24/12/2013
LTC LIVE : LA MUSIQUE NOUS SAUVE DE TOUT.
01:11 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : the pointer sisters, jump, ltc live : la musique nous sauve de tout, u2, pride(in the name of love), ltc live : repère de jeunes talents, the aerial, losing my head, running, la troisième édition du concours jeunes talents est lancée, concours esprit-caisse d'épargne, radio nova, gibson guitare, la caisse d'épargne, captain sensible, wot, midnight oil, ltc live : l'autre dimension, inxs, disappear, wembley, kate bush, running up that hill, losboy! aka jim kerr, she fell in love with silence, ltc live, simple minds live, jim kerr : lostboy a.k.a. live, manquer, au restaurant lafayette, de metz, situé au dernier étage, dans les galeries lafayette, gille heissat, le virtuose de la trompette, sera en vedette, jonas à la guitare, et andré masius à la basse, indochine, en concert, black city tour, galaxie d'amnéville, 11 et 12 octobre 2013, luxembourg, ltc live : "la voix du graoully !", hommage à l'empereur, jean dorval pour ltc live, ltc lvie : la voix du graoully !, lenka, alternative | Facebook |
LTC LIVE : LA MUSIQUE NOUS SAUVE DE TOUT.
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22/12/2013
"THE IMMIGRANT : EWA (Cybulski) OU LA SECONDE VIE DE MARION (Cotillard)."
"The Immigrant" - un très beau clin d’œil à Charlie Chaplin qui a sorti Lui aussi une toile du même nom en 1917 (1) - est projeté en France depuis le 27 novembre 2013. D’une durée d’1h57, ce drame historique sentimental américain réalisé par James Gray est à apprécier sans modération uniquement en VOST, comme une excellente cuvée cinématographique réservée aux seuls connaisseurs. Dans ce tableau vivant de Maître, Marion Cotillard tient le premier rôle en incarnant magnifiquement "Ewa Cybulski", Joaquin Phoenix donne vie à "Bruno Weiss", Jeremy Renner est "Orlando le Magicien", Dagmara Dominczyk "Belva", Jicky Schnee "Clara", Yelena Solovey "Rosie Hertz", Maja Wampuszyc "Edyta Bistricky", et Ilia Volok "Voytek Bistricky".
Pour cette péloche de rêve, James Gray a aussi participé au scénario en collaboration avec Ric Menello son coscénariste. Un vibrant hommage est rendu à ce dernier qui est décédé le 1er mars 2013 avant la sortie du film. Gray se souvient : "Je suis très heureux d’avoir pu montrer "The Immigrant" à Ric avant sa disparition. Sa mort a été une réelle épreuve pour moi. Il était très important à mes yeux, et j’espère que je l’étais pour lui. (...) Quand le scénario était terminé, sa participation prenait fin. Il ne venait jamais sur le plateau. Bien sûr, il m’arrivait de l’appeler pour lui parler d’un acteur ou d’une scène. Et à la fin, je lui montrais le film fini." Avant "The Immigrant", les deux artistes ont travaillé ensemble en 2008 sur le scénare de "Two Lovers". Menello a aussi été consultant pour Gray sur le tournage de "La Nuit Nous Appartient" en 2007.
"Dempsey and Firpo", 1924, by George Bellows.
"1899 Winter on 21st Street", New York pastel on grey paper 51.8 x 61.9 cm, by Everett Shinn.
UN FILM RéALISTE à L’IMAGE D’UN TABLEAU DES ASHCAN PAINTERS.
