automne, délivrance, l’exil, ado-inconnu, friedrich nietzsche, ainsi parlait zarathoustra, une semaine-sur-deux, petit-perd rebelle, cet affreux-silence, poésie, ltc poésie, metz, lorraine, grand est, éditions du rocher, l'amour d'un père, pour ses enfants, cali, le droit de pères, injustice sociale, le droit des enfants, avoir un papa | Facebook |
23/05/2020
Absinthe-Névrotique (1)
Dans la Chambre-Noire
Réfugié d’un Etat-Second
Sa Couche-de-Poussière
Pour tout Vêtement
Plus Rien n’a d’Importance
Dans cette Nuit-quotidienne
Il n’Arrive plus à s’Endormir
Fièvre Constante, Moite et Aigre
Qui le Guette, le Couve
Toute Lumière-éteinte
Un Frisson le Parcourt
De la Tête aux Pieds
Il Vide ses Placards Vides
Ouvre la Porte donnant sur l’Univers
Enjambant l’Etreinte-sidérale
Il Embrasse le Ciel-étoilé
Sa Maison-silencieuse s’Eloigne
Au Hasard des Maux, il Dérive
Son Rêve-translucide Circule
En Pinte d’Absinthe qui le Cintre
© Jean DORVAL, le 23 mai 2020, pour LTC POésie
(1) D’après la chanson Alternatives de The Opposition
19:03 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : absinthe-névrotique, les raisins de l’angoisse, l’opéra-tibétain, la blessure, les amnésiques, scène-de-déprime ii, scène-de-déprime i, dompter la peur, l’otage, au nom du perd, haute définition : géniteur-payeur, es ex(-cités), l’offrande, laideur en after, perdu-de-vue, dieu a fait grâce, nous étions jeunes et beaux, milice d’injustice, court, le tiroir de l'oubli, famillicide, l'avenir du père, jean-pierre winter, le combat des pères, raphaël delpard, balbutiements d’ange, naissance-née, prélude-d’automne, délivrance, l’exil, ado-inconnu, friedrich nietzsche, ainsi parlait zarathoustra, une semaine-sur-deux, petit-perd rebelle, cet affreux-silence, poésie, ltc poésie, metz, lorraine, grand est, éditions du rocher, l'amour d'un père, pour ses enfants, cali, le droit de pères, injustice sociale, le droit des enfants, avoir un papa, jean dorval | Facebook |
Les Raisins de l’Angoisse (1)
Les Nuits Sans Sommeil
Quand Surgit la Mort-Tentatrice
Noyé dans un Verre-de-Moire
Tourne en Rond le Damné
La Peur au Ventre, Brûlure bouillonnante
Biture les Yeux-ouverts, Il Cauchemarde
Etouffe sa Vie qui Défile, se Défile
Le Pire reste à Penser, de Repenser
Allongé sur le Canapé
La Tête entre deux Coussins
Pour ne plus Rien entendre Alentours
La Douleur au Crâne Revient incessante
Céphalée qui ne le Quitte-plus
Maîtresse Névroptique-Acétique
A Côté-de-Lui gît son Cendrier à Vers-tiges
Sur une petite-Table regorgeant de vieux-Livres
De Revues même pas Rangées
Sa Barbe de cinq-Jours le Gratte atrocement
Ses Yeux-fripés d’avoir tant Pleuré le piquent
Il se Morfond loin dans ses Ombres
Condamné au Silence
© Jean DORVAL, le 23 mai 2020, pour LTC POésie
(1) D’après The Opposition, Live In Longlaville, Full album
