29/07/2014
"LE CRéPUSCULE D’éMOI."
"A. Ma Muse."
Ma tendre Amante,
Quand je te vois,
Quand je te reçois en mon antre,
Je sens ta Vie recouler en moi,
Je ressens la mienne s’écouler en toi,
Comme une source de bien-être infini
Récitant ma litanie dédiée à notre Amour,
Je te goûte, affamé de tout ton Etre,
Comme on dévore son Pain Quotidien,
Comme on consacre la Paix des Dieux sur Terre
Notre fil-harmonie, notre fil-conducteur,
Notre cantique fantastique se déclame, se vit au jour le jour,
Scintillant d’émoi, récité en chœur
Fille de l’Emotion,
Tu te pâmes face aux rayons de notre soleil levant,
Je caresse ta plastique musicale,
Je l’inonde de lumière incandescente,
De joie irradiante et de notes tactiles
Je te chante mon œuvre pour Duo sans concessions,
Celle qui t’invite aux noces rebelles,
Celles de la re-création permanente,
Celle de la rencontre renouvelée
Tu es ma Vénus sortant des eaux,
A ta vue, je suis ivre de douceur,
Tout autour de toi dansent des parfums mystiques,
Sur tes longs cheveux roux glisse le charme,
Ta robe de nudité est une savante rêverie
Ta voix me fait m’élever dans tes paradis secrets,
J’atteins tes rêves les plus fous,
Auréolé d’une gloire éternelle
L’enthousiasme me transporte,
Tu ondules en rythmique légère,
Ce courant positif rompt la digue séparant nos âmes,
Mêlant nos pensées en une unique passion
Le bouleversement intime qui en découle,
Fait déborder nos cœurs vaillants,
Comme un tsunami de faveurs et de rondeurs,
Qui dévore tout sur son massage,
La Vie prend forme en toi,
Rend le soleil plus ardent,
Incline jusqu’aux rosiers en cadence
© Jean Dorval, le 28/07/2014, pour LTC Poésie.
19:49 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : "le crépuscule d’émoi.", jean dorval poète lorrain, poésie, bronze, la muse endormie, 1910, constantin brancusi, centre pompidou-metz, metz, moselle, lorraine, jean dorval pour ltc, jean dorval | Facebook |
28/07/2014
« LA MUSE ENDORMIE. »
© Photo ci-dessus :
« La Muse Endormie » de Constantin Brancusi,
qui était au Centre Pompidou-Metz…
© Adagp, Paris 2010.
http://static.blogstorage.hi-pi.com/photos/lauraetlart.ar...
D’après le bronze de Constantin Brancusi (1910).
Couché de profil
L’ovale de son visage
Inonde ma vue de ses reflets dorés
Sa beauté pure se fige sans limite
Hors du temps, je contemple l’Introspection, les sillons de sa chevelure,
Sa peau délicatement polie d’une spiritualité radieuse
J’imagine ses sens inédits
Son corps confisqué
Je suis la clé ouvrant SA 3ème Dimension…
Sa respiration est lente
Son cœur s’emballe sans bruit
Elle a le tempo du Sentiment
Elle est suspendue entre 2 mondes
Où je la rejoins…
Une alcôve réservée uniquement à nos 2 âmes
Elle incarne la fraîcheur du retournement
L’impertinence du silence permanent
Je ne vois que sa tête, et cela me suffit !
© Jean Dorval, le 23 mai 2010, pour LTC Poésie.
22:44 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : jean dorval poète lorrain, poésie, bronze, la muse endormie, 1910, constantin brancusi, centre pompidou-metz, metz, moselle, lorraine, jean dorval pour ltc, jean dorval | Facebook |
27/07/2014
"TES FORMES SIMPLES."
Constantin Brancusi "La Muse Endormie II" (1917, plâtre).
"A. ma Muse"
Ma Déci-Belle,
Peu m’importe que tu sois sage,
Car tu es re-belle jusqu’aux limites du réel,
De part tes formes accueillantes,
Qui suscitent mon total intérêt pour toi
Charwei Tsai "Circle II" (2011), vidéo couleur, silencieux, 56 secondes.
