08/06/2012
LA SELECTION MUSICALE DU JD... "GOÛTEZ-MOI ça !!!"
00:05 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : laura pausini, pascal obispo, axel red, spandau ballet, depeche mode, le groupe depeche mode, depeche mode en concert sur ltc, jean dorval pour ltc live, tiken jah fakoly, gainsbourg, peltre, ltc live : la voix du graoully, la scène ltc live, la communauté ltc live, si t wooz t ltc live, les concerts d'ltc live, hommage à gainsbarre, gainsbarre, serge gainsbourg, centre pompidou-metz, metz, moselle, lorraine, france, europe, ue, union européenne, législatives, présidentielles, 2012, jo de londres, jeux olympiques, de londres, mon légionnaire, montpellier, champion de france, football, metz handball, rpl 89.2, la raidio du pays lorrain, radio peltre loisirs, anciennement, une programmation originale, théâtre tangente varder, à la grange théâtre, théâtre, lachaussée, meuse, simon brouard, the cure | Facebook |
07/06/2012
ZE DUO ZIZIKAL OF ZE JD...
23:50 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : laura pausini, pascal obispo, axel red, spandau ballet, depeche mode, le groupe depeche mode, depeche mode en concert sur ltc, jean dorval pour ltc live, tiken jah fakoly, gainsbourg, peltre, ltc live : la voix du graoully, la scène ltc live, la communauté ltc live, si t wooz t ltc live, les concerts d'ltc live, hommage à gainsbarre, gainsbarre, serge gainsbourg, centre pompidou-metz, metz, moselle, lorraine, france, europe, ue, union européenne, législatives, présidentielles, 2012, jo de londres, jeux olympiques, de londres, mon légionnaire, montpellier, champion de france, football, metz handball, rpl 89.2, la raidio du pays lorrain, radio peltre loisirs, anciennement, une programmation originale, théâtre tangente varder, à la grange théâtre, théâtre, lachaussée, meuse, simon brouard, the cure | Facebook |
LE P'TIT DUO MUZIKAL BY JD.
23:30 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : laura pausini, pascal obispo, axel red, spandau ballet, depeche mode, le groupe depeche mode, depeche mode en concert sur ltc, jean dorval pour ltc live, tiken jah fakoly, gainsbourg, peltre, ltc live : la voix du graoully, la scène ltc live, la communauté ltc live, si t wooz t ltc live, les concerts d'ltc live, hommage à gainsbarre, gainsbarre, serge gainsbourg, centre pompidou-metz, metz, moselle, lorraine, france, europe, ue, union européenne, législatives, présidentielles, 2012, jo de londres, jeux olympiques, de londres, mon légionnaire, montpellier, champion de france, football, metz handball, rpl 89.2, la raidio du pays lorrain, radio peltre loisirs, anciennement, une programmation originale, théâtre tangente varder, à la grange théâtre, théâtre, lachaussée, meuse, simon brouard, new-order | Facebook |
06/06/2012
LE PETIT DUO MUSICAL PAR JD.
