16/04/2014
"LA FLEUR DU MâLE."
"A." - Ma Muse.
Dans la nuit brune de ta chevelure,
Sur ton front repu d’émotions,
Je voyage au fil du temps qui passe,
Je suis dans tes pensées,
Et tu occupes tout mon esprit
Tu es Phœbé à la couronne d'or,
Le corps beau libre passant,
La bombe incandescente qui me ranime
Que tu es belle quand tu me souris,
Quand la joie s’envole de ta bouche,
Comme un papillon bleu
Alors à tire-d’aile, je chante ma Victoire pour toi,
Celle de t’avoir mise à nue pour ma plus grande gloire,
Je baise tes pieds, tes longues jambes,
Toute l’avant-garde de mon désir pour toi
Tu es mon rêve éveillé,
Mon océan bouleversé,
Ma tanière coquine,
Pour qui je chante sans cesse ce refrain insensé
Partageons ce baiser à deux,
Ce baiser pour deux,
Embrassons-nous à tout moment,
Pour mieux ressentir l’écume des jours
Je mets mes mains mouillées sur tes hanches,
Afin d’y faire couler une eau fraîche et limpide,
Jusqu’à tes limites intimes
Ma Belle,
Comme on rallume un Soleil,
Au cours de ma demande en épousailles,
Je compte sur ta bonté,
Car sans modestie aucune, je t’aime
Mon étoile filante,
En écoute rapprochée,
Je suis le seul Abonné à ton cœur,
J’adhère à ta LoveBoxe
Avec toi, je réapprends à cultiver un bonheur simple,
Et de notre grand lit-créateur,
Nous parcourons le Nouveau Monde,
En renouvelant notre découverte
Du bout de mes lèvres, je suis le berger de tes soupirs,
Je me grise à volonté,
De ta peau brûlante et de ta douceur gourmande,
De ton charme profond, magique,
Comme au buffet de l’Eternité
© Jean DORVAL, le 15.04.2014, pour LTC Poésie.
Crédit photos : © http://www.artistic-nude-images.com
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15/04/2014
"JE SUIS CELUI QUI MURMURE à TES OREILLES."
"A." - ma Muse,
Je suis celui qui murmure
A tes oreilles des mots doux,
Ceux que tu attends
Depuis que je te connais,
Le souffle de l’envol retrouve son rythme,
L’aube a un nouveau zéphyr,
L’aube a un nouveau sourire
Sous les nuages argentés,
Le lit du torrent de la Vie,
Nous porte l’un vers l’autre
Quand la nuit s’enfuit,
Glissons à l’unisson sur les flots argentés,
Sans retenue
Vertiges d’allures lascives,
Femme d’accords majeurs,
Tu réjouis tout mon être-chair
Moissonnons ensemble le vivant,
Brassons le merveilleux, l’éphémère renouvelé,
Vainquons jusqu'aux déserts arides
Aux coups redoublés du vent,
Tombons, main dans la main,
Afin de mieux ressentir l’abîme du désir
Tu es le fruit charnel,
Savouré du bout des yeux, puis des lèvres,
Mordu à pleines dents
© Photo ci-dessous : http://dessintraitdunion.net
La voile libre de notre bateau ivre drape l’horizon,
Nos sens ne sont plus vagues,
Ce sont des embruns déchaînés, le flot échoué sur la grève
Nous sommes la Voix de la déraison,
Rien ne peut arrêter l’instant présent,
Ni le partage de la folle passion
J’embrasse ta bouche,
Comme on va à la cueillette aux baisers
Chaque jour, bercé par l’émotion,
Je me blottis entre tes seins, comme pour mieux renaître
Mon cœur est plein de vers qui osent tout pour toi,
Tu es la Dame de mon cœur,
Celle qui me consume de l’intérieur
Ton miel est un don,
Je touche ta Lumière du bout du doigt
Tu fais éclore le soleil aux aurores,
Alors, le jour ruisselle comme enfanter par toi,
Tu répares le Monde d’un coup de baguette de Chef d’orchestre,
Et rajeunis à perpétuité mon Amour pour toi
Alternativement,
Tu me rends feu de Joie,
Tout feu de toi !
