17/06/2016
LTC LIVE : MUSIC IS LIFE !
01:02 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : ltc live : music is life !, simple minds, marquis de sade, new order, nightwish, level 42, ltc annonce, little eye : back in the bacs !, ltc live annonce..., luxembourg : little eye se la joue disco, pour écouter ltc live, il faut avoir du nez et de bonnes oreilles !, ltc live : quand on y goûte, on ne peut plus s'en passer !, paramore, ltc live prend le rap a la source., ltc live : the united nations of sound !, ub 40, ltc live : music is life !, indochine, depeche mode, midnight oil, ltc live : l'oeil du chat !, jean dorval pour ltc live, ultravox, vienna, absolute ltc@live, ltc live : le média rebelle qui dé-note !, the sex pistols, my way, killing joke, echo and the bunnymen, simple minds, ltc live annonce : bientôt, très bientôt..., sortie, le new dvd des simple minds, "live from the sse hydro glasgow", the golden gate quartet, electronic band, electronic, paris, londres, berlin, new york - ltc live : la voix du graoully !, the spectre laibach tour, in europe, laibach, serge gainsbourg, the cranberries | Facebook |
PARIS-LONDRES-BERLIN-NEW YORK. LTC LIVE : LA VOIX DU GRAOULLY !
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LTC Kinéma conseille de voir...
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15/06/2016
LTC LIVE : La Music qui vient des tripes.
00:23 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : nightwish, level 42, ltc annonce, little eye : back in the bacs !, ltc live annonce..., luxembourg : little eye se la joue disco, pour écouter ltc live, il faut avoir du nez et de bonnes oreilles !, ltc live : quand on y goûte, on ne peut plus s'en passer !, paramore, ltc live prend le rap a la source., ltc live : the united nations of sound !, ub 40, ltc live : music is life !, indochine, depeche mode, midnight oil, ltc live : l'oeil du chat !, jean dorval pour ltc live, ultravox, vienna, absolute ltc@live, ltc live : le média rebelle qui dé-note !, the sex pistols, my way, killing joke, echo and the bunnymen, simple minds, ltc live annonce : bientôt, très bientôt..., sortie, le new dvd des simple minds, "live from the sse hydro glasgow", the golden gate quartet, electronic band, electronic, paris, londres, berlin, new york - ltc live : la voix du graoully !, the spectre laibach tour, in europe, laibach, serge gainsbourg, the cranberries, david bowie, le nouvel album, spectre is unleashed, geth'life | Facebook |
14/06/2016
LTC Lecture présente... Catherine Debusne : une vie consacrée au costume traditionnel.
Catherine Debusne dans un costume de vigneronne de Haute-Saône.
. Une Artiste avec plusieurs cordes à son arc. - Catherine Debusne est une ancienne professeure d'Arts Plastiques. Cette historienne des costumes traditionnels des régions de France est auteure et illustratrice d'ouvrages ; mais aussi créatrice et costumière. Par la même, elle a réalisé, en partenariat avec des entreprises, quelques très beaux objets sur les costumes folkloriques : fèves de collection, kits de broderie, nains de jardin, etc. Actuellement, elle recherche des partenaires commerciaux, afin de créer des objets-souvenirs originaux toujours sur le thème des costumes traditionnels ; un art très prisé et respecté par ailleurs, alors que chez nous ces trésors culturels nationaux tendent à disparaître de notre patrimoine. Des objets dont de nombreux touristes visitant notre pays sont friands et qu’ils ne trouvent pas actuellement. Tous les matériaux peuvent être utilisés pour les concevoir à partir des dessins de Catherine Debusne : textile, papier, bois, plastique, métal, etc. Désormais, Catherine Debusne, jeune retraitée, coule des jours heureux à cheval entre Besançon, en Franche-Comté, sa région d’origine, et la Crète.
