Metz - Moussafir : Les porteurs de l’Amour Universel.

 

 Stéphane est au oud, Michel à la flûte et Pablo à la guitare sèche.

Les Moussafir jouent leur musique poétique orientale dédiée à l’Amour Universel. Un songe qui mène au pays des mille et une notes, le temps d’un concert, faisant ressentir l'âme des Orients du Monde par la puissance de ses instruments et la plénitude de ses voix. Quelques lives sont en vue...

. Des baladins du métissage. – La formation messine de musique traditionnelle orientale, Moussafir, est née en 1994. Moussafir veut dire Voyageur et Invité en arabe. Ce groupe de voyage musical invite donc son public au partage fraternel. Il joue sur de petites scènes à visage humain, voire à domicile. Une formation à géographie variable prônant la tolérance et qui harmonise des personnes de confessions juive, musulmane et chrétienne, à des athées. Le groupe Moussafir est adhérent de l’association messine 3M (Musiques Modales du Monde). Ses membres, des virtuoses, vont régulièrement à la rencontre des maîtres de leurs musiques. Ils recherchent continuellement de nouveaux instruments (bois, peau, cordes, à vent ou à percussion) qui leurs correspondent, afin d’entraîner leurs spectateurs dans un tour du Monde continu, sur lequel le soleil ne se couche jamais. Leur répertoire musical très riche fait planer l’assistance au dessus du Maghreb, de la Palestine, de l’Asie, des Balkans et du Moyen-Orient, en passant par les musiques latino, tzigane, arabo-andalouse, judéo-espagnole et séfarade. Ils ont plusieurs albums solos à leur actif : Trio Berdah Faber Groppe (1994), Moussafir (2007), Michel Groppe (2010) et Erlanger Et Rahal (2011).

. Une composition à géométrie variable. – En fonction des récitals, Moussafir comprend de deux à huit membres. La configuration de base est composée de Stéphane Berdah et Michel Groppe. Stéphane Berdah joue du oud et du bouzouki. Michel Groppe s’adonne au Kanoun (La Loi en arabe). Six autres membres rejoignent ce groupe ouvert sur le Monde dans sa configuration optimale. Christian Lebrun se met alors au violon et au kamanché, Omar Azzedine Bouhouhou au luth et aux percussions (bendir), Mohamed aux percussions (djembé) et au chant, Laurence au chant et à la clarinette, Halima Mebarki au chant, et Pablo Steinberg à la guitare sèche (et à différents autres instruments argentins).

. Musique ancestrale à partager. – Stéphane explique : "La musique orientale séculaire est sublime et subtile. Ses notes varient. Elle est codifiée. On parle même de musique savante se transmettant oralement grâce aux enseignements des maîtres. Celui qui l’apprend doit l’offrir à son tour à l’Autre. In fine, cette musique venue de multiples horizons, se jouant dans le monde sur le même mode, est le fruit d’un savant métissage." Michel complète : "Une de nos spécificités consiste à jouer des musiques avec les instruments pour lesquels elles ne sont pas conçues initialement." Michel et Stéphane, toujours en recherche d’expériences transcendantales, jouent aussi aux côtés d’autres passionnés de musiques et de chants méditerranéens et orientaux, comme l’Atelier d'Erlanger ; une association trans'cultures de Vandœuvre-lès-Nancy, dirigée par Faousi Bentara. Une preuve supplémentaire pour eux que l’expression latine Mare nostrum - Notre mer en latin, en référence à la mer Méditerranée - est un trait d’union entre toutes les cultures du bassin méditerranéen et d’ailleurs.

. Le songe Moussafir. – Stéphane conte que : "Les diasporas juives et tsiganes ont enrichi et métissé le répertoire des musiques orientales. Elles ont traversé les frontières avec leur musique nomade dans des circonstances souvent douloureuses, amenant leur culture dans les pays de passage ou d’accueil. La musique nomade, d’une très grande richesse culturelle, s’est adaptée au fil des siècles et a influencé les répertoires locaux. De cette manière, les artistes ont su tirer une vision artistique syncrétique. Par notre existence, nous affirmons que rien ne vaut le métissage et que l’art crée l’unité." Stéphane conclut : "Il faut assister à un concert de musique classique orientale pour comprendre à quel point cette musique modale peut emballer les cœurs, élever les esprits par sa poésie, mener à la sérénité et au bonheur, apporter l’Amour Universel et la Fraternité entre les êtres humains."

Si les Moussafir n’ont pas de nouvel album en vue, ils sont en concert comme d’habitude à domicile sur demande, mais aussi le 7 juin à Vandœuvre-lès-Nancy, à 17h, Ferme du Charmois, et le 19 septembre à Metz, à 18h, salle de l’esplanade à l’Arsenal, pour la fête du patrimoine.

