15/01/2013
"L'ENVOL DES PHALENES."
© Photos ci-dessus : http://naturellementvotres.chez-alice.fr/recits_photos/lepidopteres_polonais.htm
Vers d'autrefois, musiques d'ailleurs
A l'heure où la phalène des collines s'envole
Transportons-nous de l'autre côté du Monde
Abandonnés à la tombée du jour
A tout ce que nous désirons de meilleur
Pour ne goûter qu'au bonheur
Une onde de Vie circule
Chemin faisant jusqu'à toi
Et nous ne sommes plus qu'un
Tomber en partage
Ne vivre qu'une seule fois
Ce qui ne se partage pas
A l'endroit des grands étangs
Là où la Lune et le Soleil épousent l'eau
Nous sommes « LE » Nouveau Monde
Retenir ses armes sans le pouvoir vraiment
S'abandonner à soi-même, l'un pour l'autre
Comme au premier rendez-vous...
Danse avec moi ma belle Aimée !
Il faut vivre pour comprendre,
Sans regrets, ni fin !
© Jean Dorval, pour LTC Poésie, le 17 février 2010.
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07/01/2013
« SI PRES DE TOI, MEME DE LOIN… »
© Photo ci-dessus : http://www.attitude-coach.com/2012/01/regard-de-femme-sur-lhomme-ce-que-vous.html
Tu es debout dans mon regard et tes cheveux se mêlent aux miens,
Tu as la forme de mes mains et tu as la douceur de mes vœux,
Tu t’engloutis dans mon ombre comme une âme sœur.
La vie a besoin de soleil et d’eau pour exister,
Tous les animaux dans la Nature se retrouvent pour faire perdurer la vie,
Les êtres humains rajoutent à tous ces ingrédients vitaux une bonne dose d’Amour,
Veux-tu participer avec moi à cette grande symphonie de l’Humanité ?
Tu es debout dans mon regard et tes cheveux se mêlent aux miens,
Tu as la forme de mes mains et tu as la douceur de mes vœux,
Tu t’engloutis dans mon ombre comme une âme sœur.
Jamais une femme ne m’a autant fait rêver que toi.
La Vie n’a de sens qu’avec toi, qu’à tes côtés, tu me manques !
Je t’ai dans la peau mon Amour comme un dévot.
Ma seule richesse c’est toi, et pourtant je suis pauvre de ton Amour…
Tu es debout dans mon regard et tes cheveux se mêlent aux miens,
Tu as la forme de mes mains et tu as la douceur de mes vœux,
Tu t’engloutis dans mon ombre comme une âme sœur.
Je t’aime d’un Amour pur, m’aimeras-tu un jour ?
J’espère en toi !
La solitude c’est d’être loin de ton cœur.
Tu es en moi, je ne peux t’oublier.
Tu es debout dans mon regard et tes cheveux se mêlent aux miens,
Tu as la forme de mes mains et tu as la douceur de mes vœux,
Tu t’engloutis dans mon ombre comme une âme sœur.
Ton silence me pèse, as-tu quelques pensées pour moi ?
Je suis l’aiguilleur de ton ciel étoilé, celui qui te ramène vers ta Terre Promise
J’attends que tu rentres à la maison…
J’attends que tu m’ouvres tes horizons pas si lointains.
Tu es debout dans mon regard et tes cheveux se mêlent aux miens,
Tu as la forme de mes mains et tu as la douceur de mes vœux,
Tu t’engloutis dans mon ombre comme une âme sœur.
© Jean Dorval, le 14 mars 2009, pour LTC Poésie.
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31/12/2012
"DE PERE EN FILLE."