17:15 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : les raisins de l’angoisse, l’opéra-tibétain, la blessure, les amnésiques, scène-de-déprime ii, scène-de-déprime i, dompter la peur, l’otage, au nom du perd, haute définition : géniteur-payeur, es ex(-cités), l’offrande, laideur en after, perdu-de-vue, dieu a fait grâce, nous étions jeunes et beaux, milice d’injustice, court, le tiroir de l'oubli, famillicide, l'avenir du père, jean-pierre winter, le combat des pères, raphaël delpard, balbutiements d’ange, naissance-née, prélude-d’automne, délivrance, l’exil, ado-inconnu, friedrich nietzsche, ainsi parlait zarathoustra, une semaine-sur-deux, petit-perd rebelle, cet affreux-silence, poésie, ltc poésie, metz, lorraine, grand est, éditions du rocher, l'amour d'un père, pour ses enfants, cali, le droit de pères, injustice sociale, le droit des enfants, avoir un papa, jean dorval, une maman | Facebook |
21/05/2020
Le Nombre d’Ailes (1)
A Elie-Salomé
L’Echo des Matines-câlines
Résonance Parfaite
Gorgée de Vers-Tiges
Décolle vers sa Plage
Comme Nombre d’Ailes
Elle Prend la Pose
Vêtue d'Ecume de Mer
Sa Peau-ésie dentelée
Ses Seins en Ambassade
Embrassent le Vent sablé
Pris dans sa Tourmente
Il Dégrafe son Corps-Sage
Dépose la Main sur son Cœur
Tente de Compter
Entre ses Deux-Tétons
Tous les Papillons Multicolores
Qui s’Evadent vers le Large
Elle Pénètre son Ame
Le moindre de ses Atomes
Lui Appartient
Sa Voie-Lactée Brûle son Etoile
Sa Presqu’île Magnétique Consacrée
L’Envole dans le Sens Contraire
Des Aiguilles-affolées qui se Montrent
Exil-Volontaire qui le Conduit
Tout Droit dans ses Bras
Elle Tourne sa Tête
Il Aperçoit ses Yeux
Comme un Frêle-Oiseau
Elle s'Installe
Sur les Branches de son Esprit
Il Plonge dans son Regard
Des Matinales à la Tombée de la Nuit
Face-à-Face Silencieux-Agité
Durant lequel Il ne lui Faut
Que quelques Secondes
Pour Construire un Toit pour Deux
Il l’Aime en Lampe-Tempête
En Ouragan incontrôlable
En Vagues Folles montant à l’Assaut
De ses Côtes-d'Armor
© Jean DORVAL, le 21 mai 2020, pour LTC POésie
(1) D’après le Poème La Chanson du Mal-aimé de Guillaume Apollinaire (1880 - 1918) ; et les chansons : L'amour by Bon Entendeur vs Mouloudji, Come Closer by Guts, Lujipeka & Lorenzo ; et Old Swan by Mark Lanegan
15:32 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : le nombre d’ailes, eliyahu, délice d’amour [by stendhal], au mois de mais, a elie-salomé, poésie, ltc poésie, metz, lorraine, grand est, jean dorval, l’amour est roi, le pays où l’amour est roi, les vœux du roy de trance (7) (8), lui le xxe, jean dorval pour ltc poésie, la dame blanche, la place d'elie, confondue dans le drapé, flamenco, le courage | Facebook |
20/05/2020
Eliyahu (1) (2)
Eliyahu la Chantée
A la Ressemblance
D’un Bel-Orient qui Balance
Matin-Satin scintillant
Qui Elève, Relève, Révèle
S’Etirant jusqu’au Soir
En Demi-Lune recroquevillée
Son Ombre Vient à sa Rencontre
Remplit ses Yeux de Désir
Elle Couvre ses Vagues-à-l’Ame
De Cris-magnifiques
Au Tournant de sa brûlante-Ruelle
Epouse-royale Caressant son-Nombre
Enfer dans lequel, Il se Tréfond
Ô Sœur-Lumineuse
Bateau-ivre qui le Coole
Ses Baisers le Font Roi
Réchauffent leurs Corps-Blancs
Corps-Beaux Voyageurs
L’Aube du Printemps-Galant
Faiseuse de Ciel roses-Plis
Invite Mars et Vénus dévêtus
A s'Embrasser à Bouches-folles
Sous la Prose qui danse-Nue
Hürrem Guide le Sultan
A la Lueur d'une Chandelle
Ses Baisers-Florentins