23:53 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : phil collins, envoyer cette note | tags : laura pausini, pascal obispo, axel red, spandau ballet, depeche mode, le groupe depeche mode, depeche mode en concert sur ltc, jean dorval pour ltc live, tiken jah fakoly, gainsbourg, peltre, ltc live : la voix du graoully, la scène ltc live, la communauté ltc live, si t wooz t ltc live, les concerts d'ltc live, hommage à gainsbarre, gainsbarre, serge gainsbourg, centre pompidou-metz, metz, moselle, lorraine, france, europe, ue, union européenne, législatives, présidentielles, 2012, jo de londres, jeux olympiques, de londres, mon légionnaire, montpellier, champion de france, football, metz handball, rpl 89.2, la raidio du pays lorrain, radio peltre loisirs, anciennement, une programmation originale, théâtre tangente varder, à la grange théâtre, théâtre, lachaussée, meuse, simon brouard | Facebook |
« LA NAISSANCE D’UN ENFANT. »
La naissance d’un enfant
C’est le fruit d’un Amour pluriel entendu sans à-coup
La naissance d’un enfant
C’est donner un peu de soi pour recevoir beaucoup
La naissance d’un enfant
C’est vivre une joie, mais aussi une responsabilité
La naissance d’un enfant
C’est franchir le pas, devenir un chercheur d’éternelles probabilités
La naissance d’un enfant
C’est tout donner pour sa chair
La naissance d’un enfant
C’est recevoir en héritage une nouvelle chaire
La naissance d’un enfant
C’est parfois prêcher dans le désert
La naissance d’un enfant
C’est surtout quitter le désert
La naissance d’un enfant
C’est une perpétuelle remise en cause au quotidien
La naissance d’un enfant
C’est oser franchir l’origine, le premier méridien
La naissance d’un enfant
C’est épouser l’inquiétude pour toujours
La naissance d’un enfant
C’est aimer tous les jours
La naissance d’un enfant
C’est pouvoir l’aider quand tout va bien
La naissance d’un enfant
C’est pouvoir l’aider quand tout ne va pas bien
La naissance d’un enfant
C’est prodiguer l’affection à deux pour un
La naissance d’un enfant
C’est faire pousser une petite graine à deux pour ne faire qu'un
La naissance d’un enfant
C’est donner un prénom
La naissance d’un enfant
C’est avoir en partage un nom
La naissance d'un enfant,
C'est Toi ma Fille que ta Mère et moi accueillons dans ce Monde !
© Jean Dorval, le 15.12.2001, pour LTC Poésie.
23:14 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : poésie, la naissance d'un enfant, être père, être mère, jean dorval, aimer son enfant | Facebook |
LES BEST OF JD - « NINA HAGEN » : ENTRE « NINA » ET « HAGEN » !
En cette très belle soirée ensoleillée du 22 avril 2011, Vendredi-Saint de surcroît, et donc bouquet final d'un jour férié, l’équipe d’LTC LIve (Jean Dorval et Yannick) part comme dans un film amerloque de choc, en décapotable, bleu métallisé, Musik à fond la caisse, cheveux au vent (et ce, même si notre calvitie avancée nous oblige tous deux à raser nos quelques tifs survivants…), chemise à manches courtes gonflées à bloc et lunettes de soleil noires de rigueur pour mater les belettes sur la route (on se la pète ou on ne se la pète pas !), roulant tout droit, plein gaz, en direction du « 112 » de Terville (57), pour assister au concert donné par Nina Hagen, la Fée Punkette de la Scène Musikale internationale. Une dépêche de dernière minute nous a prévenu que la première partie de Nina sera assurée par la nancéenne MeLL et non par les messins du PKRK, comme prévu initialement…
Arrivée à Thionville, en lisière de Terville, petite pause bouffe au KFC (où il n’y a pas que du poulet à becqueter, mais aussi de la poulette en circulation, très Waouh !). Mais, restons sérieux et pros, et prenons la direction du « 112 », la tête froide et concentrés… Là, environ 250 personnes s’égrainent gentiment pour se positionner au mieux dans cette petite salle qui a tout d’une grande… Et après avoir récupéré nos badges « ALL ACCESS » à l’Accueil Presse, dès 20h00, nous partons à la redécouverte d'une salle que nous connaissons bien… La scène est à l’opposé de l’emplacement de celle des Simple Minds, vus pour deux concerts, les lundi 6 et mardi 7 juillet 2009. Après une bonne bière bien méritée, car il fait très chaud. Yannick et moi entrons en action. Nous nous plaçons, alors, en véritables snipers de la photo, prêts à shooter tout ce qui se présente sur scène, alternant les niches à bonnes prises de vue qui se trouvent un peu partout dans la salle, autour de la scène et dans le backstage. MeLL et Nina n’ont qu’à bien se tenir… Je m’occupe comme d’hab, en plus, des notes et des éventuels interviews, afin d’agrémenter notre petit reportage... 20h30, MeLL arrive sur scène…
Voici MeLL et sa délicieuse guitariste...
« PULL UP ! », MADEMOISELLE MeLL CHANTE LES SPAGHETTIS !