© Photo ci-dessus : http://fr.123rf.com
Une semaine sur deux,
Ma Fille entre dans ma Vie
Comme on rentre sur scène
Auréolée de lumière,
Pleine de Vie, d'humour et de tendresse
Mais, elle en disparaît aussi vite qu'elle y apparaît
Telle une Star qui quitterait son meilleur fan
Alors, elle s'en retourne sans se retourner chez sa Mère
A chaque fois,
J'ai l'impression de ne pas avoir eu le temps
De tout lui dire mon Amour Paternel, de bien m'en occuper
Pris en étau, entre ses envies de Gamine
Et un programme que je n'arrive pas à tenir
Entre deux coups de téléphone
Une semaine sur deux
Et la moitié des vacances scolaires
Je suis le Gardien de son Enfance
Ma fille me manque,
Avant de venir chez moi,
Quand elle est là (car je sais qu'elle va repartir),
Et dès qu'elle est partie
J'aimerais arrêter le temps
La garder à mes côtés
Pour la voir (aussi) un peu grandir
Elle est si près de moi par la pensée
Et à la fois si absente
C'est mon Petit Fantôme
Quand elle n'est plus là
J'entends ses rires
J'ai raté une bonne partie du film de sa Vie
Je ressens comme un grand vide
Qui ne se comblera jamais
C'est une véritable injustice affective
Que d'être un Père divorcé
Elle est encore si Petite
Que quand elle part,
Je re-deviens le Refrain de la désespérance
Un Père à distance en résistance
Je suis un Père virtuel qui a donné une procuration forcée,
La rengaine frustrante du Père de moitié,
Du Père par Correspondance, voire du Père par intérim !
Mais au bout du compte, je suis un Père tout de même,
Envers et contre toutes les Injustices de Thémis !
Pour Elle, ma Fille,
Qui me donne l'exemple,
Par son courage et sa force,
Je dois apprendre à vivre à 100%
Comme un Super Héros...
Prêt à sortir de son placard à la demande !
© Jean DORVAL, pour LTC Poésie, le 31 décembre 2012.
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30/12/2012
« VENUS JOUE DU VIOLON. »
© Photo ci-dessus : http://pequena-chica.mabulle.biz/index.php/p60
Immortelle Vénus,
Tu ravis mon regard quand tu t’animes
Féminité musicale !
Tu ravis mon entendement quand tu joues du violon
Et de quels nouveaux troubles tu m’animes !
Rends-toi au plaisir de mon cœur
En faisant vibrer tes quatre cordes
Mises à l’unisson par l'Archet Céleste
Ton Amour, ta poésie chantante,
Valent cent fois mieux que toutes les Bacchantes soumises
Et l’audace qui me pousse à épouser ton ombre et ta lumière
Me dévore de l’intérieur tout entier
Maintenant, je reconnais Eros au travers de tes notes
Qui s’envolent nues vers mes oreilles à tire-d’aile
Et en imaginant prendre ta main, je pars en exil volontaire à deux
L’Amour m’a lancé une de tes flèches
Je suis le cœur ressuscité de Médée
Le trait porté au fond de mon Esprit y délivre un nectar enivrant
Le trait porté au fond de mon cœur scintille d’un feu dévorant
Une douce langueur s’empare alors de mon essence de vie
Cet Amour là embrase en un seul instant
Cet Amour là embrasse jusqu’au point du jour
Et dure pour toujours !
© Jean Dorval, pour LTC Poésie, le 09/01/2012.
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26/12/2012
« AU CLAIR DE TON SOURIRE. »
© Photo ci-dessus :
http://www.forumpourfilles.com/les-jeux-filles/les-plus-beau-sourire-photo-t9043-228.html
Pour Agnès B.
Cupidon en ta présence perce mon cœur
Comme une fièvre naissante, je t’avoue mon immense bonheur
Ma vie ne pourra plus être faite de rancœurs
Car je suis tombé amoureux au champ d’honneur
Aux pieds de notre doux Seigneur
Invoquant sa très Sainte-Mère
Ton apparition lumineuse pour gagneur
Me pousse d’un seul coup en haute mer
Les voiles claquent dans ma tête
La houle, l’appel du grand large,
S’unissent pour que je m’entête
La tempête renforce mon héroïque charge
Devant toi tout est possible
Ton sourire me rend sensible
La vie devient enfin audible
Et je me redécouvre invincible
J’aime tout en toi
Ta façon de prier sans doute
Ton recueillement jusqu’au bout des mains qui me laisse pantois
Cette ferveur jaillissant de ton être qui m’envoûte d’un éternel mois d’août
Je suis comme un conquérant face à la plus adorable des citadelles
J’attends que tu ouvres ta porte belle citée prometteuse...