© Jean DORVAL pour LTC Live.
Renseignements : http://www.myspace.com/moussafir.metz

Moussafir : Les voyageurs de la Fraternité Universelle.

 

Stéphane au oud, Michel à la flûte et Pablo à la guitare sèche.

Les Moussafir distillent savamment leur musique poétique orientale, un hymne permanent dédié à la Fraternité Universelle. Le genre de voyage hors du temps qui fait faire le tour du monde le temps d’un concert et fait ressentir l'âme des Orients du Monde par la puissance de ses instruments et la magie de ses voix.

Michel Groppe, dit "La Loi", au Kanoun.

 Michel au saz.

. Les chantres du métissage donnent la note. – L’ensemble messin de musique traditionnelle orientale, Moussafir, existe depuis 1994. « Moussafir » veut dire « Voyageur » en arabe. Cela signifie aussi « invité ». Ce groupe de voyage musical invite son public au partage. Il joue pour lui et avec lui à domicile ou sur de petites scènes à visage humain. Ce groupe à géographie variable conjugue des personnes de confessions juive, musulmane et chrétienne, et des athées. Ces artistes passionnés de cultures et de musiques brassent leurs notes exceptionnelles. L’ensemble Moussafir fait partie de l’association 3M (Musiques Modales du Monde), basée à Metz. Ses membres affûtent leur talent depuis des années, devenant des virtuoses. Ils rencontrent les maîtres de leurs musiques, trouvent de nouveaux instruments faits de bois, de peau et de cordes, à vent ou à percussion, qui leurs correspondent. Cette renaissance permanente qui les anime entraîne le spectateur dans un tour du Monde permanent, durant lequel le soleil ne se couche jamais ; un répertoire musical très riche en partance pour le Maghreb, la Palestine, l’Asie, les Balkans, le Moyen-Orient, le Caucase, la Perse, en passant par les musiques latino, tzigane, arabo-andalouse, judéo-espagnole et séfarade, les chants syriens, etc. Ils ont produit plusieurs albums individuellement : Trio Berdah Faber Groppe (1994), Moussafir (2007), Michel Groppe (2010) et Erlanger Et Rahal (2011).

  Pablo, "El Magnifico", à la guitare sèche.

 

. Une formation à géométrie variable. – Moussafir comprend de deux à huit membres en fonction des récitals. La configuration de base se compose de Stéphane Berdah et Michel Groppe. Stéphane Berdah joue du oud - un luth à manche court, un instrument de musique à cordes pincées très répandu dans les pays arabes, en Turquie, en Grèce, en Azerbaïdjan et en Arménie - et du bouzouki, un instrument de musique joué en Grèce ; de la famille des luths à long manche. Michel Groppe, quant à lui, s’adonne au Kanoun, une cithare sur table. Le mot « kanoun » est un nom arabe emprunté au grec « κανων » (qui se prononce « kanôn »), signifiant « la loi ». Six autres membres rejoignent le groupe dans sa configuration optimale. Christian Lebrun se met alors au violon et au kamanché, une vièle originaire d'Iran ; Omar Azzedine Bouhouhou au luth et aux percussions (comme le bendir), Mohamed aux percussions (djembé) et au chant, Laurence au chant et à la clarinette, Halima Mebarki au chant, et Pablo Steinberg à la guitare sèche, ainsi qu'à de nombreux instruments traditionnels argentins (paceño, pinquillo, etc.).

. Portraits d’autodidactes de talents. - Michel Groppe, musicien né, a débuté par la musique sud-américaine, avant de se tourner vers la musique orientale. Il a appris la musique arabo-turque, puis Hindoustanie, avant de chercher son propre dialogue avec les instruments de musique qu’il collectionne, tous... orientaux. Archetier de métier, 23b rue des Capucins, à Metz, il vend dans le monde entier ses archets en mèche de crin de cheval de Mongolie. Les répétions des Moussafir se déroulent tous les lundis dans son magasin. Michel est le puriste du groupe. En jouant, il pratique le Taksim, une improvisation, qui selon lui est « l’essence de la musique orientale ». Au fil de ses découvertes, il emmène ses amis explorer musicalement des contrées de plus en plus lointaines. « Stéphane est un frère » pour Michel. L’oud de cet ex-restaurateur de renom messin, charme son public avec ses intonations particulières. « Apprises de manière orale, comme le veut la tradition » insiste Stéphane. « Lors de ma jeunesse en Tunisie, je jouais des standards français. Puis, je suis revenu à mes racines, bercées de musiques traditionnelles, comme me l’avait annoncé ma grand-mère : Tu es comme une chèvre broutant autour d’un piquet. Plus tu t’en éloignes plus la corde s’enroule. Tu finiras par revenir à ton point de départ. » Pour ce faire, dans les années 90, il achète son premier oud en France et suit pendant plusieurs années les cours du maître Marc Loopuyt, à l’école de musique orientale de Woippy, avec deux autres membres du groupe : Halima et Christian. Puis, lors d’un mémorable voyage à Bagdad en 1994 à l’occasion d’un festival, il rencontre plusieurs maîtres et des musiciens de toutes les origines. Pour lui, c’est la révélation : « J’ai compris alors que l’on a des répertoires communs. En clair, on se connaissait, sans le savoir ! » Le violon et le Kamanché de Christian, quant à eux, s’harmonisent idéalement avec l’oud de Stéphane et prolongent magnifiquement les morceaux joués par le groupe.