La charmante petite brunette prénommée MeLL, l’égérie du label indépendant, gracieusement baptisé « Mon Slip », a été nourrie au sein de sa Lorraine natale, bercée entre Nancy et Metz. Elle y va, dès le début de son show, de son bagou habituel (plein d'humour) et de son style Musikal très Americana, Musique Roots et Tropicale. Son coeur Zizikal s’est forgé au rythme d’enrichissantes rencontres, réalisées entre Metz, Paris, Washington et Berlin. Son prochain album s’intitule « Western Spaghetti ». Il est sorti le 26 avril 2011. MeLL au « 112 » se déchaîne en interprétant « Yeah yeah yeah ouh ouh », provoquant même son public en lui demandant « sans complexes, c’est quand qu’on rigole ? » Elle passe d’un très stone-cool « Last in Vegas » à un « porcherie » très pogo, ponctué d’un célèbre « ta gueule » au public. Enfin, « Débile » a remis à l’heure quelques pendules mal réglées... Interrogée rapidement par ma Gueule à sa sortie de scène, Mell précise un peu exténuée, qu’elle « s’est vraiment éclatée ce soir, que des Allemands et des Américains ont travaillé sur son dernier album avec elle, et qu’elle se rappelle des bons délires qu’elle s’est faits à Metz… » Elle précise, à toutes fins utiles, que toute sa discographie est indiquée sur :
http://www.myspace.com/mellturbo
Fin de la première partie de soirée, les roads finissent de préparer la scène, car NH arrive, déjà, dans un grand cri strident, histoire de se mettre en "VOOOIIIIX" !
Nina ! Nina !
GUIDE PAR LES YEUX NOIRS DE NINA H. !
Nina Hagen entre en scène (sans attendre les trois coups...), en faisant de gros yeux sombres à la Siouxsie (and the Banshees) et en fixant son public, sa bouche rouge en avant prête à aboyer, cheveux noirs maintenus par deux couettes surmontés de chouchous bleu et rose fluos, vêtue d’un ensemble noir d’une seule pièce (chemise-jupette/tutu à collerette blanche), de bas blancs et d’une paire de chaussures noire à talons plus que compensés… Cette allemande (de l’ex-RDA), née le 11 mars 1955, porte très bien ses 56 printemps et fait preuve d’une très belle vitalité sur scène. Elle assure une seule date en France et elle l’a réservée au « 112 » de Terville ! Quel bonheur ! Elle a toujours ses attitudes provocantes et subites, son visage oscille en permanence entre une expression dure et enfantine. Elle joue avec sa robe comme une gamine naïve, une mauvaise élève prise la main dans le sac en train de faire une bêtise. Elle s’agenouille les bras au Ciel, se prononce contre le nucléaire, tant civil que militaire. Elle éructe des bruits incongrus, joue de sa voix gutturale et balance quelques « Fuck Off ! » à la foule qui en redemande. Elle fait à Terville en toute décontraction ("comme à la maison") un vrai « bœuf », genre sur la « Route de Memphis », souvent avec un son à base de guitare sèche (seule ou accompagnée), savant métissage de notes rock’n’roll, pop-rock, jazz, disco, blues, country, etc. Il y a même du djembé, du piano, et le percussionniste se sert d’un "Cajon", un instrument de musique d’origine espagnole sur lequel il faut s'asseoir... Eclectique et alchimiste en sonorisations spéciales, Nina H. exprime tout ce qu’elle ressent, découvre, comme une gosse qui veut tout savoir, tout voir, tout gagner. Et cela lui réussit parfaitement, comme on porte, le plus naturellement possible, une crête punk collée au sucre et à la bière. Toutes ces excentricités récurrentes la mettent en totale communion avec son public (tous âges confondus), fidèle à cette icône très olé-olé !
Un répertoire qui part dans tous les sens, mais qui va à l’essentiel !
