15/10/2012
EN DECOUVERTE : L'HYMNE NATIONAL ECOSSAIS.
Les paroles de : "Flower Of Scotland "
"O Flower of Scotland
When will we see
Your like again,
That fought and died for
Your wee bit Hill and Glen
And stood against him
Proud Edward's Army,
And sent him homeward
Tae think again.
Those days are past now
And in the past they must remain
But we can still rise now
And be the nation again
That stood against him
Proud Edward's Army
And sent him homeward,
Tae think again."
PS : "Flower of Scotland" ("Flùir na h-Alba" en gaélique écossais) est l'hymne national officieux de l'Écosse, au même titre que "Scotland the Brave" qui est plus ancien. Cette chanson a été composée par Roy Williamson du groupe folklorique "The Corries" dans les années 1960. Elle fut utilisée pour la première fois par des supporters écossais de l'équipe de rugby des Lions britanniques lors de leur tournée en Afrique du Sud en 1974. La fédération écossaise de rugby à XV décida qu'elle serait jouée avant chaque match de l'Écosse en 1993. En général, seuls le premier et le troisième couplets sont chantés afin de ne pas allonger inconsidérément le protocole.(1)
INFO+ :
http://lesportesceltes.blogspot.fr/p/culture_14.html
(1) Source documentaire :
http://hymnesnationaux.centerblog.net/4279544-Hymne-National-De-L-Ecosse
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24/04/2012
ROCK’N’(LOVE STORY)…
Le film « Rock’N’Love » (titre original : « You Instead »), « Made in Royaume-Uni », de David MacKenzie, produit par Gillian Berrie, avec un scénario de Thomas Leveritt, d’une durée d’1h20, sorti sur les écrans français le 18 avril dernier, nous offre une Love Story très Punkie, en direct d’un des plus grands festivals rock de l’année musicale, le fameux « T in the Park », d’Ecosse. Cette réalisation révèle un casting, je dirais même « une brochette », de jeunes et talentueux acteurs tels : Luke Treadaway (Adam), la très "HOT" Natalia Tena (Morello), Mathew Baynton (Tyko), Ruta Gedmintas (Lake), Gilly Gilchrist (Bruce, le roadie), le petit frère du réalisateur, Alastair Mackenzie (Mark), Gavin Mitchell (Bobby, le manager), Joseph Mydell (Le Prédicateur), Jonny Phillips (Jay), Sophie Wu (Kim), et Kari Corbett (Kirsty). Ce film est tourné dans les conditions du direct, tel un documentaire pogoté. Le chef-opérateur, Giles Nuttgens, a réalisé l’essentiel de sa toile, caméra à l’épaule, donnant ainsi un rythme certain au film. Le réalisateur David MacKenzie, quant à lui, suivait les comédiens dans leur périple plutôt destroy avec son Canon 5D toujours prêt à enregistrer des scènes surprises intéressantes. Pendant ce temps, une deuxième équipe tournait d’autres scènes avec d’autres acteurs, tandis qu'une troisième filmait les grands moments du festival. Toute une organisation, so British ! L’image et le son ont été tournés en format 1.85 et en Dolby SRD… Cependant, en raison du bruit ambiant, la qualité du son pris en LIve pendant le festival n’était pas initialement optimale, car elle comprenait de nombreux parasites sonores. Aussi, les comédiens ont-ils dû réenregistrer de nombreuses parties du film en post-production…
ZE STORY OF ZE FILM…
Deux Musicos, Adam, le beau gosse - une pop star américaine qui déchaîne les foules (qui a des airs de David Gahan, le chanteur des Depeche Mode...) - et Morello, une jeune rockeuse britannique indé, craquante à souhait, doivent donc se produire au « T in the Park ». Ils se rencontrent inopinément, suite à une dispute. Et alors que tout semble les opposer et qu’apparemment ils ne peuvent pas se blairer, ils se retrouvent menottés contre toute attente, l’un à l’autre, par un Pasteur Evangéliste qui les surprend en pleine engueulade, et ce, pendant les 24 heures du festival ! Comment vivre cet incontournable rendez-vous "Muzikal", ainsi enchaînés, entre rédemption et délire forcé (du moins au début...) en duo ? Comment dans une telle situation se supporter, trouver les gestes adaptés pour bouger au même tempo, se laver, faire ses besoins, boire, manger, voir son/sa conjoint(e), dormir à quatre dans un même lit… et surtout, comment assurer chacun son concert, devant une foule énorme et en liesse, alors qu’on ne peut se séparer ? (On écoutera avec attention nos deux interprètes se défoncer sur un "Tainted Love" du feu de Dieu, un cover des Soft Cell) "To be, or not to be, that is the question !" Que voilà une situation cornélienne dans laquelle nos deux héros vont devoir apprendre à se supporter, se surpasser et peut-être… s’apprivoiser. Dans tous les cas, un véritable challenge, jubilatoire pour le spectateur, plein d’humour, déchainant les passions, et dans lequel tout le monde s’amuse, s’engueule même, court dans tous les sens, dort, joue de la musique, danse, chante, boit, fait l’Amour, etc. En clair, un face à face pêchu entre deux êtres qui vont à n’en pas douter oublier qu’ils sont enchainés pour finalement ne plus résister à l’appel de la vie : l’Amour ! « Rock’n’Roll Attitude » quand tu nous tiens ! "Optic Mimile, WAAOOUHHH!!!"
