06/08/2014
LTC KINéMA ANNONCE...
INFO+ : www.cine-cool.com
23:03 Publié dans LTC KINEMA | Lien permanent | Tags : ciné-cool 2014, du samedi 23 août au samedi 30 août 2014, 4, 50€, pour tous les films, à toutes les séances, dans les salles participants, et hors majoration3d, le film franco-belge, à voir en vost (anglais), "une promesse", réalisé par patrice leconte, l’ouvrage de stefan zweig "le voyage dans le passé" (paru aux ed, paris), rebecca hall, richard madden, alan rickman, romantisme, jean dorval our ltc kinéma, ltc kinéma, the best offer, le film, la migliore offerta, giuseppe tornatore, le réalisateur et scénariste, geoffrey rush, sylvia hoeks, jim sturgess, donald sutherland, olomon northup : un homme (libre) rendu esclave pendant 12 ans, vost, 12 years slave, de steve mcqueen ii, avec, chiwetel ejiofor, michael fassbender, brad pitt, lupita nyong'o, un film contre l'esclavage, le devoir de mémoire, pour la cause noire, nymphomaniac volume 1, rammstein, de lars von trier, actuellement sur nos écrans, "nymphomaniac (part i)", ou comment atteindre le point joe, lars von trier, charlotte gainsbourg, stacy martin | Facebook |
04/05/2014
"L’AMOUR (vrai) EST UNE PROMESSE éTERNELLE."
Le film franco-belge, à voir en VOST (anglais/ST. en français), "Une promesse", sorti le 16 avril 2014, en France, a été réalisé par Patrice Leconte. L’auteur (entre autres) des "Bronzés" en 1978 et de "Viens chez moi, j'habite chez une copine" en 1981, a changé de registre pour notre plus grand bonheur, avec autant de talent que pour ses précédents films. Il crée ainsi une œuvre dramatique et romantique à la fois, dont le scénario s’inspire directement de la nouvelle de Stefan Zweig "Le Voyage Dans Le Passé" (paru aux Editions Grasset et Fasquelle, Paris) ; coproduite par Olivier Delbosc, Geneviève Lemal et Marc Missonnier. Patrice Lecomte a écrit le scénario de cette Toile avec Jérôme Tonnerre. Le tout est agrémenté d’une musique originale signée Gabriel Yared. L’image très travaillée, quasi-photographique, est filmée par Eduardo Serra. Ce long-métrage sur l’Amour Passion est apparu sur les écrans du Festival international du Film d'Amour de Mons en Belgique, le 14 février 2014, le jour… de la Saint-Valentin.
UN TRIO D’ACTEURS DANS UN DéCOR (d'Opéra-Théâtre) SUR MESURE.
A la distribution de ce film, on trouve un trio d’acteurs fabuleux : la pulpeuse Rebecca Hall dans le rôle de la sensuelle Charlotte, "Lotte" Hoffmeister ; une actrice lancée en 2008 grâce au film de Woody Allen "Vicky Cristina Barcelona", dans lequel elle jouait déjà l'un des deux rôles titres. Richard Madden est Friederich Zeitz, "Her Zeitz" ; le Prince Charmant de la nouvelle version de "Cendrillon" qui sortira en 2015. Alan Rickman, quant à lui, incarne Karl Hoffmeister (le mari de Lotte). Il est connu pour avoir immortalisé le Professeur Severus Rogue dans la Saga Harry Potter, et joué Ronald Reagan dans "Le Majordome" de Lee Daniels. A la fin du tournage de ce chef-d’œuvre, Alan Rickman a confessé à Patrice Leconte, qu'après avoir joué dans ces deux grosses productions américaines, il avait perdu quelque peu le goût de jouer. Aussi, l’a-t-il serré dans ses bras en le remerciant de lui avoir redonné le goût du Cinéma. Et Patrice Leconte de préciser : "C'était mieux que si j'avais reçu la Légion d'honneur".
Le film a été tourné en grande partie en Belgique. Les scènes ferroviaires ont été filmées dans les gares de Carnières et de Binche, rebaptisée pour l'occasion "Oberhausen", et sur la ligne Binche-Clabecq. Des décors fabuleux ont aussi été dégotés au Château de Vervoz, chez le Baron Victor de Tornaco, notamment pour le bord de l'étang et le kiosque. Enfin, différents sites de la Région Wallone ont servi de cadre pictural au tournage de ce film, comme la Ville de Durbuy ou le Château de Thieusies. Un long-métrage qui a été nominé à la Mostra de Venise en 2013 dans la sélection hors compétition, et au Festival international du film de Toronto en 2013, dans la sélection "Special Presentations".