Le directeur de la photographie du film est le franco-iranien Darius Khondji. Il a tourné entre autres chefs-d’œuvre : en 1997, "Alien, la résurrection" ("Alien : Resurrection") de Jean-Pierre Jeunet ; en 1999, "Prémonitions" ("In Dreams") de Neil Jordan, et "La Neuvième porte" ("The Ninth Gate") de Roman Polanski avec Johnny Depp ; en 2000, "La Plage" ("The Beach") de Danny Boyle ; en 2002, "Panic Room" de David Fincher avec Jodie Foster ; et avec Woody Allen : en 2011, "Minuit à Paris" ("Midnight In Paris"), et en 2012, "To Rome With Love". James Gray, qui fait toujours un travail préparatoire très fouillé avec ses collaborateurs avant le tournage de tous ses films, a montré à Khondji, plusieurs tableaux de George Bellows (2) et d’Everett Shinn (3) - deux peintres ayant vécu à New-York au début du XXe siècle, membres de l’Ecole des Ashcan Painters de New-York puisant leur inspiration dans la chronique et la lithographie, cherchant à capturer le réel, se plaçant en photographes du moment présent, fixant l'instantané en sépia - afin de définir avec lui la tonalité visuelle à donner à son film. De plus, pour préparer "The Immigrant", Gray s'est inspiré de l'Histoire de sa propre famille de manière lyrique sur une scénographie calquée sur l’Opéra : "En 1923, mon grand-père et ma grand-mère (venus de Russie, nda) sont arrivés aux Etats-Unis en passant par Ellis Island (où ils ont pris de nombreux clichés, nda). J’ai entendu, bien sûr, d’innombrables anecdotes sur Ellis Island, et le lieu m’a longtemps obsédé. J’y suis allé pour la première fois en 1988, avant la restauration de l’île. Tout était resté intact, comme figé par le temps. C’était une vision troublante, ces formulaires d’immigration à moitié remplis, répandus par terre… Ellis Island m’est apparue comme un endroit hanté par des fantômes, ceux de toute ma famille. J’ai donc conçu le projet d’un film qui viendrait de cette histoire." Sur trente-quatre jours de tournage de "The Immigrant", deux se déroulent sur Ellis Island dans les vrais locaux historiques, et ce, sous les yeux bienveillant de "Lady Liberty" ("Le Phare des Immigrants" qui apparaît au tout début du film dans le brouillard comme pour renforcer la difficulté de "débarquer" aux States sans invitation). Une opportunité pour Gray qui rappelle que : "(Elia, nda) Kazan a reconstitué Ellis Island pour "America, America" (1963), tout comme Francis Ford Coppola pour "Le Parrain 2" (1974), mais ils n’avaient pas pu tourner sur place. J’avais donc une chance assez unique et j’ai essayé d’être le plus fidèle possible à la réalité historique." Sur le tournage de "The Immigrant", James Gray travaille aussi avec John Axelrad, le chef monteur de ses deux films précédents : "La Nuit Nous Appartient" (2007) et "Two Lovers" (2008) ; ainsi qu'avec Happy Massee, le chef décorateur de "Two Lovers" (issu de l’école des Arts Appliqués de Paris, installé à New York, et qui a notamment été nommé au MTV Music Video Award des meilleurs décors pour le clip de Madonna "Take A Bow.").
Bruno et Ewa sur Ellis Island.
Ewa fait tout pour retrouver sa soeur restée sur Ellis Island.
Bruno "protège" Ewa...
MARION COTILLARD VéRITABLE "MUSE D’(i)OR" !
Pour ce film, Marion Cotillard a pris totalement possession du corps d’Ewa Cybulski, jusqu’aux expressions de son visage. Pour elle ce n’est pas un simple rôle, elle vit son personnage comme une seconde, voire une première nature. Gray fait sa connaissance au cours d'un dîner pour le film "Blood Ties" (sorti en 2013 et dans lequel joue Marion) de Guillaume Canet (le compagnon de "La Sirène Française") dont il a signé le scénario. C’est à ce moment qu’il décide de la faire jouer dans "The Immigrant" : "Elle est si expressive qu’elle pourrait être une actrice du muet. Bien sûr, j’ai fini par lui donner une tonne de dialogues ! (...) Il me semblait qu’elle était capable de transmettre un état d’âme d’une façon non verbale." "The Immigrant" est le premier film en langue anglaise dans le lequel la Française tient le rôle principal. Elle a déjà joué des rôles secondaires dans plusieurs films anglophones d’envergure : "Nine" en 2009 de Rob Marshall, "Inception" en 2010 et "The Dark Knight Rises" en 2012, deux films de Christopher Nolan. Dans la filmographie de Gray, c’est aussi la première fois que le personnage principal est une femme ; en effet, "Little Odessa" en 1994 compte l’histoire de deux frères joués par Edward Furlong et Tim Roth, "The Yards" en 2000 met au centre du film Mark Wahlberg, tandis que Joaquin Phoenix joue le rôle principal dans "La Nuit Nous Appartient" ("We Own The Night") en 2007 et dans "Two Lovers" en 2008.