 Stéphane, la mémoire des musiques orientales, au oud.

. Musique savante en partage. – Stéphane explique : « La musique orientale est particulièrement subtile. Les notes varient beaucoup. » Il précise : « Comme elle est très codifiée, on parle de musique savante. Elle se transmet oralement grâce aux enseignements des maîtres. Celui qui l’apprend se doit de transmettre à son tour cette richesse. Au final, cette musique venue d’horizons divers, qui se joue partout dans le monde sur le même mode, est le fruit d’un savant métissage. » Michel complète : « Une de nos caractéristiques consiste à jouer des musiques avec des instruments qui ne leur sont pas destinés initialement. » Michel et Stéphane, toujours en quête d’expériences transcendantales, jouent régulièrement aux côtés d’autres passionnés de musiques et de chants méditerranéens et orientaux, comme l’Atelier d'Erlanger, association trans'cultures, de Vandœuvre-lès-Nancy, dirigé par Faousi Bentara. Une preuve supplémentaire pour ces deux Moussafir que l’expression latine « Mare nostrum » - qui littéralement signifie « Notre mer », en référence à la mer Méditerranée - est un véritable trait d’union entre toutes les cultures du bassin méditerranéen et d’ailleurs.

 Pablo à la guitare sèche et Michel au djembé.

 Stéphane au oud et Pablo au bendir.

 Pablo au bendir.

. Le voyage Moussafir. –  « Les diasporas juives et tsiganes ont enrichi et métissé le répertoire des musiques orientales au cours de leurs exils. Elles ont traversé les frontières avec leur musique nomade dans des circonstances pas toujours heureuses, amenant leur culture dans les pays de passage ou d’accueil. L’Empire Ottoman en a fait de même après avoir conquis les Balkans. La musique nomade, d’une très grande richesse, s’est adaptée au fil des siècles et a influencé les répertoires locaux. De l’action négative des envahisseurs, les artistes ont su tirer une vision artistique, syncrétique », constate Stéphane. « Par nos compositions faites de subtiles mélanges, par notre existence même, les Moussafir affirment que rien ne vaut le métissage. On démontre ainsi que l’art crée l’unité ». Les membres de ce groupe d’exception rassemblent patiemment les morceaux du grand puzzle des musiques orientales. Et Stéphane de conclure : « Tant que l’on n’a pas assisté à un concert de musique classique orientale, on n’imagine pas à quel point cette musique modale peut emballer les cœurs, plonger les esprits ouverts dans un bain de poésie, de sérénité et de bonheur. Ces airs, parfois chantés, sont construits de manière envoûtante. Ils sont à l’image des paysages et des ambiances de leurs origines, amenant à la fraternité universelle, à l’amour du prochain. »

Renseignements : http://www.myspace.com/moussafir.metz

Source documentaire et crédit photos : © Le Républicain Lorrain 2015/DR, avec l'aimable autorisation du journal.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  Pablo au cajon.

Michel au bouzouki.

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"La Vie ? Et après la Mort ? Et alors ? La Mort n’est qu’un Passage… Il faut se le dire de son Vivant, avant de partir en Voyage pour l’Eternité et de Rencontrer la Quintessence Spirituelle. La Lumière dans le Noir… Il faut la suivre pour Découvrir l’Au-Delà et Fusionner dans un Champs Energétique, Magnétique, d’Amour Universel. Un autre Monde attend l’Ame, pour lui révéler les Mystères d’une Tendresse Infinie. Le Trou-Noir devient Gris, et se révèle au Final Transparent. C’est la Porte de la Rédemption. Chemin d’Incertitudes, de Dérives en Enfers, de Contraires, de Doutes, de Peurs, etc. Et Finalement de Douceurs Lumineuses… Paradis qui surgit de l’Ombre !"

 

"Jean DORVAL, Ici-Bas, moissonne en clair-obscur ses maux d’outre-tombe avec une plume qui ressemble à une faulx, et William DUONG lui fait écho avec son stylet numérique."

 

Anna des Naudins

 

Jean DORVAL aime l’écriture. Il compose des poèmes depuis qu’il est ado, et s’adonne au journalisme dès les années quatre-vingt-dix (presse écrite et radio). Il est parisien d’origine et l’amour l’a conduit jusqu’à Metz. Divorcé, père de deux enfants, il y vit désormais en Lorrain de cœur et d’esprit. 