© Jean DORVAL, pour LTC Kinéma, le 24.04.2012.
INFOS PLUS :
Le site du film : http://rocknlove-lefilm.com/
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12/09/2011
LES PERLES D'LTC LIVE...
Et voili, une p'tiote perle zizikale trouvée chez mon p'tiot poteau Youtube.fr : "Face Up" des NO...
http://www.youtube.com/watch?v=wJWuwPIgydg
Bonne Muzik avec JD en LTC LIve !
Les BONUS d'LTC LIve :
NO : "Love Vigilantes"
http://www.youtube.com/watch?v=6vPt8LnkQ3g&feature=related et "Age Of Consent" http://www.youtube.com/watch?v=cYx8yW3POcg&feature=related et, et, et... "Temptation" http://www.youtube.com/watch?v=hdzPK3kAtrE&feature=related
20:03 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : jean dorval pour ltc live, ltc live : la voix du graoully, la scène ltc live, la communauté ltc live, new order, new-wave, punk, pop-rock, joy division, musique anglaise, xx siècle, no future, centre pompidou-metz, metz, moselle, lorraine, écosse, coupe du monde de rugby 2011, new zealand, nouvelle-zélande | Facebook |
27/07/2011
« HUUMMM, SHARLIIINNEE ! », PART III, PAR HOMER DORVAL !
« Fans du groupe Texas de tous les pays unissez-vous ! » On s’fait une p’tiote Pizzalive aux quatre morceaux de Zizik, goût avec de la « Shiiirrlliine » tout partout, tout plein, très beaucoup !
Premier morceau : “In Demand (encore de la Pizzalive…)”
Deuxième ceaumor : “Getaway” (toi même, p'tite coquine !)
Troisième morcif : “Summer Son” (toujours amoureuZe cette Sharliinne !)
Quatrième morceau au gout “Sleep »
C’est fini la Pizzalive et y’a pas de rabiot !
Salut les p’tits loups et les p’tites loupes !
Homer Dorval pour LTC LIve.
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23/06/2011
LA KINEMASPHERE DE JD.
« IL FAUT SAUVER LE SOLDAT PAPA ! »
On commence ce petit tour des films à voir ou à ne pas voir, avec « L'Aigle de la Neuvième Légion » (titre original : « The Eagle »). Ce péplum britannique d’une durée d’1h51, m’a beaucoup déçu par son manque d’originalité et d’action. Son titre aurait plutôt dû être : « Il faut sauver le Soldat Ryan… euh, pardon, l’Aigle perdu de la Neuvième Légion (de Papa qui était Général). » Sorti au niveau national le 04 mai dernier, ce film a été réalisé par Kevin Macdonald. Il comprend dans les rôles principaux, le très gnangnan et sculptural Channing Tatum (Marcus Aquila, le fils à papa), Jamie Bell (l’esclave qui aide Marcus) et Denis O'Hare (Lutorius). L’histoire, peu originale, nous conte les tribulations en 140 après J.-C. - quand l’Empire romain s’étend jusqu’aux limites de l’actuelle Angleterre - de Marcus Aquila, un jeune centurion, qui ne dort plus et ne vit plus, depuis que l’honneur de son père est bafoué. En effet, à Rome on pense que ce dernier a disparu lâchement, 20 ans plus tôt, avec ses 5.000 légionnaires d’élite de la Neuvième légion, en offrant sans combattre à ses ennemis leur emblème, le fameux Aigle d’or… Marcus qui connaît bien son père, et qui ne le croît pas capable de commettre une telle infamie, est bien décidé à rétablir l’honneur de son géniteur, qu’il a perdu lorsqu’il était enfant. Une intrigue, donc, des plus classiques, qui aurait pu voir son scénario adapté à un mauvais western ou un film de chevalerie de seconde zone… Pour la petite Histoire, c’est après le drame de la « IXème » que l’Empereur Hadrien ordonna la construction du célèbre mur qui porte son nom, afin de séparer le nord du pays (l’actuelle Ecosse), aux mains de tribus insoumises, du reste du territoire. Pour les Romains, le Mur d’Hadrien devint une frontière à ne pas franchir, l’extrême limite du monde connu et surtout civilisé. Apprenant par une rumeur que l’Aigle d’or aurait été vu dans un temple tribal des terres du nord, Marcus décide de s’y rendre avec Esca, son esclave. Mais au-delà du mur, dans des contrées inconnues, sauvages et hostiles, sa vie et celle de son esclave ne tiennent qu’à un fil. Et de plates révélations en découvertes sans suspens, d’aventures, sans panache ni gloire, en aventures sans surprises, Marcus affrontera les plus « redoutables » dangers, pour avoir une chance de trouver la vérité sur son père... Malheureusement, on se doute, dès le début, de l'intrigue de ce film - tout est cousu de fil d'or - et qu'au bout du compte, il ramènera le vautour doré (perdu) et qu’il rendra par la même l’honneur (perdu) au Soldat Papa. Le scénario et la mise en scène auraient mérités d'être plus audacieux. Rien de passionnant, donc, dans cette toile, qui ne donne pas envie spécialement de se déplacer au ciné... Et dire que je vous avais conseillé, avant sa sortie, d'aller voir ce film à gros budget, si banal au final… Quelle erreur ! Je vous conseille d'attendre sagement son passage à la télévision, cela vous économisera un ticket et le déplacement !