Le long de l’escalier menant à notre couche,
J’allume pour toi un cierge dédié à l’Amour,
Un Phare dans la nuit câline,
Ce feu sacré caresse ton corps que je parcours dans le clair-obscur
Ma flamme rampe, lèche ton corps,
Scintille jusqu’à la pointe de tes seins,
Nos bras épousent l’Univers,
De magiques spirales mêlent nos empruntes
Nos soupirs allument la voûte stellaire,
Ravivent les braises de l’Éternité,
Nos voix ne sont plus faibles,
Elles clament le renouveau du Printemps
Nous sommes les voyageurs de Saturne,
Qui se cherchent, se recherchent,
Et s’atteignent finalement toujours
Nous sommes les Amants de la Tendresse,
Les voyageurs de nocturnes transports,
Qui signent sous le regard des Anges,
Leurs plus belles lettres de faiblesse,
Leurs plus beaux mots d’allégresse
Nous ne pouvons réaliser notre salut,
Qu’en entrant l’un dans l’autre
Au temple de nos désirs,
Nos deux corps consacrés, réservés, se tutoient,
S’abreuvent à la source du frisson
Je suis celui qui murmure
A tes oreilles des mots doux,
Ceux que tu attends
© Jean DORVAL, le 13 avril 2014, pour LTC Poésie.
Crédit photos : © http://www.artistic-nude-images.com
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05/04/2014
"METZ VAUT BIEN UNE MESSE !"
La gare.
A la nuit tombée, il est des villes où souffle l’esprit....
Il est des cités qui tirent l’âme de la léthargie
Des lieux inspirateurs dont les cahiers de poésies s’enrichissent
Des lieux aux « vers luisants »
Où il n’est point de déracinés
Comme aux jardins sur l’Oronte
Montage-photos messin en UB-2.3.0.
D’un élan passionné, je l’affirme
Metz la nocturne vaut bien une messe
Saint-Etienne dévoile alors ses Chagall luminescents
Et le « Sculpteur de Lumière » Yan Zoritchak l’indécent,
de Saint-Pierre-aux-Nonnains s’en fait l’écho effervescent
La nonchalance estivale invite à de douces promesses
La gare suite...
Sur des flancs millénaires baignés par la Moselle
Que l’on aperçoit de la Butte Sainte-Croix
Se reflète un clair de Lune lascif
Esquissant à la dérive une fluide Demoiselle
Aux charmes rendant possessif
Le CPM de nuit.
Conteuse de mémoires, Metz la tolérante,
Harmonieuse confrontation d’Histoire dérisoire
Hors de tes remparts tu fus jadis errante
Mais bien vite abolis furent tes souvenirs illusoires
Suivez les ballons dirigeables...
Bleutées comme l’étoffe partagée de Saint-Martin
Tes eaux révélées du Port Saint-Marcel
Forment l’encre inspiratrice de la plume de Verlaine
Berceau limpide des « Fêtes galantes » ou de la « Sagesse »
Les poètes maudits en ton sein furent inscrits
Un des Chagall de la Cathédrale Saint-Etienne de Metz...
La maison de Rabelais
Nous rappelle qu’en guise de bonnes victuailles
Pantagruel aurait bien fait ripaille de notre bonne vieille « tot’prête »
A l’Opéra-Théatre belle lotharingienne
Donne nous comme à l’Amphithéâtre jadis
Notre verbe et nos entrechats quotidiens
Même si pour cela, en Fournirue, nous devions en perdre « les têtes »
Rencontre du 3ème type, Place Saint-Louis...
De la Fête de la Musique ton Arsenal comme tes Rues résonnent encore
Et tu nous pousses jusqu’à l’aurore
Quand de la Place Jeanne d’Arc coule la bière blonde couleur d’or
Aux Trinitaires, Sainte-Ségolène jure de son innocence alors
A la Fête Nationale ton ciel s’illumine de bouquets tricolores
Et de beaux artifices resplendissent
Metz-Etincelle, tu portes ton habit de poussière de comètes en ©Technicolor
Et les messin(e)s sous le charme t’applaudissent
Le temple neuf.
Tandis que de gerbes cristallines vieilles de quarante ans
Tu t’animes mutine
Exhaussant nos prières
Du Lac aux Cygnes, tu contes tes opalines
Et non loin de là, ton Corso parade multicolore
Comme au plus sublime soir du Carnaval de Venise
L’exubérance fleurie insuffle l’âme au décor
Et du haut de l’écrin le plus beau
L’Elue sucrée et tentatrice du panier choyé des Mirabelles,
Fruit défendu, dévoile ses charmes, ceinte de ses dauphines
Les quais de la Moselle au centre ville.
