13/12/2017
LTC POESIE ANNONCE...
Jean Dorval, poète lorrain, sera en séance de dédicace, lundi 18 décembre 2017, de 15h00 à 20h00, à l’Hôtel Ibis Styles Metz Centre Gare, 23 Avenue Foch, à 57000 METZ. Il y présentera son cinquième recueil de poésie :
Renseignements :
Téléphone : 03.87.66.81.11
& AccorHotels.com/Ibis-Styles-Metz-Centre-Gare
Jean Dorval est édité par :
Edilivre.com et LaTourCamoufle.HautEtFort.com
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02/06/2017
LTC LIVE : LE MéDIA REBELLE QUI dé-NOTE !
10:34 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : map, ministère des affaires populaires, adf, the clash, sex pistols, louis armstrong, what a wonderful world, dead can dance, niagara, les p'tits-déjs d'ltc live, palma violets, best of friends, 99 red ballons, nena, joe jackson, the joe jackson band, acdc, a-ha, la scène d'ltc live, la communauté ltc live, ltc live : "la voix du graoully !", david bowie, the next day, nouvel album 2013, jean dorval, jean dorval pour ltc live, centre pompidou-metz, metz, moselle, lorraine, ue, union européenne, europe, yom, & the wonder rabbis, klezmer zozio'party, jewish'mix, musique klezmer, peuple juif, les hébreux, orient, moyen-orient, claude vanony, les parisiens, la bête des vosges, que je t'aime, johnny halliday, les tops du zozio, le "2songs2" d'ltc live, chris botti | Facebook |
LTC LIVE : LE MéDIA REBELLE QUI dé-NOTE !
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09:32 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : the ramones, sex pistols, louis armstrong, what a wonderful world, dead can dance, niagara, les p'tits-déjs d'ltc live, palma violets, best of friends, 99 red ballons, nena, joe jackson, the joe jackson band, acdc, a-ha, la scène d'ltc live, la communauté ltc live, ltc live : "la voix du graoully !", david bowie, the next day, nouvel album 2013, jean dorval, jean dorval pour ltc live, centre pompidou-metz, metz, moselle, lorraine, ue, union européenne, europe, yom, & the wonder rabbis, klezmer zozio'party, jewish'mix, musique klezmer, peuple juif, les hébreux, orient, moyen-orient, claude vanony, les parisiens, la bête des vosges, que je t'aime, johnny halliday, les tops du zozio, le "2songs2" d'ltc live, chris botti, billy kilson, drums, sting & j. groban | Facebook |
14/02/2017
LES BEST OF JD - à LA SAINT-VALENTIN : "QUAND ON A QUE L’AMOUR !"
Comme le dit si bien Jacques BREL, Grand Amoureux devant l’Éternel, dans sa célèbre chanson : "(…) Quand on a que l'amour Pour vivre nos promesses Sans nulle autre richesse Que d'y croire toujours Quand on a que l'amour Pour meubler de merveilles Et couvrir de soleil La laideur des faubourgs Quand on a que l'amour Pour unique raison Pour unique chanson Et unique secours (…)"
Amour passion, Amour ivresse, Amour toujours, parfois même, Amour détresse, quand ce Noble Sentiment n’est pas partagé… Le 14 février, c’est la Saint-Valentin, la Fête de tous les Amours ! Une belle occasion (entre autres, mais plus particulièrement) de témoigner à Celle ou à Celui que l’on aime, une marque de tendresse renouvelée. Une fleur, un petit cadeau, un dîner en tête-à-tête, une escapade surprise, une folle nuit d’extase, etc. Toutes les Petites et Grandes Attentions comptent pour faire plaisir à l’Autre et se faire plaisir… Dans tous les cas, ce rendez-vous se partage à Deux. Et chacun se doit de s’inscrire en parfait accord avec ses Sentiments et d’exprimer sa propre Sensibilité. Déclaration d’Amour sous le signe du Romantisme, de la Séduction, de l’Émotion… Quand la Complicité est au rendez-vous, attention cela peut faire des étincelles, voire un véritable feu d’artifice !
© Photo ci-dessus : http://je-n-oeucume-guere.blogspot.com/2009_02_01_archive...
L'HISTOIRE TÉMOIN DE L'AMOUR.
Le 14 février est le jour de la Saint-Valentin. Ce "Valentine’s Day" est considéré dans de nombreux pays comme la Fête de l’Amour et aussi… de l'Amitié. Les couples en profitent pour échanger des Mots Doux (et non des maux...) et des cadeaux comme Preuves d’Amour, ainsi que des roses rouges qui sont l’emblème de la Passion. Mais, connaît-on l’Histoire de cette "Love" journée ?
Saint-Valentin, avant de devenir un Saint, est un prêtre romain prénommé Valentin. Il vit sous le règne de l'Empereur Claude II (IIIème Siècle après Jésus-Christ). A cette époque, Rome est engagée dans des campagnes militaires sanglantes et impopulaires. Claude II, également surnommé "Claude le Cruel", ayant des difficultés à recruter des soldats pour rejoindre ses légions, décide d'interdire le mariage, car… il pense (à tort) que la raison pour laquelle les romains refusent de combattre est leur attachement immodéré à leurs Femmes et à leurs Foyers. Cependant, malgré les ordres de l'Empereur, Valentin continue à célébrer à Rome des mariages en secret. Lorsque Claude II apprend l'existence de ces mariages cachés, il fait emprisonner Valentin. C'est pendant son séjour en prison que ce dernier fait la connaissance de la fille de son geôlier, une jeune femme aveugle à qui, dit-on, il redonne la vue et adresse une lettre, avant d'être décapité, signée "Ton Valentin". Il serait mort un 14 février 268 ou 270…
Ce n'est que plusieurs siècles après, une fois l'Empire Romain déchu, que Valentin est canonisé "Saint-Valentin", en l'honneur de son Grand Sacrifice (in the name of Love), devenant ainsi le Saint-Patron de l’Amour. De ce fait, la Saint-Valentin est instituée en 496, par le Pape Gélase Ier qui interdit du même coup une cérémonie païenne peu respectueuse pour les femmes. Il décrète que la date de la Fête de Saint-Valentin se tiendra le 14 février, en lieu et place du jour, où depuis la Rome Antique on fête les Lupercales (Lupercalia) ou Festival dédié à Lupercus, Dieu de la Fertilité, des troupeaux et des bergers, et à Junon, Déesse protectrice des Femmes et du mariage romain. En fait, l’association du milieu du mois de février avec l’Amour et la fertilité date de l’Antiquité lointaine. En effet, dans le calendrier d’Athènes, dès le Vème siècle avant Jésus-Christ, la période de mi-janvier à mi-février est le mois de Gamélion, consacré au Mariage sacré de Zeus et d’Héra. C’est pourquoi à Rome, durant les Lupercalia, on célèbre des rites de fécondité, dont le plus marquant est la course des Luperques, au cours de laquelle des hommes à moitié nus poursuivent les femmes et les frappent avec des lanières de peau de bouc. Les coups de lanière reçus devant assurer aux femmes fécondité et grossesse heureuse… On dit aussi qu'à cette occasion, une "Loterie de l'Amour" est organisée, consistant à tirer au hasard le nom des filles et des garçons qui se sont inscrits pour former des couples pour le restant de l'année.
Tapisserie "La Dame à La Licorne",
Volet 6, "Mon seul désir".
© Photo ci-dessus : http://orfeee45.over-blog.com
ENTRÉE DE LA SAINT-VALENTIN DANS LE ROMANTISME…
Il faut attendre le haut Moyen-âge (du Vème au IXème siècle) pour que la Saint-Valentin soit associée à l'Amour Romantique. La fête est alors consacrée à l’échange mutuel de "billets doux" ou de "Valentins" illustrés de symboles puissants, tels qu’un Cœur ou un Cupidon ailé.