Marion Cotillard a tellement travaillé son personnage d'immigrante polonaise qu'elle a réussi à bluffer jusqu’au réalisateur James Gray (et les Polonais eux-mêmes). D’ailleurs, il raconte à propos de son parfait accent polonais : "Un jour, j’ai demandé à l’actrice qui joue sa tante ce qu’elle pensait du polonais de Marion. Elle m’a dit qu’il était excellent, mais avait une pointe d’accent allemand. J’en ai parlé à Marion qui m’a répondu : Bien sûr, c’est fait exprès puisque mon personnage vient de Silésie, une région située entre l’Allemagne et la Pologne." Perfectionniste jusqu’au bout cette Marion !
Ce plan là un vrai tableau des Ashcan Painters !
Le Phoenix, film après film, renaît toujours de ses cendres (cinématographiques).
Joaquin Phoenix (l’Empereur Commode en 2000 dans "Gladiateur" de Ridley Scott), qui voulait arrêter le cinéma, retrouve un second souffle dans le rôle de Bruno Weiss. Il y campe un très bon "mac-héros". Un personnage dual - mi-ange, mi-démon - qui tombe éperdument amoureux d’Ewa, une de ses prostituées, qui lui échappe totalement et qu’il ne peut contrôler. Malgré, son côté très mauvais garçon, il est prêt à tout pour elle… Dès le deuxième film de Gray "The Yards" en 2000, Phoenix devient l’acteur fétiche du réalisateur.
Une femme aux aboies dans toute sa beauté : mélange d'innocence et d'endurance.
"THE IMMIGRANT" : UN INSTANTANé HISTORIQUE PLEIN D’HUMANITé !
Depuis 1994, dans tous ses films, James Gray nous régale avec du cinéma de très très haute volée, filmant New York "SA Ville", ses habitants, ses mafiosis et ses gangsters comme un artiste-reporter intimiste et généraliste à la fois, comme un témoin à qui rien ne peut échapper jusqu’au détail. Il grandit tout pour le plus grand plaisir de tous nos sens. Cette Pointure Cinématographique, qui jusqu’à présent ancrait sa filmographie dans son temps, innove en créant "The Immigrant", son premier film situé dans le passé. Dans chacune de ses toiles, il reste cependant très attaché au sujet de l'immigration à New York. C'est aussi la première fois que Gray filme Ellis Island, lieu fortement symbolique empreint d'Histoire, ayant abrité le service d'immigration de New-York jusqu'en 1954.
Marion (ou Ewa...) : ingénue, tendre et craquante à la fois !
Un "Orlando le Magicien" très années 30, fou amoureux d'Ewa (comme Bruno).
On comprend pourquoi Guillaume Canet a craqué.
"Terre Promise en (longue) vue !"
L’action se passe en 1921, au sortir de la Première Guerre Mondiale. Ewa et sa sœur Magda quittent leur Pologne natale pour la "Terre Promise" : New York. Arrivées à Ellis Island, Magda, atteinte de tuberculose, contre toute attente est placée en quarantaine. Ewa se retrouve seul, désemparée et désespérée. Elle tombe alors entre les griffes de Bruno, un souteneur sans scrupules (et finalement au Grand Cœur…), animateur d’un théâtre plutôt spécial… Pour sauver sa sœur, Ewa est prête à tous les sacrifices et se livre, résignée (comme de nombreuses autres femmes), à la prostitution. L’arrivée d’Orlando, illusionniste et cousin de Bruno, lui redonne confiance en elle et l'espoir en des jours meilleurs. Mais, c'est sans compter sur la jalousie maladive et incontrôlable de Bruno... "The Immigrant" est le film qui tombe à pic ; celui qui, de toute beauté et sensibilité à la fois, tant dans les rôles que dans l’image, délivre sans heurter, subtilement, son message politique : le douloureux parcours du combattant de 40 millions de candidats à l’immigration aux Etats-Unis d’Amérique, dans un temps très réduit, et dans des conditions très stressantes et inhumaines. Ce docu-fiction romancé est bonifié par la formidable interprétation d’acteurs de renom. Il confirme avec éclat que James Gray, plus que jamais, est l’un des meilleurs cinéastes de sa Génération. "The Américan Dream", cette quête au bonheur qu’Ewa traduit par un timide et charmant "I want to be happy" ("Je veux être heureuse"), est difficile à trouver, mais elle a du courage à revendre afin d’affronter les épreuves qui l’attendent. Le fil conducteur de "The Immigrant" suit une histoire d’amour impossible et de jalousie exacerbée (qui elle est bien réelle !) entre deux hommes pour posséder une femme qu’ils n’auront finalement pas. Le bain de sang, mêlé de haine et de passion, qui suivra n’en sera que plus brutal. Un mélo magistral, donc, mené de main de Maître par Gray, emprunt de pudeur dans un premier temps, et de violence contenue, puis exprimée. La fin de cette histoire n’est que le début d’une nouvelle vie, sera-t-elle meilleure ? Foncez voir ce film pour le savoir !