. La plume et le pinceau. - Catherine Debusne est donc une spécialiste des costumes traditionnels français. Ses recherches illustrées permettent de redécouvrir de manière ludique et pédagogique ce très beau patrimoine culturel. Dans ses livres, elle présente de nombreux costumes. En voici les titres : Costumes de Franche-Comté, paru aux éditions Cabédita (Suisse) en 2001 ; La France en costumes traditionnels, du continent aux tropiques, paru aux éditions du Sekoya (Besançon) en 2003 (une recherche homologuée au Guinness World Book, véritable encyclopédie des habits de cérémonies, de travail ou de grandes occasions de nos aïeux) ; et un livre d’initiation : A la découverte des costumes traditionnels de France, paru aux éditions Bénévent (Nice) en 2006. Elle a aussi collaboré à d’autres ouvrages, et dans un autre registre a publié : Dr@gue-en-ligne:mode d'emploi, paru en septembre 2010 aux éditions Les2encres. Cette analyse sociologique sur les sites de rencontres, ayant nécessité deux années de travail, décrypte avec un humour caustique : annonces, pseudos, photos et modes de fonctionnement. Un guide qui permet de ne pas se laisser piéger sur le Net.
. 7 questions à Catherine Debusne by JD :
J. D. : Les moteurs de recherche diffusent vos dessins, sans en préciser la source, sans mentionner votre nom, et laissent supposer à tort que vos œuvres sont libres de droits. Ainsi de nombreux sites Internet dans le Monde utilisent, sans votre autorisation, vos réalisations, pourtant soumises à copyright. En avez-vous marre de retrouver à votre insu vos créations partout sur le Net et qu’on vous pique vos dessins ? Pourquoi avoir créé un blog entièrement dédié à ce sujet(2) ? Est-ce une manière de vous rendre justice ?
C. D. : Je demande à Google, Bing et Yahoo de supprimer tous mes dessins de leur banque d’images. Les gens ne savent visiblement pas ce qu’est un copyright, et s’approprient mes dessins sans en mentionner la source. Diffuser une illustration, sans mentionner le nom de la dessinatrice, et sans demander son autorisation, est un délit. Le Code de la Propriété Intellectuelle est très clair à ce sujet. C’est même un délit lourdement puni pénalement. Je parle pour moi, mais également pour tous les dessinateurs qui se font usurper leur travail et qui donc ne peuvent en vivre ! Je suis ce que l’on appelle une "Illustre Inconnue". Mes dessins sont reproduits par milliers et pourtant personne ne connaît mon nom. Je ne fais pas cela par orgueil, mais juste pour que mes années de travail et de recherches soient reconnues. Étant à la retraite de l’Éducation Nationale, je précise à toutes fins utiles que je ne vis pas de mon activité d’historienne-illustratrice.
Catherine Debusne
dans un costume de vigneronne Comtoise avec coiffe à bas volets.
J. D. : Comment devient-on historienne du costume régional, une spécialisation plutôt rarissime ?
C. D. : Ayant vécu longtemps, à Tahiti et à la Réunion, où le costume traditionnel est omniprésent, je me suis intéressée à ceux de Franche-Comté, lors de mon retour en France. Constatant qu’aucun livre n’existait sur ce sujet, j’ai fait des recherches, conçu des illustrations, rédigé des textes et mon premier livre Costumes de Franche Comté est paru. Ensuite, prise de passion pour les costumes, j’ai contacté de nombreux groupes folkloriques. J’ai investi les archives, les musées et les bibliothèques, et consulté d’anciens actes notariés. J’ai aussi réalisé des photos et des croquis. Je me suis beaucoup déplacée. J’ai écrit et téléphoné sans compter. En une décennie, j’ai dessiné les costumes de toutes les régions de France (inclus la Corse et les DOM-TOM, et une carte de France) ; en me lançant pour défi de trouver au moins un costume homme et femme par département. Ainsi est né le livre La France en costumes traditionnels, du continent aux tropiques. Il m’a valu l’homologation au World Guinness Book, pour la plus grande recherche sur le costume traditionnel en France. Les dessins de cet ouvrage ont servi de modèles à la société Prime, pour créer des fèves de collection, et à Luc Créations pour la réalisation de kits de broderies au point de croix.