La première mention du jour de la Saint-Valentin avec une connotation amoureuse remonte au XIVème siècle, au Moyen-Âge - qui va du Xème au XVème siècle - en Angleterre, puis en France, où l’on croit que le 14 février est le début de la Saison des Amours chez les oiseaux. Prenant exemple sur nos charmants volatiles, les hommes consacrent ce jour aux Déclaration d’Amour faites aux Femmes. C'est ainsi que depuis, à la Saint-Valentin, chaque Valentin cherche sa Valentine pour mieux roucouler au Printemps ! Cette croyance est mentionnée dans les écrits de Geoffrey Chaucer, "Le Père de la Poésie Anglaise". Il est aussi courant durant cette période que les Amoureux échangent des billets doux et qu’ils s’appellent respectivement leur "Valentin" ou "Valentine". Un de ces premiers billets se trouve d’ailleurs à la British Library. On se remémorera pour prendre le pouls amoureux du moment de "La Dame à la Licorne" (XVème siècle), une série de six fabuleuses tentures représentant les cinq sens et "mon seul désir", autant de Vertus allégoriques de l’Amour Courtois du "Roman de la Rose" de Guillaume de Lorris, chef-d’œuvre du XIIIe siècle ; soit respectivement : Oiseuse (la Vue), Richesse (le Toucher), Franchise (le Goût), Liesse (l'Ouïe), Beauté (l'Odorat), et Largesse (A mon seul désir).
© Photo ci-dessus : http://www.devoir-de-philosophie.com/charles-orleans-prin...
De même, Othon de Grandson, lors de la deuxième moitié du XIVème siècle, Poète et Capitaine à la Cour d'Angleterre, vulgarise cette coutume dans le Monde Latin ; notamment à la Cour de Savoie, dédiant un bon tiers de sa poésie à cette nouvelle tradition. Citons pour l’exemple, quelques uns de ses écrits : "La Complainte de Saint Valentin (I et II)", "La Complaincte amoureuse de Sainct Valentin Gransson", "Le Souhait de Saint Valentin" et "Le Songe Saint Valentin". Enfin, au début du XVème siècle, Charles d’Orléans fait connaître l'œuvre d'Othon à la Cour de France. Il écrit, lui-même, plusieurs pièces (ou poèmes) dédiées à Saint-Valentin. Un héros qui tient une grande place dans son œuvre, et tout au long de sa vie, lui, l’Homme supplicié, torturé par l’Amour, qui se fait dévorer par ses Amantes (religieuses…) "En la forêt de longue attente". "La longue Complainte de Saint-Valentin" raconte comment le poète vit "la merveille du monde" (l’Amour) qu’il "servit" jusqu’à la mort. Le poème s’inspire d’une coutume anglaise inspirée des Lupercales romaines : le 14 février, tout Chevalier doit choisir une Dame et la servir fidèlement durant une année, en défendant notamment ses couleurs…
Un portrait de Georges Sand fait par Alfred de Musset.
© Photo ci-dessus : http://www.creusois.com
Par la suite, la tradition de la Saint-Valentin se perd dans le Monde Latin pour être finalement réactualisée, élevée au firmament affectif, avec le Romantisme du XIXème siècle. Une époque dédiée tout particulièrement à l’Amour Passion, dans la vie quotidienne, au travers de tous les arts (peinture, poésie, musique, opéra, opérette, etc.), durant laquelle l’envoi de billets cède la place aux cartes de vœux. Une période de magnifiques idylles toute entière contenue dans ces quelques douceurs écrites, échangées entre Georges Sand et Alfred de Musset… Georges Sand confesse à Alfred de Musset : "Cher ami, Je suis toute émue de vous dire que j'ai bien compris l'autre jour que vous aviez toujours une envie folle de me faire danser. Je garde le souvenir de votre baiser et je voudrais bien que ce soit une preuve que je puisse être aimée par vous. Je suis prête à montrer mon affection toute désintéressée et sans calcul, et si vous voulez me voir ainsi vous dévoiler, sans artifice, mon âme toute nue, daignez me faire visite, nous causerons et en amis franchement je vous prouverai que je suis la femme sincère, capable de vous offrir l'affection la plus profonde, comme la plus étroite amitié, en un mot : la meilleure épouse dont vous puissiez rêver. Puisque votre âme est libre, pensez que l'abandon où je vis est bien long, bien dur et souvent bien insupportable. Mon chagrin est trop gros. Accourrez bien vite et venez me le faire oublier. A vous je veux me soumettre entièrement. Votre poupée." Réponse d’Alfred de Musset à Georges Sand : "Quand je mets à vos pieds un éternel hommage, voulez-vous qu'un instant je change de visage ? Vous avez capturé les sentiments d'un cœur que pour vous adorer forma le créateur. Je vous chéris, amour, et ma plume en délire couche sur le papier ce que je n'ose dire. Avec soin de mes vers lisez les premiers mots, vous saurez quel remède apporter à mes maux."
Portrait d'Alfred de Musset.
© Photo ci-dessus : http://www.actualitte.com/pete-doherty-dans-le-role-d-alf...
A L’ORIGINE DES SYMBOLES DE L’AMOUR.
Cupidon, le cœur, la couleur rouge… La mythologie amoureuse est riche de tous ces symboles incontournables que tout le monde connaît. Mais quid de l’origine de ces logos sentimentaux ?
Antonio Canova , sculpteur (1757-1822),
"Amour et Psyché", 1787-1793.
Détail d'une sculpture sur marbre (H. 1,55). Musée du Louvre, Paris.
© Photo ci-dessus : http://arlette1941.blogspace.fr/La-legende-de-Cupidon-et-...
Cupidon fils d’un Amour divin…
Dans la mythologie romaine, et d'après de nombreux poètes, Cupidon, fils de la Déesse Vénus et du Dieu Mars, est le Dieu de l’Amour. Il est assimilé au Dieu grec Éros, bien que dans la tradition romaine il ne s'agisse plus d'une divinité primordiale. Dès que Cupidon voit le jour, Jupiter sait déjà à sa physionomie exceptionnelle tous les troubles qu'il causera, aussi il veut obliger Vénus à s'en séparer. Pour le dérober à la colère de Jupiter, cette dernière le cache dans les bois, où il suce le lait des bêtes féroces durant toute son enfance. Aussitôt qu'il peut manier l'arc, il s'en fait un de frêne, emploie le cyprès à faire des flèches, et essaye sur les animaux les traits qu'il destine aux hommes.
Puis, en grandissant Cupidon échange son arc et ses flèches en bois contre d'autres en or. Et il est chargé par Vénus, de rendre amoureuse Psyché, la jeune fille d’un Roi, dont elle jalouse la beauté. Mais, contre toute attente, Cupidon tombe amoureux de Psyché en se blessant avec l'une de ses flèches. Il propose à Psyché de vivre avec lui dans son château, rejoint sa Douce qu’à la nuit tombée afin de rester anonyme, lui demandant de ne jamais chercher à connaître son identité. Mais, piquée par la curiosité et influencée par ses sœurs, Psyché profite du sommeil de son amant pour allumer une lampe. Alors, trahi, Cupidon se réveille et s'enfuit. Psyché parviendra cependant à le retrouver au prix de toutes sortes d'épreuves pendant lesquelles plusieurs dieux lui prêtent main forte. À la suite de toutes ces péripéties, ils se marient.
Cupidon est généralement représenté comme un enfant espiègle aux traits redoutables. Il continue à être l’un des principaux symboles de la Saint-Valentin dans l’imagerie populaire contemporaine. Tout le monde sait que lorsqu’une de ses flèches vous perce, vous tombez follement amoureux de la première personne rencontrée ! Dur, dur, d’être Amoureux !
© Photo ci-dessus :http://cadeaux-creation.com/coeur-rouge-en-metal-a-suspen...