Il est l'auteur de douze recueils de poésie : 

Le Semeur de sentiments (2014), Le Carnet de voyage marocain (2015) et Symphonie à la Foi (2016). D’une hexalogie : Et Dieu créa la Nymphe (2016), Mots pour LA Muse (2017), Les Mots-A(i)mants (2018), Causerie au coin du Corps (2018), La Douceur de Toi (2019) et Élie-gie (2019). Mais aussi de : Echo-ésie (2018, fait en collaboration avec le poète Jacques Nimsgerns), Le Test-Amant (2019), et désormais de : Quand Les Mots (d’Outre)-Tombent (2019).

 

William DUONG, jeune illustrateur, est actuellement étudiant en Design à Metz. Il aime retranscrire l’Univers des textes qu’il illustre, en faisant appel à la Rêverie et à la Symbolique.

 

Infos+ :

Edilivre.com/quand-les-mots-d-outre-tombent-by-jean-dorva...

LES RENDEZ-VOUS DORVALIENS 2019 ET… 2020 !

 

/// Jean DORVAL, poète lorrain, est en séance de présentation et de dédicace de ses recueils de Poésie aux dates suivantes : ///

 

/// 1) Le samedi 9 novembre 2019, et le dimanche 10 novembre 2019, de 10h00 à 19h00, au SALON DU LIVRE D’HISTOIRE A WOIPPY, salle Saint-Exupéry, STAND DE LA LIBRAIRIE HISLER.

INFOS+ : Site Internet : SalonWoippy.com ///

 

/// 2) Le samedi 16 novembre 2019, de 10h00 à 19h00, et le dimanche 17 novembre 2019, de 10h00 à 18h00 au MARCHE DE NOËL D’HAUCONCOURT (57280), Salle des fêtes, Rue d'Amelange.

INFOS+ : Tél. : [phone] ///

 

/// 3) Le samedi 23 novembre 2019, de 13h30 à 19h00, et le samedi 21 décembre 2019, de 10h00 à 18h00, à CORA EN VILLE METZ, 9 rue du Petit Paris.

INFOS : Tél. : [phone]

Email : [e-mail]

Sites Internet : et Facebook.com/coraenvillemetz

et coraenville.fr ///

 

/// 4) Le samedi 30 novembre 2019, de 8h30 à 20h30, à CORA TECHNOPOLE METZ, 10 bd de la Solidarité.

INFOS+ : Tél. : [phone]

Email : [e-mail]

Site Internet : cora.fr/metztechnopole ///

 

/// 5) Le dimanche 1er décembre 2019, de 10h00 à 18h00, au MARCHE DE NOËL DE WOIPPY, Salle Saint-Exupéry, stand personnel de l'auteur en allée (en présence de Jacques Nimsgerns co-auteur d’Écho-ésie).

INFOS+ : Tél. : [phone] ///

 

 

/// 6) LE LIVE TOUR POETIQUE DU JD – PART I. Les samedis, de 09h30 à 12h30, aux dates suivantes : 05 octobre 2019, 12 octobre 2019, 19 octobre 2019, 26 octobre 2019, 02 novembre 2019, 23 novembre 2019, 30 novembre 2019 (ANNULE), 7 décembre 2019 et 14 décembre 2019, à HOTEL KYRIAD METZ CENTRE, 8 rue du Père Potot, 57000 METZ.

INFOS+ : Tél. : [phone]

Email : [e-mail]

Site Internet: Kyriad-Metz-Centre.fr ///

 

/// 7) LE LIVE TOUR POETIQUE DU JD – PART II. Les dimanches, de 09h30 à 12h30, aux dates suivantes : 29 septembre 2019, 06 octobre 2019, 13 octobre 2019, 20 octobre 2019, 27 octobre 2019, 03 novembre 2019, 24 novembre 2019, 8 décembre 2019, 15 décembre 2019, 22 décembre 2019 et 29 décembre 2019, à l’HOTEL IBIS STYLES METZ CENTRE GARE, 23 avenue Foch.

INFOS+ :

Tél. : [phone]. Email : [e-mail]

Site Internet : AccorHotels.com/Ibis-Styles-Metz-Centre-Gare ///

 

/// 8) Le samedi 28 décembre 2019, de 9h00 à 22h00, au CARREFOUR CITY MONTIGNY-LES-METZ, 8 Place Joseph Schaff.

INFOS+ : 03.87.50.32.11

Site Internet : Carrefour.fr/magasin/City-Montigny-lès-Metz ///

 

/// 9) Le samedi 18 janvier 2019, de 10h00 à 18h00, au 8^ème Salon "Le livre en hiver", de l’Association Plumes A Connaître – APAC, Salons de l’Hôtel de Ville à METZ.