Athéna, la Déesse aux yeux pers,
un costume signé Catherine Debusne.
J. D. : Comment travaillez-vous afin de reconstituer tous ces magnifiques costumes ? Aviez-vous des prédispositions pour la recherche et la couture ? Quel est le costume qui vous a pris le plus de temps à réaliser ?
C. D. : Au stade de la reconstitution, je couds, je bricole et je bidouille. Ma mère m’a donné des rudiments de couture, de broderie et d’ouvrages au crochet. Pour le reste, j’ai appris sur le tas. Athéna, la Déesse aux yeux pers, a été le costume le plus difficile à réaliser. Il est constitué de tissu, broderies, collages, carton, polystyrène, peinture et coutures. En général, je tente de me rapprocher le plus possible de la réalité, en mettant des galons, en utilisant des rubans, biais ou dentelle, et parfois même des tissus d’époque. En clair, je crée, j’invente, j’assemble et je m’obstine, jusqu’à ce que je trouve LA Solution ! Faute de place, je précise avoir donné, vendu, bradé, tout mon stock de costumes, lorsque de la vente de ma maison. Je n’en ai gardé qu’une dizaine en souvenir, mes préférés !
J. D. : Que pensez-vous de la disparition du musée du peuple messin à Metz, où les costumes lorrains avaient une place importante ?
C. D. : Cela ne m’étonne pas. Notre pays est en plein déclin. Sa culture chrétienne millénaire est progressivement remplacée par d’autres cultures qui n’ont rien à voir avec la nôtre. Le Patrimoine en France se limite actuellement aux châteaux indestructibles de nos rois. Par contre, tout le patrimoine fragile (en papier, bois, textile, etc.) se dégrade de manière irréversible par manque d’argent, de volonté et de courage politique de nos autorités. Et disparaît !
J. D. : Tous vos livres traitent des costumes régionaux. Pourquoi le dernier traite-t-il des sites de rencontres sur le net ? Quelle mouche vous a piqué ? Cela fait-il partie de votre expérience personnelle ?
C. D. : Suite à mon veuvage, je me suis retrouvée seule. Je souffrais de solitude et cette nouvelle forme de rencontres n’ayant rien de honteux, je me suis lancée. Cependant, j’ai été aussi amusée qu'intriguée, autant surprise qu’écœurée par ce que l’on y découvre sur le genre humain : la bêtise, la laideur, la perversion, l’arrogance, l’irrespect, la lâcheté, la cupidité, l’instabilité, le déséquilibre, la grossièreté, l’absence de valeurs morales, etc. J’y ai croisé heureusement quelques personnes très bien. Cette analyse sociologique a été réalisée avec beaucoup d’humour. J’ai voulu faire rire le lecteur autant que le mettre en garde, pour qu’il sache aborder ce monde parallèle.
J. D. : Avez-vous un nouvel ouvrage sur le feu ? Et si oui, quel en sera le thème ?
C. D. : J’en ai même trois prêts à être édités : un livre expliquant le Visual Kei(1), un autre intitulé De fil en aiguille, recensant et illustrant près de 250 expressions de la langue française, issues du costume ; et un petit livre illustré pour enfants racontant la vie d’une fillette au 19ème siècle avec les coutumes de cette époque.
J. D. : Vous habitez en Crète la moitié de l’année. Quels conseils donnez-vous aux personnes qui cherchent comme vous à s’installer là-bas ? Quels sont les atouts de cette île ?
C. D. : De nombreux retraités de toutes nationalités passent en Crète plusieurs mois par an, voire l’intégralité de l’année. De plus en plus de Français s’y installent. Ce n’est pas loin en avion, en Europe et en zone Euros. L’immobilier et la vie y sont bien moins chers qu’en France. Et il n’y a pas d’immeubles partout ! Les Crétois ne sont pas pollués par l’argent. Ils ont su restés simples, chaleureux, généreux et authentiques. Sur cette île superbe, la vie n’est pas stressante. Il n’y a ni pollution, ni délinquance. Le soleil et le calme prédominent. La Nature reste belle et préservée. Les animaux et les oiseaux sont partout. La mer est limpide. L’air est iodé et sain. Les ports et les bateaux restent des havres de paix. Les fruits et légumes sont goûteux et sans pesticides. En Crète, j’ai retrouvé une vraie qualité de vie. C’est mon beau Ciel Bleu et ma Liberté retrouvée !