© Jean DORVAL, le 21.12.2013, pour LTC Kinéma.
Sources documentaires : http://fr.wikipedia.org/wiki/The_Immigrant et http://www.allocine.fr
Notes :
(1) http://www.youtube.com/watch?v=GjzEdbVF4iM
(2) Bellows se forme chez le peintre new-yorkais Robert Henri. Il s'attache à représenter New York grâce à un travail sur la composition. Sa peinture particulièrement expressive, explore les faits divers, la vie quotidienne, les marges de la société et les milieux populaires, illustre la violence urbaine (illustrée entre autres par d’intenses combats de boxe), se faisant le reflet des tensions et des ambigüités de la société américaine de son temps.
(3) Everett Shinn est un peintre réaliste moderniste qui explore la représentation de la vie réelle à New-York (la rue, le théâtre, le milieu du luxe, la vie moderne, etc.).
La fuite... et après la nouvelle vie ?
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LA COMMUNAUTé LTC LIVE : LISTEN TO YOUR EYES !
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21/12/2013
"ELLIE GOULDING : BLONDE INCANDESCENTE MUSICALE !"
Ellie GOULDING dont le nom de naissance est Elena Jane GOULDING est née le 30 Décembre 1986 à Lyonshall, à l’est de l’Angleterre. Elle est chanteuse, compositrice et guitariste. Elle joue de la guitare depuis l’âge de neuf ans, ainsi que de la batterie et d’autres instruments de MuZiK. Elle devient célèbre après avoir gagné le « Critics Choice Award » aux BRIT 2010 sur la chaine BBC. Après avoir signé avec Polydor Records en 2009, Ellie sort son premier album studio, « Lights », en 2010 (sortie du single en 2011). En France, elle est surtout connue pour sa chanson « Starry Eyed ». Ce morceau de choix connaît un énorme succès sur Internet, particulièrement sur « YouTube », et devient le titre le plus remixé après celui de Ke$ha « Tik Tok ». Les principaux succès musicaux d’Ellie sont les suivants : en 2009, « Under The Sheets » ; en 2010, « Guns And Horses », « The Writer » et « Your Song » ; en 2012, « Figure 8 » et « Anything Could Happen » ; et en 2013, « Explosions » ET « Stay Awake ». Mes deux chansons préférées « I Need Your Love » (feat. Calvin Harris) et « Burn » sont sorties aussi en 2013.
Et maintenant, la Nana au mini short sexy le plus connu du monde se produit sur la Scène Numérique "LTC LIve Djeuns" dans quelques uns de ses meilleurs Tops...
Oh, oh, starry eyed
Hit, hit, hit, hit, hit me with lightningHandle bars, and then I let go, let go for anyone
Take me in, and throw out my heart and get a new oneNext thing we're touching
You look at me it's like you hit me with lightning
AhhhOh, everybody's starry-eyed
And everybody goes
Oh, everybody's starry-eyed
And my body goes
Whoa oh oh ah ah
Whoa oh oh ah ah
Whoa oh ohSo we burst into colors, colors and carousels,
Fall head first like paper planes in playground gamesNext thing we're touching
You look at me it's like you hit me with lightning
AhhhhOh, everybody's starry-eyed
And everybody goes
Oh, everybody's starry-eyed
And my body goes
Whoa oh oh ah ah
Whoa oh oh ah ah
Whoa oh ohNext thing we're touching (x8)
Hit me with lightning
Oh, everybody's starry-eyed
And everybody goes
Oh, everybody's starry-eyed
And my body goes (x2)whoa oh oh ah ah (x3)
C'est la fin,
Salut les CopS !
© LTC LIVE Djeuns by MAF, le 21.12.2013.