"Le Cœur à ses raisons…"
Depuis l’Antiquité, et peut-être même avant, la sagesse populaire comme les savants faisaient du cœur le siège des émotions : Courage, Peur, Amour, Sagesse… sans doute en raison des variations du rythme cardiaque lorsque l’on ressent les dites émotions. Aussi, les expressions faisant intervenir le cœur sont-elles nombreuses, comme "avoir bon cœur", "avoir la sagesse du cœur", "mettre du cœur à l’ouvrage", "avoir le cœur gros ou léger", "avoir mal au cœur", "avoir le cœur sur la main, voire d’or, ou au contraire de pierre", "apprendre par cœur", "vouloir de tout cœur" ou "avoir le cœur net" (et aujourd'hui "le Cœur.Net"...). La religion Catholique en fait elle-même bon usage avec le "Cœur Sacré de Jésus" et le "Cœur Immaculé de Marie" qui représentent respectivement l’Amour Divin et la Pureté. Mais les médias et le marketing l’exploitent le plus avec la célébration permanente du "coup de cœur". Depuis des années, on voit même apparaître ce symbole, un peu partout, à commencer par le célèbre "I ♥ Paris", la capitale de l’Amour. L’origine la plus plausible de cette graphie du cœur serait que ce symbole originel évoque les parties charnues sensuelles féminines, la fécondité et la fondation d’un foyer. Ces formes prometteuses et engageantes dessinées par les Vikings sous forme d’un "M" arrondi, pour se rappeler leur Promise, évoluèrent à leurs deux extrémités du bas pour finir par se rejoindre et fermer le symbole, devenant ainsi au fil des siècles le cœur que nous connaissons tous…
Le cœur de couleur rouge quant à lui est synonyme d’Amour fidèle depuis l’Antiquité. Après tout, ce cœur ne bat-il pas "la chamade" lorsque l’on rencontre l’Être Aimé ? C’est sans doute à partir de cette constatation, toute simple, que tout à commencé. Des battements de cœur à partager bien sûr avec "SA" Moitié, pour voir la vie en rouge, euh pardon… en rose !
Rose, blanc, rouge… les couleurs de la transe !
La tradition symbolise la Saint-Valentin au travers des couleurs rose, blanc et rouge. Le rose exprime la tendresse, la joie et le bonheur. Le blanc est la couleur de la pureté par excellence. Le rouge évoque la passion ardente, le dévouement et la loyauté.
© Photo ci-dessus : http://doucemaman.centerblog.net/jolie-et-pure-rose-rouge
Rose Vénus, Amour délicat !
Fleur préférée de la Déesse Vénus, la rose délicate symbolise l’Amour. Rouge, elle suggère la passion et la force des sentiments. Rose, l’Amour secret. Blanche, la discrétion et la pureté.
ALORS, AMOUR "TOUJOURS" ???
Contrairement à ce que pourrait nous laisser croire le titre de la comédie romantique, "L'amour dure trois ans", actuellement sur les écrans, du réalisateur Frédéric Beigbeder, si on veut que l’Amour dure toute la Vie, il faut beaucoup donner, croire, offrir, pardonner (dans les deux sens), et accepter l’Autre tel qu’il est, et non tel qu’on voudrait qu’il soit ! Pour éviter le feu de paille, un conseil : avant de se lancer, apprendre à se connaître ! Apprendre à se connaître mutuellement afin de redonner un sens vrai à la Saint-Valentin et contredire ses détracteurs. Ainsi, donc, l’Amour, symbolisé par ce jour pas les comme les autres, redeviendrait magique, pure quintessence spirituelle, offrande de Sentiments à partager, et non, contrairement à certaines idées reçues, une affaire commerciale, une affaire de gros sous ! Sauf pour ceux qui le veulent bien ! Sauf pour ceux qui ont perdu la part du Rêve Amoureux ! On peut être pauvre et fêter dignement la Saint-Valentin qui est, et reste, la Fête des Sentiments, des Petites et Grandes Attentions envers l’Être Aimé, de l’Amour quoi ! Et ce, même, s’il est vrai que l’on doit aussi s’aimer tout le reste de l’année ! La Saint-Valentin, c’est non seulement l’Amour, mais c’est aussi le Partage à Deux, une Poésie à vivre en 3D, sortir l’Être aimé "à la maison" ou en dehors de ses Pénates. L’amour n’a pas de prix, sauf peut-être celui du goût de l’effort retrouvé, celui d’aimer véritablement, sans se lasser l’Un de l’Autre, comme une Promesse faite au Pont des Arts à Paris en mettant un gros cadenas sur l’une des grilles…
© Jean DORVAL, le 13 février 2012, pour LTC Grands Reportages.
Sources documentaires :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Valentin et le journal "Le Républicain Lorrain".
INFO+ :
Cinq breuvages-maison APHRODISIAQUES pour la SAINT-VALENTIN : http://lesjardinsdepomone.be
© Photo ci-dessus : http://paris-ile-de-france.france3.fr
00:12 Publié dans LTC GRANDS REPORTAGES | Lien permanent | Tags : rose rouge, fleurs, bouquet, jean dorval pour ltc grand reportage, jean dorval pour ltc, jean dorval, jacques brel, quand on a que l'amour, la saint-valentin, amour, romantisme, fleur bleue, amoureux devant l'éternel, poésie, aimer, femme, je vous aime, cupidon, coeur, l'ivresse de l'amour, la fête de, tous les amours, grand reportage, enquête, histoire de, amour toujours ?, apprendre à se, connaître, pour mieux, s'aimer, centre pompidou-metz, metz, moselle, lorraine, france, ue, union européenne, europe | Facebook |
22/09/2016
LES BEST OF JD - "ENVIRONNEMENT : LE MOUVEMENT PERPETUEL UNE ECO-ENERGIE INFINIE BAILLONNEE PAR LES LOBBIES ?"
© Photo ci-dessus : maribia.wordpress.com/2009/03/14/la-pollition-et-le-cancer
Notre époque malheureusement voit triompher l’apogée d’une société de consommation, sans gloire, irrespectueuse, par ses excès, de Mère Nature, et par effet boomerang des êtres humains qui y vivent, et qui sont responsables et coupables de cette situation catastrophique, jamais vue dans l’Histoire de l’Humanité. De ce fait, nous allons tout droit vers de grands déséquilibres planétaires, irréversibles, si nous ne changeons pas radicalement de cap. Cette hécatombe pourrait cependant être limitée si l’Homme se décidait à faire enfin des choix technologiques équilibrés ! Ainsi au lieu de cancériser, volontairement, la population à grands coups de marées noires, de catastrophes nucléaires, de déchets non contrôlés, de pollutions incessantes aériennes, terrestres et maritimes, etc. on devrait, plutôt, orienter notre quotidien, et l’avenir de nos enfants, vers des solutions rationnelles et solidaires, respectueuses de notre écosystème immédiat et général. Or, face à l’ignorance volontairement inculquée à nos contemporains par les Grands Prêtres du Système - aux ordres des lobbies économico-financiers et médiatiques internationalistes, à l’origine de la décadence matérialiste de masse dans laquelle nous nous trouvons - tout le monde a finalement oublié l’essentiel : comment produire, entre autres problèmes à résoudre, des énergies propres (et non plus fossiles ou radioactives) respectant la Nature, et surtout, la nature de l’Homme ? Comment, par exemple, faire fonctionner notre bonne vieille voiture à essence et notre perceuse électrique "nucléaire" autrement ? Et plus important encore : comment retrouver notre précieuse et nécessaire indépendance énergétique, par rapport au Moyen-Orient, notamment, grâce à l’émergence de technologies novatrices "bien de chez nous » ? Le célèbre et vieux slogan censé nous faire réaliser des économies d’énergie, suite à la grande crise économico-pétrolière de 1973, ne prétendait-il pas : "En France on n’a pas de pétrole, mais on a des idées " ? Un vœu pieux jamais réalisé ! Au point que B. Fuller a trouvé les mots justes, relatifs à l’apnée intellectuelle chronique dans laquelle se trouve notre pays, mais aussi le monde : "Il n'y a pas de crise de l’Énergie, mais simplement une crise d'Ignorance". On est dans une telle "crise de l’Ignorance" que personne ne semble plus savoir que les machines à mouvement perpétuel existent et qu’elles permettent la mise en place d’alternatives crédibles ! Un sujet dont curieusement aucun des mouvements dits "écologistes" n’a fait son cheval de bataille… Cela relève presque de l’érudition, voire de la quadrature du cercle ! Pourtant Webster les définit comme étant le "mouvement d'un mécanisme idéal qui pourrait continuer à fonctionner indéfiniment sans puiser dans une source d'énergie extérieure." Cela vous en bouche un coin ? Vous vous dites, comme de nombreux "scientifiques officiels", depuis des siècles, que c’est impossible ; car cela revient à créer de l'énergie, inverser l'entropie et éliminer les frictions ? Et bien, détrompez-vous, c’est réalisable ! "Ne passons pas à côté des choses simples" disait la pub… Aussi, pour bien comprendre ce qui nous a fait aboutir à cette situation ubuesque, remontons dans le temps…
"Je fais les courses, donc je suis."