© Jean DORVAL, le 12 juin 2016, pour LTC Lecture.
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Notes :
- (1)Un mouvement musical japonais, caractérisé par le port de diffèrent niveaux de maquillage, des vêtements élaborés, style venant du Japon ancien, notamment du théâtre Kabuki.
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- © Toutes les images illustrant cet interview sont soumises aux droits d’auteur et ont été mises sur LTC à titre gracieux, avec l’aimable autorisation de son Auteure : Madame Catherine Debusne, Historienne, Écrivaine et Illustratrice. Avec tous nos remerciements pour son aide précieuse. http://la-rebelle.over-blog.com/2015/11/j-en-ai-marre-qu-...
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LTC LIVE : VOIR LA VIE SOUS UN AUTRE ANGLE !
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LTC LIVE : Le micro-climat musical !
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LTC LIVE : POUR LA FRATERNITé UNIVERSELLE !
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PARIS-LONDRES-BERLIN-NEW YORK. LTC LIVE : LA VOIX DU GRAOULLY !
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Bientôt, très bientôt... Un interview de Catherine Debusne, historienne du costume traditionnel, écrivaine et illustratrice, signé JD.
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11/06/2016
SPECIAL TRADITIONS LORRAINES : LE MARIAGE.
Tenues de mariage lorrain traditionnel.
© L’image ci-dessus est soumise aux droits d’auteur et a été mise sur LTC à titre gracieux, pour illustrer cet article, avec l’aimable autorisation de son Auteure : Madame Catherine Debusne, Historienne, Écrivaine et Illustratrice. Avec tous nos remerciements pour son aide précieuse. http://la-rebelle.over-blog.com/2015/11/j-en-ai-marre-qu-...
Coutumes lorraines : la demande en mariage
"La demande en mariage, suivie de fiançailles, passait souvent par l'emploi de mots spécifiques, désignant le promis et la promise, comme ceux de fèchenot et fèchenotte, ou encore de vauzenot et vauzenotte, dont l'origine se perd dans la nuit des temps (avec peut-être, pour le second, le mot vôze désignant un bouquet). Cela dit, la demande faite et acceptée, devait, dans la région de Metz, être officiellement renouvelée le matin même du mariage. La mariée, une fois habillée, attendait donc aux côtés de ses parents la visite de son futur époux et de son père, qui allaient réitérer publiquement la demande ou du moins se livrer à un simulacre... La suite de cet article, publié le dimanche 6 août 2006 dans le supplément dominical du "Républicain Lorrain", se trouve sur :
http://en-passant-par-la-lorraine.over-blog.com/categorie...
Une néo d'Anna des Naudin, pour LTC.
Sur le même sujet, à lire ou à relire l'article de Jean Dorval sur "Le Mariage Lorrain", publié à l'époque dans la Revue Lorraine Populaire de Jean-Marie CUNY...
"LE MARIAGE TRADITIONNEL LORRAIN."
"Il est des lieux où souffle l’Esprit…", l’esprit de nos ancêtres bien sûr, mais aussi celui de nos traditions enfouies sous le poids des siècles. Notre Lorraine natale si chère à Maurice Barrès et à nos aïeux a été le berceau de nombreuses coutumes locales. En passant par la Lorraine, les invasions et les guerres ont fait fructifier notre histoire. Riches du brassage de notre culture et de celle de nos hôtes, des générations entières ont été témoins de cet enracinement qui a marqué notre territoire régional. Au travers des vestiges, des monuments historiques et de la culture, mais aussi des mœurs, le lorrain a su démontrer sa capacité à fusionner dans l’originalité, à nourrir une forte identité. Malgré un tempérament rude qui trouve son expression la plus vive dans le travail au champ, à la mine ou aux hauts-fourneaux, le "caractère lorrain" n’est pas incompatible avec la bonne humeur, ce qui procure de nombreuses occasions d’amusement. Le mariage lorrain est un de ces points de repères socioculturels incontournables. Et c’est sans doute pour défendre, entre autres, ces traditions festives que nos aïeux se sont sacrifiés souvent au champ d’honneur, embrassant ainsi la "terre charnelle" si chère à Charles Péguy ; terre de difficultés, mais aussi de grands bonheurs !
