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23/05/2012

HOMMAGE A GAINSBARRE BY JD...

 

 

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BEATRICE GROSS, CHEF D’ORCHESTRE DU BALLET SOL LEWITT AU CPM (en mode Lucinda Childs), LE TEMPS D’UNE EXPO.

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Le Centre Pompidou-Metz (CPM) rend hommage à l’artiste conceptuel américain Sol LeWitt (1928-2007), jusqu’en juillet 2013. Pour ce faire, il lui dédie, en Galerie 2, sur une superficie de 1.200m2, une rétrospective inédite de ses Wall Drawings (dessins muraux). D’une envergure sans précédent en Europe, ce parcours de la carrière du Maître va de ses premières à ses dernières réalisations. Les dessins sélectionnés reflètent à la fois l’extraordinaire cohérence de ses explorations systématiques (séries et combinaisons rigoureuses d’éléments géométriques) et l’étonnante diversité de sa pratique, aussi bien dans l’évolution des formes (de figures géométriques simples à ses « formes complexes » ou « continues ») que des matériaux utilisés (crayon à mine, pastel gras, lavis d’encre, peinture acrylique et graphite).

Béatrice Gross, Française de New York, a travaillé trois ans durant, sur ce défi (d'Art-)plastique, tant dans le choix des pièces exposées que dans la mise en œuvre de celles-ci. Cette commissaire âgée de 33 ans, qui a fait ses premières armes au MoMa de New York, a installé dans 16 hautes alvéoles aux murs parfaitement lisses, construites au centimètre près (en parfait accord avec la Fondation Sol LeWitt), cette exposition hors norme, à la Charte Graphique très stricte. Le parcours chronologique est pensé comme un ballet de Lucinda Childs : pas de gras, pas de bavardages, juste l'art à l'état pur ! 100% artiste !

 

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 Béatrice Gross devant une des oeuvres de Sol LeWitt.

 

INTERVIEW DE BEATRICE GROSS BY JD.

JD : Bonjour Béatrice Gross, vous exercez le métier de critique d’art indépendante à New York. Vous êtes la Commissaire de l’exposition « Sol LeWitt, Dessins Muraux, De 1968 à 2007 » qui a lieu actuellement au Centre Pompidou-Metz, et ce, jusqu’au 29 juillet 2013, et qui consacre 33 « Wall Drawings » de l’artiste (parmi les 1.200 dessins qu’il a créé), soit la plus grande exposition d’œuvres jamais réalisé sur « LE » Grand Maître. En 2013, vous organiserez une autre exposition sur le thème de l’extraordinaire collection privée d’œuvre d’art de l’artiste. Quelles sont les œuvres qui ont votre préférence dans cette collection qui va d’Eva Hesse à Steve Reich, de Robert Mangold à Hanne Dardoven, de Robert Ryman à des centaines d’inconnus, et pourquoi ?

BG : Pardonnez-moi, mais je ne veux pas préférer d’œuvre en particulier. C’est une collection magnifique qui a quelque chose de très organique. Vous savez, c’est comme une chose vivante qui évolue avec le temps. L’artiste a collectionné dès le début toutes ses œuvres. Enfant, il collectionnait déjà les timbres… « LA » Collection était vraiment une autre de ces pratiques, à côté de la pratique artistique. En plus, cette collection s’est constituée à la faveur d’échanges et de dons plutôt que d’achats. Et même, si des achats ont pu avoir lieu plus tard dans sa constitution (il y a près de 4.000 œuvres), les échanges et les dons se faisaient entre amis, entre pairs, entre gens qui se respectaient, avec des personnes que Sol LeWitt respectait particulièrement. Ces œuvres sont fascinantes avec un cœur de collection d’art minimal et d’art conceptuel, mais avec aussi de l’art post-minimal, de la peinture aborigène d’Australie, des partitions musicales qui vont de Steeve Reich à Philip Glass. Et puis, il y a du mobilier de Gerrit Rietveld, des travaux de l’Arte Povera (qui est une « attitude » artistique, plutôt qu'un « mouvement » artistique, un concept que les artistes italiens de l'Arte Povera ont toujours rejeté depuis 1967). Il a aussi de très belles œuvres de Daniel Buren, etc. Donc, cette Collection Sol LeWitt comprend beaucoup de choses. C’est pourquoi, il ne faut pas instaurer de l’hiérarchie entre ces œuvres, toutes plus importantes les unes que les autres. Sol LeWitt s’intéressait à l’Art passionnément, et on va montrer ces œuvres avec passion aussi, encore une fois sans hiérarchie.

JD : Vous n’avez vraiment pas un « Petit Coup de Cœur » pour une de ces œuvres ?

BG : Ecoutez des coups de cœur, j’en ai plein, mais c’est à titre personnel. Je crois que ce n’est pas très important. Je crois qu’il y a beaucoup de très belles œuvres qui me touchent.

JD : Juste une petite œuvre pour me faire plaisir…

BG : Il y a notamment une des œuvres de Fred Sandback. Vous savez, ce sont ces œuvres situées dans l’espace, dessinées comme un espace négatif, représentées simplement par des petits fils. Il y aussi une œuvre de Donald Judd, un artiste plasticien et théoricien, et une magnifique série d’Eva Hesse, qui a joué un rôle central dans la transformation de la sculpture dans les années 1960. Il s’agit donc d’œuvres très précieuses, très belles et très fragiles. De même, on trouve des séries exceptionnelles d’Hanne Darboven qui a participé à de nombreuses expositions internationales. Son œuvre est proche de l'art conceptuel. Il est donc très difficile de faire un choix parmi tous ces chefs-d’œuvre.

JD : Exposerez-vous tous ces choix d’œuvres, dont vous venez de me parler, dans la future exposition sur la Collection LeWitt ?

BG : Naturellement !

JD : Donc ce sont de « vrais coups de cœur » ?

BG : Oui, ce sont des coups de cœur, fondés historiquement. Les raisons premières de ces choix sont que ces œuvres en tant que tel sont absolument magnifiques, en plus, elles étaient très importantes pour Sol LeWitt. En dernière instance, mon choix est motivé par ma préférence pour des œuvres que j’aime plus que d’autres.

 

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Wall Drawing #1171 - Cinq degrés de crayonnages : un cube sans un cube ; un cube sans un coin. Graphite.