INFOS+ :

Tél. : [phone]

Email : [e-mail]

 Site Internet : www.associationplumeaconnaitre.com ///

 

/// 10) Le samedi 1er février 2020, de 8h30 à 20h30, à CORA MOULINS-LES-METZ, Route Nationale 57.

INFOS+ : Tél. : [phone]

Email : [e-mail]

Site Internet : cora.fr/moulinslesmetz ///

 

 

/// 11) Le samedi 19 septembre 2020, de 14h00 à 19h00, et le dimanche 20 septembre 2020, de 10h00 à 18h00, à la 7^ème Edition de Mémoire d’un Terroir, le Salon du Livre de Scy-Chazelles, à la Maison des associations et son parc arboré, situés 2 rue Jeanne d’Arc. En présence de William DUONG illustrateur de Quand Les Mots (d’Outre)-Tombent, et de Jacques Nimsgerns co-auteur d’Écho-ésie.

INFOS+ :

Email : [e-mail] ///

/// Jean DORVAL est publié par :

Edilivre.com/Jean_Dorval

& par LTC POESIE

LaTourCamoufle.HautEtFort.com ///

 

/// BIENTOT D'AUTRES RENDEZ-VOUS, BIENTOT...

TRES BIENTOT... ///

Infos+ :

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Le Nouveau Jour (1) [Un extrait de Quand Les Mots (d'Outre)-Tombent de Jean DORVAL]

 

 

Par la Fenêtre Point La Lumière

D’un Chaud-Soleil

Le Ciel est Bleu-dilué

 

A la Naissance

Du Vol-des-Hirondelles

La Nuit Cède le Pas

Laissant Derrière Elle

Quelques Guirlandes Nocturnes

Eparses encore Latentes

 

C’est un Nouveau Jour

Mêlé de Rosée

Et de Gouttes de Nuit

Celui de Toutes les Attentes

De l’Infiniment-Roi

 

© Jean DORVAL, le 26 février 2019, pour LTC POésie / EDILIVRE

 

(1) D’après la  chanson : OMD Firegun

QUAND LES ECHO-ESIES INSPIRENT L'ART...

POUR TELECHARGER CET ARTICLE...

Echo-ésie, ferronneries et huiles à la Maison du Bailly oct et nov 2019.jpg

BIENTOT, TRES BIENTOT… SUR LTC LECTURE… UN INTERVIEW DE BERNARD LAURENDIN SIGNE JD…

 

L’écrivain, poète, nouvelliste et historien de la Lorraine, Bernard LAURENDIN s’est livré au jeu des questions et des réponses avec le JD. Le résultat… Bientôt… Très bientôt... A lire sur LTC Lecture…

 

 

LE LIVE TOUR POETIQUE DU JD – PART II.

 

Jean DORVAL, Poète Lorrain, est en séance de présentation et de dédicace de ses recueils de Poésie, à l’HOTEL IBIS STYLES METZ CENTRE GARE, le dimanche, de 09h30 à 12h30, aux dates suivantes : 29 septembre 2019, 06 octobre 2019, 13 octobre 2019, 20 octobre 2019, 27 octobre 2019, 03 novembre 2019 et 24 novembre 2019.

 

Jean DORVAL est publié par :

Edilivre.com/Jean_Dorval

& par LTC POESIE LaTourCamoufle.HautEtFort.com

 

INFOS+ :

HOTEL IBIS STYLES METZ CENTRE GARE

23 avenue Foch, 57000 METZ

Tél. : [phone]

Email : [e-mail]

Un site : AccorHotels.com/Ibis-Styles-Metz-Centre-Gare

 

LE LIVE TOUR POETIQUE DU JD – PART I.

 

Jean DORVAL, Poète Lorrain, est en séance de présentation et de dédicace de ses recueils de Poésie, à l’HOTEL KYRIAD METZ CENTRE, le samedi, de 09h30 à 12h30, aux dates suivantes : 05 octobre 2019, 12 octobre 2019, 19 octobre 2019, 26 octobre 2019, 02 novembre 2019, 23 novembre 2019 et 30 novembre 2019.

 

Jean DORVAL est publié par :

Edilivre.com/Jean_Dorval

& par LTC POESIE

LaTourCamoufle.HautEtFort.com

 

INFOS+ :

HOTEL KYRIAD METZ CENTRE

8 rue du Père Potot

57000 METZ.

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Un site : Kyriad-Metz-Centre.fr

 

ANNE VILLEMIN-SICHERMAN EST TOUJOURS EN QUÊTE D’UNE BONNE ENQUÊTE…

 

 

Depuis bientôt sept ans, Anne Villemin-Sicherman (AVS) fait mener l’enquête à son héros, Augustin Duroch, tambour battant, dans le décor pittoresque de Metz, au siècle des Lumières. Passionnée d’Histoire, elle concocte savamment des histoires divertissantes et instructives à la fois...