La noce lorraine, en dehors d’être une cérémonie religieuse chrétienne, comportait une série de rites et de coutumes issus de la nuit des temps, d’un fond paysan très marqué. Nous allons en évoquer quelques aspects.
Tout d’abord en Lorraine on aimait à chanter comme nous le prouve ces extraits de "La réveillée" (arrangement de Jean Poinsignon) et de la "Romance d’Audun-le-Roman" (datée de 1850) : "Réveillez-vous belle endormie, réveillez-vous car il est jour, mettez la tête à la fenêtre, vous entendrez parler d’amour", "Adieu, fleur de jeunesse, puisque me faut la quitter la nobl’qualité de fille, père et mère, m’les faut quitter".
Les Lorrains se plaisaient aussi pendant les réunions de famille à raconter des histoires ou "fiauves" en patois roman. Ces derniers consistaient en une satire de la vie quotidienne des gens. Goûtons notre plaisir en lisant le "PTIOT CUGNOT"(arrangement de Jean POINSIGNON) :
"Quand je suis venu au monde,
Radigadi radigado,
Quand je suis venu au monde,
Dans mon beau Longeaux (1)
J’ai tout de suite regardé,
Radigadi radigado,
J’ai tout de suite regardé,
Par un petit trou
Mais quand j’ai vu mon père,
Radigadi radigado,
Mais quand j’ai vu mon père,
Avec des sabots
Je m’suis dit ton pauvre diable,
Radigadi radigado,
Je m’suis dit mon pauvre diable,
De toutes les façons t’es foutu."
De même en 1912, nos anciens chantaient lors de repas prolongés des compositions musicales incantatoires mettant en scène la loi de la nature. Dans certaines d’entre elles, une chèvre ou une oie se faisait dévorer par un loup. Dans d’autres, plus cocasses, la chèvre embrochait le loup pour se défendre et l’oie pinçait ses parties afin d’éviter d’être dévorée.
Le mariage lorrain était aussi l’occasion d’invoquer les Divinités païennes, tout en restant dans un cadre "très catholique". Cette dualité des comportements semble être le résultat de l’étonnante alchimie dont a hérité notre contrée. Nous ne sommes donc pas à une contradiction prêt !
Les bacchanales, peintes par William-Adolphe Bouguereau (1825-1905).
© Photo ci-dessus : http://www.mondragon-plus.com/pas_vu12.htm
Dans nos régions de l’Est, le mot mariage évoque les Bacchantes s’adonnant au culte de Bacchus (Dionysos pour les Grecs, fils de Zeus et de Sémélé). Ce Dieu Romain de la végétation, et en particulier de la vigne et du vin, se trouve vénéré au travers de cérémonies appelées Bacchanales. Certaines représentent l’union de deux Êtres. Cette croyance en Bacchus met en scène, dans la coutume lorraine, le mystère de la renaissance ou "Liber Pater". Bacchus déchiqueté à sa naissance par Héra (femme de Zeus et de surcroît Déesse grecque du mariage) a été sauvé par son père, qui pour se faire l’a mis en dedans sa cuisse. Cette croyance contribuera au développement de la tragédie et de l’art lyrique, mais aussi au cérémonial du mariage lorrain.
La jarretière.
© Photo ci-dessus : http://www.zankyou.fr/p/la-jarretiere-de-la-mariee-jeu-et...