D’une Saveur-impertinente
Parfument d’Etoiles l’Effet de Moire
Morsure aux Premières-Fureurs
Cœurs et Ames sur le Pont-des-Soupirs
Le Ciel s'Ecoule par Eux-Deux
Au Tonneau des Danaïdes
Candides, Ils n’Oublieront Jamais
Ce Vol de Colombes qui vers le Soleil Sème
Ces Immortels Chaque Nuit au Flambeau
Ouvrent la Porte à leurs Démons-Volontaires
Le Son-éperdu de leur Violon-Tzigane
Vacille Lucioles, Tremble Vents-contraires
Vogue Cygnes mourant de Plaisir
Ardente-Lyre qui Brûle son beau-Mourir
Elle Apprivoise les Feux-Follets verts
Au Vœu de son Echine-Badine
Sa Musique d’Infernal Zigzague
Sur le Fil d’un Couteau chauffé-à-blanc
© Jean DORVAL, le 20 mai 2020, pour LTC POésie
(1) Eliyahu ou Élie est un nom théophore, comme bien des noms qui figurent dans la Torah. En hébreu, le prénom Aliyahū signifie "Dieu est Yahvé"
(2) D’après le Poème La Chanson du Mal-aimé de Guillaume Apollinaire (1880 - 1918) ; et les chansons : L'amour by Bon Entendeur vs Mouloudji, Come Closer by Guts, Lujipeka & Lorenzo ; et Old Swan by Mark Lanegan
23:15 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : eliyahu, délice d’amour [by stendhal], au mois de mais, a elie-salomé, poésie, ltc poésie, metz, lorraine, grand est, jean dorval, l’amour est roi, le pays où l’amour est roi, les vœux du roy de trance (7) (8), lui le xxe, jean dorval pour ltc poésie, la dame blanche, la place d'elie, confondue dans le drapé, flamenco, le courage | Facebook |
16/05/2020
Ma Lune-Scintillante (1)
A Elie-Salomé
L’Unique Rose-radieuse
En Lune-Scintillante
Resplendit d’Orientale
Aux Saveurs-Patchouli
Sa Beauté-Céleste, sa Peau en Everest
Source de Vie, Printemps de Joie
Sens des Jours, Clarté des Nuits
Possède mon Cœur d’Heur-en-Heur
Ses Cheveux-Familiers
Ses Sourcils-arqués
Ses Yeux Resplendissants-Guerriers
Me Rendent Malade d’Elle
Mourir au Creux de son Cou
Où s’Agite mon Pouls
Devoir Dévorateur de mon Bonheur
En délicieux-Tourments
Insatiable-Torture
Dont on réclame l’Exécution
Je Célèbre sans Cesse Mon Seul-Secours
Mes Larmes Suivent les Torrents
Qui en Courants-Contraires
Me grisent, me Rendant Ivre d’Elle
© Jean DORVAL, le 16 mai 2020
pour LTC POésie
(1) D’après une Poésie d’Amour du Sultan et Poète Soliman le Magnifique dédiée à la Sultane Roxelane (Hürrem) son épouse ; et la chanson Me and My Big Ideas des Tears For Fears
15:53 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : délice d’amour [by stendhal], au mois de mais, a elie-salomé, poésie, ltc poésie, metz, lorraine, grand est, jean dorval, l’amour est roi, le pays où l’amour est roi, les vœux du roy de trance (7) (8), lui le xxe, jean dorval pour ltc poésie, la dame blanche, la place d'elie, confondue dans le drapé, flamenco, le courage | Facebook |
15/05/2020
Délice d’Amour [by Stendhal]
"L’amour est une fleur délicieuse, mais il faut avoir le courage d’aller le cueillir sur les bords d’un précipice affreux."(1)
(1) Stendhal in De l’Amour (1822)