JD : Béatrice, Sol LeWitt a organisé l’échange d’œuvres d’art partout dans le Monde, soit avec des artistes reconnus, des étrangers, des amis, des fans, etc. Ce projet faisait partie de sa pratique conceptuelle dans un exercice qui a cassé le modèle traditionnel de l’échange de biens artistiques établi par le marché de l’art et les grandes maisons internationales d’enchères. Que pensez-vous de ce « troque conceptuel » ? Pensez-vous que le Musée d’Art Moderne de Paris pourrait faire de même avec d’autres musées afin de varier l’offre des œuvres exposées au Centre Pompidou-Paris ou Metz ?

BG : Je ne peux absolument pas me prononcer pour le Musée d’Art Moderne de Paris, ni pour le Centre Pompidou-Paris ou Metz. Par contre, je peux vous parler de Sol LeWitt, un peu plus, si vous le souhaitez…

Cette pratique de la collection, je crois que chez lui, c’est une chose intuitive. Comme je vous le disais, Sol LeWitt était un collectionneur né. Il a commencé par les timbres, et puis il a continué très vite avec des œuvres, car c’est un passionné d’art, car c’était un artiste aussi, bien sûr ; mais surtout, parce que c’était un artiste passionné par l’art des autres, qui était extrêmement curieux, extrêmement généreux. Quant à savoir si c’est « une grande déclaration » sur le Marché de l’Art, c’est possible. Sol LeWitt, même si on ne s’en rend pas compte au premier abord en regardant ses œuvres, était quelqu’un qui avait des positions très marquées (même politiquement), à l’image de sa fameuse idée selon laquelle les artistes conceptuels sont d’avantage mystiques que rationalistes.

Sol LeWitt est très radical. Il avait été d’ailleurs un des tous premiers dans les années 60 à proposer de se détacher du Système des galeries commerciales, et de fonder une galerie dirigée par des artistes qui pourraient ainsi gérer leur propre carrière. Mais, comme vous le savez, cela ne s’est pas vraiment fait. Aussi, Sol LeWitt a travaillé avec beaucoup de loyauté avec un très grand nombre de galeristes, comme Samuel Lallouz. Ce rapport au marché de l’art, je crois qu’il l’a vécu avec beaucoup de simplicité, mais aussi avec beaucoup de réalisme. Il a travaillé avec des galeristes formidables, qui ont fait des travaux et un travail de soutien vraiment admirable. Mais, Sol LeWitt n'a jamais voulu travailler en exclusivité pour quelqu'un. C’est pour cela qu’il a multiplié ses interlocuteurs à travers le monde pour s'occuper de son travail. Cela ne l'a pas empêché de leur accorder à tous une loyauté sans faille et durable.

 

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Wall Drawing #340A - Dessin en six parties. Le mur est divisé horizontalement et verticalement en six carrés égaux, bordés et séparés par des bandes blanches de 6 pouces (15 cm). A l'intérieur de chaque carré, une figure géométrique à l'extérieur de laquelle se trouvent des lignes parallèles noires horizontales, et à l'intérieur de laquelle se trouvent des lignes parallèles noires verticales. Toutes les lignes sont distantes de 1 pouce (2,5 cm). Les lignes horizontales ne pénètrent pas dans les figures - Pastel noir.


JD : Vous habitez à New-York et Sol LeWitt a démarré à New-York… Cela suscite quoi chez vous ?

BG : Comme beaucoup d’autres artistes Sol LeWitt est né à Hartford, pour être exact, dans le Connecticut. Il est vrai, qu’il a passé une grande partie de sa vie et de sa carrière à New-York…

JD : Au Musée d’Art Modern de New-York notamment…

BG : Effectivement, mais assez brièvement, pour que très rapidement il puisse vivre de son Art. Il a habité aussi en Italie dans les années 80. C’est quelqu’un qui a beaucoup voyagé. Il montrait énormément ses oeuvres, dix à douze expositions par an, depuis les années 70. Vous imaginez le travail colossal, à la fois en terme de création, et en terme d’exposition à montrer et à organiser, notamment à New-York, où je vis, une ville fantastique et très avant-gardiste.

 

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Béatrice Gross.


JD : Merci Béatrice pour cet interview, bonne journée.

BG : Je vous remercie Jean.

© Propos recueillis, le 07 mars 2012, par Jean Dorval, pour LTC Arts, au Centre Pompidou-Metz.

 

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INFO PLUS SUR L’EXPO :

http://www.centrepompidou-metz.fr/node/13802 

© Crédit photos : Jean Dorval pour LTC 2012, Jean Dorval pour LTC 2012/Shigeru Ban Architects et Jean de Gastines Architectes, pour les photos représentant le Centre Pompidou-Metz, et Jean Dorval pour LTC 2012/Adagp, Paris 2012.

22/05/2012

MONTIGNY-LES-METZ, EGLISE SAINT-JOSEPH, LE 22 MAI 2012, 20H30, CONCERT D'HAENDEL-ENTREE LIBRE.

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21/05/2012

LE P'TIOT DUO MUSICAL SELON MAF... SPECIAL DJEUNZ...

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19/05/2012

LE P'TIOT TRIO MUSICAL SELON JD...

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LE P'TIOT DUO MUSICAL SELON JD...

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18/05/2012

ALERTE AU VIRUS « TORBA » SUR L’OCCIDENT !!!

Depuis quelques mois, les masses média nous bassinent les oreilles avec l’arrivée probable en Occident, en septembre prochain, d’une pandémie de grippe A-H1N1. Par contre, personne ne parle du virus « TORBA », une contagion qui sévit depuis un moment et qui fait beaucoup de ravages chez nous. Mais, avant de parler de cette nouvelle épidémie, parlons un peu d'Histoire…

 

LA CHUTE DU RIDEAU DE FER OU LA FIN DU REMPART SANITO-AFFECTIF DE L’OCCIDENT…

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© Photo ci-dessus (L'ex-Rideau de Fer) : mondialisation.ca
 
 
 

Depuis la chute du « Rideau de fer » en 1989 et la disparition du Bloc soviétique en 1991, les « ex-Démocraties Populaires » n’ont apparemment su prendre que les tares de l’ultralibéralisme, en s’ouvrant sur l’Occident capitalistique… Ainsi, après des décennies de chape de plomb mortelle communiste, d’absence de libertés chronique et de respect de l’environnement, les voici placées désormais sous la férule nocive yankee ou pro-yankee (matérialisme, esthétisme californien, négation de leurs racines, toute puissance des valeurs boursières et de l’argent roi). Des kilomètres de films américains bon marché (que l’on peut voir aussi sur nos écrans de cinéma ou de télévision…) inculquent à ces populations candides, généralement pauvres, des images trompeuses du « Paradis retrouvé » et supposé que serait l’Occident, présenté comme un véritable mas de cocagne, une corne d’abondance. Ces navets à la sauce amerloque de choc faussent la donne, provoquent « l’exportation » de bon nombre de candidat(e)s à un exil économique qui se veut « prometteur » dans une Europe de l’Ouest pourtant gravement touchée par le chômage, la crise sociale, économique et identitaire, les délocalisations et l’absence de frontières.