Tes rondeurs alanguies exercent sur moi,
Un pouvoir d’attraction,
Créent un projet poétique,
Explorant le point de vue de tes sensations
La beauté de ton visage,
Et de ton âme présage,
Me font t’aimer de plus en plus fort,
Aux limites de l’excès
Wolfgang Tillman, "Freisch Wimmer 212"(2012), épreuve jet d'encre.
En ta présence,
J’aspire à la volupté divine,
A respirer tes parfums enivrants,
A embrasser vigoureusement tes embruns amoureux
Tu es mon Hymne de Paix,
Mon honneur dévoilé,
L’Amour d’où découlent tous mes plaisirs partagés,
Tu es le vase d'argile où je donne la Vie,
D'un coup de baguette agile
Toupie, Ile de Bornéo, Peuple Dayak, non daté, bois sculpté.
Comme un vert-galant,
Je coule le long de ta poitrine
Près de ton cœur, devenu ver luisant,
Je m’illumine en suivant les courbes de ta féminité,
Et je m’évanouis en ligne droite dans le triangle de Ta Vie
Olafur Eliasson "Round Rainbow" (2005).
Dans le noir, au pied du Centre Pompidou-Metz,
Tu me guides, toi mon étreinte préférée,
Mon Phare dans la nuit,
Mon âme-cerise que je cueille avec la bouche
Près de toi point de regrets,
Tu réchauffes mon cœur,
Et exauces mon âme jamais repue de ta sève
Olafur Eliasson "Round Rainbow" (2005).
Je te consacre mon Chant d’Amour,
Ma Love-Parade,
Allongé sur tes dunes primordiales,
Et nos deux cercles ne forment plus qu'un
Alors le flot clair et langoureux,
De ma pensée épouse ta peau,
Nos draps sont pleins d’odeurs légères,
Celles des fleurs du mâle écloses en ton sein
© Jean DORVAL, le 22 juillet 2014, pour LTC Poésie.
NEWS+ : http://www.centrepompidou-metz.fr/formes-simples
© Crédit photos : photographe : Jean DORVAL pour LTC Arts 2014 ; droits pour les photos d’œuvres d’art : les Centres Pompidou-Metz et Paris - ADAGP Paris 2014 ; reproduction partielle de quelques parties du bâtiment du Centre Pompidou-Metz faite avec l’aimable autorisation de Shigeru Ban Architects et Jean de Gastines Architectes.
02:58 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : tes formes simples, jean vodaine n’est pas vraiment mort !", et maintenant, aux fesses !", première exposition mondiale, des éditions érotiques illustrées, de verlaine, du 25 avril au 15 juin 2014, réservé aux adultes, le jour où je t’ai rencontrée.", la tour eiffel, "tu es pure réalité.", "la fleur du mâle.", je suis celui qui murmure à tes oreilles.", jean dorval, poète lorrain, jean dorval pour ltc, poésie, lorraine, metz, inauguration, centre pompidou-metz, moselle, coupe du monde de football, législatives, 2012, présidentielles, metz vaut bien une messe, jean dorval pour ltc poésie | Facebook |
21/07/2014
« ET L'EAU RECOUVRA LA BRAISE ! »
© Photo ci-dessus : http://photos.linternaute.com/photo/1163016/1276401427/12...
L'eau est plus forte que la braise...
A la nuit tombée, rencontre d'une belle Demoiselle
En robe légère sur les bords de la Moselle
Cheveux noirs au vent
A sa suite, tel un disciple fervent...
Le regard songeur, partageur
Le cœur à la dérive
Ne masquant aucunement son coup d'œil ravageur
Elle promenait sa nonchalance sur ces rives
Dans ses yeux bleus vibrait déjà ma scie
Total reflet de sa féminité Lorraine
Elle venait de Nancy
Et de part ma plus belle plume, j'en ai fait ma Reine !