© Jean Dorval, le 09 juin 2008, LTC Poésie.
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19/12/2012
« LE CHOEUR DES NAUFRAGéS VOLONTAIRES. »
© Tableau ci-dessus : James Tissot, "Dame à l’ombrelle, Mrs Newton"/ "Summer" vers 1878, Réalisme Victorien.
A Miss M.
Sous l'ombrelle,
Ensemble fermons les yeux
Afin de partager ce baiser gourmand
Champ magnétique rassurant,
Je voyages en Toi
Je bois l'eau fraiche de ta bouche
Et tombe à la renverse
Sans mots dire, tout en notes
Laissons-nous guider par la geste-rituel
Prenons l'Amour à la Source
Avec ses rimes qui bousculent l'entendement
Il y a le mot qui chante
Le mot qui passe et qui repasse
Le mot qui dépasse
Le mot gonflé de larmes qui devient rires
Mon Ange vole avec moi de lumière en lumière
Là où nos ailes blanches battent en parfait accord
Nous ne sommes pas de ce monde
A tes côtés,
Les jours passent sans que l'on puisse les arrêter
Tu es mon vertige
Mon doux excès d'Orient
Tes yeux sont des portes intemporelles
A tes côtés, je marche sur le Ciel
Pas à pas, je me fonds dans ton nombre
La tête reposée sur le coussin chaud de ton ventre
J'allume ta lanterne verte
Comme tout change quand on aime
Comme tout devient clair
On n'étouffe plus ses rires
On devient la parfaite résonance de l'Autre
Et au moment précis où l'esprit s'abandonne
Où les regards pétillants se font écho
Plus rien ne compte
Si ce n'est la respiration de ta peau blanche
Firmament de tâches de rousseur
Hypnotisé par tes yeux verts
Je crée une prière sous la couette
A réciter de concert
Nous sommes le dernier rempart
Contre toutes les haines
Le dernier havre d'Amour
Mes mots pour Toi, jetés en l'air,
Sont une déclaration d'Amour en pluie étoilée
Chaque intention vaut Éternité
© Jean DORVAL, le 19 décembre 2012, pour LTC Poésie.
01:39 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : le choeur des naufragés volontaires, la robe rouge mélodie, mademoiselle mélodie, mélodie, ma partisane particulière, un petit bouquet, de violettes, intervalle, amour, un homme et, une femme, l’intervalle de l’instant présent, les côtes de saintonge, charente, © jacques reda, extrait d’« amen », nrf poésie, gallimard, marocaine soeur, maroc, jean dorval pour ltc, jean dorval poète lorrain, lorraine, centre pompidou-metz, open de moselle, place jamaa el-fna, marrakech, café de france, tour de france, élections municipales, 2014, élections des conseillers territoriaux, nouveauté, la vita nueva, le feu habite ma terre | Facebook |
14/12/2012
« LA SOLITUDE. »
© Photo ci-dessus : http://api.ning.com/
La Solitude, c'est quand je n'arrive pas à te trouver
Seul au milieu de la foule en pleine houle
Partagé entre désespoir et attente sans fin
La Solitude, c'est ne pas pouvoir t'aimer
Et penser au temps qui passe, au temps qui lasse,
Au temps qui ne se rattrape pas
La Solitude, c'est tendre la joue au destin
Et se planter de numéro en permanence
Sans réussir à prendre le recul nécessaire pour avoir envie de recommencer
La Solitude, c'est subir la cruauté de plus savoir séduire
Ne pas réussir à convaincre
Tomber en permanence sur des gueules cassées qui vous font payer leur passif
La Solitude, c'est ne plus arriver à communiquer ses sentiments
Face à l'incertitude des temps qui court, face à la méfiance générale
Comme une sorte de contagion honteuse, une peur de l'Autre
La Solitude, c'est ne plus être reconnu,
Ne plus être un Etre Humain à part entière
Etre en dehors des canons de « beauté » du moment
La Solitude, c'est chialer à tous moments à chaudes larmes
Quand la présence d'un être-chair vous manque
Quand de vos tripes s'échappe un nectar non partagé
La Solitude, c'est l'homme de bien mis à part au profit du voyou
L'impossibilité d'exprimer sa tendresse
Perdre pied, oublier tous ses repères
La Solitude, c'est l'handicap du sentiment
La caresse en exil, l'Amour du Pauvre
N'avoir que son cœur à offrir
La Solitude, c'est être incompris
Pris pour un autre, jugé sur les apparences
Privé d'expression libre, frustré de communion
La Solitude, c'est sortir du formatage habituel
Ne pas trouver l'Ame Sœur
Ne plus s'attendre à être surpris
La Solitude, c'est être loin de Toi,
Et si près à la fois !