Tout âge portant ses fruits
Il est grand temps pour nous de les cueillir
Ces Mirabelles là symbolisent l’éternel féminin
Le fruit entendu
Et au mai de l’automne
Ces pulpeux délices passeront la promesse des fleurs
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19/03/2014
"LES SALTIMBANQUES DE L’AMOUR HEUREUX."
Ma douce Amie,
Ma Muse
Ma chanson,
Notre chanson,
Parle de nos beaux jours,
De ces jours heureux,
Ceux de nos tendres baisers,
Qui même de loin nous poursuivent
© Photo ci-dessus : http://www.artistic-nude-images.com
Nous sommes une consolation l’un pour l’autre,
La ligne sensuelle à haut-débit animant tous nos songes
Tes lèvres merveilleuses
Me rappellent chaque jour combien nous nous aimons
En ta présence,
Je ne suis ni sombre, ni mesuré
Ta nudité m’habille de perfection
Je délire d’affection rien qu’en pensant à toi
Tu coules en moi comme une rivière
Je n’arrive pas à dormir quand tu n’es pas là
© Photo ci-dessus : http://www.artistic-nude-images.com
Je t’appartiens,
Sans toi, la terre n’a plus de couleurs,
Et le ciel s’obscurcit
Le dialogue muet de nos regards m’électrise,
Je demande ta main
Je suis comme un arbre,
Je te protège,
Et tu t’étends sous mon ombre
Je ne peux ignorer mon cœur,
Car tout vient de toi,
Dont je connais tout
© Photo ci-dessus : http://www.artistic-nude-images.com
Je ne pourrais jamais guérir de toi,
Et pourtant tu me guéris de tout
Tu es un Phare sentimental dans la nuit de la Vie,
Avec toi à mes côtés, l’Amour a enfin un sens,
Je ne peux jamais totalement m’en rassasier
Tu ouvres mon esprit,
Comme on ouvre une porte fermée,
Que l’on croyait définitivement condamnée
Ballade du temps présent,
Je t’offre à la criée mes sentiments en exclusivité,
Je vis l’Instant pour toi,
Et seulement avec toi
© Photo ci-dessus : http://www.artistic-nude-images.com
Laura, ma belle Lorraine,
Ta sensualité grandeur nature me rend enfin mature,
Ton Amour est mon Maître,
Je renais en toi à volonté pour mieux te servir
Je mords doucement tes cheveux,
Je baise ta bouche aimante,
Je pétris tes seins avec délicatesse,
Tes mamelons se dressent comme deux sentinelles
© Photo ci-dessus : http://www.docteurdiacakis.com
Tu regardes mes yeux,
J’embrasse ta peau, comme on dévore un rêve,
Je ne peux me lasser de ta passion,
Sous la pluie, nous sommes plus chauds que la braise
Il me faut autant d’Amour que de beauté,
Et tu combles toutes mes attentes
Ma gloire tout entière est pour toi,
Que tu es jolie, que tout me semble délicieux en ta présence,
J’ai mis la main sur ton cœur,
Et j’écoute ta tactique hardie
Capitaine au long cours, ivre de toi,
Je t’ai prise sur mon navire qui chavire,
Tu es mon Inde exilée,
Avec toi, je ne crains pas la trahison
© Photo ci-dessus : http://www.artistic-nude-images.com
Frapper à mon cœur,
C’est frapper dans le beau,
Avec toi, j’entends le Ciel,
Et j’y monte pour toujours en ta plaisante compagnie
© Jean DORVAL, le 14 mars 2014, pour LTC Poésie.
18:25 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : "les saltimbanques de l’amour heureux.", les phares, charles baudelaire, "la fiancée aux seins nus.", arne mattson, "elle n’a dansé qu’un seul été.", le film, edvin adolphson, ulla jacobsson, john elfström, drame, romance, göran, kerstin, entement toi et moi, « le chant de sanaa. », poésie, inspiré de la poésie humaynî du yémen, mais en vers libres, tihāma, yémen, femme yéménite, évidence, la rose mauve, une hirondelle fait mon printemps, melin de saint-gelais, poésie renaissance, renaissance, joachim du bellay, danse avec moi cette nuit, ltc, la tour camoufle, jean dorval, jean dorval pour ltc, coupe du monde de football, amour, romantisme, centre pompidou-metz | Facebook |
19/02/2014
"LES PHARES" (in "Les Fleurs du Mal", 1857) DE CHARLES BAUDELAIRE, SOURCE D'INSPIRATION POéTIQUE (de la nouvelle expo) DU CPM...