D'une simple œillade, la soie de ses joues rougissait
La lave jaillissait de mon âme
Mêlant nos souffles courts, l'allégresse nous unissait
La dévotion entretenait sa flamme
De tendresse ses courbes je pétrissais
Sous la voûte étoilée, le temps d'une révolution, je la découvrais
L'un et l'autre le printemps nous caressait
Dans le creux de ses mains, je sombrais dans le vrai
A ses oreilles parfumées, mon désir déposé
Fragrances extraordinaires faisant toucher le ciel
Signatures sur ses verts attraits apposées
Les saveurs de ses lèvres s'évaporaient en arc-en-ciel
Eros souriait à la vie
Et me faisait flancher le cœur
Sa Muse comblait toutes mes envies
Jet de dés sans promesse, ni rancœur
Dans la robe de sa nudité
Harmonieusement confondu
J'épousais l'eau et le feu avec lenteur, puis rapidité
Je goûtais le fruit défendu
Je voyais au travers de ses yeux...
Eros invoquait le spirituel
Son dessein fut de tout entier me livrer
Entretenant le rêve, il invitait au rituel
Il m'offrait sa fille enivrée
Comme une vague frémissante finissait d'onduler le plaisir
Au clair de ma plume, deux cygnes devenus muets, à nouveau détendus
Qui pour mieux vivre leur passion ont su se choisir
Au clair de ma plume, deux cygnes blancs, l'un en l'autre, fondus
Quand le jour vînt à pointer
L'ardeur des amants retombée, de bonheur maculée
Leur passion mutuellement partagée, dépointée
L'ivresse de la rivière contée par Ausone avait finalement vaincu la braise immaculée
Le chant du « Signe » pour seule œuvre
Ils s'enlacèrent sous l'emprise d'un ultime frisson
L'écho de leurs lèvres pour tout chef-d'œuvre
Ce frêle esquif se brisa à l'unisson
© Photo ci-dessus : http://r-sistons.over-blog.com/categorie-10807617.html
Beaux oiseaux conjugués
L'insolence interrompît leurs charmes isolés
Beaux oiseaux évaporés, subjugués
Des courants contraires les ont emportés, immolés
Ils n'appartenaient à personne
Rien au monde ne les aurait fidélisés
Le son du corps depuis encore résonne
Rien au monde ne les aurait apprivoisés
La Demoiselle repartît dans la brume matinale, nue
Rassasiée, comme renée
Telle que je l'avais connue, en belle inconnue
Ephémère destiné !
Immuable souvenir, elle flottait de nouveau sur le temps
Le brouillard l'habillait, la rendait à la rue
Recouverte de rosée, elle disparut hors du temps
Aussi subitement, qu'elle m'était apparue
© Jean Dorval, le 21 janvier 2010, pour LTC Poésie.
22:00 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : « et l'eau recouvra la braise ! », poésie, jean dorval, dédié à la muse, jean dorval pour ltc | | Facebook |
24/05/2014
LES BEST OF JD : "JEAN VODAINE N’EST PAS VRAIMENT MORT !"
A 85 ans, le poète Jean Vodaine s’en est allé. De son vrai nom, Vladimir Kaucic, d’origine slovène, restera l’Amoureux de la plume et de l’encre. Il démarre sa carrière littéraire par l’invention des récits improbables, publiés dans la revue « La Tour aux Puces ». Aveugle, Jean faisait « travailler sa mémoire ». Sa renommée européenne, puis mosellane, trouve sa quintessence dans ses poèmes-affiches, véritable poésie visuelle ; dans des textes, comme « Le courrier de Poésie » fait en collaboration avec Edmond Dune ; ou dans une rétrospective d’œuvres graphiques, intitulée « Drôles d’Oiseaux ». Afin d’honorer le poète disparu - domicilié pour l’éternité à Baslieux (54) – il serait avisé de créer prochainement un lieu immortalisant sa mémoire. Il avait fait vœu, de son vivant, de créer une Maison de la Poésie à Metz…
© Jean Dorval, le 09/08/06, pour LTC Poésie.
INFO+ : Wiki/Jean_Vodaine & asso.jean.vodaine
00:34 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : les best of jd : "jean vodaine n’est pas vraiment mort !", et maintenant, aux fesses !", première exposition mondiale, des éditions érotiques illustrées, de verlaine, du 25 avril au 15 juin 2014, réservé aux adultes, le jour où je t’ai rencontrée.", la tour eiffel, "tu es pure réalité.", "la fleur du mâle.", je suis celui qui murmure à tes oreilles.", jean dorval, poète lorrain, jean dorval pour ltc, poésie, lorraine, metz, inauguration, centre pompidou-metz, moselle, coupe du monde de football, législatives, 2012, présidentielles, metz vaut bien une messe, jean dorval pour ltc poésie | Facebook |
14/05/2014
"LE JOUR Où JE T’AI RENCONTRéE."