UNE PASSIONNANTE TRIANGULAIRE SENTIMENTALE.
L'action débute en 1912, en Allemagne, dans la Ruhr industrielle. Elle se prolonge au début de la Première Guerre mondiale, et se termine dans les années qui suivent ce monstrueux conflit aux balbutiements du nazisme. Transcendant la notion de classe sociale, la trame du film prend ses racines dans la relation amoureuse qui se tisse rapidement entre un jeune secrétaire particulier (le beau et novice Friederich, fraichement diplômé et d’origine modeste) et la jeune et très belle "Lotte" (une femme issue d'une bonne famille, aux lèvres charnues, au sourire ravageur, qui joue du piano, et dont les robes et les grands chapeaux sont un ravissement), l’épouse de son patron paternaliste (Karl Hoffmeister) ; un richissime industriel issu de la Bourgeoisie triomphante qui a réussi dans la sidérurgie. Âgé et cardiaque, Karl, se sentant mourir, forme progressivement Friedrich à sa succession, en le plaçant à la tête de son usine, et en le poussant volontairement dans les bras de… son épouse, en le faisant aménager dans son hôtel bourgeois. Le rapprochement qui s’opère entre Friedrich et Lotte devient alors un feu ardant sous-jacent, une coulée de laminoir sans fin issue de la gueule de Vulcain, une passion sentimentale exacerbée qui ne demande qu’à s’exprimer. Tout est feutré, mais… les regards et les frôlements de mains en disent long sur des sentiments en partage qui bouillonnent intérieurement. Le jeune homme prend au fur et à mesure de l’assurance, ce qui semble attiser la jalousie du mari qui vit leur idylle en gestation comme un témoin extérieur, mais… aux premières loges. Un film délicieux dont le scénario, qui monte crescendo, provoquera une rupture douloureuse de plusieurs années entre les amants, encore platoniques, comme pour mieux les éprouver. Alors, ils se feront une Promesse, celle de s’aimer, malgré l’éloignement, et de se retrouver au plus vite. Sauront-ils la tenir ? La Première Guerre Mondiale leur permettra-t-elle de se revoir ? Ce morceau d’anthologie sentimentale, qui se déroule à la Belle Epoque, invite le spectateur à le découvrir, à le vivre dans l’attente, le cœur haletant !
© Jean DORVAL, le 04 mai 2014, pour LTC Kinéma.
Source documentaire : http://fr.wikipedia.org
22:33 Publié dans LTC KINEMA | Lien permanent | Tags : le film franco-belge, à voir en vost (anglais), "une promesse", réalisé par patrice leconte, l’ouvrage de stefan zweig "le voyage dans le passé" (paru aux ed, paris), rebecca hall, richard madden, alan rickman, romantisme, jean dorval our ltc kinéma, ltc kinéma, the best offer, le film, la migliore offerta, giuseppe tornatore, le réalisateur et scénariste, geoffrey rush, sylvia hoeks, jim sturgess, donald sutherland, olomon northup : un homme (libre) rendu esclave pendant 12 ans, vost, 12 years slave, de steve mcqueen ii, avec, chiwetel ejiofor, michael fassbender, brad pitt, lupita nyong'o, un film contre l'esclavage, le devoir de mémoire, pour la cause noire, nymphomaniac volume 1, rammstein, de lars von trier, actuellement sur nos écrans, "nymphomaniac (part i)", ou comment atteindre le point joe, lars von trier, charlotte gainsbourg, stacy martin, nymphomane, stellan skarsqard, ltc kinéma annonce..., les trois frères, le retour, les inconnus, le festival cinéma télérama, c'est 3€ la place du 15 au 21 janvier 2014 | Facebook |
19/03/2014
"LES SALTIMBANQUES DE L’AMOUR HEUREUX."