Rubens, fleuve d'oubli, jardin de la paresse,
Oreiller de chair fraîche où l'on ne peut aimer,
Mais où la vie afflue et s'agite sans cesse,
Comme l'air dans le ciel et la mer dans la mer ;
Léonard de Vinci, miroir profond et sombre,
Où des anges charmants, avec un doux souris
Tout chargé de mystère, apparaissent à l'ombre
Des glaciers et des pins qui ferment leur pays,
Rembrandt, triste hôpital tout rempli de murmures,
Et d'un grand crucifix décoré seulement,
Où la prière en pleurs s'exhale des ordures,
Et d'un rayon d'hiver traversé brusquement ;
Michel-Ange, lieu vague où l'on voit des Hercules
Se mêler à des Christs, et se lever tout droits
Des fantômes puissants qui dans les crépuscules
Déchirent leur suaire en étirant leurs doigts ;
Colères de boxeur, impudences de faune,
Toi qui sus ramasser la beauté des goujats,
Grand coeur gonflé d'orgueil, homme débile et jaune,
Puget, mélancolique empereur des forçats,
Watteau, ce carnaval où bien des coeurs illustres,
Comme des papillons, errent en flamboyant,
Décors frais et légers éclairés par des lustres
Qui versent la folie à ce bal tournoyant ;
Goya, cauchemar plein de choses inconnues,
De foetus qu'on fait cuire au milieu des sabbats,
De vieilles au miroir et d'enfants toutes nues,
Pour tenter les démons ajustant bien leurs bas ;
Delacroix, lac de sang hanté des mauvais anges,
Ombragé par un bois de sapins toujours vert,
Où, sous un ciel chagrin, des fanfares étranges
Passent, comme un soupir étouffé de Weber ;
Ces malédictions, ces blasphèmes, ces plaintes,
Ces extases, ces cris, ces pleurs, ces Te Deum,
Sont un écho redit par mille labyrinthes ;
C'est pour les coeurs mortels un divin opium !
C'est un cri répété par mille sentinelles,
Un ordre renvoyé par mille porte-voix ;
C'est un phare allumé sur mille citadelles,
Un appel de chasseurs perdus dans les grands bois !
Car c'est vraiment, Seigneur, le meilleur témoignage
Que nous puissions donner de notre dignité
Que cet ardent sanglot qui roule d'âge en âge
Et vient mourir au bord de votre éternité !
© Photos : Pablo Picasso extraits du "Rideau de scène pour le ballet Mercure, 1924" ; et Centre Pompidou-Metz, représentation de quelques parties du bâtiment, reproduites avec l’aimable autorisation de Shigeru Ban Architects et Jean de Gastines Architectes.
INFO+ : http://baudelaire.litteratura.com/
& http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Baudelaire
http://www.centrepompidou-metz.fr/phares
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14/02/2014
GEOFFREY CHAUCER : LE GRAND ARCHITECTE DE LA SAINT-VALENTIN.
Le vol en « V » des oies cendrées forme l'initiale de « Valentin ».
© Photo ci-dessus Les animaux et la mauvaise saison ; article consacré à l'oie cendrée).
"For this was on Seynt Valentynes day, Whan every foul cometh theere to chese his make (…)".
Ces délicieux vers de Geoffrey Chaucer, extraits du célèbre poème "The Parliament of Fowles" ("Le Parlement des Oiseaux"), écrits vers 1380, se traduisent ainsi : "Car c’était la Saint-Valentin, Et tous les oiseaux venaient se chercher une compagne (…)".
Geoffrey Chaucer (1342/43–1400) réuni dans ses vers les images de Printemps fleuri et la tradition voulant que les oiseaux se choisissent une compagne au Printemps pour décrire la Cour que Richard II faisait à l’époque à Anne de Bohème. Dans "The Parliament of Fowles" ("Le Parlement des Oiseaux"), il a également choisi Saint-Valentin comme Patron de ce Mariage, et mentionne pour la toute première fois ce Saint dans son Poème d’Amour. Par ailleurs, dans ce poème, on trouve aussi d’autres Symboles de l’Amour qui ont fini par être associés à la Saint-Valentin : Cupidon et Vénus. Chaucer donne ainsi naissance à la tradition des Poèmes d’Amour composés à l’occasion de la Saint-Valentin. Tout un Art, tout un Poème !