INFO+ : http://elliegoulding.com/
https://twitter.com/elliegoulding
Source documentaire : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ellie_Goulding
19:15 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : ellie goulding, ltc live djeuns by maf, ltc live : "la voix du graoully !" | lien permanent | envoyer ce, indochine, sortie nationale, 11 février 2013, tournée, la plus grande, the police, étienne daho, comme un igloo, lescop, la forêt, chanson française, lucienne boyer, parlez-moi d'amour, 1930, charlotte sometimes, logo solo d'ltc live, vilvadi, gloria, simple minds, up on the catwalk, talk takl, the party's over, faith and the muse, in the amber room, ambre, the promise, when in rome, vivaldi, musique classique, radio classique, madness, ltc live : "la voix du graoully !", paul young, joe jackson, u2 le groupe, jean dorval, jean dorval pour ltc live, ltc live : la voix du graoully, la scène ltc live, la communauté ltc live, listen to your eyes en ltc live, mcl metz, en concert, kel, auteur, spirits...in the material world 2007 | Facebook |
20/12/2013
LTC LECTURE ANNONCE LA PARUTION DE "L'ONDE SEPTIMUS" LE DERNIER TOME DE LA SéRIE "BLAKE ET MORTIMER."
Le 22ème album du duo créé par Edgar P. Jacobs vient de débouler en librairie. Les dernières aventures de Blake et Mortimer intitulées "L’Onde Septimus" sont l’œuvre du scénariste Jean Dufaux et du dessinateur Antoine Aubin (aidé par Etienne Schréder). Laurence Croix s'est occupée de la couleur. Une intrigue palpitante dans laquelle Mortimer ne parvient pas à percer le mystère de "l'Onde Méga" et encore moins le fonctionnement du Télécéphaloscope de Septimus. Tout lui échappe ! Qu'est-ce qui peut bien provoquer toutes ces interférences ? Cela a-t-il un lien avec l’inconnu en chapeau melon qui arpente les rues de Londres en demandant après "Guinea Pig" ? Les auteurs revisitent dans cette BD de très belle facture "La Marque Jaune" (le Tome VI de la série paru en 1956). Ils prolongent ainsi le mythe et signent le grand retour d'Olrik sur les quais de la Tamise… Tout un programme à ne surtout pas louper !
© Jean DORVAL, le 20.12.2013, pour LTC Lecture.
19:20 Publié dans LTC LECTURE | Lien permanent | Tags : l'onde septimus, parution, décembre 2013, les aventures de blake et mortimer, d'aprèsles personnages d'edgar p. jacobs, jean dufaux, antoine aubin, bd, étienne schréder, couleur : laurence croix, tc lecture annonce, metz, grands salons de l'hôtele de ville, le livre en hiver, dimanche 15 décembre 2013, élise fischer, et plus de 50 auteurs, en partenariat avec la ville de metz, astérix chez les pictes, a. uderzo, r. goscinny, scénario, jean-yves ferri, dessins, didier conrad editeur, les editions albert rené, première édition, en album : 24 octobre 2013, kabîr, la flûte de l'infini, inde, poète, traduction, andré gide, rabindranath tagore, l'intégral des poèmes, henriette mirabaud-thorens, édition de jean-claude perrier, nrfgallimard, paul éluard et man ray, les mains libres, n elephant dans un cagibi, matbak, jeune écrivain de talent, une nouvelle, les insolivres : chapitre vi, jean dorval pour ltc lecture, a magie oubliée, un roman d'aventure | Facebook |
LA COMMUNAUTé D'LTC LIVE : AVOIR LES DéCI-BELLES EN PARTAGE !
17:15 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : la communauté ltc live : listen to your eyes !, the danse society, come inside, 've got you under my skin, chris botti feat. kathrine, bb king, the thrillis gone, ay charles, i'e got a woman, marsheaux, to the end, omd, jean dorval, ltc live, muse, starlight, kangaroo league, official mashup, gilles heissat, le virtuose de la trompette, sera en vedette, jonas à la guitare, et andré masius à la basse, indochine, en concert, black city tour, galaxie d'amnéville, 11 et 12 octobre 2013, luxembourg, ltc live : "la voix du graoully !" | lien permanent | envoyer ce, hommage à l'empereur, rubinstein plays beethoven "emperor" piano concerto no.5, op.73, napoléon 1er, empereur des français, lenka, alternative, pop, à l'atelier, de luxembourg ville, dortmund 24.06.1984james brown, sex machine, living in america, nina hagen, my way, claude françois, comme d'habitude, rock me baby, eric clapton, buddy guy | Facebook |
NELSON MANDELA : UN PHARE POUR UNE AFRIQUE DU SUD SUR LE CHEMIN DE LA LIBERTé.