LE MOUVEMENT PERPÉTUEL : UNE IDÉE SÉCULAIRE !
Au Vème siècle, avant J-C., on voit déjà mentionner un mouvement perpétuel, sur l’ancien manuscrit, en sanskrit, "Siddhanta Ciromani". Puis, tout au long de l’histoire, on constate que de nombreux chercheurs, étudient le mouvement perpétuel, comme : Léonard de Vinci, Christian Huygens, John Bernoulli, Robert Boyle, Georges B. Airy et Nikola Tesla.
En 1712, à Gera, Johann Bessler, dit "Orffyreus", fait une démonstration de roue à mouvement autonome. Il s’inspire d’une roue décrite dans le livre de l'inventeur anglais Edward Somerset, "Un siècle d'inventions", paru en 1663. D’un diamètre de 91,44°cm, une fois lancée à la main, elle tourne sans arrêt à 26°tours/mn. Il est possible de l'adapter et lui faire soulever des charges, grâce à une courroie passant sur son axe. En 1713, Orffyreus présente à Drashwitz, près de Leipzig, une autre version de sa roue. D’un diamètre de 182,88°cm, elle est recouverte de toile huilée, tendue comme une peau de tambour. La roue tourne, comme la précédente, à 26 tours/mn. Mais, les gens pensent qu’il s’agit là d’une supercherie… Aussi, Bessler se soumet à un groupe de onze experts, à Merseburg, le 31°octobre 1715. Cette troisième roue a 180 cm de diamètre et tourne à la vitesse de 42 tours/mn. Selon un rapport du 4 décembre 1715 : « la machine (…) est un réel mouvement perpétuel (…) elle a la capacité de soulever perpendiculairement 30°kilos de pierres à huit aunes (neuf mètres) de hauteur. » A une époque, où l'énergie est fournie par la force musculaire, humaine ou animale, une telle machine aurait dû, normalement, être la bienvenue. Curieusement, nombreux sont ses détracteurs ! Et Bessler et les experts indépendants se retrouvent ridiculisés. Alors, sans doute pour des raisons de sécurité, Bessler prend le surnom d’"Orffyreus". Il attire, à la même période, l'attention du Comte Karl, Landgrave du petit état de Hesse-Kassel. Bientôt, arrêté comme perturbateur, il est emprisonné dans le fort Weissenstein, du château de Wilhelmshoche. En fait, il s’agit d’un habile stratagème du Comte pour entrer, discrètement, en relation avec lui et devenir son mécène… Ce personnage, très influent, informe de nombreux scientifiques et institutions d'Europe de la découverte de son protégé. Le Tsar de Russie, après 1716, souhaite même acheter le secret pour 100.000 roubles. Puis, Orffyreus réalise la plus grosse machine qu’il n’ait jamais construite. Mais, ses détracteurs restent encore nombreux. Le Comte l’exhorte à leur répondre, par une autre démonstration. Aussi, en octobre 1717, il installe sa machine au centre d’une vaste salle du château, aux murs de 1,20°m d'épaisseur et à une seule entrée… pour qu’on ne puisse pas dire qu’il y a tricherie. Le 12 novembre 1717, un collège d'enquêteurs examine la roue. Son diamètre est de 3,65 m et elle atteint la vitesse de 26 tours/minute. Pendant deux jours, on lui fait accomplir des travaux spécifiques. La salle est passée au crible, puis vidée de tous ses occupants. Les scellés sont apposés. Quatorze jours plus tard, la roue tourne toujours… Idem, lors de la vérification du 4 janvier 1718 ! Le comité conclut, donc, à l'absence de fraude et atteste de l’authenticité de cet appareil à mouvement perpétuel. Mais, Orffyreus redoutant de se voir dérober son secret propose de le révéler, contre 20.000°livres à une société formée à Londres. Il est furieux car personne ne répond à son offre. Le 18 mai 1727, il entreprend la construction de sa dernière roue, qu’il brûle, suite à une dispute avec le Comte. Leurs routes se séparent ; et Orffyreus devenu un vagabond aigri, meurt en novembre 1745.
Par la suite, en 1775, sous l’influence de Laplace, l’Académie des sciences de Paris condamne irrémédiablement le mouvement perpétuel, coupable, de faire perdre du temps et de l’argent à bon nombre d’ingénieux mécaniciens. Cette décision arbitraire impose, à tort, que le mouvement de certains systèmes ne peut se conserver toujours, même en supprimant les frottements et les résistances. Un effet étant toujours égal à sa cause, il est impossible de retrouver dans ce mouvement, en provoquant son arrêt, la force qu’on a dépensé pour le lancer. Ce jugement erroné de Leibniz a trouvé un large écho, pendant près de deux siècles ! Seul, le modèle de mouvement perpétuel, de la vibration du pendule, remet en cause cette imposture officielle ; envahissant la physique, et révélant avec les progrès de l’électronique, des propriétés étonnantes sur le plan de la transformation et du transport de l’énergie. Ce qui prouve bien qu’il y a une réelle adéquation entre la cause et l’effet !
© Photo ci-dessus (une roue à mouvement perpétuel de Bessler):
http://www.flickr.com/photos/jonathan_art/page6/
LE REVEIL DES HÉRITIERS DE BESSLER.
Le nombre de brevets déposés pour un mouvement perpétuel, au cours de l’histoire, n’a jamais faibli. Le tout premier brevet date de 1617. Entre cette date et 1903, il y a eu plus de 600 brevets ; dont 25 avant 1855. Sur un total de 31 applications de 1897 à 1900 inclus ; 10 étaient anglaises, 8 américaines, 3 françaises, 5 allemandes, 2°australiennes, 1 russe, 1 belge et 1 autrichienne. Pour l'année 1901, on compte 13 applications de brevets de mouvement perpétuel ; en 1902, 10 et en 1903, 9. Un de ces inventeurs de génie se caractérise particulièrement. Il s’agit de Garabed°T.°K.°Giragossian, un américain de Boston. En 1917, il fabrique une grande roue à volant, qui se charge lentement en énergie et en délivre beaucoup en l'espace d'une seconde. Ses partisans insistent pour faire reconnaître le procédé auprès du Congrès américain. Mais en vain ! Entre 1912 et 1932, le développement du mouvement perpétuel électrique se fait parallèlement au concept de l'éther. De même, on découvre le principe d’une boule de fer suspendue dans le vide grâce au magnétisme, et tournant très vite, en faisant virtuellement une rotation sans friction. Dans la foulée, Hugo E. Fraga (né à La Havane le 29/04/1939) se sert aussi d’une roue à gravité déséquilibrée. Il pense faire voler le vaisseau de Harry W. Bull de Syracuse (New York), avec son moteur à réaction défiant, apparemment, la gravitation. Quant à David Eugène Cowlishaw, s’il n'a pas reconstitué la machine d'Orffyreus, son appareil à poussée inertielle, le GIT - que quinze chercheurs ont expérimenté avec succès dans le monde – utilise la même technologie. Il explique sur Internet, le 23 mars 1998, que la roue, qui peut paraître en déséquilibre, fonctionne sur l’énergie de rotation acquise par le roulement incliné de cylindres (au lieu des goupilles de diamètre inférieur dont se servait Orffyreus pour augmenter le couple angulaire entre les arrêts). Dans la même veine, Bruce Welsh trouve l’inspiration, dès son enfance, grâce à son oncle, bricoleur, qui invente, par hasard, un jeu créant un mouvement perpétuel. Mais, ce dernier ne se doute même pas qu’il a violé les lois de la physique ! Suite à cette aventure mécanique ludique, "d’un autre type", Bruce Welsh devient ingénieur en électronique et se consacre, depuis plus de 20 ans, aux énergies alternatives. Il est convaincu que l’on peut construire des machines à sur-unité. Son invention décrit un moteur magnétique repoussant, un mécanisme en mouvement, pouvant faire fonctionner un alternateur, un véhicule, un navire, un avion…
Escher : "Mouvement Perpétuel."
PRINCIPES D’UNE ÉNERGIE NATURELLE BOYCOTTÉE PAR L’INDUSTRIE.