"A." Ma Muse.
Le soleil embrasse l’immensité de tes yeux,
Et mon cœur épris erre pour l’Éternité,
Au pied de la Tour Eiffel,
Entre les deux arbres,
Où je t’ai rencontrée
Depuis que j’ai prononcé ton prénom rien n’est plus pareil,
Je ne sais où va mon chemin,
Par contre, je suis sûr d’une seule chose,
Je marche mieux quand ta main serre la mienne,
Quand elle me guide vers ta couche
A la nuit naissante,
Le voile du sommeil, celui de nos rêves partagés,
Me recouvre de ton parfum lancinant,
Et au noir minuit de l’effet,
Ton bassin me berce d’insouciance
Tu es mon flot bleu marine,
Dans lequel, je me noie volontiers jusqu'au lendemain
Laisse éclore l’Aurore à chacun de nos réveils,
Comme une illusion qui s’étire de tes paupières
Tu es la source de la rosée de l'émoi,
Le désir coule en toi,
Comme ton âme légère et généreuse
Tu es l’alarme de mes larmes de Joie,
Je renais chaque matin au petit jour,
En ton sein,
Comme une fièvre constamment entretenue
Belle abandonnée dans mes bras,
Je suis ta cadence démesurée,
L’eau de ta bouche me murmure
Quelques notes gourmandes à l'oreille
Notre colloque sentimental est une inoubliable extase,
Je respire ta chevelure,
Je ressens l’éclair de ton sourire
La rose rouge que je t’offre,
Est l’Aveu de ma tendresse extrême pour toi
Ta chair est bénie de ma sueur de fougueux laboureur,
Nous sommes les oiseaux du Bonheur simple,
Ceux que le Monde attend pour semer la Paix
Grâce à toi mon Ange d’Affection,
Je chevauche l’orage,
Je conquière la Voie Lactée,
J'invente de nouveaux Instants "T" à partager à Deux
Tes yeux sont verts,
Tes yeux sont bleus,
Tes yeux sont gris,
Je n'ai jamais rencontré un regard comme le tien
Tu es une caresse,
Un trouble chaleureux permanent,
Un rêve sans trêve
Face à toi,
Mon coeur s'oublie,
Je suis trahi par mes mots,
Ceux que je te dédicace
Je flotte dans l’air en te voyant,
Je ne peux toucher terre,
Je suis un homme nouveau à l’envers du décor,
Et tu es le cercle placé autour de moi
Nous n’avons décidément qu’un seul endroit où aller,
Où retourner en pèlerinage,
Là-bas, au coeur de notre Univers,
Au pied de la Tour Eiffel
© Jean DORVAL, le 10 mai 2014, pour LTC Poésie.
© Crédit photos : Jean DORVAL 2014 pour LTC Poésie.
22:53 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : "le jour où je t’ai rencontrée.", la tour eiffel, "tu es pure réalité.", "la fleur du mâle.", je suis celui qui murmure à tes oreilles.", jean dorval, poète lorrain, jean dorval pour ltc, poésie, lorraine, metz, inauguration, centre pompidou-metz, moselle, coupe du monde de football, législatives, 2012, présidentielles, metz vaut bien une messe, jean dorval pour ltc poésie | Facebook |
23/04/2014
"TU ES PURE RéALITé."
© Photo ci-dessus : http://sobusygirls.fr
"A." - Ma Muse.