La Solitude, c'est peut être... attendre que Tu viennes.
© Jean Dorval, le 06 juin 2010, pour LTC Poésie.
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26/11/2012
« LA ROBE ROUGE MéLODIE. »
© Photo ci-dessus : http://www.be.com/missmarie/looks/1326365-jolie-robe-rouge.html
Mademoiselle Mélodie
Dans ta petite robe rouge
Tu bouleverses le sous-bois
Tu es la respiration de la Forêt
Tes racines sont miennes
Je suis tes sentiers
Les feuilles s'immobilisent à ton passage
Je te rêve d'arbre en arbre
Ô tendre et brune Fille de Diane !
Je t'offre le muguet immaculé qui point
Et tu souris !
Je te sers contre mon cœur
Sans comédie, sans petits jeux
Juste en vérité !
Nos mains ne sont plus solitaires
Elles portent chacune un anneau de buis
Nous nous écoutons palpiter d'aise
Une seule âme en deux corps
Ce sentiment, là, n'attend pas !
Troublé jusqu'au bout des doigts
Je m'étire comme Notre Arbre
Pour Toi,
Je rends visible l'invisible
J'oublie tout,
Et je te confie mon imperturbable Aveu
Ma Gentille Fée des Bois,
Revoyons-nous à l'envie
Nus sur l'herbe folle
Au bord de la rivière
Allongés sous notre Grand Chêne
Où je te protège dans mes bras
Juste avant la Fin des Temps
Mélodie, ma Tendre Aimée,
Même si demain nous devions mourir
Nos âmes pour continuer à s'apaiser entre elles s'aimeraient encore
© Jean DORVAL, le 26/11/2012, pour LTC Poésie.
19:01 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : la robe rouge mélodie, mademoiselle mélodie, mélodie, ma partisane particulière, un petit bouquet, de violettes, intervalle, amour, un homme et, une femme, l’intervalle de l’instant présent, les côtes de saintonge, charente, © jacques reda, extrait d’« amen », nrf poésie, gallimard, marocaine soeur, maroc, jean dorval pour ltc, jean dorval poète lorrain, lorraine, centre pompidou-metz, open de moselle, place jamaa el-fna, marrakech, café de france, tour de france, élections municipales, 2014, élections des conseillers territoriaux, nouveauté, la vita nueva, le feu habite ma terre | Facebook |
25/11/2012
"MA PARTISANE PARTICULIERE."