INFO+ : http://fr.wikipedia.org/wiki/Geoffrey_Chaucer
Et http://www.pierdelune.com/chaucer.htm
Source documentaire : http://www.museevirtuel-virtualmuseum.ca
00:10 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : geoffrey chaucer : le grand architecte de la saint-valentin | Facebook |
10/02/2014
"LA FIANCéE AUX SEINS NUS." (1)
Extrait du film : "Elle n'a dansé qu'un seul été."
A ma Muse.
Ma tendre Aimée,
Mon bel Amour,
La liberté, elle-même,
Ne pourra jamais être aussi généreuse que nos rêves
C’est l’été !
Donne-moi la main,
Et ensemble allons près du lac argenté
Aimons-nous autant que le temps qui passe
Baissons nos regards
Pour mieux vaincre notre timidité
Et dans un embrun de passion, en noir et blanc,
Fusionnons nos âmes
Ta petite robe défaite dans l’obscurité
Se fait l’écho
De tes cheveux et de tes yeux foncés
Nos esprits se prononcent,
Sans discontinuité,
Des mots doux à l’oreille
C’est le temps des moissons
Embrassons-nous chaque jour un peu plus
Voici le banc de nos premiers sourires
Celui de l’été campagnard qui n’en finit pas
Comme on travaille la terre,
Notre lumière éclaire ton front,
Chérit nos corps à volonté
En cette veille de la Saint-Jean
Nos lèvres s’épousent joyeusement
Dansons toute la Vie l’un contre l’autre
Pour voir un autre extrait du film "Elle n'a dansé qu'un seul été" :
http://www.cinetrafic.fr/arne-mattsson
Mes yeux dans les tiens,
Ta tête sur mon épaule,
Le présent nous dévore
Bouquet de fleurs des champs,
Pluie de petits baisers,
Ma belle ces fleurs là
Vivront toujours dans nos cœurs,
Ce sont celles pour qui
On quitte tout par bonheur
Allongés en tête à tête dans les herbes folles,
Ta poitrine nue attise en moi
Un feu Grand Format
A couper le souffle
L’un en l’autre,
Nous ne sommes plus invisibles,
Nos empruntes s’évaporent
Pour ne plus jamais se séparer
Joli brin de femme
Auprès de toi, je fonds comme de la cire
Il y aura d’autres fleurs
Pour toi, mon toit
Le tonnerre se rapproche,
Toi aussi,
Embrasse-moi Ô Claire de Lune
Au grand jour, comme dans la nuit,
Je te regarde comme personne d’autre,
Ton corps prolonge le mien
Viens ma doulce Amie te coucher près de moi
En une seconde, nous sommes déjà au-delà de nos ombres
Il nous faut nous aimer vivants comme si demain n’existe pas
Bien aimer, c'est follement aimer,
Nos cœurs immortalisent, comme pour la première fois,
Notre Amour en partage
Ce pas continu fait l’un vers l'autre,
L’un pour l’autre
© Jean DORVAL, le 10.02.2014, pour LTC Poésie.
Note : (1) D’après le très beau film d’Arne Mattson "Elle n’a dansé qu’un seul été."
INFO+ : http://fr.wikipedia.org/wiki/Elle_n'a_dansé_qu'un_seul_été
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05/02/2014
"LENTEMENT TOI ET MOI."
© Photo ci-dessus : http://pixelexion.free.fr
A ma Muse.
Mon Amour
Lentement ta beauté
Me fait renouer avec l’Instant même
J’ai envie d’honorer ta verte prairie
Comme on sème le bon grain dans une plaine fertile
Tu es plaine de promesses et d’allégresse
Je suis à deux doigts de l’emprise
Et je ne peux lâcher prise
Tu m’inondes d'une plénitude en partage
J’inonde à ta suite l’Instant présent
Nous tutoyons ensemble lentement la Petite Mort
Transport collectif en In et Out
Lecteurs de cœur à cœur en corps à corps
Musique de l’âme qui fait s’élever le vent
Comme hypnotisé,
A chaque Vie à tes côtés,
Je suis celui qui sait te trouver,
Celui qui sait te retrouver
Jamais lassé de ton aide câline
Refaisant toujours le chemin de ton cœur
Je suis esclave de l’altitude de ta magnitude
Sans changer de repère, j’atteins ta source
© Photo ci-dessus : http://pixelexion.free.fr
Nu féminin zébré sur le dos par Lucien Clergue.