Les sources d’énergies conventionnelles utilisent des ressources fossiles comme le pétrole et le charbon ; mais, aussi le nucléaire (d’où l’électricité est majoritairement dérivée en France notamment). Il s’agit donc de sources d’énergies en mouvement, onéreuses, polluantes ; et nécessitant un transport ou une transmission sur de longues distances, jusqu'au point d’utilisation. Aussi, le besoin d’une source d’énergie, substantiellement non polluante, n’ayant aucun besoin d’apport énergétique extérieur, simple à maintenir, se fait-il ressentir depuis longtemps ! Quand la machine à mouvement perpétuel sera, enfin, "acceptée" et mise en service ; les scientifiques comprendront que dans la Nature, il y a d’autres exemples "prêts à l’emploi", permettant différentes applications, qu’une vanité excessive, les préjugés sociétaux, ne leur permettent pas actuellement de concevoir. Pourtant, les mouvements perpétuels foisonnent, depuis des milliards d'années, comme les électrons en vibration. En fait, ces derniers sont en rotation perpétuelle autour du noyau de l’atome. D’où provient l’énergie nécessaire à leurs mouvements ? En observant l’électron et en appliquant les lois standards de conservation de l’énergie, l’atome devrait se consumer comme une bûche. Hors, ce n’est pas le cas ! Il ne reste plus qu’une seule solution crédible : l’énergie provient du vide environnant, lui-même, ou encore de l’interaction entre la matière et le vide.
Imaginons, pour nous rassurer sur la non-complexité du problème, un petit enfant qui, au départ, jouerait à créer une roue à eau ou à vent ; et qui dans son innocence originelle, découvrirait, en s’amusant, un système faisant tourner les palles de sa roue, à l’infini, par le simple ajustement de cailloux, dont la fixation en poids et contrepoids créerait, sans le vouloir, un mouvement perpétuel, par effet d’entraînement manuel primitif. Ne serait-il pas, alors, dans la même position qu’un Newton découvrant la loi de la gravitation, en observant, tout simplement, tomber une pomme ? Ne découvrirait-il pas, ainsi, une énergie invisible à porter de main ? Cette innocente inventivité, quasi-innée chez l’Homme, remise à l’honneur, ne serait-elle pas, tout aussi primordiale pour l’Humanité, que le panthéon des dogmes normalisés de l’actuelle toute puissante Science, aux ordres du Système, que personne n’ose braver, sous peine d’être taxé de « révisionnisme scientifique » ? De nombreux projets, utilisent la force de gravité et la perte de l'équilibre ; comme les poids immergés dans de l'eau ou d'autres liquides ; l'ascension de récipients gonflés avec de l'air ou du gaz sous l'eau ; la compression suivie d'expansion de gaz et la tension de surface des liquides. La plupart de ces ingénieux inventeurs ont même prévu - non sans humour - des freins pour arrêter leurs machines et parer à toute augmentation dangereuse de vitesse.
© Photo ci-dessus : http://www.gilblog.org/article-avenir-radieux-104888143.h...
NE SOYONS PLUS ESCLAVES DES DOGMES CONVENUS, CHOISISSONS UN AVENIR ÉQUILIBRÉ A NOS ENFANTS !
Nous devons stopper immédiatement notre boulimie de matières premières donnant notamment des énergies aux déchets incontrôlables, sous peine de pollutions irrémédiables, de grandes catastrophes pas naturelles et de pandémies. L’Homme court à sa propre perte, à cause de l’intérêt "supérieurement égoïste" de quelques spéculateurs et profiteurs supranationaux. Et à un moment, où nos gouvernants dénoncent à juste titre, bruyamment, la tragédie écologique mondiale ; où l’on nous rabâche l’éco-citoyenneté et l’éco-mobilité ; la notion de pollueur-payeur ; le développement durable ; l’importance de l’Écologie… à contrario, l’Amérique en passant par les néo-cons et les démocrateux refuse de rentrer dans le rang des pays dits "développés", polluants moins ; préférant ainsi créer le chaos islamique organisé dans tout le Moyen-Orient, pour une poignée de Dollars supplémentaire et quelques goûtes de pétrole de plus. En parallèle, malgré le Grenelle de l’Environnement (qui est déjà une belle avancée écologique), et le sommet sur le développement durable de Rio du 20 au 22 juin prochain, la France se contente d’un traitement inadapté à ses maux, véritable "cautère sur une jambe de bois", en restant toujours aux ordres des intérêts particuliers non respectueux de la Nature et en n’allant pas au bout d’une véritable pensée écologique… Ainsi va le monde ! Nous sommes suicidaires au point de suivre aveuglément tout ce que les pubs des grandes majors internationales, contrôlées par certaines officines, nous imposent. Notre santé ne les intéresse pas ! Et plus grave, ne nous inquiète pas nous-mêmes ! Les énergies dont nous ne contrôlons, finalement, pas les retombées, et ce, sur des siècles parfois… détruisent en continu une "ex-planète bleue" devenue grise. Il en va de même des déchets nucléaires jetés en mer dans des sarcophages de plomb à durée de vie limitée à trente ans, des déchets ménagers dont nous ne savons plus quoi faire (enfouissement ou incinération ?), des sols et de la nappe phréatique outrageusement et sciemment pollués par nos industrieux, des gaz à effet de serre, etc. Les bouleversements climatiques qui découlent de toutes ces non-conformités écologiques provoquent l’agrandissement du trou dans la couche d’ozone, les importantes sécheresses, inondations et tempêtes que nous connaissons de plus en plus, etc. entraînant des mouvements de population mondiaux incontrôlés suite aux famines qui en résultent. Il nous faut donc réorienter notre civilisation vers des énergies propres, libres, gratuites et des carburants alternatifs, sous peine de tous crever. Pour ce faire, le moteur de Perendev puisant l’énergie, naturellement, dans le vide inépuisable de l’Univers (et dans lequel nous vivons !) doit être généralisé. Mais, le détenteur du brevet, l’allemand Mike Brady, commercialisant ces machines n'a pas - comme de bien entendu - obtenu d’homologation ; sous le fallacieux prétexte qu'on ne connaît pas la dangerosité des systèmes magnétiques ! Ce raisonnement faux tend à faire oublier qu’on trouve des aimants dans les moteurs électriques classiques ou encore dans les haut-parleurs de nos chaînes Hi-Fi. Comment peut-on considérer qu’un aimant est plus « dangereux » qu'une source nucléaire ? Aurait-on oublié les dramatiques accidents des centrales nucléaires de Tchernobyl et de Fukushima ? Il y a, là, vraiment, un non-sens totalitaire !
© Photo ci-dessus (principe de Perendev : la magnétosynergie) : magnetosynergie.com/PerendevCoaxial/PerendevCo-01
Perendev vend sur son site internet(1) des machines pouvant produire jusqu'à 300 KW ; soit la consommation électrique pour 20 habitations classiques - à hauteur de 15 KW chacune - sachant que l’abonnement EDF standard, oscille entre 10 et 15 KW. Sa découverte convertit la force rectiligne du champ d’un aimant (provenant directement d’une structure cristalline en rupture de symétrie) en un mouvement circulaire. Cela revient, en quelque sorte, à ouvrir un "robinet" à énergie mécanique, provenant du vide… Donc, un mouvement quasi "perpétuel", puisque le vide est inépuisable ! Une "théorie" à ne surtout pas développer devant la communauté scientifique en place, sous peine, d’être enfermé dans un asile ou évacué manu militari ! Pour info : la durée de vie d’un aimant est d’au moins un siècle. Cela laisse rêveur ! Mais, la machine de base de Perendev est un "petit jouet", comparée à d’autres développements possibles, comme les inventions d’Edwin Gray, permettant d’atteindre le mégawatt dans un volume plus petit, avec une technologie et une fiabilité supérieure à un couple alternateur/moteur, et de Bedeni, assurant une force mécanique et un courant de rendement supérieur.
LE MOUVEMENT PERPÉTUEL : LE BON SENS ÉNERGÉTIQUE A COTE DE CHEZ VOUS !