© Photo ci-dessus : http://www.poesie-citation.fr/amour/
Salut à Toi Coupe de Vie
Je mets mes pas dans les tiens
Baisant ta bouche
Le soleil de tes cheveux s'enflamme
Notre faim n'a pas de fin
Nous partageons le rite idéal
Je ne me lasse jamais de ta couche
Tu organises mon naufrage pour mieux m'accueillir
J'entre en Toi comme on part au large un jour de tempête
Je réchauffe tes pieds
Ô Nourrice de mon Amour
En silence, je déploie mon émoi
Et je t'enlace devant le miroir
Ma sublime Câline
Tu es une terre première
Native de mes rêves
Nymphe sans rivale
Je suis le confident de tes soupirs
Ta morsure délicate me fait dégainer ma flamme
Garde mes ailes entre tes mains mon Ange
Et vers le vaste firmament élevons-nous
Pour ne plus jamais atterrir
En ta compagnie aux limites du temps
Je recule le destin pour en faire un festin
Tu charmes mon air de flûte
Et attises ma gloire
© Photo ci-dessus : http://sillicia.unblog.fr/
Pour te plaire ma Partisane Particulière
J'ai le cœur soudain
Je suis devenu le Veilleur d'une saison nouvelle
Mon bel Ange couché sous ma plume
Tu es Femme et Épouse à la fois
Je suis le papillon des astres qui te butine
Sur tes nattes décoiffées,
Tendre Coquette, j'étends mon regard
Pour chaque baiser, une larme de joie
Fleur en la rosée de pleurs arrosée
Je goute et regoute ta peau
Et je m'égare jusqu'à la pointe de tes cils
Chassant l'Infini d'une ligne transversale
Peut m'importe d'être pauvre
D'avoir tout perdu dans la Vie
Puisque je t'ai
C'est bientôt la fin du Monde
Et nous sommes les derniers Amants
© Jean DORVAL, le 25/11/2012, pour LTC Poésie.
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10/11/2012
« LA NUIT NATIVE DE TA BOUCHE. »
© Photo ci-dessus : http://www.blog-photo-nb.com/wp-content/uploads/2008/12/a...
Le ciel se dilue lentement
L'intensité du soleil s'estompe tendrement
De longues traînées d'encre noire peignent l'horizon
La lune timidement se met à l'unisson
Dans cette étendue de toute beauté
Dans cette atmosphère chaude et enivrante
Je flotte tel un souffle léger
Epousant le couchant, dominant la ville
D'un simple tourbillon, je m'oriente inexorablement
Vers la clarté aveuglante du tissu urbain
Là, se trouve blotti ton univers secret
Tout en bas au cœur des foyers...
Ton image me guide vers toi
Je pique et virevolte
Je plane et m'étire
J'entre par ta fenêtre qui bâille
Ainsi, je me retrouve dans ton antre secrète et accueillante...
© Photo ci-dessus : http://www.dessin-nu.pixelenvrac.com/nue-assoupie.jpg
Dorénavant, je suis vapeur
Je m'approche de toi, feutré et fiévreux
Je m'approche de toi, fébrile et impatient
Tu es de nu vêtue, lascive et endormie
Offerte aux bras accueillants de Morphée
Tel un subtil courant d'air, je frôle et refrôle ton corps à volonté
Ta bouche remue doucement, comme épanouie,
J'y dépose quelques perles de rosée
Ta peau vibre d'émotion,
J'y appose une caresse pleine de promesses
Tes paupières sont deux petites amandes que je croque
Je suis un songe et rien ne peut arrêter un songe
Au bord de tes lèvres, je veux cueillir l'Amour, le fruit entendu
Composer un bouquet de petits baisers parfumés, saisir ton âme
Au creux de ton sourire, je veux faire un vœu,
Souffler librement mon désir, sentir ta chaleur
Tu es la vie, l'espérance sublime
Je veux renaître en toi, composer tes rêves
Tout en toi m'inspire
Tu attises le feu du cœur
Et notre Amour ressemble à une belle nuit constellée d'éclats de Lune
© Photo ci-dessus : http://www.dessin-nu.pixelenvrac.com/nue-couchee.htm
Demain, nous partirons vers l'Infini
Demain, nous atteindrons le Grand Nuage de Magellan
Demain, nous parviendrons à l'Origine du Monde
Nous deux, nous ne vivons que pour être fidèles à la Vie
© Jean Dorval, le 16 janvier 2010, pour LTC Poésie.