Ma douce Amie,
Ma Muse
Ma chanson,
Notre chanson,
Parle de nos beaux jours,
De ces jours heureux,
Ceux de nos tendres baisers,
Qui même de loin nous poursuivent
© Photo ci-dessus : http://www.artistic-nude-images.com
Nous sommes une consolation l’un pour l’autre,
La ligne sensuelle à haut-débit animant tous nos songes
Tes lèvres merveilleuses
Me rappellent chaque jour combien nous nous aimons
En ta présence,
Je ne suis ni sombre, ni mesuré
Ta nudité m’habille de perfection
Je délire d’affection rien qu’en pensant à toi
Tu coules en moi comme une rivière
Je n’arrive pas à dormir quand tu n’es pas là
© Photo ci-dessus : http://www.artistic-nude-images.com
Je t’appartiens,
Sans toi, la terre n’a plus de couleurs,
Et le ciel s’obscurcit
Le dialogue muet de nos regards m’électrise,
Je demande ta main
Je suis comme un arbre,
Je te protège,
Et tu t’étends sous mon ombre
Je ne peux ignorer mon cœur,
Car tout vient de toi,
Dont je connais tout
© Photo ci-dessus : http://www.artistic-nude-images.com
Je ne pourrais jamais guérir de toi,
Et pourtant tu me guéris de tout
Tu es un Phare sentimental dans la nuit de la Vie,
Avec toi à mes côtés, l’Amour a enfin un sens,
Je ne peux jamais totalement m’en rassasier
Tu ouvres mon esprit,
Comme on ouvre une porte fermée,
Que l’on croyait définitivement condamnée
Ballade du temps présent,
Je t’offre à la criée mes sentiments en exclusivité,
Je vis l’Instant pour toi,
Et seulement avec toi
© Photo ci-dessus : http://www.artistic-nude-images.com
Laura, ma belle Lorraine,
Ta sensualité grandeur nature me rend enfin mature,
Ton Amour est mon Maître,
Je renais en toi à volonté pour mieux te servir
Je mords doucement tes cheveux,
Je baise ta bouche aimante,
Je pétris tes seins avec délicatesse,
Tes mamelons se dressent comme deux sentinelles
© Photo ci-dessus : http://www.docteurdiacakis.com
Tu regardes mes yeux,
J’embrasse ta peau, comme on dévore un rêve,
Je ne peux me lasser de ta passion,
Sous la pluie, nous sommes plus chauds que la braise
Il me faut autant d’Amour que de beauté,
Et tu combles toutes mes attentes
Ma gloire tout entière est pour toi,
Que tu es jolie, que tout me semble délicieux en ta présence,
J’ai mis la main sur ton cœur,
Et j’écoute ta tactique hardie
Capitaine au long cours, ivre de toi,
Je t’ai prise sur mon navire qui chavire,
Tu es mon Inde exilée,
Avec toi, je ne crains pas la trahison
© Photo ci-dessus : http://www.artistic-nude-images.com
Frapper à mon cœur,
C’est frapper dans le beau,
Avec toi, j’entends le Ciel,
Et j’y monte pour toujours en ta plaisante compagnie
© Jean DORVAL, le 14 mars 2014, pour LTC Poésie.
18:25 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : "les saltimbanques de l’amour heureux.", les phares, charles baudelaire, "la fiancée aux seins nus.", arne mattson, "elle n’a dansé qu’un seul été.", le film, edvin adolphson, ulla jacobsson, john elfström, drame, romance, göran, kerstin, entement toi et moi, « le chant de sanaa. », poésie, inspiré de la poésie humaynî du yémen, mais en vers libres, tihāma, yémen, femme yéménite, évidence, la rose mauve, une hirondelle fait mon printemps, melin de saint-gelais, poésie renaissance, renaissance, joachim du bellay, danse avec moi cette nuit, ltc, la tour camoufle, jean dorval, jean dorval pour ltc, coupe du monde de football, amour, romantisme, centre pompidou-metz | Facebook |
19/02/2014
"LES PHARES" (in "Les Fleurs du Mal", 1857) DE CHARLES BAUDELAIRE, SOURCE D'INSPIRATION POéTIQUE (de la nouvelle expo) DU CPM...
Rubens, fleuve d'oubli, jardin de la paresse,
Oreiller de chair fraîche où l'on ne peut aimer,
Mais où la vie afflue et s'agite sans cesse,
Comme l'air dans le ciel et la mer dans la mer ;
Léonard de Vinci, miroir profond et sombre,
Où des anges charmants, avec un doux souris
Tout chargé de mystère, apparaissent à l'ombre
Des glaciers et des pins qui ferment leur pays,
Rembrandt, triste hôpital tout rempli de murmures,
Et d'un grand crucifix décoré seulement,
Où la prière en pleurs s'exhale des ordures,
Et d'un rayon d'hiver traversé brusquement ;
Michel-Ange, lieu vague où l'on voit des Hercules
Se mêler à des Christs, et se lever tout droits
Des fantômes puissants qui dans les crépuscules
Déchirent leur suaire en étirant leurs doigts ;
Colères de boxeur, impudences de faune,
Toi qui sus ramasser la beauté des goujats,
Grand coeur gonflé d'orgueil, homme débile et jaune,
Puget, mélancolique empereur des forçats,
Watteau, ce carnaval où bien des coeurs illustres,
Comme des papillons, errent en flamboyant,
Décors frais et légers éclairés par des lustres
Qui versent la folie à ce bal tournoyant ;
Goya, cauchemar plein de choses inconnues,
De foetus qu'on fait cuire au milieu des sabbats,
De vieilles au miroir et d'enfants toutes nues,
Pour tenter les démons ajustant bien leurs bas ;
Delacroix, lac de sang hanté des mauvais anges,
Ombragé par un bois de sapins toujours vert,
Où, sous un ciel chagrin, des fanfares étranges
Passent, comme un soupir étouffé de Weber ;
Ces malédictions, ces blasphèmes, ces plaintes,
Ces extases, ces cris, ces pleurs, ces Te Deum,
Sont un écho redit par mille labyrinthes ;
C'est pour les coeurs mortels un divin opium !