 

. Quelques notes de BIO. – AVS naît à Pont-à-Mousson le 6 février 1951. Elle passe son enfance à Delme, suit des études secondaires chez les Dominicaines, puis de médecine, à Nancy. Après une carrière de gynécologue à Hagondange et une activité de chroniqueuse, 17 ans durant, sur RCF Metz, elle devient écrivain. Elle se tourne alors vers le roman historique policier à rebondissements, dont l’action se passe à Metz, au XVIIIe siècle. Elle est publiée d’abord par les Éditions Le Quotidien, puis par les Éditions La Valette. AVS n’est pas historienne de formation, mais son amour pour cette époque lui donne une certaine expertise. Elle a écrit une série de romans dans laquelle elle rend hommage aux trois générations de vétérinaires qui l’ont précédée dans sa famille. L’enquêteur Duroch incarne ainsi un successeur de fiction. Cet "artiste vétérinaire" - comme on appelait les vétérinaires jusqu’au XIXe siècle - issu de la promotion initiale de la première école vétérinaire du monde, fondée à Lyon en 1762 par Claude Bourgelat, révolutionne ce tout nouveau métier. Il gagne ainsi la confiance de Charles-Alexandre de Calonne, l’Intendant(1) des Trois-Évêchés(2), qui le nomme vétérinaire de ses écuries. Une fonction qui va l’entraîner au hasard des circonstances dans la résolution d’enquêtes criminelles difficiles, avec une incroyable efficacité, due à sa rigueur scientifique. Au point que Calonne, qui a des pouvoirs de police, lui confie aussi des missions non officielles d’enquêteur. Des situations délicates dans lesquelles Augustin déploie tous ses talents, jusqu’à risquer sa vie pour la Vérité. Ses investigations débutent dans un premier roman paru en 2014, intitulé "Guet-apens rue des Juifs". Cinq romans suivront : "L'argent des farines" en 2015, "Le souper de Lafayette" en 2016, "Un bûcher pour Versailles" en 2017, "L'abbé Grégoire s'en mêle" en 2018, et "Rumeur, 1789" en juillet 2019. La revue nationale des vétérinaires, "La Semaine Vétérinaire", consacre en 2019 un article faisant l’éloge de cette série historique, qui met également en scène d’autres personnages. Célia, l’amoureuse d’Augustin, qu’il épouse après quelques malentendus, dotée d’une remarquable intuition, se tient à ses côtés au fil des enquêtes. Rosalie, la gouvernante d'Augustin et de Célia - qui était déjà au service des parents d'Augustin - veille sur la famille. Elle n'hésite pas à enquêter de son côté. AVS donne aussi vie à des personnages issus de l’importante communauté juive messine de l’époque [qui a compté jusqu'à 2500 personnes au début du XVIII^e siècle(3)], comme le marchand de chevaux, Moshé Kosman, ou l'ancien talmudiste Hourwitz (personnage historique). Puis, d'épisode en épisode apparaissent ponctuellement d’autres personnages historiques, comme Lafayette, l’abbé Grégoire, le comte de Broglie, la reine Marie-Antoinette, le marquis de Bouillé, le marquis de Sade, etc.

 

 

. Questions pour un auteur. – En Lorraine, l’œuvre littéraire d'AVS connaît un succès grandissant. Son talent justifie bien de lui faire passer un petit "interrogatoire" en bonne et due forme. Attention, séquence investigations… journalistiques !

 

JD : Pourquoi donner un tel souffle de vie à tous vos personnages ? Instillez-vous un peu de votre caractère de battante à chacune de vos créatures ?

AVS : Pour donner vie à chacun de ces personnages, les hommes comme les femmes, je me sers de mon expérience, en ce sens que chacun d’eux est un puzzle qui contient des fragments de personnes rencontrées dans mon existence. Pour leur donner vie, je me mets dans leur tête et je m’efforce de penser à leur place. Pour Calonne, il y a eu tellement de témoignages connus de ses contemporains et tant de lettres reçues par lui et écrites par lui, que c’est le personnage historique le plus facile que j’ai eu à mettre en scène jusqu’à maintenant.

 

JD : En 2016, vous avez reçu le prix du Salon du livre féminin de la ville d'Hagondange pour Le Souper de Lafayette. Et en 2019, pour L'Abbé Grégoire s'en mêle, vous avez eu le prix Historia du roman policier historique. Ces grands moments consacrent votre œuvre littéraire. Cette reconnaissance par vos pairs vous permet-elle d’envisager de réaliser d’autres projets en tant qu'auteur ? Et si oui, lesquels ?

AVS : j’ai été approchée, lors du Salon de Paris de cette année, par un producteur de séries télévisées intéressé par "L’abbé Grégoire s’en mêle". Il cherche des financements. J’espère avoir un jour le bonheur de participer à l’écriture d’un scénario mettant en scène Augustin Duroch.