Peu m’importe le temps qui passe,
J’ôte tes vêtements avec fougue
Comme on déshabille un premier rendez-vous
J’investis ton intimité
Sans fin, je te remonte comme le ressort d’une montre
Tu es mon tourbillon d’émotions
Celui qui éblouit mes yeux brouillés de plaisir
Avec Toi,
Mon fil conducteur,
Mon cœur fonctionne au courant alternatif-continu
Avec Toi,
Mesure du Désir,
Le temps s’abandonne,
Dialogue avec le petit matin
Et le grand soir réunis
Tu es mon unique demeure
Avec Toi, je ressens l’infini
Avec Toi, je suis
L’Amour est un prétexte
Pour rejoindre sur le toit du monde
Le vol des oies sauvages
Les beaux jours rejoignent nos bouches
Enlacées dans les herbes folles
La Création, seule, entend nos paroles
Aux pieds des arbres,
Chargé du parfum des bourgeons et des fleurs,
Le vent se fraye un chemin entre nous
© Photo ci-dessus : http://pixelexion.free.fr
Nu féminin zébré par Lucien Clergue.
Parfaite joie, plaisante et tendre,
Il n'est au monde de plus charmante offrande que tes bras
L’horloge sonne trois coups
Au moment de notre rêve éveillé
Seuls au monde,
Nous partageons la blancheur de nos nuques dénudées
Ce régal comble nos yeux devenus fous
Nous prononçons des mots si précieux,
Tout bas et si haut à la fois,
Que nos âmes, depuis ce temps, en tremblent,
Et s'étonnent encore
© Jean DORVAL, le 05.02.2014, pour LTC Poésie.
00:52 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : lentement toi et moi, « le chant de sanaa. », poésie, inspiré de la poésie humaynî du yémen, mais en vers libres, tihāma, yémen, femme yéménite, évidence, la rose mauve, une hirondelle fait mon printemps, melin de saint-gelais, poésie renaissance, renaissance, joachim du bellay, danse avec moi cette nuit, ltc, la tour camoufle, jean dorval, jean dorval pour ltc, coupe du monde de football, amour, romantisme, centre pompidou-metz | Facebook |
09/12/2013
"LE CHANT DE SANAA."
Inspiré de la poésie Humaynî du Yémen, mais en vers libres…
A ma Muse.
Des hauts plateaux de Sanaa,
Jusqu’aux plaines côtières de Tihāma,
J’entends chanter l’aigle noir de tes yeux
Mon Aimée,
Nous sommes deux Anges,
Au sommet du Monde
Je te dédicace mon plus bel Amour,
Celui qui rend heureux seulement les Immortels
Le plaisir de te voir me tourmente d’aise,
Et je t’avoue ma Passion pour Toi
Toi et moi,
Laissons s’écouler le torrent de nos larmes de joie,
Cet impétueux cours d’eau qui nous envahit perpétuellement,
Et soudainement,
Pour mieux fêter nos retrouvailles continuelles,
Sauvages et vierges comme la Nature
Mon visage s’illumine, le tien s’irradie,
Quand nous nous approchons l’un de l’autre
Je rougis quand je parle de Toi,
Je perds tous mes moyens en ta présence
Tu es perdu sans moi,
Et tu me retrouves dans la ferveur partagée
Avant de te connaître,
Je composais déjà pour Toi
L’Harmonie de mes lettres dédiées,
S’inscrit au creux de tes mains
Tu es la Belle au bijou (celui que je t’ai offert),
Affolant le Croissant de Lune,
Rendant jaloux jusqu’au Soleil sur l'horizon
La chaleur humide de ta langue,
La caresse de tes yeux,
La douceur de ta chevelure noire,
Me rendent confiant
J’adore ton corps céleste,
Il me transpose vers l’Ailleurs
Ma passion pour Toi est un Art,
Depuis que j’ai bu au nectar de ton sourire,
Mon cœur brûle pour Toi
Nos yeux noyés de larmes de soie
Sont les affluents d’un fleuve,
Le nôtre,
Abreuvant sans retenue nos joues purifiées
Je bois ton âme sans jamais en être rassasié,
Tu te régales de la mienne sans fin
Au son des rires,
Tu es mon réchauffement climatique,
Face à toi mon cœur fond
Tu es le feu de mon doux tourment,
Mon médecin et la cause de mon état second,
Mon cœur repose en ta main
Toi dont la bouche est de nacre éclatante,
Tandis que tu ris et m’éblouis,
Mon cœur s’embrase
Enchanteresse, je te dévoile,
Mes larmes coulent toujours de joie,
Les tiennes aussi
Il nous suffit d'imaginer pour tout vivre
Que faire contre le destin ?