 

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© Photo ci-dessus (Système Internet par satellite) : techsciencereview.com
 
  
Mitteleuropa ton univers impitoyable…
 

La Mitteleuropa est dans une situation d’extrêmes contradictions. « La modernisation » dans cette région d’Europe a tellement été subite et outrancière, au détriment de l’Etre Humain, que la vie quotidienne s’en est trouvée fortement déséquilibrée. En Roumanie, par exemple, on est passé du jour au lendemain de l’absence d’Internet à l’Internet par satellite. Et au cœur des campagnes les plus reculées, dans les étables rustiques comme dans les pâturages escarpés des Carpates, pour élever les vaches dorénavant les paysans sont passés d’un coup de baguette magique aux tags les plus sophistiqués. Ces puces électroniques dernier cri permettent de suivre leur croissance, de contrôler journalièrement la quantité de nourriture dont elles ont besoin et aussi de pouvoir les situer toujours par satellite... Par ailleurs, l’outil industriel dans ces pays, ancienne propriété d’Etat, a donné lieu à de fortes restructurations et spéculations qui ont créé un tsunami de chômage sans précédent. Ces nombreux licenciements dus à des économies d’échelle ont permis à tous les profiteurs du « Village mondial », toujours à l’affut de dividendes et d’intérêts juteux, de continuer d’exploser l’ancien système social et d’exploiter une main d’œuvre à bas prix qui ne demande pas mieux que de travailler, afin de pouvoir se payer tout ce qui est à la mode à l’Ouest (quitte pour cela à prendre des crédits à taux usuriers à vitam aeternam…). De plus, avec un coup de la vie qui a bondi à la hausse dans cette partie du Monde, la misère s’impose de façon durable et dramatique pour une majorité de gens qui n’a pas de pouvoir d’achat, et à laquelle, pourtant, le matraquage publicitaire met l’eau à la bouche constamment. Seule, une élite jouit des bienfaits de ce nouveau contexte politico-économique sauvage. On pensera notamment aux milliardaires russes qui descendent sur la Côte d’Azur et qui flambent. Mais aussi, aux bourgeois (les nouveaux parvenus) qui vivent dans les grandes villes à l’abri de luxueuses résidences ultra-sélectes et sécurisées. Une arrogante croissance économique ne profite qu’à cette nouvelle classe émergente (souvent l‘ancienne nomenklatura reconvertie et la mafia). Et tandis que la Pologne affiche au 3ème trimestre 2007 une croissance de son PIB atteignant 6,5% - dépassant en cela royalement la moyenne de l’UE qui n’est que de 2,9 %(1) – on constate que, depuis l’adhésion à l’Union européenne en 2004, près de 2°millions de Polonais seraient partis à l’Ouest en quête d’un meilleur salaire. Plombiers, chauffeurs, médecins, chefs de chantier, ingénieurs, musiciens, etc. ou jeunes diplômés n’hésitent pas à plier bagages et à émigrer en Occident, avides de réussite à tout prix. Ainsi, 26°% des Polonais envisageraient prochainement un départ à l'étranger(2). Aussi, les populations de l’Europe de l’Ouest (principalement la France, le Luxembourg, l’Allemagne et la Belgique) n’ont qu’à bien se tenir… Elles se retrouvent de plus en plus sur le marché du travail confrontées à une main d’œuvre jeune venue d’Europe Centrale, très travailleuse, vite adaptable, à forte valeur ajoutée, parlant plusieurs langues et détentrice de diplômes supérieurs obtenus courageusement dans leur pays d’origine ou à l’étranger. Cette force de travail unique, attractive pour les employeurs puisqu’elle reste très bon marché, exerce une véritable concurrence déloyale. En effet, elle est le plus souvent embauchée dans son pays d’origine à des tarifs (hors charges sociales) très compétitifs, mais pour travailler… en France, par exemple, dans le transport international routier. En cas de crise, on licenciera en premier les travailleurs français plutôt que ces travailleurs payés au lance-pierre…

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L'affiche du film...
 

De la migration politique à la migration économico-affective

Au balbutiement, dans les années 90, il y avait les migrations politiques en provenance des Pays de l’Est. Mais, cela va commencer à se compliquer, quand des femmes seront concernées… Ces situations d’urgence ont fait à l’époque les choux gras de réseaux clandestins, d’agences matrimoniales, de revues et de catalogues spécialisés. Elles sont d’ailleurs très bien décrites dans le film français « La fiancée qui venait du froid » sorti en 2003(3). De nos jours, ces migrations deviennent économico-affectives. Les moyens restent les mêmes. Il y avait d’ailleurs une émission à ce sujet sur M6 récemment, dans laquelle un type plein aux as faisait passer avec l’aide d’une agence de véritables « entretiens d’embauche » à des femmes objets prêtes à tout pour l’épouser, afin de sortir de leur misère… et le quitter nanties de la nationalité française (et de tous les droits qui y sont associés) dès qu’elles auront trouvé mieux ailleurs (ou pour retourner chez elle après quelques années)… Dans la même veine, des pervers qui veulent dominer des « filles déjà dressées » ont poussé le bouchon trop loin en arrachant de jeunes proies de 18 ans (voire moins en trafiquant l’âge…) directement à leur famille (contre de l’argent), dans leur pays d’origine contrôlée… La prostitution et la pornographie ont utilisé (et utilisent encore) les services de ces filles qui n’excitent pas uniquement l’imaginaire… Comment peut-on vendre ses enfants dans de telles conditions, même pour manger ? Avant la chute du Rideau de fer, ces « exilées politiques » de tout poil (mais déjà économiques), peu nombreuses, passaient discrètement à l’Ouest. Désormais, toujours depuis 2004(2), des contingents de jolies filles de l’Est, venus par bus entiers, débarquent avec charmes et bagages en Occident, se transformant vite en hordes de prédatrices, en lame de fond d’une migration affective et… économique. Elles ont en effet trouvé le filon : la recherche de l’âme sœur ayant une bonne situation… Même, si pour cela, il faut vivre comme une prostitué (sans faire le trottoir)… Tels sont les symptômes d’un virus nommé « Torba »…

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Photo extraite du film : « La fiancée qui venait du froid ».
 