 

 

JD : La revue Historia consacre à votre roman "L'abbé Grégoire s'en mêle" une critique très favorable dans son numéro de janvier 2019. On peut y lire : "(…) On attendait depuis longtemps celui ou celle qui ressusciterait le XVIIIe siècle à l'égale d'un Parot(3). C'est chose faite (…) Il parvient à tenir la distance sur plus de 500 pages sans jamais lasser tant la langue est fine et élégante, et l'intrigue subtilement déroulée (…)" L’écrivain Jean-François Parot mort le 23 mai 2018 - auteur lui aussi de romans policiers - a vulgarisé les Enquêtes de Nicolas Le Floch, une série de polars se déroulant dans le Paris du XVIIIe siècle. Ses romans ont fait l'objet d'une adaptation télévisuelle sur France 2, de 2008 à 2018, la série Nicolas Le Floch, produite par Hugues Pagan ; et d'une adaptation en bande dessinée dès 2018. Souvent vos lecteurs vous disent au cours de vos dédicaces dans les salons du livre : "Duroch nous fait penser à Le Floch !" Cette comparaison de votre héros régional avec un héros d’envergure nationale, voire internationale au niveau de la Francophonie, ouvre-t-elle de nouvelles perspectives à Augustin ? Comme de poursuivre ses enquêtes messines jusqu'au XIXe siècle ? Voire de "décentraliser" l’action de vos romans ailleurs qu’à Metz comme dans "Un bûcher pour Versailles" ?

AVS : Oui, je compte poursuivre cette série au XIXe siècle, et c’est pour cette raison qu’Augustin a un fils qui dans  "Rumeur, 1789" est à l’école vétérinaire de Lyon.

 

 

 

JD : Vos nombreuses intrigues démarrent principalement dans des rues et sur des sites messins, mais aussi dans une diligence entre Paris et Metz [les rues des Juifs, des Trois-Boulangers, de la Baue et Gaudrée (l’ancienne rue de vignerons), la Citadelle, la diligence de Paris à Metz, etc.]. Quelle est la symbolique de ces lieux ? Ancrent-ils vos fictions dans le réel tout en permettant de remonter dans le temps ?

AVS : J’aime ces vieilles rues étroites comme la rue de la Baue, la rue des Trois-Boulangers, la rue Gaudrée qui portaient déjà ces noms au XVIIIe siècle. Elles nous rappellent à la fois le temps qui passe et la permanence de ces lieux qui nous ont survécus et nous survivront. J’aime les évoquer pour donner envie à mes lecteurs d’aller y voir de plus près, et de retrouver leur passé en découvrant Metz à travers mes histoires.

 

JD : Pourquoi Calonne est-il présent dans pratiquement tous vos ouvrages ? Quel est son rôle dans vos histoires ?

AVS : Calonne est présent parce qu’il est intendant des Trois-Évêchés durant douze ans à Metz. Il devient ministre des Finances dans "Un bûcher pour Versailles" et dans "L’abbé Grégoire s’en mêle", il est renvoyé du ministère. C’est le fond historique.

Je me suis attachée à ce personnage de flambeur, charmeur, d’une grande intelligence, parce qu’il est un personnage de roman idéal, précisément par toutes les qualités ou défauts que je viens de citer. Il avait des projets pour la France et envisageait une grande réforme fiscale qui aurait enfin touché la noblesse et le clergé. Il a été renvoyé de son ministère pour cette raison, comme Turgot avant lui, la noblesse de Cour ne pouvant accepter de payer des impôts. Cette injustice fiscale est une des raisons de la Révolution.

 

 

JD : Dans "Guet-apens rue des Juifs", le meurtre en pleine nuit d'un marchand de chevaux, Moshé Kosman se passe rue des Juifs. Dans "L'Argent des farines", la communauté juive est sollicitée par l'Intendant Calonne pour mettre en œuvre un approvisionnement d'urgence. Dans "Le souper de Lafayette", un mystérieux Haym Salomon est envoyé à Metz par les Insurgents américains. Dans "Un bûcher pour Versailles", Augustin Duroch commence son enquête à la demande d'une banquière juive qui a octroyé un prêt important à Phélipette qui vient de se faire assassiner. Dans "L'abbé Grégoire s'en mêle", L’abbé Grégoire vient à Metz pour participer au concours de la Société royale des sciences et des arts de Metz. Le sujet du concours : "Est-il des moyens de rendre les juifs plus utiles et plus heureux en France ?" Un sujet qui suscite de farouches oppositions... Enfin, dans "Rumeur, 1789", la France entière fait l’objet de rumeurs inquiétantes accusant des bandes de pillards d’attaquer les villages et les châteaux, et laissant entendre que les Juifs se livrent à des trafics… Vous mettez au cœur de tous vos récits des intrigues et des personnages indirectement ou directement liés à la communauté juive de Metz (et parfois d’ailleurs), en parallèle à des soubresauts de l’Histoire de France et d’autres pays : la Guerre d’Indépendance américaine, la Révolution française en gestation, les grandes manœuvres spéculatives sur les farines, le Souper de Metz, l’intégration des Juifs, etc. Pourquoi avoir choisi de mettre en scène la communauté juive messine dans vos romans ? Quel est son rôle historique ?