« THE TREE OF LIFE » OU « 2011 L’ODYSSEE DE LA VIE… »
Sur nos grands écrans depuis le 17 mai dernier, ce long-métrage américain réalisé par Terrence Malick, avec le sublime trio, Brad Pitt, Jessica Chastain et Sean Penn, est une véritable plongée au cœur de la Création. Il remonte à l’origine du Monde aux sources de la Vie, sondant la Bible à cœur ouvert. Les images sont à couper le souffle. Cette toile de maître se savoure au rythme d’un film de Stanley Kubrick, aucun détail ne nous échappe de l’infinité de l’Univers. Ce film est un indéniable capteur de regards. Des images au sens profond, donc, qui se déroulent devant un spectateur médusé, émotionné jusqu'aux larmes, comme des œuvres d’art juxtaposant, entre autres, les nébuleuses colorées du Cosmos à celles d’un fœtus. La beauté de Mère Nature est, ici, mise en valeur extrême. On remonte aux origines de la Vie, en général, et plus particulièrement, à la Vie qu’un couple a créée. Deux Parents ayant perdu leur enfant en bas âge, vivent un choc qui les plonge, alors, dans la mystique judéo-chrétienne, entrecoupée de doutes, d’interrogations légitimes envers Dieu (comme leur incompréhension de la souffrance et de cette terrible épreuve qu’ils traversent), et de remise en cause du sens de la vie. Ils offriront pourtant tout jusqu’au bout… Je vous déconseille d’aller voir ce film, si vous avez le cafard, car il est très prenant. Ames trop sensibles s’abstenir ! Par contre, pour ceux qui aiment le Vérité, rien que la Vérité, rien n'est plus beau !
LE COMPLEXE DU CASTOR PAS « JUNIOR » MAIS… « SENIOR » ! »
« Le Complexe du Castor » (titre original : « The Beaver ») de Jodie Foster - avec notamment (mon acteur préféré) le super Mel Gibson (Walter Black, un petit patron en perte de vitesse dans le secteur du jouet), Jodie Foster (Meredith Black, l’épouse de Walter) et Anton Yelchin (Porter Black, le frère de Walter) - est un excellent drame psychologique américain de 02h18. Il a été présenté hors compétition au Festival de Cannes 2011. La caméra n'hésite pas, bille en tête, à nous faire entrer dans la vie ratée de Walter, pour mieux peut-être souligner qu'il est temps pour lui de se bouger. Car déprimé, vivant au ralenti, atteint de névroses graves, Walter s’éloigne de plus en plus de sa famille et de ses proches... Au point que sa femme finit par le chasser de la maison familiale pour le bien de leurs enfants et le sien. Touchant le fond, Walter s’accroche, alors, malgré lui, à une marionnette de castor trouvée un soir par hasard. Une sorte d’objet thérapeutique par procuration, qui va l’aider à vaincre ses peurs, à se vaincre lui-même pour mieux guérir. Par jeu ou par désespoir, le castor va le faire sortir de sa léthargie profonde, mais pas irrémédiable. Il est soudainement prêt à nouveau à tout, à s’en sortir même. Cette marionnette que Walter utilise pour extérioriser tout ce qu’il ressent, et enfin l'exprimer le plus simplement possible à son entourage, va lui redonner confiance, à la maison comme au travail ; lui qui ne disait plus rien et qui dormait le majeur partie du temps... Ce castor devient le symbole de sa nouvelle personnalité, de sa renaissance, l’extension de ses refoulés, une partie de lui-même. Un nouveau Walter, plus positif et sûr de lui, est né. Rapidement, Walter reprend le contrôle de sa vie, mais découvre, petit à petit, qu’il ne peut plus exister sans son castor. Parviendra-t-il à se débarrasser de lui ? La seule chose que je peux vous dire, c’est que le Beaver est en lui à la vie à la mort…
UNE SEPARATION… FATALE !