Quatre rites symbolisent cela dans notre tradition : le vin aphrodisiaque, la jarretière, les cérémonies de la chaussure et du pain. Le vin aphrodisiaque était servi en rôtie (c’est-à-dire accompagné de tranches de pain). Fait à base de poivre, de cannelle et de miel, il était donné aux mariés, une fois "leur petit nid d’amour" découvert ou au petit matin lorsqu’ils émergeaient des bras de Morphée. La jarretière, quant à elle, apparue au XVIème Siècle en Lorraine, se trouvait être l’enjeu d’une course entre les hommes du village. Le vainqueur partageait ce trophée entre tous les participants en guise de porte-bonheur. Le rituel de la chaussure symbolisait l’érotisme et le spirituel. L’érotisme car la mariée se faisait déchaussée en public. A l’époque, on tournait de l’œil à la vue d’un mollet mignon ! Le spirituel, car les mariés mettaient de l’argent dans "la chaussure" pour acheter les Pénates (en mythologie romaine, ce sont les Divinités du foyer). Ce "rachat" de la chaussure donnait lieu ensuite à des jeux et gages. Le pain quant à lui, tradition paysanne par excellence, était offert par une femme enceinte à la mariée, avec une phrase d’accompagnement flattant la fécondité et la richesse matérielle à venir : "puisse-t-il faire beaucoup de profit."
Mais, faisons un peu d’étymologie ! Jadis un tiers des mariages était consommé avant de passer à l’Eglise. Tout enfant conçu ainsi procurait au futur papa un certain prestige qui lui valait d’être surnommé "godard" (du latin "galudare" qui signifie "le réjouit"). Le "godard" aux yeux de tous vérifiait la fameuse expression catholique "Liebe ist eine gnade !" (traduction : "l’amour est une grâce !"). Cela était un véritable don du ciel selon la tradition lorraine. Alors, si vous connaissez un ami dont le nom est "Godard", vous saurez quel mode de vie avaient choisi ses ancêtres !
D’autre part, dès son baptême l’enfant lorrain était consacré aux Divinités agraires tels Sylvain (Dieu romain protecteur des bois et des champs) et Perséphone (Reine des Enfers, Déesse grecque du Monde souterrain qui réapparaît pour créer les saisons). On pendait à cette occasion, au dessus du berceau, le bouquet du Baptême. Cela invitait Mère Nature à être généreuse. Le bouquet de mariage était, quant à lui, dédié à la Vierge Marie.
© Photo ci-dessus : http://www.au-jardin.fr/post/Chevre-au-col-du-Granier
Une autre coutume avait son importance : "la chèvre". Cette tradition d’origine païenne renforçait l’esprit de famille. A l’époque, le mariage était une grande fête villageoise durant laquelle on unissait deux êtres et leurs familles ! Les nouveaux époux, afin de débuter leur nouvelle vie dans de bonnes conditions, recevaient de riches présents tels des rouets, des terres, des troupeaux (vaches, moutons…), des fermes, des bois, des meubles (bahuts lorrains…). Aussi, les enfants non mariés restant dans les familles, voyant cet important étalage de richesses, pouvaient imaginer mourir dans le plus grand dénuement… Pour palier aux éventuels états d’âme, chaque marié rétrocédait des cadeaux pour marquer la solidarité familiale. Le présent qui revenait fréquemment était une "guey" (en roman), une "gaib" (en germanique), ou plus simplement "une chèvre" (en français). Au début, on offrait une bête vivante, puis apparurent des figurines faites à base de poireaux frais, de confiseries (pâte d’amandes, chocolat ou sucre soufflé) ou de bois.
Les distractions n’étaient pas uniquement spirituelles car la gastronomie tenait une place importante. On mangeait des mets délicats : pâtés, tourtes, matelote de METZ, cochon de lait en gelée, quiche lorraine, langue de bœuf, carpe à la juive, oie en daube, coq au vin gris, brioche ; et plusieurs succulents desserts, dont les œufs à la neige et à l’orange, ou le "Torté" qui reste le plus typique. Cette pâtisserie intermédiaire entre le gâteau et la brioche était préparée dans la région de Moyeuvre, sur les rives de l’Orne, pour toutes les fêtes et les grandes occasions, dont les mariages (voir l’excellente recette sur le livre de E. Auricoste de Lazarque : "Cuisine messine"). Dans le Pays-Haut Mosellan, ce gâteau se nommait le "Wété". Il pouvait s’accommoder d’amandes, était offert par le marié à tous ses invités, accompagné d’un verre de vin. On en donnait même aux gens extérieurs au mariage !