On se remémorera, au cours de cet unique et extraordinaire récital, de sublimes covers Ninatisés, à l’image du très revisité et solennel « Personal Jésus » des Depeche Mode ; du pétant « Killer/Papa Was A Rolling Stone » (à l’origine une chanson des Temptations datant de 1972, mais reprise par Nina dans sa version George Michaelesque, Rammsteinisée… tout un Art !) ; du « al dente » « Seeman » des Rammstein ; d’un « My Way » stigmatisé, nerveux (une chanson américaine de Paul Anka, adaptée de la chanson de Claude François « Comme d’Habitude »), bougeant à en crever, punkisé à donf, et donc érigé en pogo de luxe "à la Sex Pistols" et "à la Clash" ; sans transition, d’un « Run on » très entraînant « made in » Golden Gate Quartet ; et d’un « Riders On The Storm » des Doors, très planant, avec un son de guitare électrique faisant écho à la voix de NH… On a même eu le droit à de la musique traditionnelle juive, avec un accent russe, au cours du célèbre « Hava Nagila ». Certainement un hommage rendu au père de NH d’origine Israélite…
Le Cajon...
Nina a fait, aussi, la part belle à ses titres, avec notamment le très planant « Future Is Now » ; le très spleen idéal « Atomic Flash Deluxe » ; le langoureux « Der Wind Hat Mir Ein Lied Erzaehlt » ; l'agressif, saignant et bandant « Return Of The Mother » ; et l'époustouflant « Hold me ». Mais, malheureusement, elle a oublié deux de ses titres majeurs : « African Reggae » et « New York, New York ». Snif ! Nina parfois t’assures pas !
Un concert marqué par deux rappels en fin de parcours Musikal. NH a terminé sa prestation les bras en croix, invoquant le nom de Jésus. Elle chantera même, complètement déjantée, avec un « fieu akzen » : « Ark ZA ira, ZA ira, ZA ira... Lé Zaristocrates à la lanterne ! » Nina une révolutionnaire ? On n’en doute pas une seconde ma poule (à crête...) ! « Punks Not Dead ! »
© Jean Dorval et Yannou, pour LTC LIve, le 22 avril 2011.
A VOIR SUR LE BLOG LTC L'ALBUM PHOTOS DU CONCERT...
© Jean Dorval est l'auteur des photos ci-dessus, illustrant le concert de Nina Hagen, du 22 avril 2011, au 112 de Terville (57), avec Mell en première partie. © Attention ces photos sont non libres de droits, elles sont faites avec l'aimable autorisation du 112 de Terville et des artistes concernés (© Jean Dorval pour LTC LIve, année 2011)
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05/06/2012
LE PETIT DUO MUZIKAL BY JD.
22:25 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : coldplay, depeche mode, george michael, le jazz club de metz, andré masius, los hermanos locos, nosybay, latino-salsa, pop-folk, les concerts ltc live sur metz, laura pausini, pascal obispo, axel red, spandau ballet, le groupe depeche mode, depeche mode en concert sur ltc, jean dorval pour ltc live, tiken jah fakoly, gainsbourg, peltre, ltc live : la voix du graoully, la scène ltc live, la communauté ltc live, si t wooz t ltc live, les concerts d'ltc live, hommage à gainsbarre, gainsbarre, serge gainsbourg, centre pompidou-metz, metz, moselle, lorraine, france, europe, ue, union européenne, législatives, présidentielles, 2012, jo de londres, jeux olympiques, de londres, mon légionnaire, montpellier, champion de france, football, metz handball, rpl 89.2, la raidio du pays lorrain, radio peltre loisirs | Facebook |
« DARK SHADOWS ? NEIN !!! SHADOWS OF THE DAMNED ! aaaAAAAHHHH !!! »