C'est un cri répété par mille sentinelles,
Un ordre renvoyé par mille porte-voix ;
C'est un phare allumé sur mille citadelles,
Un appel de chasseurs perdus dans les grands bois !
Car c'est vraiment, Seigneur, le meilleur témoignage
Que nous puissions donner de notre dignité
Que cet ardent sanglot qui roule d'âge en âge
Et vient mourir au bord de votre éternité !
© Photos : Pablo Picasso extraits du "Rideau de scène pour le ballet Mercure, 1924" ; et Centre Pompidou-Metz, représentation de quelques parties du bâtiment, reproduites avec l’aimable autorisation de Shigeru Ban Architects et Jean de Gastines Architectes.
INFO+ : http://baudelaire.litteratura.com/
& http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Baudelaire
http://www.centrepompidou-metz.fr/phares
01:30 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : les phares, charles baudelaire, "la fiancée aux seins nus.", arne mattson, "elle n’a dansé qu’un seul été.", le film, edvin adolphson, ulla jacobsson, john elfström, drame, romance, göran, kerstin, entement toi et moi, « le chant de sanaa. », poésie, inspiré de la poésie humaynî du yémen, mais en vers libres, tihāma, yémen, femme yéménite, évidence, la rose mauve, une hirondelle fait mon printemps, melin de saint-gelais, poésie renaissance, renaissance, joachim du bellay, danse avec moi cette nuit, ltc, la tour camoufle, jean dorval, jean dorval pour ltc, coupe du monde de football, amour, romantisme, centre pompidou-metz | Facebook |
10/02/2014
"LA FIANCéE AUX SEINS NUS." (1)
Extrait du film : "Elle n'a dansé qu'un seul été."
A ma Muse.
Ma tendre Aimée,
Mon bel Amour,
La liberté, elle-même,
Ne pourra jamais être aussi généreuse que nos rêves
C’est l’été !
Donne-moi la main,
Et ensemble allons près du lac argenté
Aimons-nous autant que le temps qui passe
Baissons nos regards
Pour mieux vaincre notre timidité
Et dans un embrun de passion, en noir et blanc,
Fusionnons nos âmes
Ta petite robe défaite dans l’obscurité
Se fait l’écho
De tes cheveux et de tes yeux foncés
Nos esprits se prononcent,
Sans discontinuité,
Des mots doux à l’oreille
C’est le temps des moissons
Embrassons-nous chaque jour un peu plus
Voici le banc de nos premiers sourires
Celui de l’été campagnard qui n’en finit pas
Comme on travaille la terre,
Notre lumière éclaire ton front,
Chérit nos corps à volonté
En cette veille de la Saint-Jean
Nos lèvres s’épousent joyeusement
Dansons toute la Vie l’un contre l’autre
Pour voir un autre extrait du film "Elle n'a dansé qu'un seul été" :
http://www.cinetrafic.fr/arne-mattsson
Mes yeux dans les tiens,
Ta tête sur mon épaule,
Le présent nous dévore
Bouquet de fleurs des champs,
Pluie de petits baisers,
Ma belle ces fleurs là
Vivront toujours dans nos cœurs,
Ce sont celles pour qui
On quitte tout par bonheur
Allongés en tête à tête dans les herbes folles,
Ta poitrine nue attise en moi
Un feu Grand Format
A couper le souffle
L’un en l’autre,
Nous ne sommes plus invisibles,
Nos empruntes s’évaporent
Pour ne plus jamais se séparer
Joli brin de femme
Auprès de toi, je fonds comme de la cire
Il y aura d’autres fleurs
Pour toi, mon toit
Le tonnerre se rapproche,
Toi aussi,
Embrasse-moi Ô Claire de Lune
Au grand jour, comme dans la nuit,
Je te regarde comme personne d’autre,
Ton corps prolonge le mien
Viens ma doulce Amie te coucher près de moi
En une seconde, nous sommes déjà au-delà de nos ombres
Il nous faut nous aimer vivants comme si demain n’existe pas
Bien aimer, c'est follement aimer,
Nos cœurs immortalisent, comme pour la première fois,
Notre Amour en partage
Ce pas continu fait l’un vers l'autre,
L’un pour l’autre
© Jean DORVAL, le 10.02.2014, pour LTC Poésie.