Noble Amazone,
Tu es pure réalité,
A mes yeux,
Tu comptes plus que tout au Monde
Ton sourire silencieux me met à nu,
Ton regard brûlant me fait fondre d’envie,
Ton décolleté échancré captive ma bouche
Sur tous les murs de la ville,
Je peins tes yeux gris-bleu,
Tes rondeurs impudiques épanouies,
Rendent mon regard oblique
Je suis l'archer qui tend ta corde libre,
Je suis le paon faisant la roue pour te plaire,
Je suis l'ange qui perce ton cœur,
En décochant une larme de bonheur
© Photo ci-dessus : http://www.plurielles.fr
Ingénue sous tes sous-vêtements,
En transit sensoriel,
Tu es une harpe sacrée que je fais vibrer
Invité à nos Noces païennes,
Le vent emporte autant de braises incandescentes,
Que de notes partagées,
Merlin en est témoin !
Et du gai ruisseau d'où coule mon âme vive,
J'entends tinter les gouttelettes sur les galets de tes rives
Sauvage, je m'élance,
Au travers de l’écume de tes eaux bouillonnantes,
Dans tes flots argentés
Langoureuse féminité,
Je dépose sur la rose rouge de tes lèvres,
Un baiser à savourer à Deux
La rosée tardive recouvre ta beauté limpide,
Tu resplendis comme un arc-en-ciel,
Et je succombe d’aise pour toi mon Sanctuaire
© Jean DORVAL, le 22/04/2014, pour LTC Poésie.
19:13 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : "tu es pure réalité.", "la fleur du mâle.", je suis celui qui murmure à tes oreilles.", jean dorval, poète lorrain, jean dorval pour ltc, poésie, lorraine, metz, inauguration, centre pompidou-metz, moselle, coupe du monde de football, législatives, 2012, présidentielles, metz vaut bien une messe, jean dorval pour ltc poésie | Facebook |
16/04/2014
"LA FLEUR DU MâLE."
"A." - Ma Muse.
Dans la nuit brune de ta chevelure,
Sur ton front repu d’émotions,
Je voyage au fil du temps qui passe,
Je suis dans tes pensées,
Et tu occupes tout mon esprit
Tu es Phœbé à la couronne d'or,
Le corps beau libre passant,
La bombe incandescente qui me ranime
Que tu es belle quand tu me souris,
Quand la joie s’envole de ta bouche,
Comme un papillon bleu
Alors à tire-d’aile, je chante ma Victoire pour toi,
Celle de t’avoir mise à nue pour ma plus grande gloire,
Je baise tes pieds, tes longues jambes,
Toute l’avant-garde de mon désir pour toi
Tu es mon rêve éveillé,
Mon océan bouleversé,
Ma tanière coquine,
Pour qui je chante sans cesse ce refrain insensé
Partageons ce baiser à deux,
Ce baiser pour deux,
Embrassons-nous à tout moment,
Pour mieux ressentir l’écume des jours
Je mets mes mains mouillées sur tes hanches,
Afin d’y faire couler une eau fraîche et limpide,
Jusqu’à tes limites intimes
Ma Belle,
Comme on rallume un Soleil,
Au cours de ma demande en épousailles,
Je compte sur ta bonté,
Car sans modestie aucune, je t’aime
Mon étoile filante,
En écoute rapprochée,
Je suis le seul Abonné à ton cœur,
J’adhère à ta LoveBoxe
Avec toi, je réapprends à cultiver un bonheur simple,
Et de notre grand lit-créateur,
Nous parcourons le Nouveau Monde,
En renouvelant notre découverte
Du bout de mes lèvres, je suis le berger de tes soupirs,
Je me grise à volonté,
De ta peau brûlante et de ta douceur gourmande,
De ton charme profond, magique,
Comme au buffet de l’Eternité
© Jean DORVAL, le 15.04.2014, pour LTC Poésie.
Crédit photos : © http://www.artistic-nude-images.com
20:26 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : "la fleur du mâle.", je suis celui qui murmure à tes oreilles.", jean dorval, poète lorrain, jean dorval pour ltc, poésie, lorraine, metz, inauguration, centre pompidou-metz, moselle, coupe du monde de football, législatives, 2012, présidentielles, metz vaut bien une messe, jean dorval pour ltc poésie | Facebook |
15/04/2014
"JE SUIS CELUI QUI MURMURE à TES OREILLES."