Sorti sur les écrans les plus sombres de France et de Navarre, le 08 mai dernier, le film noir « Dark Shadows », a été tourné en 2011, par Tim Burton, avec l’excellent, ou plutôt, le sublimissime Johnny Deep ; Michelle Pfeiffer (que je revois toujours incarnée la très hot Catwoman, en 1992, dans « Batman Returns ») ; Eva Green (l’ex-James « Bombe » Girl de « Casino Royale » en 2006) ; et Helena Bonham Carter (entre autres supers rôles : la terrible Reine rouge du film « Alice au Pays des Merveilles » de… Tim Burton, 2010, mais aussi, la femme du Roi George VI dans « Le Discours d'un roi » (« The King's Speech ») de Tom Hooper, sorti en 2010). Ce movie film, très haute définition, aux effets spéciaux époustouflants, nous conte de manière ludique et humoristique, l’imaginaire poétique, fantastique, féerique et délirant, mais aussi, l’univers nocturne si particulier de Tim Burton. Chaque « Tim Burton » (une référence en la matière !) est toujours très, très attendu, par ses fans (et dont ma gueule) avec beaucoup, très beaucoup, énormément, passionnément, d’impatience. Initialement « Dark Shadows » est un soap-opéra gothique américain qui passait à la télé l’après-midi, dans les années 70. Les acteurs y jouaient fort mal. Le décor était, comme on dit dans les milieux intéressés, très « cheap » (très « bon marché »). Les chauves-souris étaient même en plastique… Pas de quoi s’attarder ! Et pourtant, cette série allait frapper durablement l’esprit créatif, le génie naissant, d’un ado fan de la série, Tim Burton, car elle rassemblait sur le même plateau, vampires, sorcières et créatures surnaturelles, une nouveauté pour l’époque ! Tim s’est donc inspiré pour "Dark Shadows", avec jubilation, de cette série, pour nous conter, du bas de sa crypte cinématographique, une palpitante histoire remixée, avec un brin d’inspiration "à la Deep !"
Trop fort ce Deep !
La très belle sorcière éconduite (Eva Green).
CE SOIR, LE VAMPIRE A RANCARD AVEC LA SORCIERE ! « aaaAAAAHHHH !!! »
Ce film, c’est l’histoire rocambolesque de Joshua et Naomi Collins, et de leur jeune fils Barnabas. L’action débute en 1752 par un départ de Liverpool, en Angleterre, en partance pour les Amériques, afin de commencer une nouvelle vie dans le Maine. Mais, même avec une telle distance, pourtant accentuée par le gigantisme de l’océan, cette famille n’échappera pas à la mystérieuse malédiction qui la poursuit… Vingt années plus tard, Barnabas, devenu héritier de la très rentable conserverie de poissons de ses parents, a « SON » Monde à ses pieds, en l’occurrence, la ville qui porte son nom : Collinsport. Aussi, en digne Maître de Collinwood Manor, Barnabas est riche et puissant, et tout semble lui réussir ! Mais voilà, c’est un séducteur invétéré… Et sa perte va venir de là où cela le chatouille… Il va commettre l’erreur de briser le cœur d’Angélique Bouchard, une sorcière maléfique. Cette dernière pour se venger de lui va lui jeter un sort plus maléfique que la mort, le transformer en vampire et le faire enterrer vivant… Que l'aventure commence !
A voir absolument, après avoir mangé un steak très saignant ! « aaaAAAAHHHH !!! Delicia !!! »
© Jean Dorval, le 05.06.2012, pour LTC Kinéma.
La très mignonne petite copine du vampire...
09:20 Publié dans LTC KINEMA | Lien permanent | Tags : film, art, jean dorval, jean dorval pour ltc, jean dorval pour ltc kinéma, kinéma, indian palace, inde, marigold, john madden, judi dench, tom wilkinson, maggie smith, bill nighy, penelope wilton, celia imrie, ronald pickup, cinéma, pictures, toile, lucy robinson, dev patel, lilete bubay, tena desae, film britannique, 2011, 2012, deborah moggach, joe wright, keira knightley, bafta awards, une délocalisation des retraités, commes les industries, en inde, méridionale, charme colonial, désuet, centre pompidou-metz, metz, moselle, france, lorraine, europe, ue, union européenne, présidentielles, législatives, jo de londres, tour de france, cosmopolis le film | Facebook |
04/06/2012
LES PROCHAINS CONCERTS DU JAZZ CLUB DE METZ SONT EN LTC LIVE...