Note : (1) D’après le très beau film d’Arne Mattson "Elle n’a dansé qu’un seul été."
INFO+ : http://fr.wikipedia.org/wiki/Elle_n'a_dansé_qu'un_seul_été
23:32 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : "la fiancée aux seins nus.", arne mattson, "elle n’a dansé qu’un seul été.", le film, edvin adolphson, ulla jacobsson, john elfström, drame, romance, göran, kerstin, entement toi et moi, « le chant de sanaa. », poésie, inspiré de la poésie humaynî du yémen, mais en vers libres, tihāma, yémen, femme yéménite, évidence, la rose mauve, une hirondelle fait mon printemps, melin de saint-gelais, poésie renaissance, renaissance, joachim du bellay, danse avec moi cette nuit, ltc, la tour camoufle, jean dorval, jean dorval pour ltc, coupe du monde de football, amour, romantisme, centre pompidou-metz | Facebook |
05/02/2014
"LENTEMENT TOI ET MOI."
© Photo ci-dessus : http://pixelexion.free.fr
A ma Muse.
Mon Amour
Lentement ta beauté
Me fait renouer avec l’Instant même
J’ai envie d’honorer ta verte prairie
Comme on sème le bon grain dans une plaine fertile
Tu es plaine de promesses et d’allégresse
Je suis à deux doigts de l’emprise
Et je ne peux lâcher prise
Tu m’inondes d'une plénitude en partage
J’inonde à ta suite l’Instant présent
Nous tutoyons ensemble lentement la Petite Mort
Transport collectif en In et Out
Lecteurs de cœur à cœur en corps à corps
Musique de l’âme qui fait s’élever le vent
Comme hypnotisé,
A chaque Vie à tes côtés,
Je suis celui qui sait te trouver,
Celui qui sait te retrouver
Jamais lassé de ton aide câline
Refaisant toujours le chemin de ton cœur
Je suis esclave de l’altitude de ta magnitude
Sans changer de repère, j’atteins ta source
© Photo ci-dessus : http://pixelexion.free.fr
Nu féminin zébré sur le dos par Lucien Clergue.
Peu m’importe le temps qui passe,
J’ôte tes vêtements avec fougue
Comme on déshabille un premier rendez-vous
J’investis ton intimité
Sans fin, je te remonte comme le ressort d’une montre
Tu es mon tourbillon d’émotions
Celui qui éblouit mes yeux brouillés de plaisir
Avec Toi,
Mon fil conducteur,
Mon cœur fonctionne au courant alternatif-continu
Avec Toi,
Mesure du Désir,
Le temps s’abandonne,
Dialogue avec le petit matin
Et le grand soir réunis
Tu es mon unique demeure
Avec Toi, je ressens l’infini
Avec Toi, je suis
L’Amour est un prétexte
Pour rejoindre sur le toit du monde
Le vol des oies sauvages
Les beaux jours rejoignent nos bouches
Enlacées dans les herbes folles
La Création, seule, entend nos paroles
Aux pieds des arbres,
Chargé du parfum des bourgeons et des fleurs,
Le vent se fraye un chemin entre nous
© Photo ci-dessus : http://pixelexion.free.fr
Nu féminin zébré par Lucien Clergue.
Parfaite joie, plaisante et tendre,
Il n'est au monde de plus charmante offrande que tes bras
L’horloge sonne trois coups
Au moment de notre rêve éveillé
Seuls au monde,
Nous partageons la blancheur de nos nuques dénudées
Ce régal comble nos yeux devenus fous
Nous prononçons des mots si précieux,
Tout bas et si haut à la fois,
Que nos âmes, depuis ce temps, en tremblent,
Et s'étonnent encore
© Jean DORVAL, le 05.02.2014, pour LTC Poésie.
00:52 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : lentement toi et moi, « le chant de sanaa. », poésie, inspiré de la poésie humaynî du yémen, mais en vers libres, tihāma, yémen, femme yéménite, évidence, la rose mauve, une hirondelle fait mon printemps, melin de saint-gelais, poésie renaissance, renaissance, joachim du bellay, danse avec moi cette nuit, ltc, la tour camoufle, jean dorval, jean dorval pour ltc, coupe du monde de football, amour, romantisme, centre pompidou-metz | Facebook |
09/12/2013
"LE CHANT DE SANAA."