Tous ces comportements conviviaux trouvent leur origine dans la durée des mariages qui pouvaient aller jusqu’à trois jours consécutifs. Il fallait bien occuper tous les convives et surtout les nourrir ! Ces coutumes nous rappellent qu’avoir des racines, quelque soit notre région française d’origine, est un bien des plus précieux que nous nous devons de défendre. Au travers des âges, nos traditions et nos valeurs, même si elles ne sont pas rester figées, ont forgé notre spécificité. Elles sont irremplaçables et ce n’est pas la monoculture mondialiste qui saurait relever le gant ! Si nous ne réagissons pas très vite nous y laisserons tous notre âme. Un pays qui ne conserve pas son passé, ne peut vivre le présent et n’a pas d’avenir. Il est tout simplement voué à disparaître. Tout le monde aura été prévenu !
© Jean DORVAL, le 15/06/04, pour LTC Grands Reportages.
Notes :
(1) Un village proche de Bar-le-Duc dans la Meuse.
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A 60 ans passés
Gérard
Un P’tit Gars de la Rue
Qui fait la manche
A l’entrée de la Cathédrale Saint-Étienne de Metz
Témoigne de l'Amour Filial...
Pour lui qui n’a pas grand-chose
Comme le bon vin réjouit le coeur des hommes
Un seul rendez-vous est sacré
Tous les lundis
Il prend le bus en direction de Gorze
Pour visiter sa Mère de 80 ans
Au Centre hospitalier
Il veille sur Elle pour adoucir ses vieux ans
Il la fête ainsi une fois par semaine
Pour la rendre éternelle
Elle qui a passé des nuits entières à côté de son berceau
Elle qui l’a tendrement aimé et qui lui a tout donné
Elle qui l’a embrassé et qui lui a tout pardonné
Elle qui a été le meilleur des guides
Il l’honore !
Ses larmes de Mère sont les seules qui le touchent
Cet Amour là le met à genoux
Elle, le doux plaisir de vivre !
Son Âme de Mère est un Trésor Divin
Et il apporte à Celle qui l’a porté pendant 9 mois
Un peu de réconfort et de compagnie
Un peu de nourriture et son sourire d’Enfant
Dans sa vieille robe de chambre élimée
Elle ne reconnaît plus les jours
Elle a oublié le temps
Et le cours des saisons
Mais, une seule chose est sûre
Quand son fils n’est pas là
C’est l´hiver !
L´été ne réapparait
Dans le petit matin frileux
Que quand son fils revient
Dommage que pour vaincre sa Solitude
Il n’y ait qu’un lundi par semaine
Le premier jour de la semaine
Pour Gérard, c’est la Fête des Mères !
Quand il la voit
Par respect
Et parce qu’il est du genre silencieux
Il s´assied sans dire mot
Lui dit tout avec les yeux
Le lundi n’est jamais monotone
C’est dimanche en semaine !
Pendant ces quelques heures d´évasion
Passées à côté d’Elle
Il la regarde avec l’affection d’un Fils reconnaissant
Il mélange du miel au fond de sa tasse de thé
Il regarde par la fenêtre
Et prie Le Ciel pour qu’elle ne manque de rien
Tous les soirs en secret
Tourné vers Gorze
Il dépose un baiser sur le front de sa Mère
Il se rappelle que personne d’autre que lui
Ne connait mieux la force de l’Amour qu’elle lui porte
Car il est le seul, à savoir comment bat son cœur de l’intérieur
© Jean DORVAL, le 10 juin 2016, pour LTC Poésie.
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