© Photo ci-dessus : http://whatafy.com/characteristics-of-jazz-music.html
Le Jazz Club de Metz et LTC LIve vous recommandent deux concerts vendredi 8 juin 2012 :
Place de la République, sur les terrasses de la "Brasserie Rép" et du "Métisse" (sauf mauvais temps), « LOS HERMANOS LOCOS », ambiance latino-salsa, de 18h00 à 21h00.
Et Place Saint Louis, sur les terrasses des pubs "Au Bureau" et "Vivian's" (repli si mauvais temps), « NOSYBAY », Pop-Folk, de 19h00 à 22h00.
Bonne Zizik avec JD en LTC Live !
14:02 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : le jazz club de metz, andré masius, los hermanos locos, nosybay, latino-salsa, pop-folk, les concerts ltc live sur metz, laura pausini, pascal obispo, axel red, spandau ballet, depeche mode, le groupe depeche mode, depeche mode en concert sur ltc, jean dorval pour ltc live, tiken jah fakoly, gainsbourg, peltre, ltc live : la voix du graoully, la scène ltc live, la communauté ltc live, si t wooz t ltc live, les concerts d'ltc live, hommage à gainsbarre, gainsbarre, serge gainsbourg, centre pompidou-metz, metz, moselle, lorraine, france, europe, ue, union européenne, législatives, présidentielles, 2012, jo de londres, jeux olympiques, de londres, mon légionnaire, montpellier, champion de france, football, metz handball, rpl 89.2, la raidio du pays lorrain, radio peltre loisirs, anciennement, une programmation originale | Facebook |
« COSMOPOLIS OU LA CHUTE FINALE DE L’ULTRALIBERALISME ! »
Dans le sillage du très bon documentaire de Michael Moore de 2009, « capitalisme : une histoire d'amour », on n’a pas fini d’observer partout dans le monde la lente agonie de l’ultralibéralisme d’exploitation sauvage, à l’image de son frère ennemi qui vingt ans plus tôt s’était effondré comme un château de cartes géopolitiques : le communisme mortifère et esclavagiste ! Dans la même veine, le film « Cosmopolis », un drame Franco-Canadien d’une durée d’1h48, est un petit chef-d’œuvre de David Cronenberg (le réalisateur de « Spider » (2002), « Faux semblants » (1988) et « Paradis Murders » (1974). Cette adaptation du roman du même nom de Don DeLillo, paru en 2003, est joué par de Grands Noms du cinéma : Robert Pattison (la belle gueule de « Twilight »), « l’Eternelle » Juliette Binoche (plus sexy que jamais…), Paul Giamatti, Matthieu Amalric et Samantha Morton). Cronenberg qui avait déjà mis à l’écran les romans difficilement transposables de J.G. Ballard et de William S. Burroughs, respectivement « Crash » (1996) et « Le Festin nu » (1991), récidive dans les films paradoxaux avec « Cosmopolis », devenant sans hésitation un Grand Maître du genre.
Huum... Juliette Binoche...
Pattison affronte finalement ses phobies dans ce film...
« NEW-YORK, NEW-YORK… (version) DESTROY !!! »(1)
L’histoire se passe dans un « New-York, New-York » totalement destroy. L’ère de l’ultralibéralisme sauvage touche définitivement à sa fin. De bon matin, Eric Packer, un golden boy de la haute finance internationale, doublé d’une éminence grise au réseau impressionnant, s’engouffre dans sa limousine blanche de luxe, aménagée sur mesure, blindée, bardée d’électronique sophistiqué chargé à bloc de renseignements économico-financiers, véritable « Air Force One de la route… » Et alors, que la visite du Président des Etats-Unis d’Amérique paralyse entièrement un Manhattan en ébullition, livré à lui-même, il n’a qu’une obsession, un caprice de riche : aller à tout prix se faire couper les cheveux chez son coiffeur attitré qui se trouve à l’autre bout de la ville, et ce, au risque d’y perdre la vie s’il le faut.