Inspiré de la poésie Humaynî du Yémen, mais en vers libres…
A ma Muse.
Des hauts plateaux de Sanaa,
Jusqu’aux plaines côtières de Tihāma,
J’entends chanter l’aigle noir de tes yeux
Mon Aimée,
Nous sommes deux Anges,
Au sommet du Monde
Je te dédicace mon plus bel Amour,
Celui qui rend heureux seulement les Immortels
Le plaisir de te voir me tourmente d’aise,
Et je t’avoue ma Passion pour Toi
Toi et moi,
Laissons s’écouler le torrent de nos larmes de joie,
Cet impétueux cours d’eau qui nous envahit perpétuellement,
Et soudainement,
Pour mieux fêter nos retrouvailles continuelles,
Sauvages et vierges comme la Nature
Mon visage s’illumine, le tien s’irradie,
Quand nous nous approchons l’un de l’autre
Je rougis quand je parle de Toi,
Je perds tous mes moyens en ta présence
Tu es perdu sans moi,
Et tu me retrouves dans la ferveur partagée
Avant de te connaître,
Je composais déjà pour Toi
L’Harmonie de mes lettres dédiées,
S’inscrit au creux de tes mains
Tu es la Belle au bijou (celui que je t’ai offert),
Affolant le Croissant de Lune,
Rendant jaloux jusqu’au Soleil sur l'horizon
La chaleur humide de ta langue,
La caresse de tes yeux,
La douceur de ta chevelure noire,
Me rendent confiant
J’adore ton corps céleste,
Il me transpose vers l’Ailleurs
Ma passion pour Toi est un Art,
Depuis que j’ai bu au nectar de ton sourire,
Mon cœur brûle pour Toi
Nos yeux noyés de larmes de soie
Sont les affluents d’un fleuve,
Le nôtre,
Abreuvant sans retenue nos joues purifiées
Je bois ton âme sans jamais en être rassasié,
Tu te régales de la mienne sans fin
Au son des rires,
Tu es mon réchauffement climatique,
Face à toi mon cœur fond
Tu es le feu de mon doux tourment,
Mon médecin et la cause de mon état second,
Mon cœur repose en ta main
Toi dont la bouche est de nacre éclatante,
Tandis que tu ris et m’éblouis,
Mon cœur s’embrase
Enchanteresse, je te dévoile,
Mes larmes coulent toujours de joie,
Les tiennes aussi
Il nous suffit d'imaginer pour tout vivre
Que faire contre le destin ?
Quel refuge trouver ?
Si ce n’est celui de nos bras ?
Je crois en Toi,
Jusqu'à arriver à l’Origine de tout
Troublante est la Vie,
Qui chavire et s’envole
A fleur de peau,
Le frisson électrise tout notre être,
Se perd et se retrouve volontairement
Notre Alliance est vivante,
Tu es désormais ma demeure,
Je suis ton toit
Comme sorti du plus beau des boutons de rose,
La Promesse éternelle partagée éclôt comme un petit enfant vient au Monde
© Jean DORVAL, le 08.12.2013, pour LTC Poésie.
01:04 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : « le chant de sanaa. », poésie, inspiré de la poésie humaynî du yémen, mais en vers libres, tihāma, yémen, femme yéménite, évidence, la rose mauve, une hirondelle fait mon printemps, melin de saint-gelais, poésie renaissance, renaissance, joachim du bellay, danse avec moi cette nuit, ltc, la tour camoufle, jean dorval, jean dorval pour ltc, coupe du monde de football, amour, romantisme, centre pompidou-metz | Facebook |
18/11/2013
« EVIDENCE. »
© Photo ci-dessus : http://songeunevie.centerblog.net
A ma Muse, car le jour sait ce qu'il doit à la nuit...