La splendide toile historique britannico-sud-africaine "Mandela : Un Long Chemin Vers La Liberté" (titre original : "Mandela : A Long Walk To Freedom") est sortie sur nos écrans le 18 décembre 2013, soit 13 jours après la mort de "Madiba" à 95 ans. Ce film réalisé par Justin Chadwick d’une durée de 02h19 comprend une exceptionnelle sélection d’acteurs et d’actrices : Idris Elba est Nelson Mandela, Naomie Harris (Winnie Mandela), Tony Kgoroge (Walter Sisulu), Riaad Moosa (Ahmed Kathrada), Fana Mokoena (Govan Mbeki), Zolani Mkiva (Raymond Mhlaba), Simo Magwaza (Andrew Mlangeni), et Thapelo Mokoena (Elias Motsoaledi). Ce long métrage prend sa source dans l’autobiographie de Mandela "Un Long Chemin Vers La Liberté" publiée en 1995, rédigée et parue durant l’incarcération de ce dernier. Les codétenus de Mandela, dont le rôle est déterminant dans la parution de ces mémoires, ont assuré le travail de relecture et de réduction de la version finale de 600 pages à 50, afin de pouvoir la faire sortir clandestinement de prison. L’adaptation de cet ouvrage de référence donne un film poignant, comme en témoigne Zindzi Mandela - la deuxième fille de Nelson et Winnie Mandela - qui a "retrouvé (…) les émotions de son enfance."
UN ŒUVRE CINéMATOGRAPHIQUE PLURIELLE à l’IMAGE DE L’(actuelle) AFRIQUE DU SUD.
Anant Singh, le producteur de ce long métrage sur Mandela, est sud-africain, d’origine indienne. Ancien militant anti-apartheid du Congrès National Africain (l’ANC), ayant subi la ségrégation comme 30 millions de ses compatriotes "non blancs", il connaît particulièrement son sujet. Lorsqu’il débute sa carrière, il est l’un des tous premiers producteurs d’Afrique du Sud à sortir des films engagés. Mais ironie de l’Histoire, il n’a pas le droit de les voir, les cinémas de son pays étant réservés uniquement aux blancs. Aussi, suite à la lecture du manuscrit de Mandela "Un Long Chemin Vers La Liberté", il s’enflamme pour la bonne Cause : "Ça m’a pris le weekend et je lui ai immédiatement dit : il y a de quoi en faire un film considérable, je dois le faire !" Deux mois après, le livre est publié et Hollywood se livre à une indécente surenchère d’offres pécuniaires afin d’obtenir "l'exclusivité" des droits d’adaptation cinématographique. Mandela déclare alors à Singh : "C’est une histoire sud-africaine, c'est toi qui doit la raconter". Il lui cède donc l’intégralité des droits d’adaptation cinématographique tant convoités. Singh se rappelle : "Tout ce que j’ai pu lui offrir en retour était la promesse de faire un film dont il serait fier." Rapidement attelé à sa tâche, Singh va s’entourer d’un duo de choc avec lequel il a déjà collaboré pour "Sarafina !", une comédie musicale retraçant la libération de Nelson Mandela : le producteur américain David M. Thompson et le scénariste anglais William Nicholson. Le choix d'adapter les mémoires de Nelson Mandela se porte sur Nicholson qui n’est pas sud-africain par souci d’impartialité. Seize années sont nécessaires pour arriver à un tel résultat. Au point que Nicholson confie : "C’était une expérience plutôt terrifiante. Je sentais le poids d’une énorme responsabilité : il fallait que je la raconte bien sans passer à côté de l’Histoire. On peut aussi avoir peur d’offenser les gens, d’omettre des faits, de donner une fausse image de toutes ces personnes qui ont vécu cette période, parfois sacrifié leur vie ou tout au moins une grande partie."
QUELQUES SECRETS DES COULISSES DU TOURNAGE…
Mandela : un rôle trois-en-un !
Ce film retraçant soixante-dix ans de la vie de "Madiba", aussi trois acteurs sont nécessaires pour incarner Mandela : Siza Pina (pour l’enfance), Atandwa Kani (de 16 à 23 ans) et Idris Elba (de 23 à 76 ans). Pour faire évoluer le visage d’Elba sur cinquante-trois années de vie de Mandela, de nombreux maquillages spéciaux sont nécessaires. Pour ce faire la chef maquilleuse Megan Tanner a engagé le célèbre maquilleur britannique Mark Coulier, un spécialiste (ex-collaborateur de Dudman dans « Star Wars ») des prothèses faciales, des masques inertes, etc. en mousse de latex, gélatine et silicone, et des lentilles de contact, ayant obtenu l'Oscar du Meilleur maquillage pour "La Dame De Fer" (un autre biopic sorti en 2011).