AVS : J’ai choisi de mettre en scène la communauté juive, parce qu’elle est présente, active et importante à Metz, et qu’à cette époque elle était la seule à avoir le droit de s’établir en ville, mais dans un quartier réservé, et cela pour services rendus à la royauté depuis le XVIe siècle. En Alsace, les Juifs devaient demeurer en dehors de Strasbourg et de Colmar. Par ailleurs ces Juifs de Metz ont eu des rabbins et des sages de grande notoriété dans tout le monde juif, et avaient une école talmudique à rayonnement international. Et puis mon père, vétérinaire à Delme, avait des relations professionnelles et amicales avec les nombreux marchands de bestiaux juifs de cette localité. Mon vétérinaire Augustin étant une sorte de copie de mon propre père, forcément lui aussi, au XVIIIe siècle, avait des relations avec les marchands de chevaux juifs de Metz.

 

JD : Est-il nécessaire de lire vos romans l’un après l’autre pour en comprendre toute l’intrigue ?

AVS : Ce n’est pas nécessaire. Chaque intrigue se termine à la fin de chaque volume.

 

 

JD : Avez-vous un nouvel opus sur le feu ? Et si tel est le cas, pouvez-vous donner en avant-première quelques "indices" sur sa future intrigue ?

AVS : Oui, il se passe en 1791, autour de la fuite du roi, mise en œuvre depuis Metz par le marquis de Bouillé, lieutenant général des armées de l’Est. Là encore c’est une affaire à rebondissements avec des personnages bien mystérieux. On y retrouve Augustin et sa famille, Rosalie, Célia, le marquis de Bouillé… et quelques autres !

 

JD : Vous avez participé au salon Le livre sur la place de Nancy, du 13 au 15 septembre 2019, place Stanislas, au stand du Lé'zart. Avez-vous une anecdote, voire plusieurs, à raconter sur ce nouveau millésime littéraire lorrain ?

AVS : J’ai eu le grand plaisir de revoir une foule de mes lecteurs, amis d’Augustin Duroch, qui attendent la suite de ses enquêtes avec impatience. L’un d’eux m’a particulièrement touchée par l’émotion qu’il m’a manifestée en voyant que j’avais mis en scène son ancêtre dans deux chapitres de "Rumeur, 1789." Je lui avais dit que je le ferais, mais de voir la chose réalisée l’a beaucoup ému, et moi aussi de l’entendre me le dire.

 

 

JD : Quelles sont vos prochaines dates de dédicaces ? Et où auront-elles lieu ?

AVS : Le samedi 28 septembre à la librairie Hisler, puis je participerai au Festival de Géographie de Saint-Dié les 4-5-6 octobre, puis je serai au Rendez-vous de l’Histoire de la ville de Blois, les 11-12-13 octobre, où "L’abbé Grégoire s’en mêle" est sélectionné pour le prix "Noir historique de la ville de Blois".

 

© Jean DORVAL, le 17 septembre 2019, pour LTC Lecture.

 

Sources documentaires :

Wiki/Anne-Villemin-Sicherman, Hal.Univ-Lorraine.fr,

LaValetteEditeur.fr et LaValetteEditeur.fr/Rumeur

 

Pour suivre Augustin :

Facebook.com/Augustin-Duroch

 

Notes : (1) Sous l'Ancien Régime, commissaire royal établi dans une généralité (ancienne circonscription administrative française). On disait aussi intendant de justice, police et finances ; (2) Infos+ : Wiki/Trois-Évêchés ; (3) Infos+: INRAP.fr ; (4) Infos+ : Wiki/Jean-François-Parot

 

Crédit photos : © Anne Villemin-Sicherman 2019. Ces photos sont mises en ligne sur ce blog afin d’illustrer cet interview avec l’aimable autorisation de l’auteur.

LTC LECTURE ANNONCE... BIENTOT, TRES BIENTOT, UN INTERVIEW D'ANNE VILLEMIN-SICHERMAN SIGNE JD...

Depuis bientôt cinq ans, Anne Villemin-Sicherman (AVS) fait mener l’enquête à son héros, Augustin Duroch, tambour battant, dans le décor pittoresque de Metz, au Siècle des Lumières. Passionnée d’Histoire, elle concocte savamment des histoires divertissantes et instructives à la fois… Jean Dorval qui l'a rencontrée en a profité pour l'interviewer. Amateurs de romans historiques policiers à rebondissements, le compte à rebours pour lire ce très intéressant entretien vient de démarrer...