21:18 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : délice d’amour [by stendhal], au mois de mais, a elie-salomé, les amnésiques, scène-de-déprime ii, scène-de-déprime i, dompter la peur, l’otage, au nom du perd, haute définition : géniteur-payeur, es ex(-cités), l’offrande, laideur en after, perdu-de-vue, dieu a fait grâce, nous étions jeunes et beaux, milice d’injustice, court, le tiroir de l'oubli, famillicide, l'avenir du père, jean-pierre winter, le combat des pères, raphaël delpard, balbutiements d’ange, naissance-née, prélude-d’automne, délivrance, l’exil, ado-inconnu, friedrich nietzsche, ainsi parlait zarathoustra, une semaine-sur-deux, petit-perd rebelle, cet affreux-silence, poésie, ltc poésie, metz, lorraine, grand est, éditions du rocher, l'amour d'un père, pour ses enfants, cali, le droit de pères, injustice sociale, le droit des enfants, avoir un papa, jean dorval | Facebook |
L’Opéra-Tibétain (1)
Emu, Il Pose sa Joue
Sur la Colline-câline
Du Ventre de Mère-Nature
Déformée Harmonieusement
Par les Pieds
De l’Enfant-Sacré du Tibet
Vergetures-libératrices d’Amour
Nombril qui se Met à Parler
Cœur qui Bat en Gazouillis
Niché au Creux du Calice-encensé
Jaillissant comme une Source-vive
Le Petit-Prince de St-Ex Apparaît
Avec la Foi Grandissante d’un Apôtre
Je Coupe son Cordon-ombilical
Le Prends tout Chaud-Huileux en mes Bras
Des Larmes de Joie plein les Yeux
Fier Découvreur d’un Nouveau-Monde
Celui de mon Enfant du Paradis
© Jean DORVAL, le 15 mai 2020
pour LTC POésie
(1) D’après A un enfant, fille des poètes d’Alphonse Lamartine in Méditations Poétiques (1820) ; et les chansons des New Order : Confusion, Everything's Gone Green, Shame Of The Nation et The Kiss of Death
20:41 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : l’opéra-tibétain, la blessure, les amnésiques, scène-de-déprime ii, scène-de-déprime i, dompter la peur, l’otage, au nom du perd, haute définition : géniteur-payeur, es ex(-cités), l’offrande, laideur en after, perdu-de-vue, dieu a fait grâce, nous étions jeunes et beaux, milice d’injustice, court, le tiroir de l'oubli, famillicide, l'avenir du père, jean-pierre winter, le combat des pères, raphaël delpard, balbutiements d’ange, naissance-née, prélude-d’automne, délivrance, l’exil, ado-inconnu, friedrich nietzsche, ainsi parlait zarathoustra, une semaine-sur-deux, petit-perd rebelle, cet affreux-silence, poésie, ltc poésie, metz, lorraine, grand est, éditions du rocher, l'amour d'un père, pour ses enfants, cali, le droit de pères, injustice sociale, le droit des enfants, avoir un papa, jean dorval, une maman | Facebook |
Dessine-Moi un Papa ! (1)
Le Petit-Prince dit :
Dessine-Moi un Papa !
Et l’Aviateur de Lui Répondre :
D’abord, je vais te Dessiner une Maman !
Tire ce Voile de Soie
Ta Maman se Trouve en Dessous
Couchée sur une Feuille-de-Papier
Elle Rêve déjà de Toi…
Le Petit-Prince Dévoile
Sa Créatrice Endormie
Celle qui donne le Sein
Qui Fait Pousser Droit
Ton Histoire Mon Enfant
BD au Trait en Portrait
Démarre Ici Rien que pour Toi
Tu n’Existes pas Encore…
Quand Je Serai un Petit-Garçon
M’Aimeras-Tu Papa ?
Le Père s’exclame alors :
Autant que j’Aime ta Maman !
Tu es Né de l’Amour
D’un Père et d’une Mère
Ton Père est le Semeur
D’une Graine fécondante
Et te Voici ! Te Voilà !
Le Petit-Prince dit alors :
Dessine-Moi un Papa !