  

LA PROPAGATION DU VIRUS « TORBA » EN OCCIDENT A L’ORIGINE D’UNE PANDEMIE ANTISOCIALE !

Le mot « Torba » en polonais veut dire « sac ». Mais, au second degré, cela se traduit plus largement par « femme de petite vertu, sans sentiment, fonctionnant comme une prostitué ». Ce qualificatif s’applique le plus souvent à des jeunes femmes venant des Pays de l’Est (mais aussi d’Asie ou d’Afrique, deux continents touchés très gravement par la sinistrose économique) en âge de procréer dans une fourchette de 20 à 38 ans. Il est nécessaire de dire que, quelque soit sa situation personnelle, la « Torba » n’a aucune excuse pour son comportement déviant. Il faut aussi préciser que majoritairement la Femme de l’Est (comme celle d’Asie ou d’Afrique) n’est pas une « Torba », qu’elle passe pour une très bonne amie, une épouse et une mère formidable ayant des valeurs saines à défendre, issues du Catholicisme. Mais voilà, les choses étant ce qu’elles sont… la déferlante « Torba », asservissant de nombreux esprits fragiles, se répand sur l’Occident sans prévenir, avec de nombreux effets collatéraux.

 

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© Photo ci-dessus : 136.173.159.21
 
 
 

Une déferlante « Torba » incontrôlable…

La « Torba » est un pur produit de la société de consommation. Ce fléau en talons aiguilles, en libre circulation, vient chasser « l’âme sœur économiquement viable » en UE et vise des stéréotypes masculins, ayant une très bonne situation professionnelle et financière, afin d’assurer des lendemains qui chantent : un ingénieur, un PDG, un docteur, etc. A ce sujet, en Chine, un récent sondage démontrait que les femmes dans leur grande majorité (tous âges confondus) « prennent leur pied » qu’avec des hommes riches et de pouvoir. Elles en tombent, d’ailleurs, plus facilement amoureuses et enceintes. Le besoin de « sécurisation matérielle » d’une catégorie de femmes au détriment de l’Amour dans une période d’incertitudes internationales reste plus fort que tout… Une « Torba » polonaise de 30°ans, qui a trouvé un pigeon, interrogée pour cet article, précisait : « Il n’est pas beau. Je ne l’aime pas. Mais, il a de l’argent et il est fou de moi. J’en fais ce que je veux. C’était si dur avant… » (sous-entendu : « je ne redescendrai jamais plus dans la hiérarchie sociale »). A contrario, il y a quelques années dans un autre sondage les femmes californiennes stipulaient préférer (comme certainement une majeure partie de la gente féminine mondiale de l’époque) les hommes symétriques et sculpturaux. Physique de rêve contre porte-monnaie nourricier… les temps changent. Décidément, aujourd’hui, on ne vit plus d’Amour et d’eau fraîche !

Un monstre d’égoïsme…

Si la « Torba » est prête à tout pour atteindre son but, elle se casse souvent les dents sur la dure réalité… Son expérience négative de la vie ne lui sert jamais de leçon, puisqu’elle refait toujours les mêmes erreurs. C’est une rêveuse qui vire au cauchemar permanent ! Le complexe de Cendrillon l’anime et pourtant il n’a été résolu que par très peu d’élues... Cela n’empêche pas la « Torba » d’entretenir volontiers le mythe du Prince Charmant en Porsche blanche et d’imaginer un luxueux Palais Grognard pour accueillir son idylle boursière. Si elle est d’origine polonaise, elle souhaite se marier à l’Eglise (même si elle a conscience qu’elle divorcera dans moins de trois ans) juste par convention et pour avoir une belle cérémonie (comme au cinéma) en robe blanche (qu’elle devrait plutôt porter rose ou rouge, car elle n’est plus vierge depuis longtemps). Curieusement, la « Torba » qui est de petite condition n’a pas conscience que les riches ne se marient généralement qu’entre eux... Par contre, ces derniers ne refusent pas « d’améliorer leur ordinaire affectif » en prenant régulièrement des maîtresses… Dans ce cas, la « Torba » se fait entretenir, toute honte bue, sans réellement se donner physiquement (ou si peu). Elle se contente de faire « marcher » le gars ou plutôt la pompe à fric… devenant un « Alfonso » (au féminin), nom que l’on donne en Ukraine aux gigolos. Cette situation grotesque ne durant qu’un temps, si notre « Torba » ne veut pas se retrouver régulièrement célibataire désabusée (voire vieille fille aigrie quand elle sera défraichie), elle doit absolument revoir sa copie et écouter l’avertissement de l’humoriste Patrick Timsit qui précise dans un de ses sketchs : « Il y a quatre femmes pour un homme sur terre… » Ce chiffre alarmant devrait pousser la « Torba » à avoir un peu plus de modestie, car il n’y a pas de mâle, riche comme pauvre, pour tout le monde… A bon entendeuse salut ! D’autre part, comme la crise économique paupérise en continu la population occidentale, travailleurs pauvres et SDFs sont légion, cela réduit encore d’avantage les chances de ce type de femme de trouver un homme aisé. Une denrée statistiquement rare quelque soit l’époque… Cette terrible évidence ne fait qu’augmenter la frustration de la « Torba ». Alors, dans l’attente de pouvoir réaliser son ambitieux dessein et certainement pour ne pas être un jour taxé de racisme social, la « Torba » se rabaisse (sans états d’âme), en période hormonale, à prendre un bouche-trou de service, ce qu’elle appelle avec ses amies un « mec bien »…

 

Et un « mec bien », un !