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03/11/2012
« A CHAQUE GOUTTE DE PLUIE. »
© Image ci-dessus : « Le Baiser », œuvre célèbre de Gustav Klimt (1907-08), dimension : 180 X 180 cm, huile et or sur toile, Galerie Belvédère - Österreichische, Vienne.
A chaque goutte de pluie,
A chaque feuille qui tombe,
Je pense à Toi (bis).
L’Amour me lance une de ses flèches
Qu’aucun remède ne peut contrer
Mélange de peine et d’immortalité
A chaque goutte de pluie,
A chaque feuille qui tombe,
Je pense à Toi (bis).
Il est plus facile de ressentir les maux
Que de trouver les mots pour te le dire
Et rien ne peut arrêter la passion fatale qui me lie
A chaque goutte de pluie,
A chaque feuille qui tombe,
Je pense à Toi (bis).
Aimons-nous maintenant
Jusqu’à en perdre la raison
Tant que nous nous aimons, nous vivons !
A chaque goutte de pluie,
A chaque feuille qui tombe,
Je pense à Toi (bis).
Le cœur dévoré par une amante passion
Je t’avoue la force de mon désir pour Toi
Tu exerces sur moi un pouvoir délicieux
A chaque goutte de pluie,
A chaque feuille qui tombe,
Je pense à Toi (bis).
Cet Amour innocent devenu violent
M’habite et me soumet
C’est le chant du berger à la Bergère
A chaque goutte de pluie,
A chaque feuille qui tombe,
Je pense à Toi (bis).
Au nom de l’Amour
Amour toujours
Sans doute ni déroute
A chaque goutte de pluie,
A chaque feuille qui tombe,
Je pense à Toi (bis).
Adorer le ciel de tes vertus
A en perdre la tête
Je ne suis qu’insistance
A chaque goutte de pluie,
A chaque feuille qui tombe,
Je pense à Toi (bis).
Chanson de l’un pour l’autre
A entamer à deux
En forme d’aveu
A chaque goutte de pluie,
A chaque feuille qui tombe,
Je pense à Toi (bis).
Ici-bas, faisant l’éloge de l’insouciance
Je berce ta jeunesse
Et j’offre à tes égards toute mon enivrance
A chaque goutte de pluie,
A chaque feuille qui tombe,
Je pense à Toi (bis).
L’Amour est à l’honneur
Je ne le tais point
Et je me sens brûler de l’intérieur
A chaque goutte de pluie,
A chaque feuille qui tombe,
Je pense à Toi (bis).
Ma belle Libellule
Cet Amour divin
Nous mène à la Grâce
A chaque goutte de pluie,
A chaque feuille qui tombe,
Je pense à Toi (bis).
J’ai dans le cœur
Un hymne à partager
Que Toi seule peux entendre
A chaque goutte de pluie,
A chaque feuille qui tombe,
Je pense à Toi (bis).
Je te dédicace ma persévérance
Es-tu libre pour la Vie ?
Es-tu libre pour l’Eternité ?
A chaque goutte de pluie,
A chaque feuille qui tombe,
Je pense à Toi (bis).
Tu es la sublime quête
L’ultime conquête
La révélation du vrai en toutes choses
A chaque goutte de pluie,
A chaque feuille qui tombe,
Je pense à Toi (bis).
Je tisse mes vers sur ta chevelure
Je t’offre le Baiser que tu attends
En gage de fidélité
A chaque goutte de pluie,
A chaque feuille qui tombe,
Je pense à Toi (bis).
© Jean DORVAL, le 02.11.2012, pour LTC Poésie.