Des décors sur-mesure et des images d’époque :
La majorité des lieux décrits dans le livre de Mandela ayant radicalement changé ou étant désormais interdits d’accès au public, trouver des décors adaptés au scénario s’avère plus complexe que prévu. De même, pour ne pas réouvrir les cicatrices encore trop récentes du Peuple Sud-Africain en reconstituant en pleine rue des scènes d’affrontement, l’essentiel du film est tourné en studio. Un long métrage complété par des images d’époque quand cela est plus parlant pour le Devoir de Mémoire (le méga-concert de Wembley de 1988 à portée mondiale pour la libération de Nelson Mandela, des prises de parole de l'Archevêque Desmond Tutu, différentes émeutes, etc.)
Des acteurs dans leur propre rôle et un nombre record de figurants :
Il est à signaler que pour rendre plus crédible le film, Justin Chadwick et sa directrice de casting, Moonyeenn Lee, ont remis en situation cent-quarante ex-prisonniers de Robben Island (1) codétenus de près ou de loin de Nelson Mandela. Enfin, avec 12.000 figurants, ce film devient le quatrième de l’Histoire Cinématographique par le nombre de figurants, et ce, juste après "Le Seigneur Des Anneaux : Le Retour Du Roi" (décembre 2003) qui en compte pas moins de 20.600, reléguant par la même à la cinquième place "La Bataille de Solférino", sortie en septembre 2013. Pour réaliser ce film sur Mandela, en raison des 11 langues officielles d’Afrique du Sud, l’intervention du coach dialogue Fiona Ramsey est devenue indispensable, faisant oublier jusqu’à l’accent cockney très prononcé de l’est londonien d’Idris Elba qui a pourtant fait le succès de Michael Caine.
MANDELA : UNE VIE DEDIéE à L’éGALITé ENTRE TOUS LES êTRES HUMAINS.
Le film d’Anant Singh débute sur les images lumineuses et colorées de la campagne africaine où Mandela est né et élevé de manière traditionnelle par sa mère. Issu de la famille royale des Thembus de l'ethnie Xhosa, Nelson perd son père à l’âge de neuf ans. Devenu un jeune homme, il gagne Johannesburg où il ouvre le premier cabinet d’avocats noirs et devient un des leaders de l’ANC (une organisation à laquelle il adhère en 1944). Son arrestation le sépare pour trente ans de Winnie, l’Amour de sa vie qui le soutient tout au long de sa captivité et devient à son tour une des figures de proue de l’ANC. "Tata" finit par accéder au titre de premier Président de la République d’Afrique du Sud, noir, et élu démocratiquement.
Par la même, ce biopic retrace le parcours héroïque du Résistant Nelson Mandela, de sa lutte non-violente "à la Gandhi" à la clandestinité, et de sa lutte armée (en réponse à la violence permanente et injustifiée de "l’élite" blanche) à sa condamnation à la prison à perpétuité. La vie de ce Géant Humain est une quête continuelle d’Amour du Prochain, un Combat pour la Liberté et l'Egalité, afin de permettre la construction de "LA" Nation Arc-en-ciel si chère à l'Archevêque Desmond Tutu et symbolisant le Rêve de voir se construire une société sud-africaine post-raciale dans laquelle tout le monde pourra vivre en Paix quelque soit la couleur de sa peau. Un Etat idéal en gestation à l’époque dont chaque Grande Messe Institutionnelle démarrera par "God bless you !" ("Dieu vous bénisse !"), et dont l’Hymne National sera : "Nkosi Sikeleli Afrika." ("Que Dieu bénisse l’Afrique.").
Ce grand angle sur "Madiba" met aussi en scène sa Lutte pour le triomphe du Bien qui devient au fur et à mesure une épopée mythique pour les Droits Civiques : "un homme, une voix", mise en place du suffrage universel direct, fin de la ségrégation raciale et de la domination politique de la minorité blanche au pouvoir, etc. "Tata" devient en quelques décennies charnières un Phare pour l’Humanité dont la persévérance va sortir l’Afrique du Sud de l’impasse et de la guerre civile et raciale dans laquelle elle s’enlise gravement suite à quarante ans d’apartheid. Le poing levé de Mandela et de l’ANC symbolise l’Union des Justes. Seul on n’est rien (chaque doigt pris séparément), ensemble on peut tout (le poing fermé et levé).