Bizarrement, le « mec bien » n’est pas riche. Il est charmant, plus âgé qu’elle, équilibré, propre (à l’intérieur comme à l’extérieur), sans maladie grave, sympa, drôle, culturé, naïf, de préférence en cours de divorce avec enfants (pour avoir un prétexte de ne pas s’y attacher)… La situation personnelle et passée de ce bouche-trou (qu’elle exècre particulièrement parce qu’elle n’a jamais rien fait de constructif durant son existence et qu’elle se croit parfaite), les défauts supposés de ce dernier (un scandaleux harcèlement), la relation qu’elle entretient avec lui (volontairement mal vécue à cause d’une interprétation erronée de la religion que la « Torba » soit croyante ou non), sont des sujets permanents de rabaissement, de critique et de culpabilisation. Comme ce « mec bien » lui fait honte (il n’est même pas un ami pour elle), la « Torba » le jette et le reprend à volonté, elle ne peut se résoudre à lui donner la main dans la rue, elle ne le présente pas à ses relations et encore moins à sa famille. Il sera donc jetable après utilisation, comme ses nombreux prédécesseurs. La fin de la période d’essai de ces liaisons toxiques est souvent liée à des projets de vacances trop onéreux (destinations lointaines et prestigieuses) que le « brave type » en question ne peut offrir à la « Torba ». Elle finira pas partir en congés avec une amie ou un nouveau gogo, car comme le précise une autre « Torba » : « Chez nous, on nous apprend à conserver notre famille et nos ami(e)s, car si on ne choisit pas sa famille, par contre on choisit ses ami(e)s. Quant à nos petits copains : un de perdu, dix de retrouvés ! » Quelle belle mentalité ! En préambule à toute rupture avec un bouche-trou, la « Torba » aura pris soin de faire tomber sa victime « fou d’Amour », pour mieux la faire souffrir, lui faire payer l’addition salée de sa vie ratée passée, présente et future. Insatisfaite de naissance, obsessionnelle, la « Torba » cherchera « toujours mieux » et bien sûr ne trouvera jamais le bonheur pur et simple. Ainsi, il est impossible pour elle de se fidéliser, car elle n’a pris que les mauvais côtés des femmes « libérées ». Elle se conduit en véritable Serial-Killeuse du sentiment.

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© Photo ci-dessus : adrijana.skyrock.com
 

 

Un contexte psychologique « Torbatien » très instable…

Il faut savoir que généralement la mère d’une « Torba » est divorcée ou mère célibataire, et plus rarement, qu’elle vit en cohabitation avec un époux tyrannique. La « Torba », éternelle adolescente, ne peut pas couper le cordon ombilical avec elle, vu que les difficultés de la vie les ont rapprochées. En retournant régulièrement voir sa mère au pays ou en passant de nombreuses heures avec elle au téléphone quotidiennement (grâce à un forfait illimité), la « Torba » (qui doit tout à « sa maman ») poursuit son éducation névrosée, obéissant aveuglément à une génitrice castratrice qui influe sur tout. Au point, qu’on peut se demander, vu que sa mère n’est pas éternelle, ce qu’elle fera pour survivre après sa disparition ? Va-t-elle se ranger et trouver enfin « l’âme sœur » ou restera-t-elle une vieille Demoiselle à la recherche d’un vieux Monsieur plein de pognon ? Rien n’est moins sûr ! En attendant, on s’interroge de savoir si la mère et la fille n’entretiennent pas une relation quasi-incestueuse (et donc lesbienne), tellement les liens sont forts. Dans de nombreux cas, elles dorment ensemble depuis la petite enfance de la « Torba », ainsi qu’à l’âge adulte dès qu’elles se revoient… Dans ce contexte particulier, on peut affirmer que la « Torba » bien souvent possède une part d’homosexualité latente inavouée et de bisexualité affirmée par nécessité. Elle déteste les hommes, mais en a besoin pour réussir… Il convient de rajouter que la « Torba » depuis sa prime jeunesse a un conflit récurrent avec le père qu’elle ne voit plus du tout (ou irrégulièrement). Le complexe d’Oedipe est donc non résolu à la suite du départ de la figure paternelle pour une autre femme. Tous ces refoulés poursuivent notre « Torba » toute sa vie. Selon le cas, la « Torba » a vu, voit ou verra un psy. L’arrivée d’un demi-frère ou d’une demi-sœur du côté du père renforce un sentiment de trahison et d’abandon déjà très présent. La « Torba » recherche d’ailleurs des hommes plus âgés qu’elle, car l’image du père la hante. Elle veut s’en venger. Est-ce pour cela qu’elle aussi méchante avec eux ? On n’en doute pas une seconde ! Là-dessus, vous rajoutez (comme cela se fait couramment dans les Pays de l’Est) un « dépucelage surprise » sous un arrêt de bus ou dans une cabine téléphonique, une nuit d’hiver, par moins 10 degrés Celsius, avec un type éméché (faute de pouvoir se payer une chambre d'hôtel), voire un viol ou une relation forcée avec un pédophile, la transmission des séquelles psychologiques que les parents ont accumulé sous le joug communiste, etc. et vous avez comme résultat une « Torba » haineuse, très fragile psychologiquement (dépressive chronique) et dont la compagnie frise la sainteté. Attention, personne en laissant aller son « Basic instinct » n’est à l’abri de ce genre de « Liaison fatale » ! Et nombreux sont les gogos à qui ces Amazones des temps modernes font tourner la tête ! Alors, Messieurs (même si la gente masculine n’est pas irréprochable depuis des siècles dans sa conduite avec les femmes), gaffe au danger !

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Quand religion et sexe ne font pas bon ménage !