00:58 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : à chaque goutte de pluie, un petit bouquet, de violettes, intervalle, amour, un homme et, une femme, l’intervalle de l’instant présent, les côtes de saintonge, charente, © jacques reda, extrait d’« amen », nrf poésie, gallimard, marocaine soeur, maroc, jean dorval pour ltc, jean dorval poète lorrain, lorraine, centre pompidou-metz, open de moselle, place jamaa el-fna, marrakech, café de france, tour de france, élections municipales, 2014, élections des conseillers territoriaux, nouveauté, la vita nueva, essaouira mon amour, essaouira, arabo-berbère, lalla essaouira, lalla, fnaire, groupe de rap marocain, mâalem, qraqech, guenbri, chaouafat, lila, mon amour, médina, place moulay hassan, possession amoureuse, rose des sables, tam-tam, la bien dessinée | Facebook |
31/10/2012
« LALLA ESSAOUIRA. »
Bella Lila, Marocaine Sœur
Ensemble goûtons au pèlerinage amoureux
La danse au gré de la flamme menant à la transe
Me guide vers Toi ma beauté Arabo-Berbère
De la tombée de la nuit jusqu’au point du jour,
Le tam-tam m’exhorte, me transporte
Essaouira mon Amour,
Lila-Essaouira « la bien dessinée »
Tu te dresses au milieu de l'océan
Rebelle dans ton drapé blanc
A tes pieds, je ne suis point soumis
Mais, j’existe enfin !
Danser seul pour Toi Lalla Essaouira
Danser collectif, mais danser !
Danser jusqu’à la Lune rousse
Danser en suivant l’encens et ton parfum
Jusqu’à rencontrer ton esprit
Jusqu’à frôler ton corps
Au son des youyous enivrants
Au rythme des claquements de mains entraînants
Multicolore exorcisme pour la multitude !
Au son de ta voix passionnée
Au rythme de ta chevelure noire déchaînée
Multicolore confession pour deux !
La musique Gnaoua nous lie et nous délivre à la fois !
Nobles descendants d’esclaves, vous êtes nos Frères
Vous faites couler la Mère Afrique dans nos veines
Foulards dompteurs du vent du désert - tourbillon bleu, blanc, rouge, mauve, jaune, vert et noir - menez-moi toujours vers Lila la divine !
A l’écoute du grondement solennel et lancinant des Qraqech et Guenbri, envoûtez-moi par sept fois sans retenue !
Au son des mélopées Mâalem,
Bercé entre Amida, Hassan Boussou et Omar Hayat,
Au pays du miel et de l’amande,
Je suis possédé par la Chouafat
Je suis l’adepte d’une voyante délicieuse
Lila la merveilleuse !
Dimension charnelle échappant à la réalité
Mirage mariant l’étoile de mer à la rose des sables
Essaouira est une femme, et Lila en est l'allégorie vivante la plus sublime !
Chambre perdue dans les ruelles chaulées de la médina
Dans laquelle je m’abandonne volontiers à celle à qui je dois tout
Voyage magique allant de la place Moulay Hassan à Dar Souiri, et du souk aux grains à la place Al Kayma, finissant à l’hôtel des Iles
Tohu-bohu hypnotique, affectif, que les Crotales de fer blanc et les chants orientent ou désorientent !
Te souviens-tu mon Amour ? Nous ne sommes pas riches, mais nous sommes riches de notre unique Amour.
© Jean DORVAL, le 31 octobre 2012, pour LTC Poésie (extrait du « Carnet de Voyage Marocain ».
21:38 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : un petit bouquet, de violettes, intervalle, amour, un homme et, une femme, l’intervalle de l’instant présent, les côtes de saintonge, charente, © jacques reda, extrait d’« amen », nrf poésie, gallimard, marocaine soeur, maroc, jean dorval pour ltc, jean dorval poète lorrain, lorraine, centre pompidou-metz, open de moselle, place jamaa el-fna, marrakech, café de france, tour de france, élections municipales, 2014, élections des conseillers territoriaux, nouveauté, la vita nueva, essaouira mon amour, essaouira, arabo-berbère, lalla essaouira, lalla, fnaire, groupe de rap marocain, mâalem, qraqech, guenbri, chaouafat, lila, mon amour, médina, place moulay hassan, possession amoureuse, rose des sables, tam-tam, la bien dessinée | Facebook |