"A." - ma Muse,
Je suis celui qui murmure
A tes oreilles des mots doux,
Ceux que tu attends
Depuis que je te connais,
Le souffle de l’envol retrouve son rythme,
L’aube a un nouveau zéphyr,
L’aube a un nouveau sourire
Sous les nuages argentés,
Le lit du torrent de la Vie,
Nous porte l’un vers l’autre
Quand la nuit s’enfuit,
Glissons à l’unisson sur les flots argentés,
Sans retenue
Vertiges d’allures lascives,
Femme d’accords majeurs,
Tu réjouis tout mon être-chair
Moissonnons ensemble le vivant,
Brassons le merveilleux, l’éphémère renouvelé,
Vainquons jusqu'aux déserts arides
Aux coups redoublés du vent,
Tombons, main dans la main,
Afin de mieux ressentir l’abîme du désir
Tu es le fruit charnel,
Savouré du bout des yeux, puis des lèvres,
Mordu à pleines dents
© Photo ci-dessous : http://dessintraitdunion.net
La voile libre de notre bateau ivre drape l’horizon,
Nos sens ne sont plus vagues,
Ce sont des embruns déchaînés, le flot échoué sur la grève
Nous sommes la Voix de la déraison,
Rien ne peut arrêter l’instant présent,
Ni le partage de la folle passion
J’embrasse ta bouche,
Comme on va à la cueillette aux baisers
Chaque jour, bercé par l’émotion,
Je me blottis entre tes seins, comme pour mieux renaître
Mon cœur est plein de vers qui osent tout pour toi,
Tu es la Dame de mon cœur,
Celle qui me consume de l’intérieur
Ton miel est un don,
Je touche ta Lumière du bout du doigt
Tu fais éclore le soleil aux aurores,
Alors, le jour ruisselle comme enfanter par toi,
Tu répares le Monde d’un coup de baguette de Chef d’orchestre,
Et rajeunis à perpétuité mon Amour pour toi
Alternativement,
Tu me rends feu de Joie,
Tout feu de toi !
Le long de l’escalier menant à notre couche,
J’allume pour toi un cierge dédié à l’Amour,
Un Phare dans la nuit câline,
Ce feu sacré caresse ton corps que je parcours dans le clair-obscur
Ma flamme rampe, lèche ton corps,
Scintille jusqu’à la pointe de tes seins,
Nos bras épousent l’Univers,
De magiques spirales mêlent nos empruntes
Nos soupirs allument la voûte stellaire,
Ravivent les braises de l’Éternité,
Nos voix ne sont plus faibles,
Elles clament le renouveau du Printemps
Nous sommes les voyageurs de Saturne,
Qui se cherchent, se recherchent,
Et s’atteignent finalement toujours
Nous sommes les Amants de la Tendresse,
Les voyageurs de nocturnes transports,
Qui signent sous le regard des Anges,
Leurs plus belles lettres de faiblesse,
Leurs plus beaux mots d’allégresse
Nous ne pouvons réaliser notre salut,
Qu’en entrant l’un dans l’autre
Au temple de nos désirs,
Nos deux corps consacrés, réservés, se tutoient,
S’abreuvent à la source du frisson
Je suis celui qui murmure
A tes oreilles des mots doux,
Ceux que tu attends
© Jean DORVAL, le 13 avril 2014, pour LTC Poésie.
Crédit photos : © http://www.artistic-nude-images.com
00:17 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : "je suis celui qui murmure à tes oreilles.", jean dorval, poète lorrain, jean dorval pour ltc, poésie, lorraine, metz, inauguration, centre pompidou-metz, moselle, coupe du monde de football, législatives, 2012, présidentielles, metz vaut bien une messe, jean dorval pour ltc poésie | Facebook |
05/04/2014
"METZ VAUT BIEN UNE MESSE !"
La gare.
A la nuit tombée, il est des villes où souffle l’esprit....
Il est des cités qui tirent l’âme de la léthargie
Des lieux inspirateurs dont les cahiers de poésies s’enrichissent
Des lieux aux « vers luisants »
Où il n’est point de déracinés
Comme aux jardins sur l’Oronte
Montage-photos messin en UB-2.3.0.
D’un élan passionné, je l’affirme
Metz la nocturne vaut bien une messe
Saint-Etienne dévoile alors ses Chagall luminescents
Et le « Sculpteur de Lumière » Yan Zoritchak l’indécent,
de Saint-Pierre-aux-Nonnains s’en fait l’écho effervescent
La nonchalance estivale invite à de douces promesses
La gare suite...