Au fur et à mesure que la journée se déroule, le chaos s’installe définitivement autour d’Eric Packer. Et en même temps que la chute du temple capitalistique s'opère, Packer assiste, impuissant, à l’effondrement de son Empire, de son monde égoïste, très sélect, parano et vierge marie, bâti avec la sueur et le sang des autres. Comme dans « History of Violence » (un thriller haletant de Cronenberg, de 2005, dans lequel un nabab de la finance est persuadé que l’on va l’assassiner dans les 24 heures…), il est aussi certain que l’on va le tuer. Où ? Quand ? Il ne le sait pas encore… Surprise ! La psychose s’installe… Il va subir, ainsi, les 24 heures les plus stressantes et les plus longues de sa vie, jusqu’alors aseptisée et tranquille, immergé dans une ambiance devenue sournoise - dangereuse pour lui et ses semblables - porteuse du virus social de la révolte anti-exploitation. La plèbe contre les patriciens, un combat malheureusement vieux comme le monde ! L’anarchie règne partout. « LA » Rue est devenue un immense forum à ciel ouvert, revendicatif à l’extrême et servi saignant ! L’emballement du Yuan (la monnaie chinoise des milliardaires rouges) est à l’origine de l’effondrement du marché. Et personne aux commandes du Système, pas même Eric « l’initié », n’a vu venir le coup fatal (comme à chaque crise majeure qui secoue le monde d’ailleurs…). Cette erreur, l’erreur de sa vie, cette fatale erreur, fait dévisser le spéculateur mondain, Eric. La banqueroute s’invite dans sa vie, telle une bulle spéculative qui lui pète en pleine gueule. Il est, à son tour, à la place de tous ceux dont il a détruit la vie. Il s’enfonce subitement dans une voie de non-retour dont il ne se relèvera pas. Le rat devient même l’unité monétaire d’échange, une sorte de pied de nez à la crise et à la précarité… Sa limousine ressemble au Titanic. Elle coule lentement mais sûrement, avec en bout de course un certain Benno qui attend Eric pour régler un vieux compte…
Eric (Pattison) un être dual, accompli professionnellement parlant,
et à la fois perdu dans ses propres excès...
Eric ou l'obsession du paraître...
"New-York, ton univers impitoyable !"
Cette toile cinématographique est une véritable immersion dans l’univers impitoyable de la finance, avec son jargon particulier (investissements spéculatifs, prix des marchés, placements, croissance en déficit, taux d’intérêts, prise de risque, profits, etc.). Comme dans le film « Margin Call » - réalisé par J-C. Chandor, en octobre 2011 - « Cosmopolis » intensifie crescendo l’intérêt du spectateur, en l'habitant, en le possédant, petit à petit, et en lui injectant le scénario comme un venin mortel. L’étude opérée sur la macroéconomie saisit d’effroi le spectateur par son inhumanité et par ses cohortes de chiffres indigestes et froids. Les niveaux de réalité se mélangent, deviennent mêmes abstraits, diaboliques. Tout l’Art de Cronenberg réside, aussi, dans le parallèle fait entre l’appât du gain, la déroute et la malbaise. La représentation ingénieuse de cette trilogie apocalyptique se traduit ici par une série de corps livrés sans pudeur comme des flux monétaires, de coïts besogneux et paramétrés côtés en bourses, d’« overdoses de baise » (comme le disait si bien Gainsbarre…) soumises au système de compensation monétaire bestial… L’essentiel du film se passe dans la limousine, espace restreint, pour rejoindre au bout du compte, forcé par les événements, la rue, espace ouvert. Finalement, c’est l’univers ouaté et contrôlé de la limousine contre la puanteur de la cité en perdition. La « Limo » devient dès lors un objet par procuration, un symbole phallique pénétrant la foule à qui mieux mieux. Une foule violée, certes, mais qui sait rendre coup pour coup, notamment en taguant et en saccageant la blancheur immaculée de la « Limo ». Une autre forme de viol, celui de l’inaccessible… de ce que l’on veut posséder et que l’on possède in fine coûte que coûte !
Le pouvoir : la séduction "à deux balles" dans la bagnolle...
Il a la super voiture (la continuité de son pénis...),
il aura la super nana ! (le piège habituel !)
Sexe et violence font bon ménage...
Les Indignés "made in Cronenberg"...