Porté par l'allégresse et la douceur de vivre,
Il n'est pas de hasard, point de coïncidence,
On marche vers son destin,
Avec au fond de soi,
L'intuition merveilleuse révélant le plus profond de notre âme
Firmament de l’oraison
D’où jaillit la lumière,
Ô féminine constellation de prose,
Prologue à l’unisson,
Depuis le divan, j’invoque ton nom
© Photo ci-dessus : http://s.billard.free.fr
Je m’abandonne en pensant qu’à tout moment,
Il faut remercier ta félicité,
S’abreuver au nectar du plaisir,
Ressentir l’envol du désir
Sous la voûte scintillante libre est la raison,
Assieds-toi ma destiné sur les bords du ruisseau,
Pour voir s’écouler la Vie ;
Là, flottant sur l’eau vive et claire,
Tu deviens ma passagère au long cours
En faisant resplendir les heures,
Partageons le sang de l’éternel printemps,
Le vin du renouveau ;
Buvons et embrassons-nous à grandes lampées,
Et aux limites de l’azur,
Retenons la nuit comme on retient
Une porte menant à une autre dimension
Tels des oiseaux,
Nous nous sommes cherchés, trouvés et choisis,
Et jusqu’au dernier jour de la Création,
Nos lèvres se partageront cette mélodie
La rosée du matin épouse nos draps,
Tu te réfugies dans mes pensées,
Je suis confondu par ta beauté,
Tes mots délivrent mon cœur
© Photo ci-dessus : http://unepenseedesmots.centerblog.net
J’explore ton cosmos, perdu d’infinité ;
Nous étions des boutons de rose mi-éclos,
Nous sommes devenus l’air vivifiant
La nature s’hypnotise de ta volupté,
Le Lac des Sources offre de nouveau au soleil tout son éclat,
Le goût de la pluie a changé,
L’herbe verte s’est couchée sous tes pas,
Les branches du saule se sont élevées, épousant le ciel,
Les narcisses se parfument de ta voix,
La danse de ton ventre rend les hirondelles joyeuses
© Photo ci-dessus : http://www.galileo-web.com
Je clame mon Amour pour Toi sur le Toit du Monde,
Je chéris notre existence particulière au creux de tes bras,
Je ne veux en aucun cas couper le lien que tu tisses vers moi,
Toutes les particules de mon corps t’appartiennent, irradient pour Toi
Je t’offre un petit bouquet d’églantine,
La bise du jardin apporte le salut
Je suis amoureux de l’étoile du matin,
Des nuages errants, des jours pluvieux et ensoleillés,
De ta longitude souhaitée et trouvée
De nos deux prénoms n’en faisons qu’un !
© Photo ci-dessus : http://carbase.info
Porté par l'allégresse et la douceur de vivre,
Il n'est pas de hasard, point de coïncidence,
On marche vers son destin,
Avec au fond de soi,
L'intuition merveilleuse révélant le plus profond de notre âme
© Jean DORVAL, le 17 novembre 2013, pour LTC Poésie.
21:18 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : évidence, la rose mauve, une hirondelle fait mon printemps, melin de saint-gelais, poésie renaissance, renaissance, joachim du bellay, danse avec moi cette nuit, poésie, ltc, la tour camoufle, jean dorval, jean dorval pour ltc, coupe du monde de football, amour, romantisme, centre pompidou-metz | Facebook |
14/11/2013
"LA ROSE MAUVE."
© Photo ci-dessus : http://roserosae.centerblog.net
A ma Muse.
Ma souveraine conquise,
Je suis éternellement ton mendiant,
Le mendiant de tes baisers,
Le passant de tes dunes et lunes indomptées
Ma souveraine éprise,
Pour me guérir,
Je désire le meilleur de tes remèdes :
Ta douce voix !
Ma souveraine soumise,
Dessine-moi encore et toujours ton sourire,
Dénoue ma délivrance d’une simple caresse,
Tes petits seins pommelés ravivent mon ivresse
© Photo ci-dessus : http://karineimages.centerblog.net
Ma bien-aimée,
Ô Toi, mon songe animé,
Mon Amour à tout jamais révélé,
Matin et soir,
Je me repais de ton sanctuaire
Je suis ton unique cavalier,
Et ma langue fougueuse déifie ton âme
Avec Toi, je découvre et redécouvre le sublime,
Je touche l’au-delà de tes yeux,
J’investis l’inaccessible festin familier
Viens mon Amour,
Mon cœur, ton cœur,
Celui que nous partageons à deux,
Bat à tout rompre
Je t’enlace comme une vigne fertile
Que l’on préserve jusqu’aux vendanges tardives
Il est minuit,
Et notre couverture s’est consumée à l’envie
© Photo ci-dessus : http://roserosae.centerblog.net
A l’endroit, à l’envers, consommés tout entiers,
Nous resplendissons dans la nuit,
Tels des feux follets devenus incontrôlables
Nous sommes le chant, la musique et la danse brassés en une unique rime,
Une mélodie de l’ardeur aux accents réguliers scandée sans fin
© Jean DORVAL, le 14 novembre 2013, pour LTC Poésie.
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14/10/2013
« UNE HIRONDELLE FAIT MON PRINTEMPS. »
.