La « Torba » est tout le contraire de ce qu’elle prétend ou paraît être. Elle avance masquée. Souvent « fervente religieuse » en façade (elle peut aussi être athée), elle cherche le bon parti (et le « mec bien ») jusque dans les églises de sa communauté. Quand elle a trouvé le pigeon, elle n’y remet plus les pieds… Le piège s’est refermé ! La religion (ainsi que « le business ») lui sert par la même de réseau pour trouver du travail et se faire inviter régulièrement par la diaspora de son pays. Quotidiennement elle prône pour se faire bien voir (mais sans y croire) la vertu, la chasteté et la « sérieusité » dans ses relations avec les hommes. En clair avec elle : « pas d’aventure ! » Alors, qu’elle ne vit que pour cela… Son comportement sous d’autres cieux moins conventionnels en est la preuve. A ces occasions, elle se relâche intégralement, en abaissant enfin le masque. Par exemple, avec ses copines, elle fait régulièrement des descentes dans des boites de nuit (où elle danse de manière très sensuelle, habillée super sexy, telle l’allumeuse moyenne) et participe à des enterrements de vies de jeunes filles plutôt sulfureuses (strip-teases, attouchements sur des gogos danseurs, attroupements autour de types en érection, etc.). A l’étranger, dans les pays « chauds » (dans tous les sens du terme…), situés dans les Caraïbes notamment, elle n’hésite pas (si elle en a les moyens) à faire du tourisme sexuel et à se payer les services d’un gigolo. Pour finir sur la sexualité particulière de la « Torba », il est nécessaire de savoir que les relations intimes avec ce genre de « fille à maman » peuvent être décrites de la manière suivante : une certaine frigidité et des rapports sexuels de très mauvaise qualité concédés sans amour ni plaisir ; une beauté extérieure (minorée par sa noirceur intérieure) qui la pousse à croire que tout est acquis ; se contente de quelques « caresses hygiéniques » distribuées à la sauvette ; rares pénétrations vaginales (uniquement en position du missionnaire) ; elle jouit quasi-silencieusement de peur finalement d’être considérée comme trop humaine et s’arrête aussi sec faisant fi du plaisir de son partenaire… Après une nuit qu’elle souhaite ne plus voir se renouveler (pour partir vers de nouveaux horizons), elle sort sans gêne à son amant à peine réveillé : « qui de nous deux met fin le premier à cette relation sans lendemain ? »

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© Photo ci-dessus : crdecoration.com
 

Ultime portrait au vitriol de la « Torba »…

Dans ses grands traits de caractère, force est de constater que la "Torba" perd facilement son self-control. Elle devient vite violente verbalement et physiquement à la moindre contradiction. Vaniteuse et orgueilleuse de surcroît, elle peut faire l’objet d’une fiche signalétique à la Prévert : capricieuse, parano, susceptible, effrontée, menteuse, calculatrice, fausse, traitresse, accusatrice, perverse, mythomane, ambitieuse, matérialiste, aimant le luxe (maison, High-Tech, etc.) et surtout arriviste. Par ailleurs, la « Torba » se laissera totalement aller avec des gens qu’elle ne connaît pas ou qu’elle ne reverra plus. Elle fait ainsi une consommation très prononcée de boissons alcoolisées (accompagnée ou seule, chez elle ou dans des pubs). Elle sirote principalement de la bière et du Champagne, mais ne crache pas sur les vins fins blancs et rouges (français et italiens), et encore moins sur les Vendanges Tardives. Elle refuse de manger aux heures habituelles de repas. Elle compense sa frustration existentielle en préférant dévorer toute la journée au boulot avec des collègues au féminin : des bonbons, du chocolat, des gâteaux, des brioches ou quelques recettes locales sucrées. Sa préférence en restauration penche pour l’exotisme (spécialités japonaises) ou carrément la grande gastronomie française. Elle fume ou ne fume pas, mais dans les deux cas de figure, ne tolère pas que son bouche-trou fasse des volutes de fumée.

Comme déjà précisé, la « Torba » a énormément besoin de paraître. Elle est donc accro au shopping (avec ou sans ses copines), et ce, même si elle s’en défend. A cette occasion, elle dépense sans compter ! Elle n’hésite pas à redécorer un an à l’avance son appartement (profitant de soldes) en stockant des objets dans sa cave. Elle consomme des parfums de luxe sans discontinuité. Elle soigne particulièrement son look vestimentaire (harmonie des couleurs, marques de préférence, etc.). Elle porte des chaussures, des bijoux variés en concordance avec la couleur de ses fringues (voire de ses yeux et/ou de ses sous-vêtements). Cependant, elle peut rester des mois entiers (soi-disant) « mal coiffée » pour ne pas plaire à son compagnon de passage… et soudainement changer de coiffure et de couleur de cheveux dès qu’elle a un nouveau pigeon en vue. Elle est tellement mal dans sa peau, handicapée du sentiment, que cette métamorphose régulière reste momentanément réconfortante.

La « Torba » parle le franglais et en profite pour se la jouer très « Communikécheune » (traduisez « Communication ») dans toutes ses discussions. Elle déteste la langue allemande et les allemands (sauf l’ukrainienne qui est germanophile), alors que la Seconde Guerre Mondiale, qu’elle n’a pas connue, est terminée depuis plus de 60 ans… Elle qui ne distingue pas régulièrement le féminin du masculin quand elle parle et fait de nombreuses fautes de conjugaison se permet bizarrement de vous reprendre à tort et à travers sur l’utilisation de la langue française et s’oppose à l’expression du langage courant. Versatile, la « Torba » change d’avis comme de chemise. Ce qui était vrai hier ne l’est plus aujourd’hui, car elle a su « évoluer ». Par contre, si le bouche-trou tient ce genre de propos incohérents cela sera considéré par elle comme un manque de maturité. En véritable cœur de pierre qu’elle est, la « Torba » refuse le moindre romantisme. Si vous lui offrez des fleurs, c’est pour l’« embobiner » ; si vous voulez la voir, c’est que vous ne pensez « qu’à baiser » (selon ses propres termes) ; enfin, si vous lui écrivez de la poésie, « Elle préfère vivre ce que vous écrivez, mais… avec quelqu’un d’autre que vous ! »

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© Photo ci-dessus : samuelcoisne.com