Sur des flancs millénaires baignés par la Moselle
Que l’on aperçoit de la Butte Sainte-Croix
Se reflète un clair de Lune lascif
Esquissant à la dérive une fluide Demoiselle
Aux charmes rendant possessif
Le CPM de nuit.
Conteuse de mémoires, Metz la tolérante,
Harmonieuse confrontation d’Histoire dérisoire
Hors de tes remparts tu fus jadis errante
Mais bien vite abolis furent tes souvenirs illusoires
Suivez les ballons dirigeables...
Bleutées comme l’étoffe partagée de Saint-Martin
Tes eaux révélées du Port Saint-Marcel
Forment l’encre inspiratrice de la plume de Verlaine
Berceau limpide des « Fêtes galantes » ou de la « Sagesse »
Les poètes maudits en ton sein furent inscrits
Un des Chagall de la Cathédrale Saint-Etienne de Metz...
La maison de Rabelais
Nous rappelle qu’en guise de bonnes victuailles
Pantagruel aurait bien fait ripaille de notre bonne vieille « tot’prête »
A l’Opéra-Théatre belle lotharingienne
Donne nous comme à l’Amphithéâtre jadis
Notre verbe et nos entrechats quotidiens
Même si pour cela, en Fournirue, nous devions en perdre « les têtes »
Rencontre du 3ème type, Place Saint-Louis...
De la Fête de la Musique ton Arsenal comme tes Rues résonnent encore
Et tu nous pousses jusqu’à l’aurore
Quand de la Place Jeanne d’Arc coule la bière blonde couleur d’or
Aux Trinitaires, Sainte-Ségolène jure de son innocence alors
A la Fête Nationale ton ciel s’illumine de bouquets tricolores
Et de beaux artifices resplendissent
Metz-Etincelle, tu portes ton habit de poussière de comètes en ©Technicolor
Et les messin(e)s sous le charme t’applaudissent
Le temple neuf.
Tandis que de gerbes cristallines vieilles de quarante ans
Tu t’animes mutine
Exhaussant nos prières
Du Lac aux Cygnes, tu contes tes opalines
Et non loin de là, ton Corso parade multicolore
Comme au plus sublime soir du Carnaval de Venise
L’exubérance fleurie insuffle l’âme au décor
Et du haut de l’écrin le plus beau
L’Elue sucrée et tentatrice du panier choyé des Mirabelles,
Fruit défendu, dévoile ses charmes, ceinte de ses dauphines
Les quais de la Moselle au centre ville.
Tout âge portant ses fruits
Il est grand temps pour nous de les cueillir
Ces Mirabelles là symbolisent l’éternel féminin
Le fruit entendu
Et au mai de l’automne
Ces pulpeux délices passeront la promesse des fleurs
00:30 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : jean dorval, poète lorrain, jean dorval pour ltc, poésie, lorraine, metz, inauguration, centre pompidou-metz, moselle, coupe du monde de football, législatives, 2012, présidentielles, metz vaut bien une messe, jean dorval pour ltc poésie | Facebook |
19/03/2014
"LES SALTIMBANQUES DE L’AMOUR HEUREUX."