Alors, qu’est-ce qu’on attend pour être heureux et faire confiance à notre bon sens ? Qu’attendons-nous pour refuser que l’énergie reste un moyen d'asservissement des masses – une occasion supplémentaire d’asséner des taxes exorbitantes et de faire des profits mirifiques sur le dos des consommateurs "vache à lait" - alors que celle-ci devrait est libre, gratuite et infinie, pour chaque Être Humain ; compte tenu des vraies lois physiques qui régissent l'univers. Un enseignement non proposé d’ailleurs dans nos universités et dans la "vraie fausse" littérature scientifique ! Il faut mettre fin au monopole injustifié des énergies, accordé à quelques nantis avec l’accord de tous nos dirigeants ! Les vrais physiciens doivent pouvoir oser aborder le sujet du mouvement perpétuel sans avoir peur d’être aussitôt conspués, par une soit-disant « communauté scientifique », aux ordres du Système et entièrement sponsorisée par les lobbies en tous genres ! En considérant les saines propriétés de l’Univers, le pétrole, le nucléaire et même l'énergie éolienne… deviennent obsolètes. Une vraie révolution ! Sommes-nous prêts à franchir le pas ? Et surtout, aurons-nous l’intelligence de garantir la paix mondiale, en assurant une transition humaine et progressive, respectant l’équilibre économique bouleversé, de fait, du Moyen-Orient (et d’autres parties du Monde) immuno-dépendant de la vente du pétrole ? Ce défi salvateur se doit d’être réfléchi collectivement, et rapidement, pour enfin respecter l’Oeuvre que Mère Nature a mis des siècles à façonner, c’est-à-dire : le Monde. Alors, existe-il un scientifique couillu et désintéressé, dont l’audace le poussera à répandre cette théorie constructive, relevant pratiquement de l’interdit ; s’érigeant, ainsi, en bienfaiteur de l’Humanité ? Un nouveau Galilée en quelque sorte défiant les nouvelles Inquisitions ! Être ou ne pas être courageux ? Accepter de crever ou réagir pour mieux vivre, en mettant en place un nouveau mode de vie préservant notre écosystème ? Telles sont les vraies questions ! L’avenir proche appartiendra à un Homme garant de sa plus longue mémoire, par le respect de tout ce qui l’entoure et le fait vivre, ou bien sonnera le glas d’une Humanité anéantie par ses propres folies !
© Jean Dorval, en collaboration avec MLE, "Bricoleur de Génie", le 11.06.2012, pour LTC Innovation.
Notes :
Sources documentaires :
Le livre de R.A. Ford, Lost Technlology Series, réimpression en 1987 de "Perpetual Motion Journal" de Irving R. Barrows (1967).
Et pour plus d’infos :
19:00 Publié dans LTC GRANDS REPORTAGES | Lien permanent | Tags : les héritiers de bessler, jean dorval pour ltc grand reportages, jean dorval pour ltc, ltc, latourcamoufle, la tour camoufle, centre pompidou-metz, metz, moselle, lorraine, france, europe, union européenne, ue, le mouvement perpétuel, une éco-énergie, infinie, baillonnée par les lobbies, mère nature, mle bricoleur de génie, environnement, énergie pure, développement durable, fukushima, tchernobyl, système magnétique, mike brady, perendev, léonard de vinci, christian huygens, john bernoulli, robert boyle, georges b. airy, nikola tesla, orffyreus, jeux olympiques de londres, jo de londres, sommet sur le, de rio, juin 2012, rio +20 | Facebook |
11/06/2016
SPECIAL TRADITIONS LORRAINES : LE MARIAGE.
Tenues de mariage lorrain traditionnel.
© L’image ci-dessus est soumise aux droits d’auteur et a été mise sur LTC à titre gracieux, pour illustrer cet article, avec l’aimable autorisation de son Auteure : Madame Catherine Debusne, Historienne, Écrivaine et Illustratrice. Avec tous nos remerciements pour son aide précieuse. http://la-rebelle.over-blog.com/2015/11/j-en-ai-marre-qu-...
Coutumes lorraines : la demande en mariage
"La demande en mariage, suivie de fiançailles, passait souvent par l'emploi de mots spécifiques, désignant le promis et la promise, comme ceux de fèchenot et fèchenotte, ou encore de vauzenot et vauzenotte, dont l'origine se perd dans la nuit des temps (avec peut-être, pour le second, le mot vôze désignant un bouquet). Cela dit, la demande faite et acceptée, devait, dans la région de Metz, être officiellement renouvelée le matin même du mariage. La mariée, une fois habillée, attendait donc aux côtés de ses parents la visite de son futur époux et de son père, qui allaient réitérer publiquement la demande ou du moins se livrer à un simulacre... La suite de cet article, publié le dimanche 6 août 2006 dans le supplément dominical du "Républicain Lorrain", se trouve sur :
http://en-passant-par-la-lorraine.over-blog.com/categorie...
Une néo d'Anna des Naudin, pour LTC.
Sur le même sujet, à lire ou à relire l'article de Jean Dorval sur "Le Mariage Lorrain", publié à l'époque dans la Revue Lorraine Populaire de Jean-Marie CUNY...
"LE MARIAGE TRADITIONNEL LORRAIN."
"Il est des lieux où souffle l’Esprit…", l’esprit de nos ancêtres bien sûr, mais aussi celui de nos traditions enfouies sous le poids des siècles. Notre Lorraine natale si chère à Maurice Barrès et à nos aïeux a été le berceau de nombreuses coutumes locales. En passant par la Lorraine, les invasions et les guerres ont fait fructifier notre histoire. Riches du brassage de notre culture et de celle de nos hôtes, des générations entières ont été témoins de cet enracinement qui a marqué notre territoire régional. Au travers des vestiges, des monuments historiques et de la culture, mais aussi des mœurs, le lorrain a su démontrer sa capacité à fusionner dans l’originalité, à nourrir une forte identité. Malgré un tempérament rude qui trouve son expression la plus vive dans le travail au champ, à la mine ou aux hauts-fourneaux, le "caractère lorrain" n’est pas incompatible avec la bonne humeur, ce qui procure de nombreuses occasions d’amusement. Le mariage lorrain est un de ces points de repères socioculturels incontournables. Et c’est sans doute pour défendre, entre autres, ces traditions festives que nos aïeux se sont sacrifiés souvent au champ d’honneur, embrassant ainsi la "terre charnelle" si chère à Charles Péguy ; terre de difficultés, mais aussi de grands bonheurs !
La noce lorraine, en dehors d’être une cérémonie religieuse chrétienne, comportait une série de rites et de coutumes issus de la nuit des temps, d’un fond paysan très marqué. Nous allons en évoquer quelques aspects.
Tout d’abord en Lorraine on aimait à chanter comme nous le prouve ces extraits de "La réveillée" (arrangement de Jean Poinsignon) et de la "Romance d’Audun-le-Roman" (datée de 1850) : "Réveillez-vous belle endormie, réveillez-vous car il est jour, mettez la tête à la fenêtre, vous entendrez parler d’amour", "Adieu, fleur de jeunesse, puisque me faut la quitter la nobl’qualité de fille, père et mère, m’les faut quitter".
Les Lorrains se plaisaient aussi pendant les réunions de famille à raconter des histoires ou "fiauves" en patois roman. Ces derniers consistaient en une satire de la vie quotidienne des gens. Goûtons notre plaisir en lisant le "PTIOT CUGNOT"(arrangement de Jean POINSIGNON) :
"Quand je suis venu au monde,
Radigadi radigado,
Quand je suis venu au monde,
Dans mon beau Longeaux (1)
J’ai tout de suite regardé,
Radigadi radigado,
J’ai tout de suite regardé,
Par un petit trou
Mais quand j’ai vu mon père,
Radigadi radigado,
Mais quand j’ai vu mon père,
Avec des sabots
Je m’suis dit ton pauvre diable,
Radigadi radigado,
Je m’suis dit mon pauvre diable,
De toutes les façons t’es foutu."
De même en 1912, nos anciens chantaient lors de repas prolongés des compositions musicales incantatoires mettant en scène la loi de la nature. Dans certaines d’entre elles, une chèvre ou une oie se faisait dévorer par un loup. Dans d’autres, plus cocasses, la chèvre embrochait le loup pour se défendre et l’oie pinçait ses parties afin d’éviter d’être dévorée.
Le mariage lorrain était aussi l’occasion d’invoquer les Divinités païennes, tout en restant dans un cadre "très catholique". Cette dualité des comportements semble être le résultat de l’étonnante alchimie dont a hérité notre contrée. Nous ne sommes donc pas à une contradiction prêt !