EPILOGUE « TORBIQUE »…

In fine, on peut dire que la « Torba » a peur de vivre, qu’elle est mal dans sa peau et manque de confiance en elle. Elle est plus à plaindre qu’à envier. Elle tend des pièges à ses victimes comme une araignée tend sa toile. Son éducation est fondée sur la peur de l’autre, et des autres. Elle est volage par essence, n’hésite pas à vivre plusieurs histoires en même temps (malheureusement de nombreux hommes font pareil avec leurs compagnes). Un témoin français précise, pour finir de comprendre qui sont les « Torbas », que son frère est mort d’un cancer suite au chagrin provoqué par une séparation brutale avec l’une d’entre elles. Cette « Torba », qui attendait un enfant de lui, était retournée définitivement sans prévenir au pays… Quelques temps après, elle lui réclamait une pension alimentaire substantielle. Il n’a jamais vu son gamin… A n’en pas douter l’Amour est un sentiment, un art qui échappe aux « Torbas ». Toutes ces belles femmes exécrables sans scrupules, malheureusement, s’étant une fois essayées au jeu pervers de faire souffrir l’Autre, ne le désapprennent plus. Et c’est bien dommage ! Ne méritent-elles pas un jour d’avoir la juste monnaie de leur pièce ? La vie se charge en général de leur faire payer le prix fort de leurs exploits. Au point que leur propre Communauté d'origine réprouve leurs agissements qui éclaboussent tout le monde... « Dans ce type de relation, la seule victoire, c’est la fuite » aurait dit Bonaparte. Que les hommes qui tombent dans les griffes d’une « Torba » méditent ces quelques citations pour en sortir : « On dit que l’Amour qui ôtait l’esprit à ceux qui en avaient, en donnait à ceux qui n’en avait pas. »(5), « Si l’Amour donne de l’esprit aux sots, il rend quelquefois bien sots les gens d’esprit. »(6) et « Dans la plupart des Amours, il y en a un qui joue et un autre qui est joué ; Cupidon est avant tout un petit régisseur de théâtre. »(7) Mais, la vraie leçon, la moralité de l’histoire, à retenir est que l’« On peut faire de l’Amour l’affaire la plus sage de sa vie ; Dieu qui a fait l’amour ne nous a pas interdit le discernement. ». Donc, tout est dans le choix de la bonne personne (quelque soit son sexe). Pour éviter les déceptions et les blessures profondes, il convient de se rappeler que « l’Amour qui naît subitement est le plus long à guérir »(9). Il ne faut pas hésiter à se donner du temps, ne pas se laisser séduire par le chant des sirènes, et redécouvrir finalement les saveurs de la séduction, de l’Amour durable et surtout partagé. L’écosystème fragile qu’est l’équilibre affectif d’un homme (comme celui d’une femme) réside sûrement dans ce discernement salvateur. Le virus « Torba » ne doit plus passer ! Que cela soit écrit et que cela soit appliqué !

 

© Jean Dorval, le 22 août 2009, pour LTC.

  

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Notes et sources documentaires :

(1) Selon le site http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89conomie_de_la_Pologne

(2) D’après le site http://www.terra-economica.info/

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(3) L'histoire : Début des années 80. Paul, publicitaire de son état, partage son appartement avec Maurice, son ami, fauché, débrouillard, un peu encombrant, trempant dans de nombreuses combines. Son ex-petite amie, Anne, lui parle de Zosia, (prononcez "Zochia"), qui vit en Pologne, militante de l'opposition, et qui désirerait fuir son pays afin d'échapper aux surveillances de la police politique. Un mariage blanc avec un français lui permettrait d'obtenir un visa de sortie et d'acquérir la nationalité française. Paul finit par accepter de jouer le jeu et se rend à l'est pour se marier avec la jeune fille. Mais, les sentiments ne se commandent pas et Paul tombe amoureux de la jeune femme… (vu sur le site : http://www.dvdcritiques.com/critiques/dvd_visu.aspx?dvd=358 )

(4) Source : http://www.aujourdhuilachine.com/actualites-chine-connexions-n--femmes-chinoises-6653.asp?1=1&IdBloc=Tout

(5) Diderot « Paradoxe sur le Comédien »

(6) Ninon de Lenclos

(7) Nietzsche « Œuvres posthumes » (trad. Henri Jean Rolle (Mercure de France))

(8) George Sand « Monsieur Sylvestre »

(9) Jean de la Bruyère « Les Caractères »

 
 
NB : Remerciements à toutes les personnes victimes des "Torbas", aux membres de différentes communautés originaires de Pays de l'Est et aux deux "Torbas" qui ont témoigné anonymement et permis la réalisation de ce reportage exclusif LTC.

LE FILM « INDIAN PALACE » DELOCALISE SES RETRAITES EN... INDE !

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Le film « Indian Palace » est sorti dans les salles obscures de France et de Navarre, le 9 mai 2012. Il dure 2h05. Réalisé par John Madden, il comprend dans ses rôles principaux une tripotée d’acteurs connus, tels Judi Dench (Evelyn Greenslade), Tom Wilkinson (Graham), Maggie Smith (Muriel Donnelly), Bill Nighy (Douglas Ainslie), Penelope Wilton (Jean Ainslie), Celia Imrie (Madge Hardcastle), Ronald Pickup (Norman Cousins), Lucy Robinson (Judith), Dev Patel (Sonny) (un acteur « made in Bollywood », nominé au BAFTA Awards/Orange British Academy Film Awards 2009, pour sa performance dans « Slumdog Millionaire »), Lilete Bubay (Madame Kapoor, la mère de Sonny) et Tena Desae (Susaina, la petite amie de Sonny). Cette comédie dramatique Britannique de 2011, dont le titre original est « The Best Exotic Marigold Hotel », est l'adaptation cinématographique du roman « Ces petites choses » (en VO : « These foolish things ») de Deborah Moggach. Cette excellente romancière britannique a écrit plus de 15 livres en 30 ans. Elle est connue, aussi, pour son travail pour le Kinéma, en tant que scénariste de plusieurs séries télévisées, et en tant qu’écrivain du script du film « Orgueil et préjugés », de Joe Wright avec Keira Knightley. Une toile inoubliable pour les amateurs du genre qui lui a value aussi une nomination aux BAFTA Awards.

 

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 Notre petit groupe de retraités en partance vers l'Inde...

  

QUAND LES RETRAITES S’EXPORTENT (à bas prix) !

Décidément, l'Angleterre n’est plus adaptée aux Seniors (coût de la vie exorbitant, pensions dérisoires, place des retraités remise en cause dans la société, etc.). Du coup, un petit groupe de braves retraités britanniques n’ayant pas de gros moyens, mais n’ayant pas froid aux yeux et n’étant pas en manque d’imagination, se met en quête d’une retraite dorée, avec dépaysement total à la clé. Pour ce faire, nos socio-héros décident tout bonnement de couper les amarres avec l’Europe et de tenter leur chance sous d’autres latitudes en allant s’établir en Inde, à Marigold. Ce film introduit une nouveauté socio-économique d’actualité : la retraite (comme nos industries) se délocalise !