« Une séparation » (titre original : « Jodaeiye Nader az Simin ») est un drame iranien (sortie nationale le 08 juin 2011) réalisé par Asqhar Farhadi, d’une durée de 2h03. Il est interprété dans les rôles principaux par Peyman Moadi (Nader), Leila Hatami (Simin, la femme de Nader) et Sareh Bayat (Razieh, l’aide-soignante). Nader, lorsque sa femme le quitte, engage une aide-soignante pour s'occuper de son père atteint de la maladie d’Alzheimer et réduit à l’état de végétal. Mais, voila, il ignore que la jeune femme est enceinte et qu’elle a accepté ce travail sans l'accord de son mari (une faute très grave en République Islamique d’Iran…), un homme psychologiquement très instable et ultra-violent… Tout va alors basculer pour Nader qui vit une véritable descente aux enfers sur fond (et on le comprend très bien…) de dénonciation de l’émancipation de la femme en Iran islamiste… A voir absolument, pour ouvrir les yeux sur l’intolérance de l’intégrisme musulman, comme celle de tous les intégrismes…
Voilà mon p’tit marché kinématographique est terminé. Je vous engage à aller au cinéma pour vous changer les idées, accompagné ou seul, c’est un bon moment de détente 100% biovisuel et une très bonne thérapie contre la Crise. Ajoutez à cela un travail et une bonne dose d’Amour, et c’est vraiment le Paradis sur Terre !
© Jean Dorval pour LTC Kinéma, le 23 juin 2011.
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30/03/2008
CINEMA, A VOIR EN LORRAINE EN CE MOMENT : « LE DRAGON DES MERS (LA DERNIERE LEGENDE) »
Ce très beau film fantastique américain, en version française, de Jay Russell a été réalisé, avec dans les rôles principaux les acteurs Emily Watson, Alex Etel, Ben Chaplin, David Morrissey, Brian Cox, Geraldine Brophy et Priyanka Xi.
S’agit-il de la vraie histoire du Loch Ness ? Chères lectrices et chers lecteurs, je vous en laisse seuls juges ! En attendant, le scénario de ce film est très bien ficelé. Ambiance et bonne humeur assurées ! Avec entrain et rythme, on passe un super bon moment de détente, que petits et grands apprécieront.
Le réalisateur a filmé une légende européenne, résolument moderne et traditionnelle à la fois, nous narrant le parcours extraordinaire d’un gamin vivant en Ecosse. Ce dernier découvre, lors d'une promenade sur la plage, un oeuf à l'aspect mystérieux… Incertain de son origine, il décide de le ramener chez lui. Et c’est le début de l’aventure ! Lorsque celui-ci éclos au cours de la nuit, notre jeune héros se retrouve, à sa grande surprise, l’heureux propriétaire d'une créature mythique : le dragon des mers. Il va nommer son nouveau et surprenant compagnon, qu’il va devoir faire accepter à tout son entourage : Crusöe. L’animal, hors normes, d’une intelligence supérieure, pataud et comique sur la terre ferme, mais dont l’agilité n’a pas d’égal dans l’eau, est d'une nature très douce. Il possède surtout un monstrueux appétit…
Personnellement, j’ai emmené mes enfants et mes neveux voir cette toile, rien à redire, que du bonheur ! Attention, ce film étant sorti dans les salles, le 13 février 2008, il faut se dépêcher d’aller le voir pour ceux qui sont intéressés !
© François de Clairval, le 30 mars 2008
A voir, le site du film : http://www.ledragondesmers.com/
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