Les bacchanales, peintes par William-Adolphe Bouguereau (1825-1905).
© Photo ci-dessus : http://www.mondragon-plus.com/pas_vu12.htm
Dans nos régions de l’Est, le mot mariage évoque les Bacchantes s’adonnant au culte de Bacchus (Dionysos pour les Grecs, fils de Zeus et de Sémélé). Ce Dieu Romain de la végétation, et en particulier de la vigne et du vin, se trouve vénéré au travers de cérémonies appelées Bacchanales. Certaines représentent l’union de deux Êtres. Cette croyance en Bacchus met en scène, dans la coutume lorraine, le mystère de la renaissance ou "Liber Pater". Bacchus déchiqueté à sa naissance par Héra (femme de Zeus et de surcroît Déesse grecque du mariage) a été sauvé par son père, qui pour se faire l’a mis en dedans sa cuisse. Cette croyance contribuera au développement de la tragédie et de l’art lyrique, mais aussi au cérémonial du mariage lorrain.
La jarretière.
© Photo ci-dessus : http://www.zankyou.fr/p/la-jarretiere-de-la-mariee-jeu-et...
Quatre rites symbolisent cela dans notre tradition : le vin aphrodisiaque, la jarretière, les cérémonies de la chaussure et du pain. Le vin aphrodisiaque était servi en rôtie (c’est-à-dire accompagné de tranches de pain). Fait à base de poivre, de cannelle et de miel, il était donné aux mariés, une fois "leur petit nid d’amour" découvert ou au petit matin lorsqu’ils émergeaient des bras de Morphée. La jarretière, quant à elle, apparue au XVIème Siècle en Lorraine, se trouvait être l’enjeu d’une course entre les hommes du village. Le vainqueur partageait ce trophée entre tous les participants en guise de porte-bonheur. Le rituel de la chaussure symbolisait l’érotisme et le spirituel. L’érotisme car la mariée se faisait déchaussée en public. A l’époque, on tournait de l’œil à la vue d’un mollet mignon ! Le spirituel, car les mariés mettaient de l’argent dans "la chaussure" pour acheter les Pénates (en mythologie romaine, ce sont les Divinités du foyer). Ce "rachat" de la chaussure donnait lieu ensuite à des jeux et gages. Le pain quant à lui, tradition paysanne par excellence, était offert par une femme enceinte à la mariée, avec une phrase d’accompagnement flattant la fécondité et la richesse matérielle à venir : "puisse-t-il faire beaucoup de profit."
Mais, faisons un peu d’étymologie ! Jadis un tiers des mariages était consommé avant de passer à l’Eglise. Tout enfant conçu ainsi procurait au futur papa un certain prestige qui lui valait d’être surnommé "godard" (du latin "galudare" qui signifie "le réjouit"). Le "godard" aux yeux de tous vérifiait la fameuse expression catholique "Liebe ist eine gnade !" (traduction : "l’amour est une grâce !"). Cela était un véritable don du ciel selon la tradition lorraine. Alors, si vous connaissez un ami dont le nom est "Godard", vous saurez quel mode de vie avaient choisi ses ancêtres !
D’autre part, dès son baptême l’enfant lorrain était consacré aux Divinités agraires tels Sylvain (Dieu romain protecteur des bois et des champs) et Perséphone (Reine des Enfers, Déesse grecque du Monde souterrain qui réapparaît pour créer les saisons). On pendait à cette occasion, au dessus du berceau, le bouquet du Baptême. Cela invitait Mère Nature à être généreuse. Le bouquet de mariage était, quant à lui, dédié à la Vierge Marie.
© Photo ci-dessus : http://www.au-jardin.fr/post/Chevre-au-col-du-Granier
Une autre coutume avait son importance : "la chèvre". Cette tradition d’origine païenne renforçait l’esprit de famille. A l’époque, le mariage était une grande fête villageoise durant laquelle on unissait deux êtres et leurs familles ! Les nouveaux époux, afin de débuter leur nouvelle vie dans de bonnes conditions, recevaient de riches présents tels des rouets, des terres, des troupeaux (vaches, moutons…), des fermes, des bois, des meubles (bahuts lorrains…). Aussi, les enfants non mariés restant dans les familles, voyant cet important étalage de richesses, pouvaient imaginer mourir dans le plus grand dénuement… Pour palier aux éventuels états d’âme, chaque marié rétrocédait des cadeaux pour marquer la solidarité familiale. Le présent qui revenait fréquemment était une "guey" (en roman), une "gaib" (en germanique), ou plus simplement "une chèvre" (en français). Au début, on offrait une bête vivante, puis apparurent des figurines faites à base de poireaux frais, de confiseries (pâte d’amandes, chocolat ou sucre soufflé) ou de bois.
Les distractions n’étaient pas uniquement spirituelles car la gastronomie tenait une place importante. On mangeait des mets délicats : pâtés, tourtes, matelote de METZ, cochon de lait en gelée, quiche lorraine, langue de bœuf, carpe à la juive, oie en daube, coq au vin gris, brioche ; et plusieurs succulents desserts, dont les œufs à la neige et à l’orange, ou le "Torté" qui reste le plus typique. Cette pâtisserie intermédiaire entre le gâteau et la brioche était préparée dans la région de Moyeuvre, sur les rives de l’Orne, pour toutes les fêtes et les grandes occasions, dont les mariages (voir l’excellente recette sur le livre de E. Auricoste de Lazarque : "Cuisine messine"). Dans le Pays-Haut Mosellan, ce gâteau se nommait le "Wété". Il pouvait s’accommoder d’amandes, était offert par le marié à tous ses invités, accompagné d’un verre de vin. On en donnait même aux gens extérieurs au mariage !
Tous ces comportements conviviaux trouvent leur origine dans la durée des mariages qui pouvaient aller jusqu’à trois jours consécutifs. Il fallait bien occuper tous les convives et surtout les nourrir ! Ces coutumes nous rappellent qu’avoir des racines, quelque soit notre région française d’origine, est un bien des plus précieux que nous nous devons de défendre. Au travers des âges, nos traditions et nos valeurs, même si elles ne sont pas rester figées, ont forgé notre spécificité. Elles sont irremplaçables et ce n’est pas la monoculture mondialiste qui saurait relever le gant ! Si nous ne réagissons pas très vite nous y laisserons tous notre âme. Un pays qui ne conserve pas son passé, ne peut vivre le présent et n’a pas d’avenir. Il est tout simplement voué à disparaître. Tout le monde aura été prévenu !
© Jean DORVAL, le 15/06/04, pour LTC Grands Reportages.
Notes :
(1) Un village proche de Bar-le-Duc dans la Meuse.
11:40 Publié dans LTC GRANDS REPORTAGES | Lien permanent | Tags : peintre, william-adolphe bouguereau, (1825-1905), la jarretière, les bacchanales, le mariage lorrain, coutumes lorraines, la demande en mariage, une néo d'anna des naudins pour ltc, jean dorval, jean dorval pour ltc, jean dorval pour ltc grands reportages, grand reportage, centre pompidou-metz, moselle, lorraine, france, ue, union européenne, europe, traditions lorraines, tenue de mariage | Facebook |
08/09/2015
Metz-Sablon : Nouvelle équipe de direction à Rabelais.
La nouvelle équipe de direction du collège Rabelais (de la gauche vers la droite) :
Véronique Bonne, Aude Saint-Gratien, Chantale Capesius et Ouardia Dupré.
Pour la rentrée scolaire 2015/2016, le collège Rabelais du Sablon a vu le renouvellement quasi-complet de son équipe de direction.
Chantale Capesius, la nouvelle principale, a répondu à quelques questions et a parlé de sa feuille de route pour l’année scolaire en cours.
. Quel est votre parcours ?
Chantale Capesius : "Avant ce poste, j’ai été 8 ans proviseure adjointe au Lycée professionnel du bâtiment et des travaux publics de Montigny-lès-Metz. Auparavant, j’étais enseignante en collège. J’ai fait quatre ans dans la vallée de la Fensch, un an à Petite-Rosselle et seize ans au collège de la Louvière à Marly."
. Vous nous présentez votre nouvelle équipe de direction ?