Mais, ce qui devait être un magnifique palace, devant accueillir nos aventureux retraités au meilleur prix et dans les meilleures conditions, selon la publicité… n’est en fait qu’un hôtel colonial au charme désuet, délabré, bien moins luxueux que prévu… Il est cependant tenu par Sonny, un jeune Indien dynamique qui a l’ambition (mais pas d’argent…) de redonner à cet édifice historique sa splendeur d’antan. Ce dernier fait le maximum pour bichonner « SES » Retraités : positiver tous les imprévus, trouver tout le temps des solutions de rechange, varier les plats (épicés), garder le sourire, être toujours disponible, etc. Dans la foulée, la situation va se corser, encore un peu plus, avec l’arrivée imprévue de Madame Kapoor, sa mère qui est possessive, dirigiste, et qui se mêle de tout et s’incruste, et par la présence de Susaina, sa très séduisante, délicieuse (et très WAOUH !!!) fiancée. Toutes ces situations incongrues vont bouleverser la vie de nos socio-héros, en pleine forme et sans complexe, de façon radicale. La magie de l’Orient opère déjà. L’aventure commence !

 

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 Evelyn ("M" dans James Bond...) "transportée" dans une autre dimension...

DES PORTRAITS DE RETRAITES (finalement) TRES… « DJEUNS » !

Cette toile dresse une série de portraits très évocateurs du petit monde des retraités, avec leurs hauts et leurs bas. Il y a Jean et Douglas, un couple usé par le temps qui passe et qui ne se rattrape pas, vivant l’un à côté de l’autre, avec un petit arrière-goût d’échec permanent, dans lequel l’Amour est mort. Jean, l’épouse, frustrée et ronchonne, n’a pas envie de venir « se perdre » en Inde, et rêve des lendemains du Grand Soir en Angleterre. Douglas, le mari, même s’il se fait mener par le bout du nez par Jean, est tout le contraire. Non seulement, il a la Grande Classe, mais en plus sa prévenance lui attire toutes les sympathies. Il y a aussi Muriel, « l’irracible », qui souhaite se faire changer le col du fémur à bas prix en Inde. Le seul « HIC » : l'opération n’est pas sans risque, et en plus, Muriel est raciste. Ce qui lui pose un problème pour s’expatrier en Asie Méridionale... Mais, cette femme, pas si mauvaise que ça au fond, se reprendra vite, grâce à l’incroyable source de découvertes que représente l’Inde, pour qui sait ouvrir son esprit et son cœur, et grâce à la généreuse hospitalité de ce très beau pays qui permet sans conteste de voir le Monde sous un autre angle. Graham, quant à lui, est un magistrat à la retraite retournant sur les lieux enchanteurs de sa jeunesse dorée, où il a vécu une très belle histoire d’Amour, homosentimentale, avec un Indien du coin ; idylle malheureusement brutalement interrompue par la famille de son Amoureux et restée durant toute sa vie comme une blessure qu’il se doit absolument de cicatriser avant sa mort. En parallèle, Evelyn reste sûrement la personne la plus réservée du groupe. Elle qui a été au service de sa famille toute sa vie ne sait plus rien faire seule depuis la perte de son mari. Elle écrit son journal sur son blog en y joignant des photos pour que ses petits enfants puissent prendre de ses nouvelles. Douglas, en chevalier servant qu’il est, la prend sous son aile… Dans un autre genre, Norman reste un séducteur sur le retour cherchant l’aventure, le sexe (après la prise de la petite pilule magique bleue…), et pourquoi pas une compagne si affinités ! Pour arriver à ses fins, il est prêt à tout, même à dompter le « démon de minuit » ! A l’image d’Evelyn, Madge, cherche à se réaliser, comme une éternelle adolescente introvertie, mais elle se complique trop la vie ! Enfin, Judith tombe entre les bras de Norman… En voilà une au moins qui est heureuse ! Ce film prouve de très belle façon que dans tous les cas il n’y pas d’âge pour évoluer dans la vie…

 

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Sonny like a rock on the road again... avec sa très jolie fiancée. 

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 Le réalisateur en plein tournage avec ses personnages (notamment "Muriel" en fauteuil roulant après son opération...) dans le décor suranné de "L'Indian Palace".

LE CHEMIN DE LA SAGESSE EN FIN DE PARCOURS (de Vie) !

Au final, les relations entre tous ces pensionnaires, formant un ensemble hétéroclite, vont engendrer des actions et des réactions, des regards neufs, des tensions orageuses, des envies subites, mais aussi des remises en cause salvatrices ! La découverte de la Civilisation Indienne, avec ses odeurs et ses couleurs magiques, va séduire le plus grand nombre. Au bout du compte, c’est une nouvelle Vie, un nouveau départ, qui s’offre à cette génération à n’en pas douter dans sa (presque…) deuxième moitié de vie. Réalisé avec beaucoup de pudeur et de délicatesse, ce film d’Amour du Prochain, plein d’Humour passe pour un ravissement des yeux et des oreilles, avec de superbes et nombreuses images de l’Inde réelle. Ces retraités britanniques partent en Inde, ils vont être pour toujours transformés par leur expérience commune, découvrant qu’une autre Vie et que l'Amour Nouveau est possible, pour peu que l’on sache laisser son passé derrière soi… Dans ce film positivé, la raison prend toujours le dessus malgré un parcours aléatoire. « Indian Palace », c’est une quête de la mélodie du bonheur, le chemin de la sagesse enfin découvert, une nouvelle source de jeunesse jaillissant de la pellicule. En clair, un havre de Paix et de tendresse, un choc des Civilisations constructif et intense, dans lequel l’âge n’a plus d’importance, ni le temps, et où il ne reste au bout du parcours que les Hommes, rien que les petits Hommes dans toute leur splendeur.

© Jean Dorval, le 18/052012, pour LTC Kinéma.

  http://latourcamoufle.hautetfort.com/media/01/00/2375243867.jpg

Le teaser du film :


bande annonce par Filmtrailer.com

17/05/2012

LE P'TIOT DUO MUSICAL SELON JD...

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LE P'TIT DUO MUZIKAL DU JD...

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14/05/2012

LE P'TIT DUO ZIZIKAL BY JD...

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