Hirondelle qui fait mon Printemps,
Fille aux noirs cheveux, aux yeux bleus papillons,
Tu enivres nos nuits blanches,
Le soleil sous tes paupières closes irradie
Tutrice de nos nuits,
Je t'enlace de mes bras conquérants,
Grâce à Toi, nous flottons au dessus de notre lit,
Livrés et délivrés
Ta bouche,
Petit fruit pulpeux rouge,
Offrande coquine,
En parfaite mendiante réclame mes lèvres
Bourgeon candide, Tu es un Amour d’écolier,
Tes yeux domptent mes heures,
Ensemble, il nous faut chaque jour réinventer la Tendresse
Là où l’eau devient la Lumière,
Nos mains se croisent,
L’air, la terre et le feu sont nos enfants
.
Je tiens ton visage dans mes mains et je l’embrase,
Je suis le trait filant sur ta peau,
J’y dessine des routes nouvelles
Quand tu ouvres ton corsage,
Je suis éperdu de détresse,
C’est le commencement d’une caresse
La nuit est infinie,
Je t’aime sans compter,
Dans la paume de ta main se lie notre destin
© Jean DORVAL, le 14.10.2013, pour LTC Poésie.
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01/08/2013
« FANAGE VOLAGE. »
© Photo ci-dessus : http://www.poisoncentre.be/article.php?id_article=147
Tout bouge, tout change, tu es dans ma vie
J’ai dans les yeux, dans les mains, l’envol de tes caresses
Les racines de mon âme se fondent en ta flamme maîtresse
Sans Toi rien n’aurait plus d’importance
Sur les berges de ton infinité, je dessine une mèche à allumer à deux
Susceptible émoi prêt-à-luire, intime veilleuse de féminité
J’ai tellement besoin de t’aimer que mon cœur trépide d’impatience
Comme un grand feu qui me redresse, tu t’amuses à me consumer
© Photo ci-dessus :
http://lh6.ggpht.com/_bV7cffp1jlA/S9xd0PXBJDI/AAAAAAAAYpg/iArTmNAxO74/P1040984.JPG
Ta chair garde l’emprunte secrète d’un soir naissant jusqu’au matin
Je cueille le blanc muguet dans tes sous-bois aux aguets
Je m’attribue le temps pour mieux te rêver, te suspendre à mes fièvres
Je dédie tes mots au Printemps, tu es une queue de comète qui passe en plein ciel
Offre-moi ton pouvoir de surprendre le vent
J’adore ton premier souffle, celui du matin
Et quand glisse mon drap protecteur, voile fidèle d’émotions
Tu captes mon désir comme on prie
© Photo ci-dessus : http://www.poisoncentre.be/article.php?id_article=147
Chaque heure me rapproche de toi et pourtant je suis si loin
Je m’absente en pensée, j’investis ta déraison
Ton insolence est reine, et au plus fort du poème je me noie en toi,
Combler de tes grâces, fragile sans qu’il y paraisse
Tu sacres mon existence comme une fête rebelle
A la floraison, je ravive la grande aiguille de ton horloge
Je suis le pèlerin qui parcourt ton ultime étape magnétique
Agile destinée, sanglots épanouis
© Jean Dorval, le 04 avril 2011, pour LTC Poésie.
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22/06/2013
« LA NAISSANCE DE TON TEMPS. »
© Photo ci-dessus :
http://www.fureurdesvivres.com/images/fdv32_maurice1_3ble_dur.jpg
A ma muse…
Ce vent qui va inspirant ton désir
Oscillant de dune en dune sur ton corps
Parcourant ton regard d’amande en amande
Il goûte la pluie de tes yeux
Il se gorge de la vie, de ta vie
Rase le fil de l’eau à la naissance de ta bouche
Se glisse sous ta langue accueillante tel un pont sur ton âme
Au sortir comme un cri venant du cœur, il s’ébroue tendrement le long de ton cou
Il se redresse avec tendresse caressant tes longues tresses
Il vogue sur la plaine fertile de ton ventre
Ondule les sublimes moissons de tes plaines dorées
De la rose qui s’épanouit à l’origine du Monde,
Il cueille le parfum d’innocence
D’où mystère et volupté exhalent
Ce vent joueur d’arpèges œuvre sur les cordes de ta harpe infinie
Faisant vibrer l’harmonie de tes sens jusqu’à la tombée de la nuit
Muse éveillée quand monte l’ardeur
Tu veilles sur les semailles
Du levant au couchant tu es fécondée, creuset d’or et de miel
Ta porte vers le soleil resplendit sans limites
C’est le temps de l’éternelle fête
Des promesses en écoutant tes rêves
C’est ton temps, celui de ta renaissance
© Jean Dorval, pour LTC Poésie, le 02 février 2011.
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