Et l’Aviateur se Dessine
© Jean DORVAL, le 15 mai 2020
pour LTC POésie
(1) D’après Le petit Prince de Saint-Ex (Antoine de Saint-Exupéry) ; et les chansons : Aurélie de Colonel Reyel ; Le Portrait de Calogero ; et Peace by Depeche Mode
15:04 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : dessine-moi un papa !, te souviens-tu…, "pieds marchent !", la blessure, les amnésiques, scène-de-déprime ii, scène-de-déprime i, dompter la peur, l’otage, au nom du perd, haute définition : géniteur-payeur, es ex(-cités), l’offrande, laideur en after, perdu-de-vue, dieu a fait grâce, nous étions jeunes et beaux, milice d’injustice, court, le tiroir de l'oubli, famillicide, l'avenir du père, jean-pierre winter, le combat des pères, raphaël delpard, balbutiements d’ange, naissance-née, prélude-d’automne, délivrance, l’exil, ado-inconnu, friedrich nietzsche, ainsi parlait zarathoustra, une semaine-sur-deux, petit-perd rebelle, cet affreux-silence, poésie, ltc poésie, metz, lorraine, grand est, éditions du rocher, l'amour d'un père, pour ses enfants, cali, le droit de pères, injustice sociale, le droit des enfants, avoir un papa, jean dorval | Facebook |
Les Vœux du Roy de Trance (1) (2), Lui le XXe
A Elie-Salomé
L’Immortelle Destinée
Ambassadrice de mes Sentiments
Femme de Lettres-Sésame
Fleur-de-Sel Amère-Sucrée
A l’Intention Belle et Pure !
"Chère Muse,
Vous êtes au Poète
Ce que le Modèle est au Peintre
Votre divine Contrée
Inspire certes bien des Maux
Mais, Elle est avant-Tout
La Source de mes Mots
Alors faut-il être Mal-aimé
Ou Mâle-aimé ?
La Question ne se Pose Pas
Vous êtes la Tendre-Amie
L'Elue de ma Plume
Je ne peux me Passer de Vous
Un simple Clin-d'œil ne Saurait Suffire
N'hésitez Point à Satisfaire ce Désir
Qui depuis l’Orient Point jusqu’à l'Extrémité du Monde
Je Vous Renouvelle donc
Mes Vœux de Douceur d'Ame à Ame
Rien que le Plaisir d'échanger des Mots
En subtil Distinguo avec votre délicieux Fantôme
Me fait toucher les Cieux
Tel le Papier d'Arménie à la belle Flambée
Vous êtes mon Ange
Et je suis le Magicien
Qui Immortalise votre Beauté
Et le parfumé-Printemps
Qui suit votre Sillage
Aussi, ne Résistez Point
A mon Rite-pharaonique
Il redonne toute sa Liberté
A votre Terre-comprise
Ô Sweet-Home !
Ô Châle-Homme !
Votre dévoué-Serviteur
A l'Origine du Verbe-Incarné :
Le Vôtre !
Jean du Val d'Or"
© Jean DORVAL, le 15 mai 2020
pour LTC POésie
PS :
Rien n’est une Faim
Tout n’est qu’Un Dé-Bu !