Quel refuge trouver ?
Si ce n’est celui de nos bras ?
Je crois en Toi,
Jusqu'à arriver à l’Origine de tout
Troublante est la Vie,
Qui chavire et s’envole
A fleur de peau,
Le frisson électrise tout notre être,
Se perd et se retrouve volontairement
Notre Alliance est vivante,
Tu es désormais ma demeure,
Je suis ton toit
Comme sorti du plus beau des boutons de rose,
La Promesse éternelle partagée éclôt comme un petit enfant vient au Monde
© Jean DORVAL, le 08.12.2013, pour LTC Poésie.
01:04 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : « le chant de sanaa. », poésie, inspiré de la poésie humaynî du yémen, mais en vers libres, tihāma, yémen, femme yéménite, évidence, la rose mauve, une hirondelle fait mon printemps, melin de saint-gelais, poésie renaissance, renaissance, joachim du bellay, danse avec moi cette nuit, ltc, la tour camoufle, jean dorval, jean dorval pour ltc, coupe du monde de football, amour, romantisme, centre pompidou-metz | Facebook |
18/11/2013
« EVIDENCE. »
© Photo ci-dessus : http://songeunevie.centerblog.net
A ma Muse, car le jour sait ce qu'il doit à la nuit...
Porté par l'allégresse et la douceur de vivre,
Il n'est pas de hasard, point de coïncidence,
On marche vers son destin,
Avec au fond de soi,
L'intuition merveilleuse révélant le plus profond de notre âme
Firmament de l’oraison
D’où jaillit la lumière,
Ô féminine constellation de prose,
Prologue à l’unisson,
Depuis le divan, j’invoque ton nom
© Photo ci-dessus : http://s.billard.free.fr
Je m’abandonne en pensant qu’à tout moment,
Il faut remercier ta félicité,
S’abreuver au nectar du plaisir,
Ressentir l’envol du désir
Sous la voûte scintillante libre est la raison,
Assieds-toi ma destiné sur les bords du ruisseau,
Pour voir s’écouler la Vie ;
Là, flottant sur l’eau vive et claire,
Tu deviens ma passagère au long cours
En faisant resplendir les heures,
Partageons le sang de l’éternel printemps,
Le vin du renouveau ;
Buvons et embrassons-nous à grandes lampées,
Et aux limites de l’azur,
Retenons la nuit comme on retient
Une porte menant à une autre dimension
Tels des oiseaux,
Nous nous sommes cherchés, trouvés et choisis,
Et jusqu’au dernier jour de la Création,
Nos lèvres se partageront cette mélodie
La rosée du matin épouse nos draps,
Tu te réfugies dans mes pensées,
Je suis confondu par ta beauté,
Tes mots délivrent mon cœur
© Photo ci-dessus : http://unepenseedesmots.centerblog.net
J’explore ton cosmos, perdu d’infinité ;
Nous étions des boutons de rose mi-éclos,
Nous sommes devenus l’air vivifiant
La nature s’hypnotise de ta volupté,
Le Lac des Sources offre de nouveau au soleil tout son éclat,
Le goût de la pluie a changé,
L’herbe verte s’est couchée sous tes pas,
Les branches du saule se sont élevées, épousant le ciel,
Les narcisses se parfument de ta voix,
La danse de ton ventre rend les hirondelles joyeuses
© Photo ci-dessus : http://www.galileo-web.com
Je clame mon Amour pour Toi sur le Toit du Monde,
Je chéris notre existence particulière au creux de tes bras,
Je ne veux en aucun cas couper le lien que tu tisses vers moi,
Toutes les particules de mon corps t’appartiennent, irradient pour Toi
Je t’offre un petit bouquet d’églantine,
La bise du jardin apporte le salut
Je suis amoureux de l’étoile du matin,
Des nuages errants, des jours pluvieux et ensoleillés,
De ta longitude souhaitée et trouvée
De nos deux prénoms n’en faisons qu’un !