Ce film balance le spectateur, entre fascination et impatience. Il faut accepter en le voyant de se laisser violenter par une histoire qui flirte avec l’actualité, la nôtre, à mi-chemin entre « Les Indignés » de Madrid, le « Printemps érable » de Montréal, la Grèce et la zone euro en pleine déconfiture, et les mouvements anti-banques tels « Occupy Wall Street » ou « Occuper Berlin ». Cet univers, là, oscille entre errance latente et ruine putride. Ce brûlot corrosif anti-capitaliste met en avant le déclin de l’Occident, traduit la déshumanisation de l’homme, qu’il soit riche ou pauvre, détruit à petit feu par le pognon-roi. Entre honteux taux usuriers et addiction revolving névrotique, ces jeux pervers monétaires déconnectent l’humain de la vie réelle pour mieux le rendre esclave. Pourtant au milieu de cette fin du monde programmée, Packer ne songe qu’à sa limousine et à sa petite gueule. Il veut savoir où elle est garée la nuit. Quelles sont ses caractéristiques techniques. Faut-il la « prouster » pour l’isoler de tout (un clin d’œil à Proust qui avait fait insonoriser sa chambre avec du liège et avait vécu pendant quinze ans reclus au deuxième étage du 102, boulevard Haussmann, à Paris) ? etc. De même, en ces heures graves, il ne pense qu’à sa présentation (sa coupe de cheveux) et à l’asymétrie de sa prostate. Il est en décalage permanent. A contrario, il ne fait rien quand la foule saccage sa caisse… Certainement car, il peut s’en acheter des centaines comme cela… Eric reste un personnage contradictoire et pathétique à la fois, imprégné du péché capiteux-capitalistique.
Eric se tire lui-même une balle dans le pied... Euh, pardon ! Dans la main...
Le complot suinte de partout dans ce monde à l'agonie.
QUAND LA FIN (du capitalisme) JUSTIFIE LES MOYENS !
Pattison, dans ce sombre rôle, donne de l’épaisseur à son personnage. Il est un Packer, qui a vendu son âme au diable, dédaigneux et paumé à souhait. « Cosmopolis », c’est une sorte de descente aux enfers progressive, une sorte de plongée en apnée dans un monde économico-financier en phase terminal, dans lequel l’humain n’a plus sa place. Eric Packer qui a l’habitude de traverser la ville en regardant avec indifférence les laisser-pour-comptes à travers la vitre de sa splendide « Limo », comme un spectateur cynique et jouisseur, va être obligé de sortir de lui-même, de son ignoble personnage « sur mesure », d’affronter la réalité. Il n’y survivra pas ! L’inévitable et salvateur crash entre les très riches et les très pauvres, et la confrontation entre deux mondes que tout oppose, explosent de toutes parts comme un chiotte qui soudainement déciderait seul de se déboucher et d’évacuer toute sa merde sur le Système à l’agonie qui l’a généré. L’abîme est là, terrible. La paranoïa reste perceptible à chaque instant. La violence s’incarne même en fil conducteur d’une toile sans concession. Packer n’aura pas de parachute doré, ni de prime mirifique de départ, ni de garde du corps pour se sauver de ce merdier géant. Et au bout du compte ce n’est que Justice Sociale ! Il y a une morale dans ce film : le crime vierge marie ne reste plus impuni ! Ce qui, à n’en pas douter, invite le Monde à briser ses chaînes ultralibérales et à s’orienter, enfin, vers une Economie, certes de marché, mais Solidaire et respectueuse des Individus et de leur Environnement. Fini le chacun pour soi ! Vive le Partage des richesses à tous les niveaux de la Société ! RIP(†) Kapitalismus !
© Jean Dorval, le 04.06.2012, pour LTC Kinéma.
Notes :
(1) Sous-titre inspiré de la célèbre chanson de Frank Sinatra : « New York, New York ».
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03/06/2012
AND NOW, TU INVITES TA VOISINE A DANSER "COLLE/SERRE"... HUUUMM, C'EST LE PETIT TRIO MUSICAL ROMANTIQUE DU JD !
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LE P'TIT TRIO MUZIKAL DU JD.
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