(1) Le terme "Transe" s'écrit aussi "Trance" (terme anglais). Il vient de la même famille que le verbe "transir" qui signifie au Moyen-Âge "partir", "passer", "s'écouler". Il découle du latin "transire". À partir du Ve Siècle, il prend souvent le sens de "passer de vie à trépas", comme le terme "Samadhi" est parfois utilisé dans l'Hindouisme. Bien que l'expression "entrer en transe" au sens d'un état psycho-physiologique particulier soit apparue au XIVe Siècle, l'Etat de Transe est connu depuis plus longtemps. Source documentaire : Wikipedia.org
(2) D’après Léo Ferré La chanson du mal aimé, inspirée du Poème éponyme de Guillaume Apollinaire
12:10 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : les vœux du roy de trance, lui le xxe, au mois de mais, a elie-salomé, les amnésiques, scène-de-déprime ii, scène-de-déprime i, dompter la peur, l’otage, au nom du perd, haute définition : géniteur-payeur, es ex(-cités), l’offrande, laideur en after, perdu-de-vue, dieu a fait grâce, nous étions jeunes et beaux, milice d’injustice, court, le tiroir de l'oubli, famillicide, l'avenir du père, jean-pierre winter, le combat des pères, raphaël delpard, balbutiements d’ange, naissance-née, prélude-d’automne, délivrance, l’exil, ado-inconnu, friedrich nietzsche, ainsi parlait zarathoustra, une semaine-sur-deux, petit-perd rebelle, cet affreux-silence, poésie, ltc poésie, metz, lorraine, grand est, éditions du rocher, l'amour d'un père, pour ses enfants, cali, le droit de pères, injustice sociale, le droit des enfants, avoir un papa, jean dorval | Facebook |
13/05/2020
Te Souviens-Tu… (1)
Mon Fils te Souviens-Tu…
A Cheval Fièrement sur mon Dos
Attendant les Bonbons Multicolores
Jetés par la Main de Saint Nicolas
Tu Eperonnais vaillamment mes Epaules
Agité Comme au Jour Pop
De ton premier Concert Rock
A Remiremont dans les Vosges
Te Souviens-Tu…
Le Sentier des Lanternes de Queuleu
Tes Premiers Pas du Soir à la Queuleuleu
Le Sacre du Manteau de l’Hiver
Ton Lampion à la Main comme un Trophée
Sur les Traces des Lutins-emmitouflés
Tes Mots, tes Rires, tes Soupirs
Tes Regards, tes Accélérations, tes Cris de Joie
Ta Force inouïe qui m’Eblouissait déjà
Te Souviens-Tu…
Des Sucres d’Orge, de la Barbe à Papa
Des Guimauves à Gogo, des Chocos-surprises
Des Pains d’Epices et des Petits Gâteaux aux Formes-variées
Des Viennoiseries-croustillantes, Beurrées, encore Tièdes
Des Jus de Fruits pressés, des Chocolats Chauds
Des Gourmandises plein la Tête, plein les Yeux
Dressées sur le Buffet du Noël de Joie-Ensemble
De l’Enchantement sans Limites des Fins d’Année
Du Mystérieux Mêlé au Merveilleux Sacré-Sucré
Te Souviens-Tu…
Des Lumières de l’Hiver en Poudreuse-diamantine
Du Sapin recouvert de Guirlandes et de Boules a-Dorées
Des Cadeaux bigarrés qui débarquaient dès Minuit
Du Feu rassurant dans la Cheminée-Lanterne
Des Rennes du Père Noël et de son Traineau
Qui Nous Entraînaient sur l’Horizon de Bienfaits
De Tous ces Souvenirs Heureux qui Nous Appartiennent
Jamais Froids, Toujours Chauds au Cœur
Aimants d’une Lumière dans la Nuit, Repères du Jour
Epure-quintessence d’Amour pur qu’on ne peut Oublier
© Jean DORVAL, le 13 mai 2020
pour LTC POésie
(1) D’après les chansons : Livisiani Mou Perdika par Laetitia Marcangeli ; et Lefhama (Coke Studio Algérie) by Idir, Amazigh Kateb et Rezki Ouali, ; et l’album Salsa by Putumayo Presents
00:39 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : te souviens-tu…, "pieds marchent !", la blessure, les amnésiques, scène-de-déprime ii, scène-de-déprime i, dompter la peur, l’otage, au nom du perd, haute définition : géniteur-payeur, es ex(-cités), l’offrande, laideur en after, perdu-de-vue, dieu a fait grâce, nous étions jeunes et beaux, milice d’injustice, court, le tiroir de l'oubli, famillicide, l'avenir du père, jean-pierre winter, le combat des pères, raphaël delpard, balbutiements d’ange, naissance-née, prélude-d’automne, délivrance, l’exil, ado-inconnu, friedrich nietzsche, ainsi parlait zarathoustra, une semaine-sur-deux, petit-perd rebelle, cet affreux-silence, poésie, ltc poésie, metz, lorraine, grand est, éditions du rocher, l'amour d'un père, pour ses enfants, cali, le droit de pères, injustice sociale, le droit des enfants, avoir un papa, jean dorval, une maman | Facebook |