© Photo ci-dessus : http://carbase.info
Porté par l'allégresse et la douceur de vivre,
Il n'est pas de hasard, point de coïncidence,
On marche vers son destin,
Avec au fond de soi,
L'intuition merveilleuse révélant le plus profond de notre âme
© Jean DORVAL, le 17 novembre 2013, pour LTC Poésie.
21:18 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : évidence, la rose mauve, une hirondelle fait mon printemps, melin de saint-gelais, poésie renaissance, renaissance, joachim du bellay, danse avec moi cette nuit, poésie, ltc, la tour camoufle, jean dorval, jean dorval pour ltc, coupe du monde de football, amour, romantisme, centre pompidou-metz | Facebook |
14/11/2013
"LA ROSE MAUVE."
© Photo ci-dessus : http://roserosae.centerblog.net
A ma Muse.
Ma souveraine conquise,
Je suis éternellement ton mendiant,
Le mendiant de tes baisers,
Le passant de tes dunes et lunes indomptées
Ma souveraine éprise,
Pour me guérir,
Je désire le meilleur de tes remèdes :
Ta douce voix !
Ma souveraine soumise,
Dessine-moi encore et toujours ton sourire,
Dénoue ma délivrance d’une simple caresse,
Tes petits seins pommelés ravivent mon ivresse
© Photo ci-dessus : http://karineimages.centerblog.net
Ma bien-aimée,
Ô Toi, mon songe animé,
Mon Amour à tout jamais révélé,
Matin et soir,
Je me repais de ton sanctuaire
Je suis ton unique cavalier,
Et ma langue fougueuse déifie ton âme
Avec Toi, je découvre et redécouvre le sublime,
Je touche l’au-delà de tes yeux,
J’investis l’inaccessible festin familier
Viens mon Amour,
Mon cœur, ton cœur,
Celui que nous partageons à deux,
Bat à tout rompre
Je t’enlace comme une vigne fertile
Que l’on préserve jusqu’aux vendanges tardives
Il est minuit,
Et notre couverture s’est consumée à l’envie
© Photo ci-dessus : http://roserosae.centerblog.net
A l’endroit, à l’envers, consommés tout entiers,
Nous resplendissons dans la nuit,
Tels des feux follets devenus incontrôlables
Nous sommes le chant, la musique et la danse brassés en une unique rime,
Une mélodie de l’ardeur aux accents réguliers scandée sans fin
© Jean DORVAL, le 14 novembre 2013, pour LTC Poésie.
23:41 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : la rose mauve, une hirondelle fait mon printemps, melin de saint-gelais, poésie renaissance, renaissance, joachim du bellay, danse avec moi cette nuit, poésie, ltc, la tour camoufle, jean dorval, jean dorval pour ltc, coupe du monde de football, amour, romantisme, centre pompidou-metz | Facebook |
14/10/2013
« UNE HIRONDELLE FAIT MON PRINTEMPS. »
.
Hirondelle qui fait mon Printemps,
Fille aux noirs cheveux, aux yeux bleus papillons,
Tu enivres nos nuits blanches,
Le soleil sous tes paupières closes irradie
Tutrice de nos nuits,
Je t'enlace de mes bras conquérants,
Grâce à Toi, nous flottons au dessus de notre lit,
Livrés et délivrés
Ta bouche,
Petit fruit pulpeux rouge,
Offrande coquine,
En parfaite mendiante réclame mes lèvres
Bourgeon candide, Tu es un Amour d’écolier,
Tes yeux domptent mes heures,
Ensemble, il nous faut chaque jour réinventer la Tendresse
Là où l’eau devient la Lumière,
Nos mains se croisent,
L’air, la terre et le feu sont nos enfants
.
Je tiens ton visage dans mes mains et je l’embrase,
Je suis le trait filant sur ta peau,
J’y dessine des routes nouvelles
Quand tu ouvres ton corsage,
Je suis éperdu de détresse,
C’est le commencement d’une caresse
La nuit est infinie,
Je t’aime sans compter,
Dans la paume de ta main se lie notre destin
© Jean DORVAL, le 14.10.2013, pour LTC Poésie.
20:39 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : une hirondelle fait mon printemps, melin de saint-gelais, poésie renaissance, renaissance, joachim du bellay, danse avec moi cette nuit, poésie, ltc, la tour camoufle, jean dorval, jean dorval pour ltc, coupe du monde de football, amour, romantisme, centre pompidou-metz | Facebook |