C. C. : "Ouardia Dupré est principale adjointe depuis deux ans à Rabelais. Elle permet de faire la jonction entre l’ancienne équipe de direction - dirigée par Christine Moriconi, qui a fait valoir ses droits à la retraite - et la nouvelle. Aude Saint-Gratien est notre gestionnaire. Elle vient du collège Barbot de Metz où elle a passé 7 ans aux mêmes responsabilités. Véronique Bonne vient de prendre ses fonctions de secrétaire de direction."
. Quels sont les atouts de Rabelais ?
C. C. : "Nous bénéficions d’un cadre grandiose, dans un bâtiment historique très bien entretenu. Le taux d’encadrement est important. Nous avons une équipe pédagogique de 32 enseignants très impliqués et compétents. Les effectifs des classes oscillent entre 20 et 24 élèves."
. Quelle est votre feuille de route pour l’année scolaire à venir ?
C. C. : "Nous allons améliorer l’offre de services aux élèves, en aménageant de nouveaux lieux de vie, en modernisant le parc informatique, en maintenant en bon état nos bâtiments, en accentuant la collaboration avec les écoles primaires du secteur afin d’accueillir plus d’élèves, favoriser la mixité sociale, le bien vivre ensemble et la réussite des élèves (surtout ceux qui rencontrent des difficultés d’apprentissage). On va aussi renforcer le soutien pédagogique en mettant en place des projets interdisciplinaires, comme le français et les mathématiques, dans lesquels je vais m’investir, s’ouvrir aux parents d’élèves pour qu’ils s’impliquent d’avantage dans la scolarité de leurs enfants et dans la vie de l’établissement, et travailler en collaboration avec les associations de parents d’élèves."
. Le mot de la fin ?
C. C. : "Je vais tout faire pour favoriser le travail d’équipe entre l’encadrement et les enseignants, et donner envie aux élèves de s’élever dans la connaissance et les mener à la réussite."
Source documentaire et photos : © Le Républicain Lorrain 2015/DR. Avec l’aimable autorisation du journal.
21:47 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : metz-sablon : nouvelle équipe de direction à rabelais, chantale capesius, nouvelle principale, metz-sablon, collège rabelais, metz - félicitations monsieur eddy !, eddy boudjani, président de l'amos, l’association des commerçants de la rue du xxe corps américain e, a reçu la médaille, de la ville de metz, 19 septembre 2015, une projection du film de xavier péron et de kristin sellefyan :, atelier de spiritualité maasaï, terre interdite" (2006), metz - queuleu : le porte-parole des maasaï, fait halte à de la salle, metz, habitat participatif, natura4, imaginer votre logement avec vos futurs voisins, besoin d'aide ?, formations bafa bafd, cocktail évasion, jean dorval pour ltc news, formation-emploi, apprentissage industriel, 100% alternance, jeunes de 16 à 25 ans, une formation rémunérée, et de qualité, qualifiante, matinée d'orientation, au cfai moselle, cefassim, membre du réseau union des industries, et métiers de la métalurgie, ltc news, jean dorval, moselle, lorraine, ue, europe, union européenne, france, spa, la spa d'arry, spa lorraine, anna des naudin, ltc | Facebook |
30/07/2015
C'EST DU L'ART OU DU COCHON ???
02:14 Publié dans LTC ARTS | Lien permanent | Tags : centre pompidou-metz, metz, moselle, lorraine, jean dorval pour ltc arts, jean dorval, ltc arts, peinture, art moderne, europe, carte, pays, c'est du l'art ou du cochon | Facebook |
24/07/2015
Rien n’est jamais fini (1)
© Info sur la magnifique photo ci-dessus :
Ma Normandie, Etretat, Le Tilleul – Plage, de Jean-Yves Palfray, in ma-normandie.perso.sfr.fr
La mer n'en finit pas
A coups de vagues à l’âme
D’assaillir les falaises des côtes
D’un bleu marine
Elle n’en finit pas
D’étirer son ressac à l’infini
A coups d'écume, d’effets de robe
De passions en reconquête permanente
Elle étend toujours
Son fatras d’algues, de galets
D’étoiles de mer
Et de coquillages perdus
Finalement retrouvés
Dans ce tourment bouillonnant
Parfois déchaîné par la tempête
Pillé par les oiseaux
Neptune tente toujours de récupérer ses petits
Comme autant de pierres précieuses
Et le cheval de mer
Dont les flancs grondent
Tirant le char de nacre du Maître des Océans
Trace déjà en direction des fonds marins
Se revêt d’une cape scintillante de sable
La petite mort des rochers
Dans le sillage des grands vaisseaux
© Jean Dorval, le 24 juillet 2015, pour LTC Poésie.
Note :
(1) D’après Rien n’est jamais fini de Michel Leiris, In Haut mal suivi de Autres lancers, © Poésie/Gallimard, 1969, p.19.
00:36 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : rien n’est jamais fini, l’amour est enfant de sara, poésie dédiée aux arbres, à la forêt, aux plantes, à nos plus longues racines, à notre plus longue mémoire, ltc poésie annonce : "il était une fois jd aux salons...", anna des naudin, carte blanche à claire antoine, jean dorval et bérangère thomas, à la maison verlaine, tc poésie rend hommage à, charles marie rené leconte de lisle, sara-fleur, prélude à sara, le serment à sara, un baiser pour sara, jean dorval, sara ou les nuits d’été, jean dorval pour ltc poésie, jean dorval poète lorrain, poésie lorraine, poésie, cupidon me sert le thé, amour, romantisme, centre pompidou-metz, metz, moselle, lorraine, france, ue, union européenne, europe, art écrit, écriture, thé oriental, saint-valentin, érotisme, sensualité, les jambes, d'une femme, fémininité, le nu | Facebook |
24/06/2015
LTC LIVE ANNONCE...
Metz envoie des Ondes Positives !
Du 23 au 28 juin se déroule "Ondes Messines", le Festival Musiques & Numérique, places de la République et Saint-Louis, et dans tout Metz. Les festivités commencent réellement, mercredi 24 juin, dès 20h30, sur la Place Saint-Louis, avec les concerts de Bagarre et de Yelle. Bagarre va servir à son public une touche de House Music, teintée de Techno et de New-Wave, et Yelle va rendre les messins "complètement fous" avec sa Pop Électronique. Bientôt Izia, Cali et Kadebostany seront aussi sur la Scène Messine... Des rendez-vous à ne pas manquer !
JD pour LTC LIve.
IN>FOS+ : metz.fr/Ondes Messines
yelle.fr & wiki/Yelle & facebook/Bagarre (le groupe)
00:27 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : izia, kadebostany, cali, yelle, bagarre, festival musiques & numérique, 2015, ondes messines, j. s. bach, kantate, "wachet auf, ruft uns die stimme", bwv 140 (ton koopman), ltc live : decouvreur de music pas passion, gus gus, believe, simple minds, metz, concert place saint-louis, louis armstrong, what a wonderful world, dead can dance, niagara, les p'tits-déjs d'ltc live, palma violets, best of friends, 99 red ballons, nena, joe jackson, the joe jackson band, acdc, a-ha, la scène d'ltc live, la communauté ltc live, ltc live : "la voix du graoully !", david bowie, the next day, nouvel album 2013, jean dorval, jean dorval pour ltc live, centre pompidou-metz, moselle, lorraine, ue, union européenne, europe, yom, & the wonder rabbis, klezmer zozio'party | Facebook |
23/06/2015
LTC LIVE : LA VOIX DU GRAOULLY !
22:08 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : j. s. bach, kantate, "wachet auf, ruft uns die stimme", bwv 140 (ton koopman), ltc live : decouvreur de music pas passion, gus gus, believe, simple minds, metz, concert place saint-louis, louis armstrong, what a wonderful world, dead can dance, niagara, les p'tits-déjs d'ltc live, palma violets, best of friends, 99 red ballons, nena, joe jackson, the joe jackson band, acdc, a-ha, la scène d'ltc live, la communauté ltc live, ltc live : "la voix du graoully !", david bowie, the next day, nouvel album 2013, jean dorval, jean dorval pour ltc live, centre pompidou-metz, moselle, lorraine, ue, union européenne, europe, yom, & the wonder rabbis, klezmer zozio'party, jewish'mix, musique klezmer, peuple juif, les hébreux, orient, moyen-orient, claude vanony, les parisiens, la bête des vosges | Facebook |