Ma douce Amie,
Ma Muse
Ma chanson,
Notre chanson,
Parle de nos beaux jours,
De ces jours heureux,
Ceux de nos tendres baisers,
Qui même de loin nous poursuivent
© Photo ci-dessus : http://www.artistic-nude-images.com
Nous sommes une consolation l’un pour l’autre,
La ligne sensuelle à haut-débit animant tous nos songes
Tes lèvres merveilleuses
Me rappellent chaque jour combien nous nous aimons
En ta présence,
Je ne suis ni sombre, ni mesuré
Ta nudité m’habille de perfection
Je délire d’affection rien qu’en pensant à toi
Tu coules en moi comme une rivière
Je n’arrive pas à dormir quand tu n’es pas là
© Photo ci-dessus : http://www.artistic-nude-images.com
Je t’appartiens,
Sans toi, la terre n’a plus de couleurs,
Et le ciel s’obscurcit
Le dialogue muet de nos regards m’électrise,
Je demande ta main
Je suis comme un arbre,
Je te protège,
Et tu t’étends sous mon ombre
Je ne peux ignorer mon cœur,
Car tout vient de toi,
Dont je connais tout
© Photo ci-dessus : http://www.artistic-nude-images.com
Je ne pourrais jamais guérir de toi,
Et pourtant tu me guéris de tout
Tu es un Phare sentimental dans la nuit de la Vie,
Avec toi à mes côtés, l’Amour a enfin un sens,
Je ne peux jamais totalement m’en rassasier
Tu ouvres mon esprit,
Comme on ouvre une porte fermée,
Que l’on croyait définitivement condamnée
Ballade du temps présent,
Je t’offre à la criée mes sentiments en exclusivité,
Je vis l’Instant pour toi,
Et seulement avec toi
© Photo ci-dessus : http://www.artistic-nude-images.com
Laura, ma belle Lorraine,
Ta sensualité grandeur nature me rend enfin mature,
Ton Amour est mon Maître,
Je renais en toi à volonté pour mieux te servir
Je mords doucement tes cheveux,
Je baise ta bouche aimante,
Je pétris tes seins avec délicatesse,
Tes mamelons se dressent comme deux sentinelles
© Photo ci-dessus : http://www.docteurdiacakis.com
Tu regardes mes yeux,
J’embrasse ta peau, comme on dévore un rêve,
Je ne peux me lasser de ta passion,
Sous la pluie, nous sommes plus chauds que la braise
Il me faut autant d’Amour que de beauté,
Et tu combles toutes mes attentes
Ma gloire tout entière est pour toi,
Que tu es jolie, que tout me semble délicieux en ta présence,
J’ai mis la main sur ton cœur,
Et j’écoute ta tactique hardie
Capitaine au long cours, ivre de toi,
Je t’ai prise sur mon navire qui chavire,
Tu es mon Inde exilée,
Avec toi, je ne crains pas la trahison
© Photo ci-dessus : http://www.artistic-nude-images.com
Frapper à mon cœur,
C’est frapper dans le beau,
Avec toi, j’entends le Ciel,
Et j’y monte pour toujours en ta plaisante compagnie
© Jean DORVAL, le 14 mars 2014, pour LTC Poésie.
18:25 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : "les saltimbanques de l’amour heureux.", les phares, charles baudelaire, "la fiancée aux seins nus.", arne mattson, "elle n’a dansé qu’un seul été.", le film, edvin adolphson, ulla jacobsson, john elfström, drame, romance, göran, kerstin, entement toi et moi, « le chant de sanaa. », poésie, inspiré de la poésie humaynî du yémen, mais en vers libres, tihāma, yémen, femme yéménite, évidence, la rose mauve, une hirondelle fait mon printemps, melin de saint-gelais, poésie renaissance, renaissance, joachim du bellay, danse avec moi cette nuit, ltc, la tour camoufle, jean dorval, jean dorval pour ltc, coupe du monde de football, amour, romantisme, centre pompidou-metz | Facebook |
26/02/2014
CMP : BIENTôT UN REPORTAGE SIGNé JD SUR L'EXPO "PAPARAZZI !"...
01:00 Publié dans LTC ARTS | Lien permanent | Tags : expo, exposition, paparazzi !, photographes, stars, et artistes, claire garnier, co-commissaire d'exposition, interview, pleins "phares" sur le cpm !, centre pompidou-metz, phares, pablo picasso, jean dorval, jean dorval pour ltc arts, juan miró, yan pai-ming, fernand léger, anish kapoor, galerie talents d'art, à metz, les phares, charles baudelaire, "la fiancée aux seins nus.", arne mattson, "elle n’a dansé qu’un seul été.", le film, edvin adolphson, ulla jacobsson, john elfström, drame, romance, göran, kerstin, entement toi et moi, « le chant de sanaa. », poésie, inspiré de la poésie humaynî du yémen, mais en vers libres, tihāma, yémen, femme yéménite, évidence, la rose mauve, une hirondelle fait mon printemps, melin de saint-gelais, poésie renaissance, renaissance | Facebook |