"Madiba", même au Ciel, reste "LE" Garant de la Paix en ex-terre de haine aux travers de ses propres mots : "Je ne suis pas né avec une faim de liberté. Je suis né libre - libre de toutes les façons que je pouvais connaître. Libre de courir dans les champs près de la hutte de ma mère, libre de nager dans le ruisseau clair qui traversait mon village, libre de faire griller du maïs sous les étoiles et de monter sur le dos large des bœufs au pas lent (...) Ce n'est que lorsque j'ai appris que la liberté de mon enfance n'était qu'une illusion, qu'on m'avait déjà pris ma liberté, que j'ai commencé à avoir faim d'elle." (2) et "J'ai lutté contre la domination blanche et j'ai lutté contre la domination noire. Mon idéal le plus cher a été celui d'une société libre et démocratique dans laquelle tous vivraient en harmonie avec des chances égales. J'espère vivre assez longtemps pour l'atteindre. Mais si cela est nécessaire, c'est un idéal pour lequel je suis prêt à mourir." (3) Que l’Esprit de Mandela puisse rayonner immortel sur toute notre planète comme un exemple à suivre pour la Paix dans les siècles des siècles, et révéler l'Humanité pleine et entière dans son ensemble et dans toute sa beauté !
© Jean DORVAL, le 18 décembre 2013, pour LTC Kinéma.
INFO+ : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nelson_Mandela
http://fr.wikipedia.org/wiki/Desmond_Tutu
Source documentaire : http://www.allocine.fr
Notes :
(1) « Robben » signifie « Phoques » en néerlandais ou afrikaans ; aussi « Robben Island » veut dire « L’Ile Aux Phoques »,
(2) Autobiographie,
(3) Lors de la présentation de sa défense au cours du procès de Rivonia, qui le condamne à la prison à vie en 1964.
00:57 Publié dans LTC KINEMA | Lien permanent | Tags : « mandela : un long chemin vers la liberté », (titre original : « mandela : a long walk to freedom »), sortie nationale : 18 décembre 2013, madiba, nelson mandela, tata, film réalisé, par justin chadwick, idris elba est nelson mandela, naomie harris (winnie mandela), tony kgoroge (walter sisulu), riaad moosa (ahmed kathrada), fana mokoena (govan mbeki), zolani mkiva (raymond mhlaba), simo magwaza (andrew mlangeni), et thapelo mokoena (elias motsoaledi), zulu, extrait, vost, du film, avec orlando bloom, et forest whitaker, apartheid, afrique du sud, mort de mandela, héros, la vie d'adèle ou de miss p., la vie d'adèle - chapitres 1 et 2, léa seydoux, adèle exarchopoulos, le dernier film d’abdellatif kechiche, cette romance française, qui vire au drame, est librement inspirée de la bd française, de julie maroh, publiée par glénat, en mars 2010, « le bleu est une couleur chaude. », bd, palme d'or 2013, festival de cannes, 2013, le majordome, le film, 24 juillet 2013, sortie de, "wolverine, le combat de l'immortel.", les inconnus annoncent leur retour, réalisé par david moreau ii | Facebook |
12/12/2013
LA COMMUNAUTé LTC LIVE : LISTEN TO YOUR EYES
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11/12/2013
LTC LIVE ANNONCE LE ST-PéTERSBOURG BALLET THéâTRE AUX ARèNES DE METZ, LE 13 DéCEMBRE.
23:14 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : st-pétersbourg ballet théâtre, 60 danseurs, orchestre live, spbt europe, le casse-noisette, de saint pétersbourg, de piotr tchaikosvsky, les arènes, de metz, vendredi 13 dcembre 2013, 20h30, ballet théâtre, i've got you under my skin, chris botti feat. kathrine, bb king, the thrillis gone, ay charles, i'e got a woman, marsheaux, to the end, omd, jean dorval, ltc live, muse, starlight, kangaroo league, official mashup, gilles heissat, le virtuose de la trompette, sera en vedette, jonas à la guitare, et andré masius à la basse, indochine, en concert, black city tour, galaxie d'amnéville, 11 et 12 octobre 2013, luxembourg, ltc live : "la voix du graoully !" | lien permanent | envoyer ce, hommage à l'empereur, rubinstein plays beethoven "emperor" piano concerto no.5, op.73, napoléon 1er, empereur des français, lenka, alternative, pop, à l'atelier, de luxembourg ville, dortmund 24.06.1984james brown | Facebook |